Pistes de travail dans le domaine de lcrit'

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Pistes de travail dans le domaine de l écrit.
 S intéresser à l activité intellectuelle des
élèves 
 Dans la vie de la classe et dans les
apprentissages, les situations sont infinies. 
Aller du langage à la langue, et pas l inverse.
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•  Contrairement à ce qui a longtemps été
  considéré comme une évidence, l entrée de
  l écrit ne se fait pas à six ans mais bien
  avant. Les enfants pénètrent dans l écrit bien
  avant de commencer l apprentissage explicite de
  la lecture et de l écriture à leur entrée au
  cours préparatoire. 
•  L école maternelle a un rôle extrêmement
   important à jouer au cours de cet apprentissage
  préalable et  même si l apprentissage de la
  lecture et de l écriture n est pas au
  programme, l école maternelle doit donner
  l occasion à tous les élèves d une imprégnation
  des mots et des structures de la langue écrite,
  préalable indispensable à tout acte de lecture. 
• L accès à la langue écrite relève de la totalité
  du cycle des apprentissages fondamentaux et non
  de la seule année du cours préparatoire.
• Nouveaux programmes

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Le  calendrier cognitif du CP 

• Sur une classe tout-venant de 24 élèves et
  concernant la découverte du principe alphabétique.

2 élèves vont le faire dès le mois d octobre.
Une dizaine va le démarrer en janvier-février.
Une autre dizaine au printemps.
Quelques enfants n auront pas réussi à
comprendre ce principe en juin.
La maîtrise de la langue écrite est une priorité
de l école.
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Observer les difficultés en lecture
Observation des difficultés
Absence d informations sur les causes
Nécessaire mais insuffisant
Il est nécessaire d interpréter les faibles
performances.

• Qu est-ce que lire et comment l élève apprend
  à lire
• Quels sont les processus impliqués dans les
  difficultés en lecture ?

Comprendre les difficultés nécessite de savoir
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Sommaire

• Préambule. L approche par les compétences
• I. Avant le cycle 2
• - a L apprenti lecteur avant
  l apprentissage
• - b La prévention et les entraînements à
  l école maternelle
• - c quel objectif ?
• II. Les pistes de travail
• a La compréhension du langage oral
• b Entraînement à la discrimination auditive
• c La maîtrise phonologique
• d Entraînement à la discrimination visuelle
• e Écrire
• f Le lexique
• g Travail sur le récit

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• Travailler dans trois registres
• La dimension linguistique et langagière des
  apprentissages
• La dimension culturelle
• La dimension métacognitive

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• Travailler quatre domaines
• identification des mots
• compréhension de textes
• production écrite
• acculturation

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Préambule l approche par compétences

• Elle évite la parcellarisation des tâches et la
  perte de sens aux yeux des élèves.
• Elle incite à l apprentissage en situation
  active.
• Elle redonne de la finalité et du sens aux
  savoirs scolaires.
• Elle contribue à faire de l apprentissage une
  transformation en profondeur de l élève.
• Elle peut contribuer à réduire la sélectivité
  scolaire et la  culture de l échec 

Les compétences sont des savoir-faire en
évolution toujours possible, même chez les
adultes. Les tâches sont des travaux matériels
elles ne valent pas les activités dans la mesure
où elles ne génèrent aucun apprentissage.
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Le recours aux ressources spécialisées

•  Leur formation spécialisée les a dotés de
  compétences permettant de discerner et de
  comprendre des processus mis en uvre par les
  élèves face à des activités dans lesquelles les
  modalités de résolution importent tout autant
  pour comprendre la dynamique de l enfant que ses
  productions seules. Ils peuvent également
  enrichir l analyse des productions des élèves,
  de leurs erreurs en particulier, ou des points de
  blocage dans une progression et nourrir la
  recherche de réponses pédagogiques pour
  satisfaire les besoins diagnostiqués.
• Enseigner la lecture et prévenir les difficultés
  dans les CP à effectifs réduits ou à encadrement
  renforcé.

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"... il est intéressant de constater que la
situation est le révélateur de ces décalages
entre la compétence et son actualisation à
travers la performance. Une situation n'est plus
seulement le lieu d'activation d'une compétence à
travers une performance. Elle devient aussi le
révélateur entre ce qui est défini a priori (à
travers la compétence) et ce qui est
effectivement observé (à travers la performance).
La situation est est donc la source de
l'activation d'une compétence à travers sa
performance. ... Philippe Jonnaert
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I. Avant le cycle 2
La dimension linguistique et langagière des
apprentissages
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a - L apprenti lecteur avant l apprentissage
Traitement sensoriel
Traitement phonologique
Reconnaissancedes objets
Lexique phonologique
Mémoire sémantique
Calcul syntaxique
Compréhension
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b - La prévention et les entraînements à
l école maternelle

• 1. Entraînement à la discrimination auditive

2. Entraînement à la discrimination visuelle
3. Travail de la mémoire
4. Psychomotricité
5. Conscience phonologique
6. Compréhension du langage oral
Travail sur les capacités métalinguistiques
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c - Quel objectif ?

• Que l élève prenne de la distance par rapport à
  la langue, qu il la traite comme un objet, et
  plus seulement comme un outil, et qu il
  l analyse en composantes plus ou moins fines
  (syllabes, rimes, phonèmes)
• Dès l école maternelle, un travail spécifique
  portant sur le rôle et le fonctionnement de
  l écrit est indispensable.

La première maîtrise de l écrit ne peut se
construire qu à travers une  représentation 
chez les enfants en tant qu activité langagière.
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I. Les pistes de travail
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a - La compréhension du langage oral la
dimension linguistique et langagière des
apprentissages.

• Travail sur les consignes orales
• Ateliers de langage dialogues, récits,
  explicitations, justifications.
• Trouver le personnage qui ne fait pas partie de
  l histoire
• jeu des inférences associer l extrait et le
  livre
• devinettes sur les personnages
• devinettes sur les lieux
• devinettes sur les actions
• identifier un livre à partir d indices visuels
  symbolisés (personnages, objets, lieux)
• la dictée à l adulte

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b- Entraînement à la discrimination auditive

• Travailler sur les rimes (comptines)
• Travail sur le rythme
• Travailler la durée et l intensité dans des
  activités musicales
• Apprentissages de comptines

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• c - La maîtrise phonologique
• BATEAU
• 2 syllabes
  4 phonèmes
• ba / teau
  b/ a/ t / e / a/ u
• La sensibilité aux rimes est un précurseur de la
  sensibilité aux phonèmes.
• Le score à six ans dans les épreuves d habiletés
  phonologiques prédit le niveau de lecture de mots
  ou d orthographe ultérieur. Ces aptitudes se
  développent parallèlement à l apprentissage de
  la lecture la maîtrise phonologique améliore le
  niveau de lecture qui améliore la maîtrise
  phonologique.
• Les programmes d apprentissage travaillent sur
  la conversion grapho-phonologique la
  manipulation phonémique.

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d- Entraînement à la discrimination visuelle

• lotos perceptifs à partir de documents étudiés
• puzzles des couvertures ou pages intérieures
• jeux des différences (copies ou personnages
  manquants ou intrus)
• jeu des analogies
• intrus
• reconnaissance de mots dominos
• identifier les titres
• reconnaître le titre parmi des intrus
• reconstituer des titres
• identifier un détail caché
• regrouper les éléments qui font partie d une
  page d un livre
• associer les lieux et les personnages

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(No Transcript)
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(No Transcript)
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Le stade logographique
voiture
L élève utilise des indices pour deviner les
mots il traite les mots comme des dessins. La
réussite ou non à ce stade n a pas d influence
sur la suite de l apprentissage de la lecture.
On parle aussi de pseudo-lecture. A la fin du
cycle 1, l enfant serait capable de reconnaître
de cette manière de 50 à 100 mots.
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Rouge
Vert
Bleu
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Vert
Bleu
Rouge
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L effet Stroop
Celui qui sait lire éprouve de grandes
difficultés à ne pas tenir compte de
l information la plus prégnante, à savoir le
mot.
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Le stade alphabétique
strombeautle
L élève n y accède qu avec l apprentissage du
code alphabétique et le travail des
correspondances entre les lettres et les sons.
C est la période où l enfant commence à faire
des conversions entre phonèmes et graphèmes. Il
lit seulement les mots réguliers (tout ce qui est
écrit s entend) . Il y a une écriture
phonétique.
valétudinaire
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• Tout laisse à penser que plus les enfants sont en
  difficulté de lecture, plus nous devons les
   éloigner  du visuel pour les  apprivoiser 
  au sonore.
• Un élève qui lit a les yeux sur un support écrit
  mais son activité ne se résume pas à une activité
  perceptive, loin s en faut. Il entend parler
  dans sa tête et il traite donc une sorte de
  langage reçu.

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e - Écrire
 L'étude des orthographes "inventées" produites
par des jeunes enfants, avant l'apprentissages
des structures et formes de l'écrit, montre
qu'ils conceptualisent plus facilement leur
langue dans le travail d'écriture. 

• Essais d écritures
• Copies
• Reconnaître l organisation d une page, de la
  suite des pages dans un livre
• Reconnaître certains éléments dans un texte
  (titre, auteur, collection)

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• L activité de lecture-compréhension est
  considérée comme une activité langagière
  particulière qui porte sur du langage existant et
  qui est du langage écrit.
• L activité de production d écrit est considérée
  comme une activité langagière particulière parce
  qu elle produit du langage qui est matérialisé
  sur un support, autonome par rapport à son
  auteur, c est-à-dire compréhensible en dehors de
  la situation où il est produit.

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• f - Le lexique
• Le rôle du vocabulaire est important. Les
  connaissances sémantiques sont indispensables à
  la compréhension.
• Un enfant de 2 ans 9 mois connaît en moyenne 585
  mots, à 7 ans son lexique est en moyenne de 2758
  mots.
• Le plus efficace est de donner les significations
  des mots au moment où les élèves les rencontrent.
  

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Travail sur le lexique

• constituer des  dictionnaires  de classe
• établir des planches regroupant des champs
  sémantiques précis en fonction des thèmes abordés
  en classe ( le cirque, le jardinage etc.)

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g -Travail sur le récit

• remettre dans l ordre les images de l album
• trier les personnages, classer les personnages
  secondaires selon qu ils soutiennent tel ou tel
  personnage
• travail sur le rôle des personnages
• associer émotion et situation
• travail sur les livres sans textes

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La dimension culturelle
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Une perspective culturelle

• Pour que les élèves deviennent des lecteurs
  compétents, il faut que le programme scolaire
  soit riche en concepts de toutes sortes
  histoire, géographie, science, art,
  littératureToute connaissance acquise par un
  enfant l aidera éventuellement à comprendre un
  texte. Un programme vide de concepts, qui ne
  repose que sur des exercices artificiels, a des
  chances de produire des lecteurs vides qui ne
  comprendront pas ce qu ils liront.

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En résumé quelles sont les compétences
souhaitables à l entrée au CP

• La conscience phonologique

• Connaissances sur le fonctionnement de la langue

• Quantité et qualité du lexique mémorisé

• Rapidité de dénomination et d accès au lexique

• Maintien de l information phonologique en
  mémoire de travail.

• Maîtrise de l alphabet

• Acculturation

• Affectif

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Quelques principes (PROG)
1.Être bien à l école et utiliser le langage en
classe pour dire, pour comprendre, pour
réfléchir.
2. Comprendre du langage écrit et se construire
des représentations de l acte de lire.
3. Produire du langage écrit et se construire des
représentations de l acte d écrire.
Envie d apprendre
Culture de l écrit
4. Découvrir la nature de l écrit et se
construire des représentations de l écrit.
Plaisir de lire
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La dimension métacognitive
Pour devenir autonome dans leurs apprentissages,
les élèves doivent, non pas seulement et
uniquement accomplir des tâches, aussi variées
soient-elles, mais choisir des procédés et des
opérations adéquats à la résolution du problème
auquel ils sont confrontés. Le maître essaie de
provoquer des prises de conscience en les
renvoyant aux outils dont ils disposent.
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• Ce n est pas seulement une connaissance a priori
  nécessaire pour amorcer les apprentissages ce
  doit être un souci constant qui accompagne le
  cours des apprentissages pour les élèves
  fragiles, plus encore que pour les autres qui
  pourraient élucider seuls les enjeux et ces
  modalités ou trouvent dans leur entourage un
  médiateur qui les conduira à le faire.

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• Il importe dans ce registre

- d aider chacun à distinguer les enjeux des
activités scolaires (ce qu il y a à comprendre,
à réinvestir ) et les actes concrets
- de fixer des règles d action quand on les a
pratiquées et dégagées de centrer l attention
sur des procédures, leur fonctionnement, leur
régulation, à des moments clés de l activité
- de s appuyer explicitement sur les erreurs et
les réussites antérieures.
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Tout expliquer aux élèves

• Afin de clarifier les objectifs des activités,
  l enseignant(e)
• dit ce qu il sait de là où en sont les élèves
  et de comment ils s y prennent quand ils sont en
  résolution de problème
• dit ce qu il sait de ce que les enfants savent
• dit ce qu il fait pour essayer de les faire
  progresser

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• S attacher à comprendre les procédures utilisées
  par leurs élèves.
• Gérer les différences dans la classe
• Clarifier l activité intellectuelle demandée
• Être explicite dans les attentes et les consignes
• Analyser les traces produites
• Proposer des situations motivantes
• Faire écrire
• Replacer les apprentissages dans une dynamique
  culturelle
• Différencier et créer ses propres supports
• Travailler la dimension métacognitive de
  l apprentissage
• S intéresser à l activité intellectuelle des
  élèves

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La  médiation cognitive 
Il s agit de solliciter les nombreuses activités
cognitives dont les élèves sont capables
discriminer
déduire
comparer
associer
classer
anticiper
réorganiser
hiérarchiser
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classe
écrire
verre
chaud
manger
bol
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•   Le système scolaire apparaît fait pour les
  bons élèves et même pour les professeurs, il
  n est pas suffisamment souple pour s adapter à
  tous les enfants l application de la pédagogie
  différenciée se heurte à de grandes difficultés
  avec des classes trop chargées, l enseignant ne
  peut donner à tous les mêmes chances de
  réussite. 
• Synthèse du débat sur l école Chapitre 6 les
  contributions individuelles.
• La différenciation c est la  diversification
  des supports et des modes d apprentissage pour
  un groupe d apprenants aux besoins hétérogènes
  mais aux objectifs communs. La différenciation
  est un moyen, non une finalité.  
• (Michel Perraudeau)

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Liens Internet
http//www.aideeleves.net
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Bibliographie

• BRIGAUDIOT Mireille Première maîtrise de
  l écrit, CP,CE1 et secteur spécialisé. Hachette
  éducation.
• CABRERA A, KURZ M . Lecture apprentissage. Cycle
  2 Bordas pédagogie. 2001.
• CHAUVEAU G REMOND M, ROGOVAS-CHAUVEAU E (Eds)
  (93) L'enfant apprenti lecteur. Paris . INRP.
  L'Harmattan .
• CHAUVEAU Gérard (Dir.)Comprendre l apprenti
  lecteur. Recherches actuelles en psychologie de
  l'écrit. RETZ. 2001.
• FIJALKOW J. "Entrer dans l'écrit" Magnard (1996)
• GOLDER C et GAONAC'H D. Lire et comprendre.
  Psychologie de la lecture. Hachette éducation.
  1998.
• OUZOULIAS A. L'apprenti lecteur en difficulté.
  RETZ. 1997.
• RIEBEN L, PERFETTI C . L'apprenti lecteur.
  Neuchâtel.Delachaux et Niestlé, coll. " Textes de
  base en psychologie "