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Liaison Coll

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Liaison Coll ge lyc e : obstacles et difficult s Constats : effectifs souvent importants en seconde. Rupture lors du passage en seconde. Les cons quences d un ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Liaison Coll


1
Liaison Collège lycée obstacles et difficultés
  • Constats effectifs souvent importants en
    seconde. Rupture lors du passage en seconde.
  • Les conséquences dun accompagnement moindre
    des élèves dans leurs difficultés
  • - Diminution de la prise de parole et parfois
    désapprentissage des LV pour les élèves les plus
    timides et les plus en difficulté.
  • - Autre constat niveau très faible au
    sortir du collège pour certains élèves.

.
2
Constats
  •  Les collègues de lycée ont limpression de
    repartir sur rien ou de repartir à zéro.
  • Or, il y a peut être des attentes excessives en
    terme de connaissances, et une méconnaissance en
    terme de compétences à exploiter. Doù
    limportance de se rencontrer.
  • Cette liaison raisonne trop souvent en matière
    décart et rarement en matière de démarche
    commune et cohérente.
  • Nécessité de se rencontrer.

3
Des préoccupations communes. Quelques exemples à
développer
  • Le choix et lutilisation des manuels.
  • La prise de note. Comment mettre en place une
    autonomie progressive ?
  • Le travail à la maison.
  • Maîtrise indispensable des temps avant lentrée
    en seconde.
  • ETC !

4
Des rapprochements possibles.
  • - Améliorer la continuité inter cycle à partir de
    points concrets. Quelques exemples
  • - Postes partagés des professeurs de langue
    (collège/lycée).
  • - Rencontres périodiques entre les professeurs
    par bassin.
  • - Séquences élaborées sur deux cycles. Fin de
    troisième et début de 2nde sur un même sujet.
    environnement, vacances, voyages
  • - PPC programmée et évaluée de seconde montrée
    aux troisièmes en visioconférence.
  • - Séquences   classiques  élaborées sur deux
    LV.
  • - Visites de classes (2nde) par les collégiens en
    troisième ( Ce qui est fait sur le bassin
    thouarsais).
  • - Répertoire reconduit au lycée?
  • - Faire passer une vraie épreuve PPC ? Au sortir
    du collège par un autre professeur ?

5
Une réflexion pédagogique commune
  • Rencontre des professeurs pour échanges de
    pratiques et dinformations sur les pré requis
    attendus au lycée. Lecture commune du palier 1 ET
    du palier 2. Articulation niveaux A2 et B1.
  • Lecture commune de la compétence 2 du Socle
    Commun. Le niveau A2, niveau dit de  survie (!)
  • Cest la réflexion pédagogique commune entre les
    enseignants qui est au cœur du problème de cette
    difficile liaison entre la troisième et la
    seconde.
  • Mise en place sur les deux cycles de lévaluation
    par compétence ?
  • Mise en place sur les deux cycles des GDC?

6
Les textes  socles  et référentiels de
réflexion
  • Le socle commun. Base commune sur laquelle on
    peut sappuyer pour établir les pré requis au
    sortir du collège. Voir évaluation palier 3 du
    SC. Grilles_evaluation_liaison\SOCLE COMMUN
    Langues Vivantes.pdf
  •  A lentrée en 2nde, les équipes pédagogiques
    sappuient sur le LPC pour diagnostiquer les
    besoins spécifiques de lélève et organiser
    laccompagnement personnalisé ( ou non) . Voir
    (Eduscol) LPC Page 28 Socle commun.
  • Les préambules communs nous permettent de
    mutualiser et donc de mieux accompagner les
    élèves lors de leur passage au lycée.

7
Un document de référence au cœur de cette
réflexion, liaison collège lycée Préambule
commun collège Palier 2
  • Le palier 2  préambule commun palier 2.pdf
    permet de valider le niveau A2 et daller
    au-delà du palier 1 en séloignant de la sphère
    des enjeux du collège A1 modernité et tradition
    pour tendre de plus en plus vers  lici et
    lailleurs  qui doit être pris au sens large.
    Lailleurs pouvant aussi bien représenter
    limplicite et le monde imaginaire.
  • Nous sommes au seuil du lycée. Lien avec le
     vivre ensemble .

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Palier 2 Un véritable espace de réflexion
pédagogique entre le collège et le lycée.
  • Vers le niveau de lutilisateur  indépendant 
    B1. En LV1 anglais commencé en primaire. A2 en
    LV2 allemand et espagnol.
  • Au palier 2. Regroupement des activités
    langagières autour de trois pôles réception,
    production et interaction.
  • Un exemple après avoir pratiqué les discours de
    la narration et de la description, on développe
    lapprentissage de lexplication et de
    largumentation.

9
Vers le niveau B1(A2-2) en entrant au lycée
  •  Le niveau B1 (niveau  seuil ) de léchelle de
    compétence du CECRL correspond à un début
    dautonomie, notamment en interaction, et une
    capacité accrue à faire face à des situations de
    communication diverses, même imprévues . Palier
    2 LV Page 25.
  •  On dépasse aussi le concret et la sphère
    strictement personnelle .

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DE A2 vers B1
  • Une grille au service de larticulation entre
    troisième et seconde.
  • Similitude dans les stratégies de chaque pôle
    des AL. Entre réception et production.
  • Voir grille PCommun Palier 2 préambule commun
    palier 2.pdf page 26.

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Groupes de compétences. Voir nouveaux programmes
de 2nde
  • Cela relève de lorganisation du lycée. A mettre
    en oeuvre en conseil pédagogique.
  • Il y a moyen ponctuellement davoir moins
    délèves par classe.
  • Évaluation diagnostique dans un premier temps et
    groupes de renforcement des activités langagières
    dans les groupes de BESOIN. Travailler davantage
    les activités langagières de réception et de
    production ORALES.

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Les groupes de compétences 2
  • La mise en place permanente ou ponctuelle des GDC
    permet de dépasser la distinction entre LV1 et
    LV2.
  • Les conseils pédagogiques peuvent profiter de
    cette possibilité pour exploiter cet espace (
    5H30) où tout peut être mis en œuvre pour
    accroître le temps dexposition à la langue CO et
    EO.

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Possibilité dexploiter un espace nouveau
  • Ces GDC peuvent être mis en place ponctuellement
    à chaque fois quune classe à besoin dune
    exposition plus forte en terme dentraînement à
    la réception et à la production.
  • Ex avant un séjour à létranger, lors dun
    E-twinning ponctuel, lors de létude dune
    séquence filmique, dun texte long etc.

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Pilotage des GDC par le projet pédagogique et
lapproche actionnelle
  • La modulation de cet espace doit toujours être
    subordonnée au projet pédagogique dun ou de
    plusieurs professeurs dans une ou plusieurs
    langues enseignées.
  • Le danger serait de cloisonner les AL sans faire
    de lien entre les groupes et donc sans donner de
    sens aux apprentissages.

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Pratiques pédagogiques communes dans un même
bassin et dans toutes les LV
  • Se mettre daccord sur
  • Prises de notes, trace écrite Travail décliné
    en AL.
  • Travail à la maison. LA Mémorisation La
    prononciation. Attentes et exigences.
  • La place de la langue source dans le cours de
    langue vivante ?

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Pratiques communes. Suite
  • On doit chercher à surprendre les élèves en
    choisissant des supports authentiques,
    diversifiés et originaux.
  • Lapprentissage des langues mobilise tous les
    sens du collège à la terminale.

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Supports
  • Varier les supports, cest faire face à la
    démotivation des élèves et à lhétérogénéité des
    classes.
  • Savoir faire face aux différents types délèves.
    Tenir compte de la PNL (programmation
    neurolinguistique). Élèves visuels, auditifs ou
    kinesthésiques. Idem de la sixième à la
    terminale.

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La séquence pédagogique une structure partagée
par tous. CLG. LP. LGT.
  • La séquence pédagogique permet aux élèves de
    tendre vers toujours plus dautonomie dans les 5
    activités langagières. Il sagit de fédérer une
    même idée ou problématique ou unité de sens
    autour de plusieurs documents authentiques et
    divers. La séquence permet de réemployer la
    langue au fur et à mesure des étapes qui
    véhiculent la ou les problématiques retenues. La
    SQ permet la  rémanence  de la langue et la
    construction de lévaluation finale. Elle permet
    de faire passer les connaissances au stade de
    compétences.

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De la connaissance vers la compétence. Une
démarche commune à tous.
  • Palier 1(préambule commun page 7)
     Laccumulation passive de la langue nen
    garantit pas la disponibilité .
  • Cette rémanence de la langue est fondamentale.
    Recherche continuelle dans notre pratique de la
    réactivation des faits de langue.
  • Une même dynamique en collège et en lycée est
    susceptible de guider les élèves.
  • Phrase clé à retenir   On ne retient que ce
    que lon utilise .

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Le cours de langue vivante, cest la prise de
parole de lélève.
  • Le statut de loral  un moyen, un objectif et
    une activité majeure.
  • Cet oral (réception/production) est la clé de
    voûte de notre enseignement. Elle est une
    compétence essentielle car c est tout à la fois
    un moyen, un outil pédagogique et un objectif
    constant dans nos pratiques pédagogiques. Il est
    au cœur du plan de rénovation des LV.
  • Loral 90 de la communication. Paradoxe de
    lévaluation on évalue (encore) surtout les AL
    de lécrit. Mettons-nous daccord pour mettre en
    place dautres modalités dévaluations.

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La mémorisation pierre de touche de notre
enseignement de la sixième à la terminale.
  • On signifie aux élèves quen mémorisant, ils
    peuvent parler une LV en étant de plus en plus
    autonomes au fur et à mesure de la SQ. Les faits
    de langue rencontrés et utilisés, deviennent
    alors de véritables outils langagiers. Les
    réemplois, attestent de la seule et véritable
    acquisition chez les élèves. On peut parler de
     sédimentation . Préambule commun cycle
    terminal  On ne peut faire léconomie dune
    mémorisation systématique .
  • Le fait de langue mémorisé nest pas seulement
    une connaissance, un savoir mais bien dune
    compétence ou dun savoir faire. Il est donc
    important de construire une progression raisonnée
    pour se mettre en situation de transfert.
  • Le réemploi  décontextualisé  dun fait de
    langue atteste de son acquisition. On rejoint là,
    la notion de compétence.
  • Il faut, en moyenne, 7 occurrences dun fait de
    langue pour parler de véritable acquisition.

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Approche par les compétences. Les apprentissages
au service du savoir agir.
  • Mise en œuvre dune progression linguistique pour
    construire le résultat final. Lélève ne parle
    pas devant les autres mais parle aux autres en
    tant quacteur social.
  • Cest à nous, enseignants, grâce à une mise en
    œuvre réfléchie, de donner aux élèves les
    moyens linguistiques pour réaliser la tâche
    demandée et annoncée. Il faut les aider à
    mobiliser la langue dont ils ont besoin pour
    réaliser cette tâche. Il faut créer une situation
    où lélève va découvrir, puis créer et formuler.
    On part du  savoir dire  pour parvenir au
     savoir agir .

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Le statut de lerreur, une posture commune dans
le cadre de la liaison.
  • Le statut de lerreur peut-être questionné
    ensemble. Il faut dédramatiser lerreur de langue
    et encourager la prise de risque pendant les
    entraînements, cest-à-dire la plupart du temps.
  • Le niveau A2 est dit de  survie!  Voir nouveaux
    programme de 2nde. BO special nouveau_seconde.pdf
  • Des termes très différents la faute et lerreur.
  • Faire une erreur, cest chercher (errare)
    étymologiquement, donc cest se donner les moyens
    de trouver.
  • Le statut de lerreur est différent selon que
    lon se trouve dans le cadre de lentraînement et
    de lévaluation.

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Un idéal de bilinguisme inatteignable
  • Les nouveaux programmes adossés au CECRL fixent
    des objectifs qui ne dépassent pas le niveau B2
    en lycée. C1 pour la LV1 dapprofondissement et
    C2 pour la maîtrise.
  • On ne vise plus inconsciemment un idéal de
    bilinguisme inatteignable (rapport de l IG sur
    lévaluation 2007 page 15).
  • Une telle perspective est de nature à motiver les
    élèves (et les enseignants) et à libérer la
    prise de parole.
  • Nous devons nous poser la question quest-ce
    que communiquer?

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Des pratiques commune CLG/LYC dans les
évaluations sommes-nous tous daccord?
  • Différencier entraînement et évaluation.
  • Différencier évaluation formative et sommative.
  • Ne pas multiplier les grilles dévaluation si
    elles ne sont pas en prise avec les objectifs.
  • Toujours se poser la question même dans
    lévaluation communiquer, cest agir avec
    lautre.

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Lévaluation formative
  • Cette évaluation occupe une place prépondérante
    dans le déroulement du cours. Cest lactivité
    la plus développée en cours de langue et
    paradoxalement la moins évaluée. Il est très
    difficile dévaluer ce qui est éphémère et
    évanescent surtout en ce qui concerne
    lévaluation en expression interactive. On ne
    peut pas omettre de récompenser une certaine
    prise de risque en cours. La question est posée
    en ce qui concerne la valorisation de
    limplication, de la fréquence de prise de
    parole. Comment récompenser ? Il est opportun de
    signifier verbalement cette récompense qui
    sinscrit dans lévaluation formative.

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Evaluation. 2
  • On névalue pas forcément toute la classe à
    chaque fois.
  • Il faut évaluer toutes les AL. Les AL sont
    complémentaires lécrit sert loral et loral
    sert lécrit.

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Les TICE des outils communs au service de loral.
Profiter au lycée du B2I acquis en troisième.
  • Ne pas opposer TICE et questionnement du sens.
    Ces ressources doivent rester au service du sens
    et donc des objectifs linguistiques corrélatifs à
    la séquence. Cest un outil  au service de  et
    non pas un objectif en soi. Les TICE représentent
    un formidable outil de mise à portée des
    documents. Ils permettent de proposer de très
    nombreux supports authentiques, en classe et à la
    maison. Possibilité de  nomadiser  les
    documents et donc de pérenniser ce qui est
    éphémère la prise de parole. On parle bien
    doutils pédagogiques pour diversifier et
    enrichir les supports de la séquence.

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La pratique raisonnée de la langue, une approche
plurilingue pour tous les élèves au cœur de la
problématique de la liaison CLG/LYC
  •  la pratique raisonnée de la langue vise à
    accroître les compétences de compréhension et
    dexpression des élèves, à approfondir leur
    formation intellectuelle en leur faisant
    découvrir une certaine logique de la langue.  
  •  La réflexion sur les langues étrangères induit
    un retour sur le français et une prise de
    possession plus consciente des outils
    langagiers  Préambule commun palier 1 page 5
    Ceci a du sens pourtant jusquau cycle terminal.
  • Un exemple en espagnol au collège faire prendre
    conscience du caractère quasi phonétique de la
    langue. Cest donner la possibilité aux élèves de
    se donner une nouvelle chance de savoir écrire
    correctement. Un B.O. parle de seconde chance de
    réussite
  • Transparence entre phonie et graphie. 4 vraies
    homophonies (en espagnol) h, ll/y, b/v, s/c,
  • Il faut leur apprendre à identifier les graphèmes
    et les phonèmes puis à comprendre la logique de
    laccentuation en espagnol mais aussi dans les
    autres langues non phonétique. Paraguay, Uruguay.
    Hambriento, mugriento. Take, wake, make

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BO seconde avril 2010
  • Le BO nous dit  de mieux prendre en compte la
    compétence plurilingue des élèves et détablir
    des passerelles entre les langues . BO special
    nouveau_seconde.pdf Page 2.

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Développer les compétences lexicales et
syntaxiques plurilingues
  • Expliquer en se servant de ce qui est déjà
    assimilé. On fait  des ponts , des
    rapprochements avec dautres langues. Faire du
    lien, même avec les élèves de seconde, cest
    donner la possibilité de fixer.
  • Avec la syntaxe de langlais, quelques exemples
    déquivalence de structures
  • When présent dans la subordonnée verbe au
    futur en anglais, Cuando subjonctif en
    espagnol.
  • Forme progressive, be ing/estar gérondif.
  • Déictique spatiale.This, that/este, ese, aquel en
    espagnol. Avec certains mots transparents dans
    les deux langues genuino, mapa, tremendo, ambos,
    remoto Et inconnu en français
  • En allemand, les rapprochements et les
    passerelles vers langlais sont innombrables.

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Une autre approche grammaticale découvrir et
inférer pour comprendre
  • Henriette Walter   Avoir une démarche
    linguistique, cest paradoxalement faire face à
    lincompréhension ou à la démotivation de
    certains élèves .
  • La grammaire explique le comment elle sinscrit
    dans une démarche descriptive. La linguistique
    explique le pourquoi et propose aux élèves non
    pas une application mais une explication. Elle
    donne la possibilité de trouver du sens, et donc
    de mieux comprendre, et donc de mieux
    mémoriser.

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Donner du sens
  • Expliciter le métalangage, exemples de termes
     substantifs, subordonnées, composé,
    imparfait  on oublie parfois le sens de ces
    mots alors quils peuvent aider les élèves.
  • Les désinences verbales Redondance des pronoms
    en espagnol et en italien.
  • Étymologie de Usted, faire comprendre son origine
    cest faire enfin mémoriser sa spécificité
    (troisième personne au discours !).
  • Subjonctif dans la défense ou linjonction avec
    usted et nosotros.
  • Comment traduire le  on  en anglais et en
    espagnol. Les stratégies sont similaires.
    Positionnement du locuteur. Connaissance profonde
    du  on  dans la langue source.
  • Lorsque cela est possible ce sont les élèves
    qui découvrent et induisent tel ou tel fait de
    langue, même en troisième.

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Létymologie. Fixer un mot en contant son histoire
  • Il ne sagit pas de faire du pointillisme ou de
    lérudition et de sarrêter sur chaque mot pour
    en dégager son étymon et bloquer la progression
    de la classe. Il est très intéressant en revanche
    de choisir les mots clés, ceux qui vous semblent
    importants à mémoriser ou qui jouent un rôle
    important dans la SQ et den conter lhistoire.
  • On fixe le vocable car on conte son histoire qui
    est souvent remarquable ou surprenante. On fait
    dune pierre deux coups, on travaille la langue
    source et la langue cible. Cest une approche
     remédiante  et pluridisciplinaire.

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Conclusion
  • Au-delà de toutes les stratégies locales de
    rapprochements qui peuvent être mises en place
    (conseils pédagogiques, réunions de bassin),
    cest la mutualisation des réflexions et des
    pratiques pédagogiques communes des enseignants
    de langues vivantes qui aideront les élèves à
    mieux franchir lobstacle que constitue souvent
    le passage au lycée.
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