RECUEIL DE CONTES - PowerPoint PPT Presentation

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RECUEIL DE CONTES

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Les R sidants de la R sidence Le Quinic. Les El ves de 3 me du Lyc e de Kersa. Avec la ... Auteurs: K lig, Nolwenn, Elodie, Antoine, Pol Ewen, Mme Gu n gou, ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: RECUEIL DE CONTES


1
RECUEIL DE CONTES
  • Ecrits par
  • Les Enfants de CP de lécole Sainte Elisabeth
  • Les Résidants de la Résidence Le Quinic
  • Les Elèves de 3ème du Lycée de Kersa
  • Avec la collaboration de
  • Claude, institutrice
  • Mmes Lawovi et Le Bihan, enseignantes
  • Sylvie, animatrice

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Laventure de Kélig, Moana, Gabriella et Arthur
  • Auteurs Kélig, Nolwenn, Elodie, Antoine, Pol
    Ewen, Mme Guénégou, Fanny, Julien, Thibault,
    Vincent, Alex

Il était une fois, un père et ses quatre enfants
nommés Kélig, 10ans, Moana et Gabriella, 7 ans
et Arthur, 5 ans. Chaque après-midi dhiver, les
enfants partaient chercher du bois dans la forêt,
pour se chauffer et faire la cuisine. Sils
revenaient sans le bois, cela pouvait tourner à
la catastrophe ils étaient privés du repas du
soir. Ce jour-là, le temps était orageux, la nuit
commençait à tomber, et les 4 enfants ne
voulaient pas rentrer chez eux les mains vides,
car ils seraient punis. Ils senfoncèrent donc de
plus en plus dans la forêt. Le temps devint
obscur. Ils ne voyaient plus rien, la nuit avait
tout envahi. Le vent se leva, le tonnerre se mit
à gronder, ils étaient morts de peur. Trop
fatigués pour continuer, ils sarrêtèrent et
sallongèrent prés dun grand arbre. Les plus
petits se mirent à pleurer
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  • Une marâtre qui cherchait du bois entendit des
    pleurs. Elle sapprocha et vit des enfants en
    larmes. Elle savança vers eux, prit sa voix la
    plus douce, et leur demanda Que faites-vous
    là mes petits enfants? Que vous arrive-t-il?
  • Laîné expliqua On est venu chercher du bois
    pour mon père et on sest perdu, on ne retrouve
    pas notre chemin.
  • Je vais vous aider à le retrouver, je connais
    bien la forêt, suivez-moi leur proposa telle
    avec gentillesse.
  • Soulagés les enfants se levèrent et partirent
    avec elle en toute confiance. Ils ne savaient pas
    que cette femme était au service dune cruelle
    sorcière.
  • Après une longue marche, ils arrivèrent devant
    une vieille maison délabrée qui semblait pourtant
    habitée. Mais ce nest pas chez nous
    sexclamèrent les enfants. Je sais, cest juste
    pour la nuit, je vous conduirai demain matin chez
    vous rétorqua la marâtre.
  • Les enfants entrèrent dans la maison, méfiants.
    La marâtre referma la porte sur eux. Ils
    entendirent un rire horrible et virent une
    vieille sorcière sapprochaient deux.

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Ah ah ah ah! Je vous tiens, vous ne partirez
jamais plus dici. Vous ferez mes corvées du
matin au soir Sur ce elle les enferma dans la
bibliothèque. La marâtre qui était aussi sous
lemprise de la sorcière eut pitié des enfants.
Elle aussi voulait senfuir. Elle fit glisser un
mot sous la porte. Kélig le vit et lut
Prononcez une formule du grimoire et vous serez
sauvés . Il fallait absolument détruire les
pouvoirs de la sorcière et seule une formule
magique se trouvant dans le grimoire pouvait le
permettre. Malheureusement le livre se trouvait
tout en haut de la bibliothèque et une chouette
était installée dessus afin de garder le
grimoire. Comment accéder au grimoire? se
demandèrent les enfants. Kélig demanda à la
chouette Je voudrais que vous me trouviez une
formule magique pour détruire la sorcière . La
chouette, elle aussi prisonnière de la sorcière,
accepta, car elle aussi voulait séchapper et
retrouver la forêt. Elle se mit alors à tourner
les pages du grimoire, avec le plus de force
possible. Elle arriva sur la page de la formule
de lendormissement éternel abracadabra .
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Les enfants et la chouette crièrent très fort la
formule Abracadabra, abracadabra, abracadabra
. Après cela, ils allèrent dans la pièce voisine
la sorcière était allongée par terre. Laîné
des enfants sapprocha, toucha la sorcière mais
aucune réaction. La sorcière dormait pour
toujours. Les enfants, la chouette et la marâtre
senfuirent en courant. La marâtre les conduisit
chez leur père et ils vécurent tous les 7 très
heureux la marâtre devint une gentille
belle-mère le père fut content de retrouver ses
enfants et devint moins sévère les 4 enfants
étaient satisfaits davoir une chouette très
chouette pour les accompagner en forêt, leur
évitant ainsi une nouvelle mésaventure. Fin
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Le Rêve du Roi Robert
  • Auteurs Enora, Matis, Dimitri, Maël, Edouard,
    Lisa, Mme Jagues, Alexandre, Giovana, Romain, Alan

Il était une fois au 16ème siècle, un royaume,
gouverné par un jeune roi laid appelé Robert. Il
rêvait de devenir beau comme tous les rois et
épouser une jolie femme. Chaque vendredi,
celui-ci quittait le château pour visiter son
royaume, espérant par la même occasion faire la
rencontre dont il rêvait tant. Un jour alors
quil flânait à la lisière du bois, il rencontra
une vieille femme réputée pour ses pouvoirs
magiques. Après quelques hésitations, le roi lui
demanda Pourriez-vous maider à devenir beau?
La femme âgée, lassée de vivre dans sa ruine,
été comme hiver, intriguée par la question du
roi, répondit Oui mais pour cela, il me
faut fabriquer une potion magique. De plus, vous
connaissez la misère dans laquelle je vis, aussi
en échange, je demande un trésor. Car vous êtes
riche et je suis pauvre.
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Un trésor! sexclama le roi, pas de
soucis, le château est bien garni et il ajouta
Que faut-il pour fabriquer la potion magique?
Tout dabord de la bave de grenouille, et en
cette saison, les grenouilles sont rares
expliqua la vieille femme. Tous deux partirent
donc à la recherche de grenouilles. Au bout de
quelques heures de marche, le roi arriva au lac.
En sapprochant de leau, il entendit une voix
douce. Derrière une touffe de roseaux, il trouva
une épuisette parlante Trempez-moi dans leau
et vous en sortirez dix grenouilles . Sire
Robert nen croyait pas ses yeux. Effrayé mais
ravi de cette trouvaille, il exécuta lordre
indiqué par lobjet parlant et sortit de leau
dix grenouilles. Heureux, il se mit à courir pour
rejoindre au plus vite la vieille dame. A
quelques minutes de la ruine, un monstre surgit
dun buisson et lui barra la route. Tu ne
passeras que si tu me fais cadeau de trois
grenouilles . En effet, comme le roi, le monstre
avait lui aussi sollicité la sorcière quelques
jours avant. Afin dobtenir satisfaction, il lui
fallait aussi rapporter des grenouilles à cette
pauvre femme.
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Une bergère vint à passer. Voyant le roi dans
lembarras, la jeune femme se mit à chanter et
danser. Le monstre, charmé par sa jeunesse et son
élégance, oublia le roi qui réussit à échapper à
son ravisseur, quil perdit de vue. Lorsquelle
sentit le roi hors de danger, elle disparut aussi
vite quelle était venue. Le monstre voulut la
poursuivre, mais trop lourdaud, il ne put faire
face à sa légèreté et sa vitesse. Le roi retrouva
la vieille dame dans sa ruine. Voici 10
grenouilles. Jespère que vous pourrez extraire
suffisamment de bave pour confectionner la potion
. Surprise quil en ait autant, elle répondit
Cest bien plus quil men fallait . Elle se
mit à fabriquer sur le champ la potion magique.
Sire Robert lavala et devint beau. De retour au
château, il se regarda dans le miroir. Satisfait
de son nouveau visage, il retourna à la ruine,
récompenser la vieille femme. Voici le trésor
que je vous ai promis lui dit-il en lui tendant
un coffret rempli de bijoux. Grâce à ce trésor,
elle se fit construire une belle demeure.
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A peine avait-il rebroussé chemin, quil croisa
la bergère. Charmé par cette belle jeune femme,
et touché par laide précieuse quelle lui avait
apportée, il lui proposa de devenir son épouse.
La bergère accepta. Depuis ce jour, le royaume
fut gouverné par un jeune et beau roi et une
jeune et jolie reine. Ils vécurent ensemble
très heureux et eurent de beaux enfants. Fin
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Le Prince Charles et lépée magique
  • AUTEURS Milla, Joannie, Angèle, Pierre,
    Gauthier, Yannis, Orlane, Mme Pirault, Adeline,
    Maxime, Enora, Yoan, Kévin

Il était une fois le prince Charles qui vivait
heureux dans sa tour non loin de sa dulcinée la
princesse Christine. Chaque été, le prince avait
lhabitude de prendre en duel les meilleurs
combattants de la région. Cétait loccasion pour
lui de sentraîner et dentretenir sa forme
physique. Sire Charles avait déjà affronté
presque tous les maîtres du royaume en la
matière, sauf le Duc de Quincampoix son ennemi
redoutable. Il rêvait bien souvent dorganiser
ce combat mais sa crainte était grande. Un jour
de printemps, alors que le prince se promenait en
forêt, il croisa le Duc de Quincampoix.
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Le duc engagea la conversation et dit au prince
Charles Chaque été vous organisez des duels.
Vous choisissez les meilleurs de la région, je
crois! Et puisque jen fais parti, je vous
propose une rencontre dés le mois de juillet.
Le prince Charles un peu surpris par cette marque
de courtoisie, répondit sur le champ
Jaccepte votre proposition. Le duel se fera dans
la cour au château dès la première semaine de
juillet Le prince Charles très bon mais un peu
naïf, allait poursuivre son chemin lorsque le duc
ajouta celui qui gagne ce duel attribue un
gage au perdant . Le prince, peu méfiant des
conséquences, donna son accord avant de
rebrousser chemin et regagner sa demeure. Le
combat fut organisé comme prévu. Une foule
immense assistait au spectacle. La très belle
princesse Christine redoutait toujours ces
combats et y participait rarement. Mais cette
fois, lennemi était de taille. Elle sinstalla
donc aux premières loges.
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Le prince et le duc se présentèrent devant la
princesse, puis se saluèrent avant de combattre.
Cette fois, le prince perdit le combat. Le duc
sadressa ainsi au prince Charles vous avez
perdu, le choix du gage me revient donc. En guise
de récompense, jexige la main de la princesse
Christine En effet, en se présentant devant la
princesse, le duc eut le coup de foudre pour
elle. Le prince, peiné par cette décision, ne put
faire autrement que daccepter cette séparation.
Ne tinquiète pas Princesse, je te délivrerai
lui cria-t-il, alors quelle disparaissait avec
le duc. Le duc cacha la princesse dans une
grotte, un lieu sûr méconnu par le prince.
Plusieurs semaines sécoulèrent. Le prince de
plus en plus désespéré décida de quitter sa tour
pour rechercher sa bien-aimèe. Alors quil
traversait la ville, il croisa dans une ruelle
sombre et étroite, un idiot. Celui-ci jonglait à
la venue des passants, espérant ainsi récolter
quelques pièces. Bonjour monsieur lui dit le
prince connaissez-vous la demeure du duc de
Quincampoix?
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Lidiot surpris dune telle attention de la part
du prince répondit Je ne suis pas très sûr,
mais il doit habiter au fond du village, à
proximité dun noyer, car à lautomne il moffre
des noix. Le prince Charles glissa une pièce
dans la main du mendiant et reprit sa route. Il
suivit la direction indiquée par cet homme mais
il saperçut très vite que lidiot lavait mis
sur une fausse piste. Il trouva le noyer, mais
point de demeure à proximité. Le prince, furieux,
fatigué, envisageait dabandonner ses recherches,
quand tout à coup, il croisa la fée surnommée
Alice. bonjour Mme la fée, pourriez-vous
maider? Bien le bonjour, cher prince.
Dites-moi, vous avez abandonné votre princesse?
Oh! Non , rétorqua le prince le duc de
Quincampoix la enlevée. Le prince raconta
toute lhistoire. La fée, peu habituée à croiser
un prince si triste, eut pitié de lui et lui
proposa son aide. Quelque chose me dit quelle
est cachée dans une grotte. Des grottes, il y en
a peu dans la région, une ou deux à proximité de
la carrière. Si grâce à vous, je peux
délivrer la princesse, je saurai vous être
reconnaissant ajouta le prince.
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Ne partez pas si vite, voici une épée dotée de
pouvoirs, elle vous sera utile pour fuir. Mais
attention, il est possible de lutiliser 2 fois,
à la 3ème, elle nobéit plus et se désagrége,
faisant disparaître avec elle, la personne qui la
tient. Content, mais intrigué, Charles prit
délicatement lépée et repris sa marche en
direction de la carrière. Il arriva face à une
grotte gardée par un loup. Point de doute,
pensa-t-il Christine est certainement ici. Le
loup se mit à hurler, sortit les crocs. Comment
faire pour se débarrasser de cet animal?
murmura le prince. Pour endormir le loup,il
décida dutiliser pour la première fois son épée.
Il décrocha alors la clé et délivra sa princesse.
Quelques heures après le duc saperçut de la
disparition de la princesse et lança ses hommes à
sa recherche. Il demanda laide de la population
et promit un trésor à celui qui rapporterait la
princesse. Le prince en fuite, se sentant
poursuivi et menacé, utilisa pour la seconde fois
son épée. Il transforma une grosse pierre du
chemin en cheval, afin de regagner au plus vite
le château avec sa princesse.
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En montant à cheval, dans la précipitation, il
perdit son épée. Impossible de faire demi-tour.
Le duc sapprochait de plus en plus. Intrigué par
la brillance de lobjet, le duc se pencha et
saisit lépée. Il comprit vite quelle pouvait
laider. Il lui demanda lui aussi un cheval. Dés
que le duc acheva sa phrase, celui-ci et lépée,
se transformèrent en poussières. Le prince et la
princesse retrouvèrent leur tour. Depuis ce
jour, le prince Charles naccepta plus de duel et
proposa à la fée de veiller sur sa princesse bien
aimée. Fin
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Le Mendiant et lépée magique
  • Auteurs Estéban, Mathieu, Yann, Marie, Aloïs,
    Damien, Mme Le Corvaisier, David, Florian, Safia,
    Marine, Laurie

Il était une fois, un jeune mendiant veuf qui
sappelait Alfred. Il vivait avec ses deux
enfants dans une ruine. Son rêve était de pouvoir
nourrir et loger convenablement ses enfants et de
rencontrer une belle et jeune femme. Un jour, il
rencontra une vieille femme sur le bord de la
route, là où il avait pour habitude de mendier.
Cette vieille femme qui était une fée, cherchait
un héros courageux, valeureux qui délivrerait le
royaume du roi catin, qui tyrannisait tous les
habitants. En sapprochant du mendiant, elle
comprit très vite quil était lhomme de la
situation. Que faites-vous là? lui dit-elle.
Il lui répondit Je mendie pour nourrir mes
enfants et leur offrir un jour peut-être, une
belle chaumière.
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Je peux sans doute vous aider. Je cherche un
homme pour faire disparaître le roi catin.
Celui-ci deviendra roi et épousera ma fille.
Eliminer le Roi!!! Pourquoi vouloir accomplir un
tel acte? ajouta le mendiant. Le roi
tyrannise la population. Il massacre les paysans
qui ne payent pas leurs impôts. Comment
faire? Le Château est gardé? Je vous donne
cette épée. Elle noircit dés quon lapproche
dune personne méchante. Avec elle, vous
découvrirez sans difficulté qui est le roi ,
précisa la vieille fée. Le mendiant accepta le
marché, prit lépée et se dirigea vers le
château. En chemin, il croisa un valet du roi.
Celui-ci, intrigué par lépée du mendiant lui
demanda Que faites-vous avec cet objet? .
Alfred, embarrassé par la question, répondit
Je souhaite la remettre au roi . Donnez-la
moi, je la lui remettrai. rétorqua lhomme.
non répondit le mendiant, je suis chargé de
la lui remettre moi-même.
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Le valet, étonné par linsistance du mendiant,
conseilla au roi de se méfier des étrangers. Le
mendiant reprit sa route et atteignit le château.
En sapprochant de la porte, il saperçut du
changement de couleur de lépée. Celle-ci
sassombrissait. Le mendiant frappa. Le roi en
personne apparut. Le mendiant souleva alors son
épée, mais aperçut au dernier moment quelle
devenait blanche. Le mendiant comprit très vite
quil ne sagissait pas du roi mais dun de ses
valets. Il se retourna et prit la fuite.
Quelques semaines plus tard, il croisa en forêt
un homme tout de noir vêtu, qui semblait avoir
perdu quelque chose. Vous nauriez pas vu mon
chien? demanda-t-il au mendiant, dune voix
rauque et hésitante. Non lui répondit le
mendiant, peu de personnes fréquentent cet
endroit .
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Le mendiant observa discrètement son épée cachée
sous sa cape. Celle-ci devint toute noire. Il
comprit très vite quil pouvait sagir du roi. Il
plongea lépée dans le cur de lêtre maléfique
et rebroussa chemin pour retrouver la
fée. Heureux dêtre débarrassés du roi
tyrannique, la vieille dame et les paysans
acclamèrent le mendiant et le nommèrent à la tête
du royaume. Depuis ce jour, le mendiant et ses
enfants connurent labondance. Il épousa la fille
de la fée et le royaume fut gouverné par un roi
bon et juste. Fin
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