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Q = mesurer ce qui sort du bassin sous forme liquide. P = mesurer ce qui entre sous forme ... E = mesurer ce qui sort sous forme gazeuse. Sur une ann e hydrologique ... – PowerPoint PPT presentation

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1
Introduction Si on revient à lexpression
simplifiée du bilan hydrologique QP-E/-
DR Pour connaître le bilan il faut évaluer Q
mesurer ce qui sort du bassin sous forme
liquide P mesurer ce qui entre sous forme
liquide ou solide E mesurer ce qui sort sous
forme gazeuse Sur une année hydrologique on
considère que DR0
2
Introduction Phase dacquisition des données gt
phase capitale dont la qualité conditionne la
réalisation du bilan et lensemble des calculs
qui en dépendent (ingénieurs,). Lorganisation
du système de mesure doit être adaptée aux
objectifs de létude en terme déchelle spatiale
(notion de maillage) et déchelle temporelle
(notion de pas de temps déchantillonnage. Dans
certains cas, possibilité de suppléer la lacune
de mesure par des  proxis  mais  une mauvaise
mesure vaut mieux quune bonne approximation 
3
Introduction 1- Mesurer les entrées dans le
bassin la mesure des précipitations 2- Mesurer
les sorties liquides du bassin lhydrométrie
des cours deau 3- Mesurer les sorties
atmosphériques la mesure de lévaporation 4-
Contrôler la qualité des données
4
1- Mesurer les entrées dans le bassin la mesure
des précipitations Étape capitale dans les
études hydrologiques Elle doit intégrer non
seulement un aspect quantitatif (combien ?) mais
également un aspect qualitatif (quel type de
précipitations ?) Les précipitations se mesure en
mm/m2, ce qui équivaut à des l/m2. Ainsi 1mm/m2
1l/m2 0,001m3/m2
5
1- Mesurer les entrées dans le bassin la mesure
des précipitations Les précipitations sont
variables dans le temps à différents pas de
mesure
Normale pluviométrique Écart à la normale et
notion de variabilité inter-annuelle Stationnarité
et évolution du climat
6
  • 1-1 Mesurer les précipitations
  • La mesure des précipitations est généralement une
    opération ponctuelle qui pose deux problèmes
  • La mesure effectuée est-elle correcte ?
  • Quelle est la représentativité de cette mesure ?

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Que mesure-t-on ? On définit le volume de
précipitation en un point comme  lépaisseur
deau captée suivant la verticale de la lame
deau qui saccumulerait sur une surface
horizontale si toutes les précipitations reçues y
étaient immobilisées 
Installation dun pluviomètre
8
Que mesure-t-on ? Cependant, la hauteur à
laquelle est effectuée la mesure influence la
hauteur deau captée
1 en moins !!!
Écart entre mesure au sol et à 1,5 m 1
9
Que mesure-t-on ? Tous les instruments perturbent
/- la captation (turbulences) Mais sajoutent
à cette erreur  normale  On considère quune
erreur de 1/ horizontale induit une différence
de captation de 1 environs.
Installation dun pluviomètre
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Que mesure-t-on ? La lecture sur des pluviomètres
normalisés (Modèle SPIAE MN en France) permet
dhomogénéiser les mesures
Surface de 400 cm2
Hauteur 1,5 m
4 fois la hauteur de lobstacle le plus proche
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  • Que mesure-t-on ?
  • En fait il existe deux approches différentes
  • météorologique (P à 1,5 m au-dessus du sol)
  • Hydrologique (P qui arrivent réellement au sol)
  • Dans certains cas, la différences entre les deux
    peut atteindre 15 doù lutilité de
    dispositifs enterrés.

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  • Que mesure-t-on ?
  • Difficulté de trouver des sites à instrumenter
  • minimum de perturbations aérodynamiques
  • représentativité de lespace local
  • minimum de transformations des paysages
    (problèmes liés à la croissance urbaine ou à la
    végétation)
  • Enfin, la mesure pluviométrique est unique et ne
    peut-être répétée. Au mieux, on peut doubler la
    mesure
  • Toute défaillance entraîne la perte des données.

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  • Les données brutes
  • Suivant le type de matériel 2 types de données
  • Pluviomètre à lecture directe 2 valeur
    quotidiennes de précipitations (6h et 18h GMT).
  • Pluviographe enregistreur enregistrement en
    continue des précipitations. Ce type dappareil
    est donc indispensable pour un travail sur les
    intensités pluviales par exemple.

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Les données brutes Lecture du pluviogramme
Temps
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  • Transformation du pluviogramme en hyétogramme
  • 2 techniques
  • Dépouillement à pas de temps constant (0,25 à 1
    heure). Permet détudier la structure de
    lépisode pluvieux
  • Dépouillement à pas de temps variable en
    recherchant les ruptures de seuils dintensité
    pluviale.

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Spatialiser linformation pluviométrique Il
existe en France un réseau de 3500 pluviomètres
et pluviographes gérés par Météo-France, soit une
densité moyenne de 1/160 km2 !!! Quelle est la
représentativité des données à cette maille ???
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Spatialiser linformation pluviométrique Aujourdh
ui possibilité dimager lintensité du champ
pluviométrique par satellites radar
Cependant, il faut caler lintensité de lécho
sur une données pluvio au sol
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  • Spatialiser linformation pluviométrique
  • Aussi, il est toujours le plus souvent nécessaire
    de réaliser une spatialisation de linformation
    ponctuelle. En fait, il existe deux types de
    techniques très différentes
  • méthodes de généralisation polygones de
    Thiessen
  • méthodes de spatialisation isohyètes
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