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Le monde de l

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Title: Le monde de l


1
Le monde de l entreprise
  • De Taylor au Knowledge Management (en passant par
    la Gestion des Compétences)

2
Le monde de lEntreprise quelques généralités
Des observations possibles sous langle
  • -Technologique,
  • Économique, financier
  • Juridique,
  • Sociologique,
  • Psychologique
  • Organisationnel,
  • Managérial,
  • Médical,

une pluralité nécessaire de regards croisés sur
un objet complexe !
3
Evolution de lentreprise
  • Evolution technique
  • Evolution de lorganisation
  • Evolution du management
  • Evolution de la gestion des ressources humaines

4
L entreprise mise en perspective historique
  • Du biface
  • Premiers outils de percussion pure
  • Paléolithique ancien (-2,5 Millions d années)
  • Homo Habilis
  • Outils coupants taillés (bifaces)
  • Paléolithique supérieur (-40 000 ans)
  • Homo néanderthalensis/Homo sapiens
  • à L Internet à haut débit

5
L entreprise quelques repères historiques
J.C.
XIXè
XVIIè
XVIè
XVè
XI-XIIIè
XVIIIè
t
Copernic De Vinci
Versailles La vapeur
La roue (-3500)
Les cathédrales
Galilée Vauban Descartes Pascal
Métallurgie
Locomotive à vapeur Le télégraphe L automobile Le
train Le phonographe L électricité La
photographie Le téléphone
Les pyramides (-5000)
L imprimerie
Cadran solaire Papyrus (-1500)
6
L entreprise quelques repères historiques
40h, conventions collectives, 2 semaines de
congés payés (1936)
1900
2000
39h (1982)
Mai 68 Chocs pétroliers (1974/76)
35h (2000)
Fin de la guerre d Algérie (1962)
2ème guerre
1ère guerre
Lampe élect. Edison (1878)
t
Transistor (1948)
C.D. (1979)
Téléphone portable Satellite CDRom DVD Internet In
tranet Robotique
F.W Taylor OST (1900)
EDF (1946)
P.C. (1973)
AFPA (1945)
µ processeur (1971)
Automatisme (1980)
7
Une première rupture la révolution industrielle
  • Dun groupement de d  Hommes de métier 
  • une logique de métier
  • modèle de l artisan
  • savoir-faire acquis par expérience et
    compagnonnage
  • qualification reconnue, forte identité
    professionnelle
  • stabilité de l emploi, carrière linéaire
  • à une Organisation Scientifique du Travail
  • une logique de poste
  • décomposition en tâches simples
  • travail standardisé, répétitif, peu qualifié, peu
    reconnu
  • standardisation des procédures, des gammes
  •  lhomme bras 

8
L apogée du modèle industriel les 30 glorieuses
  • Le modèle industriel se généralise
  • les 2 guerres mondiales
  • la reconstruction de la France (création de
    l AFPA)
  • les 30 glorieuses (45-75)
  • croissance et plein emploi
  • appel à l immigration
  • exode rural
  • stabilité des parcours, des qualifications

9
La deuxième rupture
  • Événements de Mai 68
  • remise en cause du modèle social
  • 1er et 2ème choc pétrolier
  • remise en cause du modèle économique
  • Début des années 80 la recherche de productivité
  • récession économique ( chasse au gaspi )
  • montée du chômage
  • appel aux nouvelles technologies (automatisme)
  • inadéquation des qualifications et des
    savoir-faire existants
  • inadéquation du style de management
  • évolution des organisations

10
Troisième rupture
  • Les années 90
  • Crise économique
  • Multiplication des plans sociaux, réorganisations
  • Explosion du chômage
  • Chômage des jeunes
  • Baisse des recrutements
  •  employabilité 
  • Mutation technologique
  • Informatique, micro-informatique
  • Systèmes experts
  • Émergence de nouveaux métiers

11
Quatrième rupture
  • Les années 2000
  • Mutation technologique
  • Internet
  • Intranet
  • Mutation économique
  • Mondialisation
  • Mutation sociale
  • Démographie

12
L entreprise sous langle de lorganisation
  • L entreprise est vue comme une organisation
  • une  action organisée , en fonction d un ou de
    plusieurs buts, en fonction d un contexte
    évolutif,
  • dont certaines caractéristiques sont
    déterminantes
  • la taille de l organisation,
  • les buts de l organisation,
  • les frontières de l organisation,
  • l environnement
  • Une  organisation  suppose un certain degré de
    structuration de l action organisée
  • une certaine division/répartition des tâches
  • une certaine hiérarchie, un contrôle social, ou
    centre de décision
  • des règles officielles ou procédures (plus ou
    moins formalisées, plus ou moins explicites)
  • une relative stabilité

13
Lorganisation, une préoccupation ancienne
14
La notion d   organisation 
  • Elle s inscrit dans un contexte socio-économique
  • fin du XIXème, début du XXème
  • Révolution Industrielle (la voiture/Ford)
  • Consommation de masse
  • Exode rural
  • L origine se situe au début du XXème siècle
  • F.W. Taylor (1902/1911) l OST,
  • H. Fayol (1916),
  • J. Burham (1939)  l ère des organisateurs 
  • J. K. Galbraith (1967) la technostructure,
  • Elle marque l intérêt pour
  • l analyse des modes fonctionnement des ensembles
    organisés, de leur efficacité,
  • la recherche de principes communs (postulat)

15
L organisation les travaux fondateurs
  • La notion d  organisation se fonde sur les
    travaux de F. W. Taylor (OST), le but est de
  • créer une science du travail et de
    l organisation
  • rompre avec les méthodes empiriques
  • adopter une approche scientifique
  • étude systématique des postes et des tâches,
  • sélection rigoureuse des salariés/tâches,
  • services spécialisés (bureau des méthodes),
  • la  meilleure méthode 
  • aboutir à une philosophie des relations sociales
    (harmonie sociale basée sur le rendement)

16
Analyse de l organisation
  • Analyser l organisation, c est en comprendre le
    fonctionnement, la structuration et
    l articulation des composantes
  • liaisons hiérarchiques, stratégie, contrôle,
  • activités, tâches, moyens,
  • coordination des tâches et des moyens,
  • L organigramme est le moyen utilisé pour
    représenter l organisation

17
L organigramme
  • Il présente la structure formelle de division des
    activités
  • structure par fonctions
  • structure par divisions
  • famille de produits
  • marchés ou clientèles
  • domaine d activité stratégique (strategic
    bisiness unit)
  • structure par projet ou programme
  • structure matricielle

18
Structure fonctionnelle (F.W. Taylor)
- Spécialisation autorité et compétence
associées - Responsabilités diminuées
difficulté de coordination, de communication
19
Structure fonctionnelle pyramidale (H. Fayol)
- Unité de commandement, autorité et pouvoir
formel, découpage des responsabilités par
fonction, unité de production, zone géographique
ou produit, liaison hiérarchique - Encadrement
généraliste, rigidité, déviation bureaucratique,
difficulté de communication interservice
20
Structure  Staff and Line  ou organisation
hiérarchique fonctionnelle (A.P. Sloan)
Staff (Etat major)
Conseil en stratégie Contrôle de gestion Conseil
en mercatique Service de planification
Line (ligne hiérarchique)
- Compromis entre structure fonctionnelle et
hiérarchique, découpage par produit, autorité
partagée entre chefs opérationnels (line) et
fonctionnels (staff), résolution du pb de
compétences et de coordination, répartition du
court terme (opérationnel) et du long terme
(fonctionnel). - Risque de conflit
opérationnel/fonctionnel, distinction difficile
entre autorité/pouvoir légal et autorité de
compétence, notamment dans la prise de décision.
21
Structure par division (M. Kalika)
- Répartition en unités autonomes, produits,
clientèles, zones géographiques, décentralisation
totale ou partielle, responsabilisation
croissante des divisions - Quelques fois
préparent la cession ou la fusion, organisation
peut être coûteuse (moyens communs double
emploi), esprit de clocher, mobilité difficile,
innovation?
22
Structure matricielle (M. Kalika)
- Combinaison deux modes (fonction/produit,
produit/zone géographique ...), d où deux
hiérarchies. Approche pluri-produits,
rapidité/environnement mouvant, innovation
(technologie avancée), bon climat, moins de
cloisonnement, utilisation des compétences -
Coûteuses en communication, en négociations,
recherche d équilibre de pouvoir, pression sur
les individus
23
Structure par projet ou programme
  • Organisation liée à un projet, une réalisation
  • adaptée aux activités discontinues
  • un projet avec un début et une fin
  • coordination des différents intervenants du
    projet
  • approche multidimensionnelle du projet
  • La nécessaire la coordination (Chef de projet)
  • méthodes (Gestion de projet, Pert, Gantt,
    résolution de problèmes)
  • gestion de la communication, des conflits,
    responsabilité-autorité

24
Les configurations structurelles (H. Mintzberg)
  • Toute structure a 5 éléments de base
  • Centre opérationnel (opérateurs, production)
  • Sommet stratégique (objectifs, décision,
    orientation)
  • Ligne hiérarchique (relais entre sommet
    stratégique et opérationnel)
  • Technostructure (experts, planification,
    procédés, qualification, contrôle)
  • Personnel de Support logistique (services
    indirects)

25
Les 5 éléments de base d une structure (H.
Mintzberg)
26
Les mécanismes de coordination (H. Mintzberg)
  • Les structures et leurs modes de coordination
  • ajustement mutuel
  • supervision directe
  • standardisation des procédés de travail
  • standardisation des résultats (outputs)
  • standardisation des qualifications
  • standardisations des normes

27
Les facteurs de contingence (H. Mintzberg)
  • Mintzberg propose 4 paramètres de conception
  • La conception des postes de travail
  • La conception de la superstructure
  • La conception des liens latéraux
  • La conception du système de prise de décision
  • Et 5 facteurs de contingence,
  • Lâge de lorganisation
  • La taille de lorganisation
  • Le système technique
  • Lenvironnement (dynamique, stable,
    hostile,simple, complexe)
  • Le pouvoir (contrôle externe et besoin des
    membres)
  • Ces facteurs sont interdépendants, leur
    combinaison détermine le choix de la
    configuration de la structure

28
Les 5 configurations de H. Mitzberg
Structure simple
Bureaucratie mécaniste
Bureaucratie professionnelle
Forme divisionnalisée
Adhocratie (ou innovatrice)
29
Les 5 configurations de H. Mitzberg
  • Structure simple
  • supervision directe par le dirigeant (sommet
    stratégique), centralisation
  • stratégie émergeante
  • organisation jeune de petite taille
  • adaptable mais vulnérable

30
Les 5 configurations de H. Mitzberg
  • Bureaucratie mécaniste
  • standardisation des procédés, des règles,
    procédures, communications
  • importance de la techno-structure
  • tâches répétitives et spécialisées
  • structure âgée et de grande taille, environnement
    stable
  • décision centralisée, distinction
    hiérarchique/fonctionnel

31
Les 5 configurations de H. Mitzberg
  • Bureaucratie professionnelle
  • standardisation des qualifications, compétence,
    formation, socialisation des normes
  • importance du centre opérationnel (spécialistes,
    ajustement mutuel)
  • environnement complexe et stable, technique
  • innovation et adaptation lentes

32
Les 5 configurations de H. Mitzberg
  • Forme divisionnalisée
  • unités autonomes / produits ou /zones
    géographiques
  • délégation de pouvoirs à chaque division,
  • standardisation des résultats
  • importance de la ligne hiérarchique (pouvoir)
  • organisation âgée, de grande taille, marchés
    diversifiés

33
Les 5 configurations de H. Mitzberg
  • Adhocratie (ou innovatrice)
  • configuration complexe et non normalisée
  • pouvoir passe d un individu à l autre
  • ajustement mutuel, intéractions d experts
  • importance du support logistique et centre
    opérationnel
  • organisation jeune, environnement complexe et
    dynamique, technologie de pointe
  • communications informelles

34
2 configurations complémentaires (H. Mintzberg)
  • L organisation  missionnaire 
  • centrée sur l idéologie de l entreprise
  • standardisation de normes
  •  on tire tous dans le même sens 
  • L organisation  politique 
  • centrée sur les conflits de pouvoir
  • vernis sur les autres configurations
  • ou configuration en elle-même

35
Lorganisation comme une mécanique
36
Lentreprise comme un computeur (cerveau
cybernétique)
37
Lentreprise comme un organisme vivant

BW




38
Les 7  images  de l organisation (G. Morgan)
  • Morgan propose une synthèse des nombreuses
    représentations de l organisation vue comme
  • une Machine (métaphore mécanique)
  • un Organisme vivant (biologique)
  • un Cerveau (biologique cybernétique)
  • une Culture (anthropologique)
  • un Système politique (politique/cité)
  • une  Prison mentale  (psychologique)
  • un Instrument de domination (politique)

39
L analyse systémique (Mac Kinsey)
40
Organisations dynamiques en mutation
Intégration croissante des sphères
 Stratégie - GRH - Formation  (J. Mallet /
E. Laszlo)
Technologie Concurrence
S
G
F
Temps
41
Les années 80, de nouvelles approches RH et
managériales
  • De nouvelles méthodes apparaissent
  • introduction de l automatisation, de
    linformatisation
  • nouvelles organisations (division)
  • management participatif ( il faut remotiver )
  • Qualité
  • maintenance préventive, Amdec
  • Gestion Prévisionnelle des Emplois (GPE)
  • Appropriation de la formation professionnelle
  • formation massive aux nouvelles techniques,
     requalification 
  • augmentation massive des budgets de formation

42
Le Management, quest-ce que cest ?
  • Étymologie origine latine, puis italienne
    maneggiare qui renvoie à lidée de  manège ,
    (en équitation entraînement, dressage des
    chevaux),
  • En Anglais to manage conduire, diriger,
    entraîner, soccuper de
  • Le management désigne à la fois  lart de
    diriger ,  lensemble des méthodes
    dorganisation efficaces et de gestion
    relationnelle  et  lensemble des personnes
    chargées dadministrer, organiser, diriger
    lentreprise ou linstitution .
  • Le management est une praxéologie
  • Articulation de théorie (logos) et pratique
    (praxis),
  • Etude critique des pratiques/amélioration de
    laction
  • Laboratoire dAnalyse et de Traitement
    Informatique de la Langue Française

43
Des termes associés
  • Management stratégique
  • Orientation, stratégie, objectifs de lentreprise
  • Structure organisationnelle
  • Contrôle et pilotage des résultats
  • Long terme
  • Management opérationnel
  • Efficacité de léquipe, du service
  • Organisation (répartition) du travail
  • Cohérence avec le management stratégique
  • Court et moyen terme

44
Des termes associés
  • Management de projet,
  • Management de la qualité,
  • Management des connaissances,
  • Management des compétences,
  • Management des ventes
  • Des styles de management
  • (paternaliste, participatif, par projet)

45
Le management les travaux fondateurs
  • Analyse des mutations des sociétés européennes et
    des fondements de l autorité (Max Weber 1900)
  • type  traditionnel   le chef n est pas un
    supérieur mais un seigneur ,
  • type  charismatique  soumission à une personne
    dont la valeur est  exceptionnelle ,
  • la bureaucratie idéal-type, nouvelle légitimité
    apparaissant, basée sur la  raison , règles
    acceptées, le management devient  lart
    dadministrer les choses 
  • Ces travaux fondent la sociologie des
    organisations (Crozier, Bernoux, Sainsaulieu)

46
Evolution des conceptions de lhomme au travail
  • Une évolution en 5 conceptions (M. Crozier)
  • Lhomme bras (Taylor) force physique, la
    carotte et le bâton,
  • Lhomme cœur force physique et besoin de
    relations,
  • Lhomme tête planifie, calcule, anticipe,
  • Lhomme culture (actuelle) valeurs communes ou
    différentes de celles de lentreprise ou lhomme
    projet,
  • Lhomme énergie (aujourdhui et demain),
    dynamique de progrès,

47
Le facteur humain
  • Des travaux marquants
  • La productivité dun groupe (E. Mayo, 1930)
  • La dynamique des groupes (K. Lewin, 1940)
  • La théorie X et la théorie Y (D. Mac Grégor,
    1960)
  • La sociologie des organisations (M. Crozier E.
    Freidberg,
  • R. Sainsaulieu, P. Bernoux)

48
LEcole des Relations Humaines
  • Travaux marquants
  • Elton Mayo Observation de la Western Electric
    Compagnie Hawthorne
  • Leffet  Hawthorne  lintérêt manifesté par
    la direction sur les individus (observation) agit
    sur la productivité parallèlement un contrôle
    social du groupe sur la productivité,
  • Kurt Lewin Etude des petits groupes
  • Les conduites humaines résultent de champs de
    force et -, individuel et propre au groupe
    (sentiment dappartenance, adhésion au but,
    esprit déquipe, attachement aux normes du
    groupe, le changement de normes se fait par
    lintérieur du groupe), état quasi-stationnaire,
    résistance au changement
  • Doù lintérêt pour la dynamique des groupes

49
La sociologie des organisations
  • L analyse stratégique (Crozier et Freidberg)
    lecture  politique  de l organisation
  • la notion  d acteur 
  • les jeux de pouvoir, les alliances, coalitions,
    conflits
  • Le système daction concret,
  • les  zones d incertitude 
  • la culture (dentreprise, de service, datelier)
  • l identité professionnelle
  • règles de contrôle (d en haut)/règles autonomes
    (d en bas)

50
Les théories X et Y de D. Mc. Gregor
  • Pour Mc Gregor, le style de management peut se
    développer suivant 2 axes
  • La théorie X Le management essentiellement
    centré sur la production, la répartition des
    tâches (OST), lefficacité, le rendement. Lhomme
    a une aversion innée pour le travail, le style de
    management est directif contraindre, diriger,
    contrôler par lexercice de lautorité ( carotte
    et bâton ).
  • Coût social élevé, manque dintérêt des
    travailleurs (conflits, absentéisme, turn over)

51
Les théories X et Y de D. Mc. Gregor
  • La théorie Y Le management cherche à développer
    simultanément lhomme et lorganisation. LHomme,
    na pas daversion innée pour le travail. Il peut
    accepter voire rechercher des responsabilités, il
    peut se contrôler. Le style de management est
    alors démocratique, délégatif, participatif
    solliciter limagination, la créativité, le
    potentiel intellectuel, il suppose la confiance,
    la responsabilisation et la participation.
  • Peut apparaître utopique, risque de  raté  lors
    de délégations hors champ de compétence.

52
Styles de management des typologies
  • K. Lewin styles  démocratique ,
     laisser-faire .
  • Blake et Mouton styles  productif ,
     affectif ,
  •  médiateur ,  démissionnaire ,
     entraîneur .
  • Mucchielli système de management  affectif ,
     de lautruche ,  gâteau ,  par la
    sélection 
  • Chacun des styles articule tâche et relation, il
    est à considérer les système de relation
    manager/managé (s), avec les postures, les effets
    induits, les conduites réactionnelles

53
Styles Centration sur la tâche/les relations
Efficacité (Tâche)
Autoritaire la carotte et le bâton
Idéal (utopie)
Démagogique
Laisser faire
Gestion des ressources humaines
54
Le Management Situationnel (Hersey et Blanchard)
  • Remise en cause du principe d'un style de
    leadership idéal.
  • Un manager doit s'adapter aux différentes
    situations qui instituent son quotidien. Il devra
    prendre en compte le moment, la tâche et le degré
    de maturité de son ou ses collaborateurs pour
    adopter le style de management adéquat.
  • La maturité des collaborateurs compétence et
    motivation
  • La maturité d'une équipe ou d'une personne est sa
    capacité à fonctionner de façon autonome et à
    prendre des responsabilités. Cette capacité se
    mesure à partir de deux critères
  • La compétence maturité vis-à-vis de la tâche
    c'est-à-dire l'expérience, la formation, la
    confiance en soi vis-à-vis du travail à fournir.
  • La motivation maturité psychologique, à savoir
    la volonté, le désir d'accomplissement personnel,
    de réaliser le travail, de se sentir concerné et
    d'avoir confiance dans les buts poursuivis.
  • Compétence et motivation sont à considérer
    uniquement en relation avec une tâche, une
    fonction ou un objectif spécifique, mais pas de
    façon générale.

55
L autonomie
  •  autos   soi-même et  nomos  loi, norme
  • Définitions
  • Dans labsolu capacité à se fixer ses propres
    lois, normes
  • Dans le langage courant capacité à gérer des
    contraintes
  • Dans le monde du travail capacité à agir dans
    son activité professionnelle, dans son contexte
    professionnel, en relative indépendance.
  • On parle aussi de  maturité professionnelle 
    qui dépend de
  • La  Compétence  et la  Motivation 

56
Les niveaux dautonomie (de maturité)
Compétence
Motivation
La combinaison qui réunit compétence et
motivation dans le cadre dune situation donnée
produit 4 niveaux dautonomie
57
Les styles de leadership et les niveaux
dautonomie
  • 3
  • Style négociatif
  • Négociation
  • Mobilisation
  • Conviction
  • 2
  • Style explicatif
  • Formation
  • Conseil
  • Assistance

2 Ne sait pas Veut bien
3 Sait Veut sous conditions
1 Ne sait pas Ne veut pas
4 Sait Veut bien
  • 1
  • Style directif
  • Organisation
  • Instruction
  • Contrôle
  • 4
  • Style délégatif
  • Responsabilisation
  • Délégation

58
Les activités du Manager
  • Le manager est le garant
  • De latteinte des objectifs (production,
    productivité)
  • Du respect des règles, normes, obligations
    (sécurité, qualité, règlements)
  • Structure organisationnelle
  • Il se préoccupe des personnes
  • individuel compétences, motivation, évolution
  • collectif cohésion, intégration, conflits,
    crises, répartition des tâches
  • Vision prospectiviste
  • Évolution de la structure, de léquipe, des
    individus
  • Accompagnement du changement
  • Doù la nécessité de regarder laspect GRH

59
Evolution des approches RH
  • Taylor, le 1ère rupture de lHomme de métier à
    lHomme bras
  • Les années 80, la 2ème rupture de la logique de
    poste à la logique demploi (GPEC)
  • De lhomme de métier au professionnel
  • caractérisé par des compétences requises et
    reconnues
  • des parcours de re qualification

60
Évolution de la FPC année 2003 (TPF, Taux
d accès, Durée moyenne)
61
Evolution du T.P.F. / taille dentreprise (année
2003)
62
La Compétence
  • Un concept flou, une pluralité de définitions
  • G. Le Boterf, F. Minet, P. Zarifian, P. Mérieu,
    DHainaut, D.Jedlicza et G. Delahaye
  • De manière générique, une compétence est une
    capacité à mobiliser des ressources internes
    (savoir, savoir-faire et savoir-être) et
    externes dans une situation professionnelle,
    permettant datteindre un résultat attendu, une
    performance escomptée,
  • Des typologies de savoirs multiples
  • La plus connue  savoir, savoir-faire,
    savoir-être 
  • d autres typologies
  • savoirs théoriques, savoirs procéduraux
  • savoirs-faire procéduraux, savoirs-faire tacites,
  • savoir-faire sociaux

63
La compétence
Lactivité
Les capacités Les ressources
63
64
Approche compétences/activités
Activités Mobilisation Intégration
  • Connaissances déclaratives
  • Savoirs
  • Connaissances procédurales
  • Savoir-faire

Situations
  • Savoir-être
  • Attitudes
  • on décrit les compétences à partir des activités
    (inventaire, description, référentialisation),
  • on évalue les compétences par les activités
    (évaluation)

65
Les étapes de lingénierie pédagogique
Profil de compétences
Référentiel compétences
Niveaux de compétences
66
Le référentiel Naphtachimie
  • 1 Un référentiel "emplois-types" avec
    définition des missions
  • 2 Un référentiel compétences 
  • 21 Compétences "techniques"
  • 7 Compétences (capacités) comportementales
  • avec, pour chacune, la définition de 4 niveaux
  • 3 La mise en adéquation "emplois types" et
    niveaux de compétences
  • Des Profils de compétences par filière

67
Le référentiel de compétence
  • Le référentiel de compétences
  • Définit les notions
  • Compétence, niveau, profil,
  • Choisit les domaines
  • Ex technique, managérial, comportemental
  • Détermine les niveaux de compétences
  • Détermine les fonctions et les profils de
    compétences qui sy rattachent
  • Le référentiel compétences définit le cadre
  • De lévolution des fonctions dans lentreprise
  • Des actions pour adapter les compétences aux
    ressources humaines

68
La compétence
  • Un ensemble de
  • Savoirs
  • Ensemble de connaissances théoriques ou pratiques
    d'une matière ou d'une chose.
  • Savoir-Faire
  • Mise en pratique d'un savoir théorique ou
    procédural, les méthodes, les techniques, les
    gestes, les modes opératoires pratiques, les
    astuces.
  • Savoir-Etre / comportements
  • Façon de réagir, attitudes, comportements,
    qualités psychologiques et de personnalité qui ne
    relèvent pas directement d'un apprentissage.
  • mobilisé et validé en situation de travail

69
La compétence
  • Un ensemble de savoirs, de savoir-faire et de
    comportements, structuré et mobilisé en fonction
    dobjectifs dans des situations de travail
  • La compétence évolue au sein dun processus
    dynamique
  • Cet ensemble doit être validé, ce qui suppose un
    référentiel et une démarche dévaluation
  • La compétence se définit par rapport à lactivité
  • Les activités entraînent la maîtrise de certaines
    capacités acquises au cours des formations
  • Les activités nécessitent les compétences
    techniques mais aussi des dimensions cognitives
    et comportementales

70
Les domaines de compétences
  • Technique
  • Savoirs, savoir-faire et comportements liés à une
    technique
  • Relationnel
  • Savoirs, savoir-faire et comportements liés aux
    inter-relations, communication, négociation
  • Organisation Méthode
  • Savoirs, savoir-faire et comportements liés aux
    respect des règles, au contrôle
  • Management - Stratégie
  • Savoirs, savoir-faire et comportements liés à la
    prise de décision, la responsabilité

71
Taxonomie de Bloom
  • Est une taxonomie des objectifs pédagogiques sur
    le plan cognitif.
  • II s'agit d'une hiérarchie d'objectifs de
    comportements pouvant se manifester dans une
    situation d'apprentissage ou une situation
    d'examen.
  • Cette taxonomie englobe les objectifs qui
    traitent du rappel des connaissances
    (remémoration) et du développement des habiletés
    et des capacités intellectuelles.

72
Taxonomie de Bloom
  • Connaissance
  • être capable de mémoriser des connaissances
    simples théoriques et/ou pratiques.
  • Compréhension
  • être capable d'imiter, dinterpréter, de
    transposer, de donner un sens
  • Application
  • être capable dutiliser, appliquer des
    procédures, des règles
  • Analyse
  • être capable danalyser, de décomposer,
    d'expliquer et de distinguer des cas
    particuliers.
  • Synthèse
  • être capable d avoir une vue globale du
    domaine, pour générer de nouvelles idées.
  • Évaluation
  • Etre capable d'expertiser, de juger selon des
    critères, pour faire évoluer.

73
Taxonomie de Bloom les catégories
  • Connaissance
  • La connaissance implique le rappel des faits
    particuliers au généraux, des processus ou des
    méthodes, des structures ou des modes. Cette
    catégorie décrit les activités qui concernent la
    mémoire simple au le rappel.
  • Compréhension
  • La compréhension constitue le niveau le plus
    élémentaire de 'entendement intellectuel. A ce
    niveau, lapprenant connaît l'information qui lui
    est communiquée mais il n'est pas nécessairement
    capable d'établir de liens entre celle-ci et
    d'autres informations, au encore d'en saisir
    toutes les implications. Cette catégorie est
    subdivisée en transposition, interprétation et
    extrapolation.
  • Application
  • L'application concerne l'utilisation de données
    abstraites dans des situations particulières et
    concrètes. Ces données abstraites peuvent être
    des idées générales, des règles de procédure au
    encore des méthodes courantes elles peuvent
    également être des principes, des théories à
    mémoriser au a appliquer.

74
Taxonomie de Bloom les catégories
  • Analyse
  • L'analyse suppose la capacité de séparer en ses
    parties composantes une communication dans le but
    de rendre ses relations entre les idées et (ou)
    le lien hiérarchique entre ces idées plus clairs.
    Cette catégorie se subdivise en analyse des
    éléments, analyse des relations et analyse des
    principes d'organisation.
  • Synthèse
  • La synthèse consiste à rassembler des éléments ou
    des parties dans le but de former un tout. Cette
    capacité suppose l'utilisation et la combinaison
    des fragments, des éléments, des parties pour
    former un plan cohérent ou une structure
    organisée qui n'existait pas auparavant. Cette
    catégorie se subdivise en production d'une oeuvre
    personnelle, élaboration d'un plan d'action et
    dérivation d'un ensemble de relations abstraites.
  • Évaluation
  • L'évaluation implique la formulation de jugements
    sur la valeur des méthodes et du matériel
    utilisés dans un but précis. Des jugements
    qualitatifs et quantitatifs sont formulés quant à
    l'adéquation entre des phénomènes et un ensemble
    de critères. Les critères peuvent provenir de
    lapprenant ou lui être suggérés.

75
Taxonomie de Bloom domaine cognitif
Connaître Comprendre Appliquer Analyser Synthétiser Evaluer
Capacité attendue Etre capable De se remémorer , de se souvenir de données de faits appropriées De saisir le sens littéral dune communication, dexprimer avec ses propres mots ce quon sait Dutiliser des idées , des principes, des théories dans des situations particulières et concrètes De décomposer un tout en ses parties et détudier les rapports que ces parties ont entre eux Fusionner les parties ou les éléments dun tout. Cest le niveau qui fait appel à le créativité, générer de nouvelles idées de façon de faire De juger de la valeur dune idée, dune méthode , dune technique, etc. à laide de critères appropriés
Habiletés au niveau requis La mémoire La connaissance La compréhension, la connaissance, Lapplication, La compréhension, la connaissance Lanalyse, Lapplication, La compréhension, la connaissance La synthèse Lanalyse, Lapplication, La compréhension, la connaissance

Verbes daction Répéter, mémoriser, définir , écrire, rappeler, énumérer, lister, nommer, identifier, Discuter, reformuler, traduire, décrire, reconnaître, expliquer, situer Utiliser, employer, développer, traduire, interpréter, appliquer, interpréter, illustrer Différencier, trouver, analyser, explorer, comparer, déduire, examiner, catégoriser Planifier, proposer, désigner, formuler, produire, réaliser, intégrer, reconstruire, intégrer, réorganiser Juger (à laide de critères), estimer, évaluer, composer, apprécier, expertiser Argumenter, justifier
76
LISTE DES VERBES COMPORTEMENTAUX POUR LA
TAXONOMIE COGNITIVE DE BLOOM
Catégories cognitives Verbes comportementaux
1. Connaissance définir, décrire, identifier, désigner, énumérer, assortir, nommer, esquisser, reproduire, choisir, formuler
2. Compréhension couvrir, défendre, distinguer, estimer, expliquer, donner de l'extension, généraliser, donner des exemples, impliquer, paraphraser, prédire, récrire, résumer
3. Application changer, compter, démontrer, découvrir, manipuler, modifier, agir, prédire, préparer, présenter, relater, montrer, résoudre, employer
4. Analyse analyser, faire un diagramme, différencier, discriminer, distinguer, identifier, illustrer, impliquer, esquisser, signaler, relater, choisir, séparer, subdiviser
5. Synthèse ranger par catégories, combiner, composer, créer, concevoir, imaginer, expliquer, produire, modifier, organiser, planifier, remettre en ordre, récrire, résumer, dire, écrire
6. Évaluation apprécier, estimer, comparer, conclure, faire contraster, critiquer, décrire, discriminer, expliquer justifier, interpréter, relater, résumer, soutenir
77
Taxonomie de Krathwol
  • Cest la taxonomie des objectifs pédagogiques,
    sur le plan affectif.
  • Il s'agit d'une hiérarchie d'objectifs mettant
    en relief un sentiment, une émotion ou une idée
    d'acceptation ou de refus.
  • Elle englobe les objectifs décrivant les
    modifications des intérêts, des attitudes, des
    valeurs, ainsi que les progrès dans le jugement
    et la capacité d'adaptation .

78
Taxonomie de Krathwol
  • Réception
  • Concerne la sensibilisation de lapprenant à
    l'existence de certains stimuli et son
    consentement à les recevoir ou à y porter
    attention. Cette catégorie se subdivise en
    conscience, volonté de recevoir et attention
    dirigée ou préférentielle.
  • Réponse
  • Lapprenant s'intéresse aux réponses qui
    dépassent la simple attention portée aux
    phénomènes. À ce niveau, non seulement il est
    prêt à porter attention aux phénomènes mais il
    agit. Cette catégorie se subdivise en
    assentiment, volonté de répondre et satisfaction
    de répondre.
  • Valorisation
  • Un phénomène, une chose, ou un comportement a une
    valeur aux yeux de l'individu. Cette catégorie se
    subdivise en acceptation d'une valeur, préférence
    pour une valeur et engagement.
  • Organisation
  • Lindividu organise l'ensemble des valeurs en un
    système régissant leurs interrelations. Cette
    catégorie se subdivise en conceptualisation d'une
    valeur et organisation d'un système de valeurs.
  • Caractérisation par une valeur ou un système de
    valeurs
  • Ce niveau s'intéresse à l'organisation et à la
    permanence du système de valeurs de l'individu.
    Cette catégorie se subdivise en disposition
    généralisée et caractérisation.

79
LISTE DES VERBES COMPORTEMENTAUX POUR LA
TAXONOMIE AFFECTIVE DE KRATHWOHL
Catégories cognitives Verbes comportementaux
1. Réception demander, choisir, suivre, décrire, donner, soutenir, identifier, assigner, nommer, être dirigé vers, faire choix de, dresser, répliquer, employer
2. Réponse répondre, aider, obéir, se conformer, discuter, accueillir, étiqueter, accomplir, pratiquer, présenter, lire, réciter, rapporter, donner son opinion, choisir, dire, écrire
3. Valorisation compléter, décrire, différencier, expliquer, suivre, former, initier, inviter, s'associer, justifier, proposer, lire, donner son opinion, faire choix de, partager, étudier, faire
4. Organisation adhérer, changer, organiser, combiner, comparer, compléter, dé- fendre, expliquer, généraliser, identifier, intégrer, modifier, demander, ranger, préparer, relater, synthétiser
5. Caractérisation par une valeur ou par un système de valeurs agir, discriminer, montrer, influencer, chercher à entendre, modifier, accomplir, pratiquer, proposer, qualifier, demander, revoir, résoudre, servir, employer, vérifier
80
Taxonomie de Harrow
  • Les mouvements réflexes
  • Dans cette catégorie se retrouvent les réponses
    involontaires à des stimulus. Ces mouvements
    constituent le point de départ des comportements
    moteurs. Cette catégorie se subdivise en réflexes
    segmentaires, réflexes plurisegmentaires réflexes
    suprasegmentaires.
  • Les mouvements fondamentaux
  • On retrouve dans cette catégorie les mouvements
    qui se manifestent durant la première année de la
    vie d'un enfant. Ce sont des mouvements innés,
    c'est-à-dire non appris, et qui viennent des
    mouvements réflexes. Cette catégorie se subdivise
    en mouvements locomoteurs, mouvements non
    locomoteurs et mouvements de manipulation.
  • Les capacités perceptives
  • Cette catégorie inclut des comportements qui se
    développent sous l'effet combiné de la maturation
    et de l'apprentissage. Cette catégorie se
    subdivise en discrimination kinesthésique,
    discrimination visuelle, discrimination auditive,
    discrimination tactile et coordination.
  • Les capacités physiques
  • On retrouve dans cette catégorie les
    caractéristiques fondamentales fonctionnelles qui
    serviront à l'individu dans l'exécution de ses
    habiletés motrices. Cette catégorie se subdivise
    en endurance, force, souplesse et agilité

81
LISTE DES VERBES COMPORTEMENTAUX POUR LE DOMAINE
PSYCHOMOTEUR de HARROW
  • Assembler Attacher Peindre Bâtir
  • Suivre Sabler Calibrer Écraser
  • Scier Changer Serrer Affiler
  • Nettoyer Enfoncer Placer Composer
  • Chauffer Coudre Raccorder Accrocher
  • Esquisser Construire Identifier Commencer
  • Corriger Repérer Remuer Créer
  • Faire Employer Combiner Manipuler
  • Peser Démonter Réparer Envelopper
  • Percer Mélanger Fixer Clouer

82
Les niveaux de compétences Modèle de Dreyfus
  • le novice
  • ne possède pas dexpérience, il a besoin de
    règles formelles générales.
  • le débutant avancé
  • a acquis ces règles et interprète ses premières
    expérimentations
  • la compétence
  • lexpérience acquise amène à articuler des
    ensembles dinformations situationnelles et
    permet les prises de décision, des plans
    daction, les choix qui engagent les résultats de
    son activité, et sont engageants
    émotionnellement.
  • la maîtrise
  • permet la réflexion détachée de laction sans
    effort conscient à partir des nombreuses
    situations vécues et des plans daction menés,
    lévaluation et la combinaison conformément à la
    règle
  • lexpertise
  • la grande expérience des situations vécues permet
    un classement des types de tactiques adoptées et
    réussies, les réponses deviennent immédiates et
    intuitives, quelques fois même sans appréhender
    la signification de la situation.

83
Le profil de compétences
  • Détermine pour chaque fonction
  • Les domaines de compétences
  • La description des compétences
  • Et les niveaux requis pour la fonction
  • Les filières de développement
  • Il permet de
  • Définir les profils pour les recrutements
  • Valider une fonction
  • Préparer les évolutions de carrière

84
Description d un emploi
 Etre capable de 
85
Profils de compétences
Profil de compétences FONCTION
Les emplois -type
Niveaux de compétences requis
Domaines de compétences
86
COMPETENCES TECHNIQUES
A
1
Procédé
11
Analyse industrielle
2
Conduite d installation
12
Informatique industrielle et automatisme
3
Sécurité / réglementaire
13
Logistique-transport-manutention
4
Systèmes de management (Qualité / Environnement,
)
14
Comptabilité contrôle de gestion
5
Instrumentation
15
Achats
6
Electricité
16
Technique de gestion des Ressources humaines
7
Mécanique
17
Bureautique
18
Conduite de projet
8
Entretien général (tuyauterie, calorifugeage, )
19
Législation
9
Chimie
20
Langues étrangères
10
Métallurgie
21
Informatique de gestion / téléphonie
87
COMPORTEMENTS PROFESSIONNELS
C
88
Procédé

89
EXEMPLE OPERATEUR
Lotus notes gt Base RHgtGRH
90
Les ambitions de la G. P. E. C.
  • Pouvoir décrire l emploi
  • en fonction des impératifs et attribution de
    l organisation
  • en termes de compétences requises/attributions
  • Pouvoir adapter l individu
  • aux compétences requises/attributions
  • à partir des compétences actuelles (mesure des
    écarts)
  • Pouvoir anticiper les évolutions futures
    prévisibles
  • description des compétences qui seront requises
  • planifier l évolution quantitative et
    qualitative des emplois
  • accompagner l évolution des compétences
  • Pouvoir évaluer, vérifier, contrôler, adapter,
    ajuster

91
Le Référentiel compétence
Référentiel
Famille 1 ou  Emploi-type  - Compétences
génériques - Compétences spécifiques
Emploi 1
Emploi 2
Emploi N
92
La GPEC Projections, prévision, anticipation,
Année N ?
Besoins prévisibles quantitatifs, qualitatifs
Année N
Identification d écarts - quantité
d emplois, - compétences/emploi
Organisation, Effectif, Répartition, Référentiel
Plan d action - planifier l évolution, du
référentiel, des compétences/emplois -
programmer la mobilité interne (sélection/formatio
n) - prévoir les recrutements ...
93
Impacts de la GPEC
  • Management
  • gestion par la performance
  • évaluation
  • habilitation
  • anticipation des évolutions
  • GRH
  • recrutement
  • mobilité interne, immédiate ou programmée
  • redéploiement
  • gestion de carrière
  • Formation
  • du référentiel emploi au référentiel formation
  • pédagogie par objectifs

94
Questions et remarques
  • La question de la description des emplois
  • La question de  l  employabilité 
  • La question de l évaluation des compétences
  • Quid de la  motivation  des acteurs
  • Quid d un environnement moins prévisible

95
La question de la description
  • Qui peut décrire l emploi ?
  • le Responsable
  • le DRH
  • un Expert
  • le Titulaire de l emploi
  • les Titulaires des emplois
  • les Titulaires des emplois proches
  • La solution est sans doute dans le regard croisé,
    la  mise en commun 

96
La question de l évaluation
  • Evaluer la compétence

Situation 1
Performance
Compétence
97
L évaluation et la formation
98
Questions restantes
  • Quand l environnement devient plus instable,
    plus changeant, plus incertain
  • Quand l environnement devient plus complexe
    (mondialisation)
  • Quand l organisation est impactée par des
    turbulences fréquentes, profondes et diverses
  • Mutations technologiques
  • Mutations sociales
  • Mutations économiques
  • Quand les activités nouvelles sont à
    professionnaliser
  • Une nouvelle évolution est à lœuvre

99
Influence de l environnement sur l organisation
  • Env. hostile (concurrence, risque, ressources
    rares)
  • organisation formalisée
  • Env. hétérogène (variété des clients)
  • organisation souple
  • Env. complexe (technologies, interactions)
  • organisation organique, souple, réactive, mais
    conflictuelle
  • Env. stable/instable
  • organisation mécanique/organique

100
Les années 90 une évolution du modèle
  • De l entreprise Formatrice
  • répond à un besoin de compétence par une
    formation
  • évalue la conformité à la référence
  • approche individuelle
  • A l entreprise Qualifiante
  • rationalisation des dépenses de formation
    (nouvelles approches de la professionnalisation)
  • organise le travail pour qu il soit formateur
  • favorise le  transfert  des acquis dans la
    situation de travail
  • nécessite des nouvelles compétences
    relationnelles et cognitives
  • évaluation des performances en situation
  • Les conceptions du professionnel et de la
    compétence senrichissent (Zarifian)

101
La professionnalisation
  • La professionnalisation pose de considérer le
    triptyque
  • Formation initiale expérience formation
    continue
  • Les liens, les interactions entre elles
  • La compétence suppose
  • Des compétences techniques nécessaires à lemploi
  • Des compétences cognitives
  • La réflexion en laction (pendant) et sur
    laction (avant et après), Schön
  • La capacité de réfléchir à lévolution de
    lactivité (professionnalisation de
    lactivité/nouvelles activités)
  • Des compétences relationnelles
  • La capacité de faire état de lactivité
    (formalisation, tutorat, formation, Rex)
  • La capacité dagir en coordination, en réseau
  • Des compétences collectives
  • Analyse de lactivité, résolution de problèmes,
    groupe projet

102
Le monde de lentreprise aujourdhui, vers plus
de complexité
  • Mutations technologiques, sociales, économiques
  • Les évolutions organisationnelles
  • Les évolutions managériales
  • Les nouvelles approches de la gestion de
    compétence
  • Développement des compétences individuelles et
    collectives,
  • Émergence de nouvelles compétences
  • Rationalisation des dépenses de formation,
  • Nouveaux dispositifs de professionnalisation.

103
Un déséquilibre démographique
  • Pyramide des âges inversée,  trou  de
    génération,
  • Accélération des départs en retraite de la
     génération Baby-boom 
  • à partir de 2006, 200.000 départs de plus par an
    jusquen 2020
  • Intégration dune nouvelle génération,
  • Réorganisations,
  • Mutations (1 pour 1, cascades),

104
De nouvelles questions
  • Comment valoriser lexpérience des  séniors ?
  • Capitalisation des savoir-faire, retour
    dexpérience
  • Allongement de la durée du travail
  • Comment attirer et fidéliser les jeunes?
  • Professionnalisation de durée plus courte
  • Pénurie de certains profils
  • Comment favoriser la cohabitation des
    générations?
  • Dynamique déchange et de partage de
    connaissances
  • Knowledge Management

105
Une nouvelle évolution
  • Changer de conception
  • Passer d une conception  mécaniste  ou
     cybernétique , à une conception  organique 
    ou  systémique 
  • de  l organisation formatrice 
  • à  l organisation
    qualifiante 
  • à
     l organisation apprenante 
  • L apprentissage organisationnel (Argyris et
    Schön, Minet, Mallet, Nonaka et Takeuchi, Prax,
    Tarondeau)

106
Evolution de lorganisation
  • Structure plate, matricielle
  • Entreprise étendue, acteur-réseau
  • Management par projet, équipes autonomes
  • Juste à temps, zéro stock
  •  Système Toyota 
  • séries plus courtes,
  • stocks faibles,
  • allègement des services techniques
  • responsabilisation des ouvriers (formés,
    polyvalents)
  • recherche systématique de qualité
  •  Système Volvo  (usine de Kalmar)
  • petites équipes (polyvalence) responsables d un
    ensemble
  • 4 hexagones 1 partie commune, chariot
    automoteur
  • politique GRH et communication

107
L Organisation Apprenante
  • Modèle qui se caractérise par
  • l organisation est un organisme vivant évoluant
    dans un environnement chaotique
  • elle se comporte comme un système complexe (forte
    interaction avec l environnement, nombreuses
    interactions en interne)
  • elle s adapte de manière réactive /
    environnement
  • elle apprend en sadaptant aux contraintes
  • elle change son organisation
  • Apprentissage organisationnel (Argyris et Schön)

108
L Organisation Apprenante
  • Les mots clés
  • apprentissage organisationnel
  • transversalité
  • émergence (propriétés émergeantes)
  • flexibilité
  • réactivité
  • structure plate, souple, matricielle
  • réseau / mise en lien / partage / mise en commun
  • projet, travail en équipe

109
Les conceptions agissantes pour le KM
  • La connaissance est la capacité à créer de la
    valeur
  • La connaissance valorise
  • Linformation cest savoir quoi, la connaissance
    cest savoir faire avec
  • Le KM cest le management des connaissances, des
    capacités à générer de la valeur
  • Le KM met en lien la valeur créée (nouveau
    procédé, nouvelle connaissance) et la valeur
    partagée (connaissance partagée, culture)

110
Savoir / connaissance / information
INFORMATION
SAVOIR (gnose)
SAVOIR (épistémé)
Intégration
Mobilisation
111
Savoir / savoir-faire
  • Le savoir est un processus, une mobilisation de
    connaissances, tout savoir est un Savoir-Faire
  • Tout savoir doit être formalisé pour être
    transmis,
  • savoir théorique
  • savoir procédural
  • savoir-faire
  • savoir-être
  • Tout le savoir-faire ne peut pas être formalisé

112
Les conceptions agissantes pour le KM
Tacite, personne
SAGESSE
CONNAISSANCES
Formalisation
Valeur
INFORMATIONS
DONNEES
Explicite, machine
113
Des points de vue inspirés de l Organisation
Apprenante
  • J.C. Tarondeau
  •  le XXI ème siècle sera celui des savoirs 
  • La matrice de Nonaka et Takeuchi
  • individuel
    collectif
  • combinaison
  • explicite
  • formalisation
    intériorisation
  • implicite

  • socialisation

114
Le projet KM, des enjeux
  • Un projet KM répond à des enjeux stratégiques et
    opérationnels
  • Enjeux stratégiques
  • Intelligence économique (connaître les
    concurrents, les partie prenantes, adopter une
    politique de brevets)
  • Relation-client apprenante (partager, capitaliser
    avec les clients et partenaires)
  • Innovation (création, renouvellement des savoirs)
  • Capital humain (développer les compétences clés,
    individuelles et collectives)
  • Gestion des crises (mobiliser les expertises)
  • Développement durable (développer, exploiter les
    savoirs sur lenvironnement

115
Le projet KM, des enjeux
  • Un projet KM répond à des stratégiques et enjeux
    opérationnels
  • Enjeux opérationnels
  • Pertes de compétences individuelles (retraites,
    turn-over),
  • Pertes de compétences collectives (fin de projet,
    réorganisation),
  • Connaissances  oubliées  (réinventer la roue),
  • Compétences ignorées (qui sait quoi, qui sait
    faire ?),
  • Compétences fragmentées (cloisonnement),
  • Apprentissages trop long (difficulté à profiter
    des erreurs et des succès),

116
Organisation et KM
  • La tendance dévolution est marquée par
  • Des structures plus  plates 
  • Une circulation dinformation verticale et
    horizontale (transversalité)
  • Une participation accrue (mobilisation)
  • Une plus grande flexibilité, réactivité
    (changement)
  • Une plus grande disponibilité à linnovation,
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