Le point de vue de

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• Le point de vue de
• la Ligue Nationale Pour la Liberté
  des Vaccinations
• Liberté individuelle et
  obligation du BCG

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Lassociation a été fondée en 1954 au moment ou
la loi dobligation du BCG allait être
appliquée
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• Le BCG est il efficace dans la lutte contre la
  tuberculose ?
• Si le BCG était efficace dans la lutte contre la
  tuberculose, la restriction de liberté
  individuelle qui en découle
• pourrait éventuellement être envisagée.
• Mais ce nest pas le cas.

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• Le BCG est quand même le seul vaccin qui ne
  protège pas de la maladie pour laquelle il a été
  inventé 
• la tuberculose pulmonaire.
• Margaret Johnston, directrice du
  N.I.A.D,(l'Institut national des allergies et des
  maladies infectieuses) déclarait à son tour Dans
  Le Quotidien du Médecin du 31 mai 1994
   une réponse immune partiellement efficace
  nempêche pas létablissement de linfection et
  entraîne même une immunodéficience qui permet au
  microbe de causer une maladie plus sévère .

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• Jai découvert avec surprise certaines études
  démontrant que le BCG ne serait que très
  partiellement efficace même contre les formes
  graves y compris la méningite tuberculeuse.
• En effet, dans un article publié dans un journal
  allemand et repris par Le Concours médical du 20
  avril 1974, le Dr F. Freerksen, directeur de
  lInstitut de Biologie Expérimentale affirmait 
   Le dogme de labsence de méningite tuberculeuse
  chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964
  et 1968, à Vienne, sur quatre méningites
  tuberculeuses, deux se sont produites chez des
  sujets vaccinés
• Article de Freerksen rapporté dans le Concours
  médical (t. 96 16, p. 2 529-2 530 1974).

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• le BCG lui-même, peut provoquer cette méningite,
  y compris chez des sujets ne présentant aucun
  déficit immunitaire.
• Tardieu, M. al. "Tuberculous meningitis due
  to BCG in two previously healthy children" (The
  Lancet, t. 1, p. 440-441 1988).
• Giraud, P. al. "Survenue d'une méningite
  tuberculeuse deux mois après une vaccination par
  le BCG" (Archives françaises de pédiatrie, t. 12
  6, p. 606-611 1955).

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• Le maintien du BCG à destination de populations à
  haut risque est il efficace
• Quand on compare les pays qui ont mis en place
  une telle politique comme la Finlande et,
  lAllemagne qui ne la pas fait, on ne voit pas
  de différence.

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• Le BCG nest pas seulement inefficace, il est
  aussi dangereux
• James écrivait en 1955
•  J'ai toujours été stupéfait que la légende de
  sécurité de la vaccination BCG se soit établie
  aussi facilement. En effet en l'absence de preuve
  concluante de son efficacité, beaucoup de
  médecins l'utilisent croyant que s'il ne fait pas
  de bien au moins il ne fait pas de mal. Je crois
  que le BCG est la substance la plus dangereuse
  qui s'est toujours abritée derrière le principe
  d'inoculation protectrice.  
•          James, E.F. "Fatal case of
  tuberculosis produced by BCG " (American review
  of tuberculosis, t. 71, P. 321-323 1955).

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• Dans les pays scandinaves pour la période
  1948-1974, on a observé 1 ostéite pour 21 800
  vaccinations.
• En Suède, ou, la déclaration des effets
  secondaires du BCG est obligatoire depuis 1972.
  Le résultat immédiat a été une multiplication par
  5 du taux des ostéites, pour atteindre 1 ostéite
  pour 3500 vaccinations ce qui a conduit à l'arrêt
  de la vaccination systématique par le BCG.
• Lotte, A. al. "BCG complications. Estimates
  of the risks among vaccinated subjects and
  statistical, analysis of their main
  characteristics" (Advances in tuberculosis
  research, t. 21, p. 107-193 1984).
• L'estimation française donne 1 ostéite pour
• 2 700 000 BCG. (soit presque 8 fois moins)

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• La complication la plus grave est l'infection
  généralisée à BCG. Il est faux de dire qu'elle ne
  se produit pas chez des individus ayant un
  système immunitaire normal. Il faut savoir quel
  calvaire subissent ceux qui en ont été victimes.
• Meyer, J. "A fatal case of tuberculosis
  produced by BCG ( (American review of
  tuberculosis, t. 70, p. 402-412 1954).
• James, E.F. "Fatal case of tuberculosis
  produced by BCG " (American review of
  tuberculosis, t. 71, P. 321-323 1955).
• Pedersen, F. K. al "Fatal BCG infection in an
  immunocompetent girl" (Acta paediatrica
  Scandinavica, t. 67, p. 519-523 1978).
• Catanzaro, A. al. "Disseminated BCG infection
  " (The Journal of Pediatrics, t. 99, p. 268-271
  1981).
• Katzir, Z. al "Generalized lymphadenitis
  following BCG vaccination in an immunocompetent
  12-year-old boy" (European Journal of Pediatrics,
  t. 141, p. 165-167 1984).

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• Ce qui a fait dire au Dr Escoffier-Lambiotte,
  dans Le Monde du 24 mars 1982  Le maintien de
  lobligation vaccinale du B.C.G. en France est le
  prix que paient les Français pour le
  sous-développement, non de leur niveau de vie,
  mais de leur mentalité collective .
• Je pense que le docteur Escoffier-Lambiotte
  aurait du dire le sous développement des
  instances médicales dirigeantes.
• La peur qui prédominerait dans le public nest
  pas arrivé là par hasard qui a inculqué cette
  peur sinon les autorités sanitaires elle mêmes
  apeurées et ignorantes et incompétentes.

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• La méthode (DOTS) pour combattre la tuberculose
  existe et a fait ses preuves il nest pas besoin
  dinventer une méthode française il suffit de
  sen inspirer et de prendre modèle sur les pays
  qui ont réussi grâce à elle.

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• Puisque personne en France na pris le temps
  de consulter lOMS jy suis allé et jai
  rencontré
• les Dr Mario C. Raviglione Director Stop TB
  Department (STB) HIV/AIDS, TB Malaria Cluster
  (HTM) World Health Organization (lOMS Avenue
  Appia, 20, CH-1211 Geneva 27, Switzerland
• et le Dr Leopold Joseph BLANC coordinator
  TM/STB/TBS son collaborateur, dailleurs membre
  de la commission de santé publique en France.

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•  la politique dutilisation du BCG en France
  na pas de sens. Le BCG ne protège quasiment pas
  de la tuberculose pulmonaire et surtout pas chez
  ladulte. Ou elle nest normalement pas
  recommandée. Dans un pays industrialisé comme le
  France, ou on est capable de cibler les groupes à
  risque peu élevé, les groupes à risque et les
  groupes à haut risques, la vaccination BCG ne
  devrait se pratiquer quavant la sortie de la
  maternité des enfants nés de mères de groupes à
  haut risque pour éviter que le nouveau né soit en
  contact avec un malade contagieux des le retour
  au foyer. Pour ces nourrissons le BCG a un effet
  protecteur contre la méningite tuberculeuse et
  la tuberculose disséminée chez lenfant, estimé à
  80 mais il ne permet pas de prévenir la primo
  infection et surtout nempêche pas la
  réactivation dune infection pulmonaire latente
  qui constitue la principale source de propagation
  du bacille dans la communauté. (relevé
  épidémiologique hebdommadaire n4, 23 january
  2004)

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• Les méthodes traditionnelles de dépistage par les
  tests tuberculiniques ne sont pas fiables.
• Un test IDR peut positiver un test IDR
  ultérieur, quand on fait un test IDR en même
  temps au bras droit et au bras gauche dune même
  personne dans 60 des cas on a une réponse
  franchement différente.
• La stratégie DOTS préconise donc un dépistage
  par test bactériologique dont la qualité est
  assurée. Quels sont-ils ? Les tests Elispot et
  Quantiferon sont des tests de dosage d'interféron
  gamma qui sont fiables.
• La tuberculine utilisée pour le test est un
  produit toxique qui peut réactiver des lésions
  éteintes ou sensibiliser au bacille de Koch.

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La plus grande partie des citations reprises dans
cet exposé sont extraite du livre de Michel
GEORGET (professeur agrégé de biologie)
 Vaccinations les vérités indésirables  chez
DANGLES