Le temps de travail des formateurs D et E Synth - PowerPoint PPT Presentation

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Le temps de travail des formateurs D et E Synth

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Le temps de travail des formateurs D et E Synth se des points-clefs issus du croisement des r sultats des deux enqu tes, et propositions d axes de travail – PowerPoint PPT presentation

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Title: Le temps de travail des formateurs D et E Synth


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Le temps de travail des formateurs D et E
Synthèse des points-clefs issus du croisement
des résultats des deux enquêtes, et propositions
daxes de travail à lintention des partenaires
de la Branche
Présentation au CPPO 21 mai 2008
2
Synthèse des points-clefs issus du croisement
des résultats des 2 enquêtes
3
Sur le métier de formateur et ses évolutions (1/2)
  • Point-clef n1 Des évolutions qui se traduisent
    par une double tendance
  • Un déplacement du cœur de métier, du transfert de
    connaissances et de savoir-faire vers des formes
    diverses daccompagnement dauto-formation
  • Cette première tendance, qui pousse à
    lindividualisation des parcours à un
    laccompagnement personnalisé, répond à une
    demande de plus en plus orientée vers la relation
    de service aux  bénéficiaires 
  • Une parcellisation du travail entre les
    concepteurs de supports pédagogiques, et ceux qui
    dispensent la formation
  • Tendance rendue dautant plus possible que
    loffre est industrialisable
  • Ces évolutions impactent le métier de façon
    contrastée selon les secteurs et les organismes
    de formation

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Sur le métier de formateur et ses évolutions (2/2)
  • Point-clef n2 un métier plus exigeant/
  • Aux multiples facettes
  • Exercé dans un environnement en évolution
    constante
  • Et dans un contexte de plus en plus concurrentiel
  • /qui devient multi-casquettes, protéiforme, plus
    exigent en termes de polycompétences et de
    conditions de réalisation du travail
  • Sous le triple effet de lévolution du marché, de
    la législation (cf. accord national
    interprofessionnel de 2004, relatif à la FP), et
    dune concurrence qui se durcit

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Sur le temps de travail et lorganisation du
temps de travail des formateurs (1/2)
  • Point-clef n 3 Une application du ratio de la
    CCNOF à géométrie variable
  • Des organismes où le ratio est strictement
    appliqué (Cf. secteur linguistique)
  • Des organismes qui sen inspirent, le ratio
    pouvant être ponctuellement aménagé ou ajusté aux
    demandes spécifiques des client
  • Exemple des organismes qui ont des activités de
    CFA et de FC
  • Possibilité daugmentation de la proportion de PR
    (usage, négociée, inscrite dans le contrat de
    travail)
  • Au sein dun même organisme, selon les activités
    et les métiers, le ratio peut sappliquer
    différemment (Cf. secteur Technique Métiers)
  • Des organismes qui le contournent pour
    différentes raisons
  • Le ratio ne correspond pas aux réalités de
    loffre et des méthodes pédagogiques
  • Pour faire face aux contraintes économiques
    (organismes à dominante financement
    public/secteur de linsertion)
  • Les organismes relèvent dautres conventions
    collectives (ex. Transports et métiers annexes)

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Sur le temps de travail et lorganisation du
temps de travail des formateurs (2/2)
  • Point-clef n 4  Des écarts entre le prescrit et
    le réel
  • Une grande diversité des modalités dorganisation
    et de planification du travail des formateurs
  • Qui semble laisser peu de marge aux formateurs
  • Et peut se traduire par des écarts importants
    perçus entre dune part, la charge prescrite et
    dautre part la charge  ressentie 
  • Une batterie doutils de planification et de
    reporting plus ou moins sophistiqués allant du
    support papier à lutilisation de logiciels
    spécialisés
  • Critères distinctifs de lorganisation du temps
    de travail
  • Logique de loffre (planification à moyen-long
    terme)/logique de la demande (planification court
    terme)
  • Compétences, expérience, disponibilité
  • Au global, du fait notamment que seul lAF est
    planifiée dans la grande majorité des cas, une
    impression de travailler plus que ce qui est
    prescrit
  • Les plus forts écarts perçus par les formateurs
    concernent les secteurs de la linguistique et de
    linsertion et visent pour lessentiel les AC et
    les temps de déplacement (cf. enquête en ligne)

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Sur les attentes prioritaires exprimées par les
formateurs
  •  Point-clef n5  Des préoccupations qui
    ressortent spontanément des deux enquêtes visant
    à une reconnaissance des nouvelles exigences du
    métier
  • Sécurisation des activités et des emplois
  • Classification/rémunération
  • Formation continue
  • Perspectives dévolution professionnelle
  • Prise en compte des nouvelles  pénibilités  du
    travail, en lien avec la gestion des âges

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Propositions daxes de travail
  • À lintention des partenaires de la Branche

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1/3
  • Décomposer/recomposer les catégories dactivités
    de la CCNOF, en lien avec les évolutions des
    activités et du métier de formateur/
  • AF préciser les impacts du déplacement du cœur
    de métier sur le contenu pédagogique de lacte de
    formation, en distinguant en particulier les
    différentes formes de tutorat/accompagnement de
    stagiaires
  • PR à redéfinir en lien avec lAF, en valorisant
    les temps dauto-formation, de formation continue
    des formateurs ainsi que des temps nécessaires à
    la capitalisation des pratiques et des
    expériences
  • AC à renommer en tenant compte de leur montée
    en puissance, et classer, en distinguant
    plusieurs types dactivités
  • En amont de lAF analyse préalable du besoin,
    formulation des objectifs pédagogiques
  • En aval de lAF bilans pédagogiques
    intermédiaires ou finaux, évaluations
    post-formation
  • Tâches administratives et logistiques
  • /en précisant et valorisant la contribution des
    formateurs non cadres aux tâches à valeur ajoutée
  • /en tenant également compte de lévolution
    majeure du métier vers la relation de service et
    de ses conséquences sur le rôle de
    lorganisation/compétence collective mise au
    service des formateurs et  bénéficiaires  de la
    formation

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2/3
  • Favoriser la négociation locale, dans un cadre
    fixé par la Branche/
  • Pour tenir au mieux compte des réalités du
    terrain, des spécificités des secteurs, et des
    intérêts des partie en présence
  • Le niveau Branche reste adapté pour procéder à un
    cadrage global (détermination dun ratio moyen
    sur une temporalité à définir, et/ou encadrement
    par des seuil minima et maxima)/
  • /une définition plus fine étant renvoyée à une
    négociation locale (entreprise ou établissement),
    afin de mieux tenir compte des contextes locaux
  • Publics accueillis, dispositifs pédagogiques mis
    en œuvre, conditions de réalisation du travail
    des formateurs, organisation du travail et du
    temps de travail
  • /à lappui si nécessaire de certaines
    dispositions de la  position commune du 9 avril
    2008 sur la représentativité, le développement du
    dialogue social et le financement du
    syndicalisme 
  • cf. articles 4-2 et 4-2-1 de larticle 4/Chapitre
    1  Représentativité et négociation
    collective  /Titre 2  Le développement du
    dialogue social 

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3/3
  • Etre attentif aux préoccupations prioritaires qui
    ressortent fortement et spontanément des deux
    enquêtes, et qui convergent vers une meilleure
    reconnaissance des exigences de la profession
    (Cf. point-clef n5)
  • Les résultats de létude font clairement
    ressortir que
  • Dune part, la problématique de la répartition
    des temps de travail se pose dans des termes
    différents selon les secteurs
  • Une hypothèse étant que linstauration du ratio
    AF/PR dans laccord de branche de 1989, actualisé
    en 1999, répondait en premier lieu aux situations
    rencontrées dans le secteur linguistique
  • Dautre part, lentrée par le temps de travail
    débouche de façon récurrente et convergente sur
    dautres préoccupations, exprimées à travers les
    deux enquêtes, et que nous vous signalons à
    toutes fins utiles
  • Qui touchent aux transformations du travail, de
    son organisation et de ses conditions de
    réalisation
  • Qui pourraient constituer autant dobjets de
    dialogue social à classer, hiérarchiser,
    programmer, aux niveaux de la Branche et des
    organismes de formation
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