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Les subordonnes circonstancielles

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D finition probl matique, car il s'agit d'une classe de constructions extr mement disparates. ... laquelle les grammaires ont adopt le terme ' circonstanciel ' pour ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Les subordonnes circonstancielles


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Les subordonnées circonstancielles
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Définition
  • Définition  négative  toutes les propositions
    qui ne sont ni des complétives (incluant les
    interrogatives indirectes et les infinitives), ni
    des relatives, sont considérées comme des
    subordonnées circonstancielles.
  • Définition problématique, car il sagit dune
    classe de constructions extrêmement disparates.
  • N.B. Nous nétudierons pas ces constructions de
    façon approfondie Notre étude se limitera à la
    description de leurs propriétés générales.

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I. Pourquoi le terme  circonstanciel  ?
  • La raison pour laquelle les grammaires ont adopté
    le terme  circonstanciel  pour caractériser ces
    propositions certaines dentre elles ont la
    même contribution sémantique et jouissant de la
    même mobilité que les syntagmes adverbiaux ou
    prépositionnels dits  circonstanciels .
  • Toutefois, cette appellation nest pas tout à
    fait adéquate pour deux raisons.

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II. Le terme circonstanciel est-il adéquat ?
  • 1) Premièrement, la parallélisme entre les
    compléments circonstanciels adverbiaux ou
    prépositionnels dune part et les subordonnées
    dites  circonstancielles  dautre part est loin
    dêtre régulier
  • Jean a tellement crié que tout le quartier sest
    réveillé
  • Les grammaires parlent à propos de cet exemple de
    subordonnée circonstancielle de conséquence.

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II. Le terme circonstanciel est-il adéquat ?
  • Or, cette analyse est problématique
  • - La subordonnée nalterne pas avec un SP ou
    Sadv.
  • - Elle nest pas mobile.
  • - Sa présence dépend de la présence de ladverbe
    tellement dans la principale
  • / Jean a crié que tout le quartier sest
    réveillé
  • ? La suppression de tellement fait de la
    subordonnée une complétive, complément du verbe
    crier.

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II. Le terme circonstanciel est-il adéquat ?
  • Lexemple que nous venons de voir montre quil
    convient de faire un tri entre les subordonnées
    qui sont réellement équivalentes à un SP ou SAdv
    circonstanciels et celles qui relèvent dautres
    types de constructions syntaxiques (e.g.
    subordination corrélative).
  • Le terme  circonstanciel  indique un
    regroupement opéré sur des bases sémantiques. Or,
    derrière cette étiquette sémantique se dissimule
    une classe de constructions syntaxiquement
    disparates, mettant en jeu des mécanismes
    complexes.

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II. Le terme circonstanciel est-il adéquat ?
  • Nous emploierons par conséquent létiquette
     subordonnée circonstancielle  par pure
    commodité, tout en étant conscients du fait que
    ces groupements traditionnels opérés sur des
    bases sémantiques devront être remplacés par
    dautres classements qui tiennent compte des
    propriétés syntaxiques de ces constructions.

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II. Le terme circonstanciel est-il adéquat ?
  • 2) Comme nous lavons vu lors de létude des
    complétives, la classification proposée dans les
    grammaires entraîne généralement une confusion
    entre la valeur sémantique de lensemble du
    constituant comportant une subordonnée et la
    fonction syntaxique propre de cette dernière.
  • Ainsi, dans la phrase suivante
  • Marie arrivera avant que Jean (ne) parte

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II. Le terme circonstanciel est-il adéquat ?
  • Lanalyse grammaticale propose de considérer
    avant que Jean (ne) parte comme une subordonnée
    circonstancielle de temps, en faisant de avant
    que une locution conjonctive.
  • Lensemble du constituant avant que Jean (ne)
    parte a effectivement le même sémantisme que
    avant le départ de Jean circonstanciel de
    temps.
  • Mais, à lintérieur de ce constituant que Jean
    parte est le complément de la préposition avant,
    au même titre que le SN le départ de Jean.

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II. Le terme circonstanciel est-il adéquat ?
  • Par conséquent, on peut dire que cest le
    syntagme prépositionnel avant que Jean (ne) parte
    qui a une valeur ou fonction circonstancielle.
  • La subordonnée à elle seule na pas de fonction
    circonstancielle, de même que le SN le départ de
    Jean nest pas un circonstanciel à lui seul.
  • On ne confondra donc pas ces deux niveaux
    danalyse.

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III. Pourquoi parle-t-on néanmoins de
 subordonnée circonstancielle ?
  • Nous venons de voir que la séquence
  • Préposition que phrase
  • peut recevoir la même analyse quune séquence
  • Préposition SN
  • Ce qui nous a conduits à analyser que phrase
    comme une complétive
  • On rencontre toutefois
  • Lorsque Marie est arrivée, Jean était déjà parti
  • Jean doit être chez lui, puisque les lumières
    sont allumées.

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III. Pourquoi parle-t-on néanmoins de
 subordonnée circonstancielle ?
  • Les conjonctions lorsque et puisque sont
    indécomposables en synchronie. Lanalyse en
    Préposition complétive ne peut donc pas être
    adoptée pour ces subordonnées.
  • Nous considérerons lorsque et puisque comme des
    conjonctions de subordination.

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IV. Identification et sens des circonstancielles
  • Comme pour les SP et Sadv, les grammaires
    établissent différentes classes de subordonnées
    circonstancielles en fonction de critères
    sémantiques.
  • On obtient ainsi la liste suivante subordonnées
    temporelles, causales, de but (ou finales),
    hypothétiques, consécutives, concessives et
    comparatives.
  • Cette liste peut varier dune grammaire à
    lautre. Wagner et Pinchon, par exemple,
    proposent dajouter les subordonnées daddition
    et dexception.

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V. Différentes classes de subordonnées
circonstancielles
  • Voici des exemples illustrant chaque classe
  • - Subordonnée temporelle
  • Marie mangeait quand Jean est arrivé
  • - Subordonnée causale
  • Marie nest pas venue parce quelle est malade
  • - Subordonnée concessive
  • Marie sera là, bien que Jean ne le souhaite pas

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V. Différentes classes de subordonnées
circonstancielles
  • Subordonnée conditionnelle
  • Marie viendra si Jean le souhaite
  • Subordonnée comparative
  • Jean parle plus vite quil ne pense
  • Subordonnée consécutive
  • Jean a tellement crié que tout le quartier sest
    réveillé

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V. Différentes classes de subordonnées
circonstancielles
  • Parmi ces différentes classes de subordonnées,
    certaines sont mobiles et facultatives. Elles
    alternent en outre avec un SP ou Sadv.
  • Il sagit de subordonnées temporelles, causales,
    conditionnelles et concessives
  • a. Marie viendra bien que Jean ne le souhaite pas
  • b. Bien que Jean ne le souhaite pas, Marie
    viendra
  • c. Marie viendra, malgré le désaccord de Jean
  • d. Marie viendra

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V. Différentes classes de subordonnées
circonstancielles
  • Ces propositions relèvent dun schéma de
    subordination  classique  on identifie une
    proposition (subordonnée) qui entre dans une
    relation de dépendance syntaxique par rapport à
    une autre proposition (principale).
  • Cette subordination syntaxique est généralement
    marquée par un élément subordonnant, comme cest
    le cas pour les complétives.

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V. Différentes classes de subordonnées
circonstancielles
  • La proposition subordonnée, dans ce cas, est
    syntaxiquement délimitée et sa suppression na
    pas dincidence sur la grammaticalité de la
    phrase (Attention cela ne signifie pas que la
    suppression de la subordonnée na pas dincidence
    sémantique).
  • Doù le parallélisme établi entre ces
    subordonnées et les compléments circonstanciels
    réalisés comme SP ou SAdv.

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V. Différentes classes de subordonnées
circonstancielles
  • Pour certaines autres classes en revanche,
    lordre est fixe et la  subordonnée  nest pas
    optionnelle. De plus, la présence de cette
    dernière dépend de la présence dun autre élément
    dans la principale.
  • Jean parle plus vite quil ne pense
  • quil ne pense, Jean parle plus vite
  • Jean parle vite quil ne pense

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V. Différentes classes de subordonnées
circonstancielles
  • Il sagit de deux classes, les comparatives et
    les consécutives.
  • Ces constructions ne relèvent pas dun schéma de
    subordination classique
  • La  subordonnée  et la  principale  sont
    interdépendantes.
  • De ce fait, la frontière entre la  principale 
    et la  subordonnée  nest pas clairement
    délimitée.
  • Nous les étudierons séparément.

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VI. Alternance avec les constructions
participiales
  • La définition des grammaires une proposition
    participiale est formée dun participe présent ou
    passé et de son sujet, exprimé et distinct de
    celui du verbe principal
  • Sa nièce arrivant, cétait le feu dans la maison
  • (Nerval)
  • Le père mort, le fils vous retournent le champ
  • (La fontaine)

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VI. Alternance avec les constructions
participiales
  • Toutefois, on peut considérer comme propositions
    participiales, les constructions dans lesquelles
    le sujet du participe nest pas réalisé, car
    coréférent avec le sujet de la principale
  • Ayant travaillé toute la soirée, Marie monta se
    coucher
  • Croisant Jean dans la rue, Marie ne lui dit pas
    bonjour
  • On peut postuler lexistence dun sujet nul, du
    type PRO, coïdndexé avec le sujet de la
    principale.

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VI. Alternance avec les constructions
participiales
  • Ces prépositions peuvent avoir une valeur
    temporelle, causale ou conditionnelle.
  • Les gérondifs se comportent de la même façon que
    les constructions participiales et ont les mêmes
    valeurs sémantiques
  • En entrant dans la pièce, il salua tout le monde
  • ( quand)
  • En la critiquant de la sorte, vous le
    décourageriez
  • ( si)

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VII. Les constructions corrélatives
  • Les grammaires incluent généralement dans la
    classe des subordonnées circonstancielles une
    classe de constructions syntaxiquement très
    différentes des circonstancielles de temps, de
    cause,
  • Il sagit des constructions comparatives et des
    subordonnées consécutives.
  • En effet, on peut noter tout de suite que ces
    subordonnées ne sont ni mobiles, ni indépendantes.

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VII. Les constructions corrélatives
  • On peut identifier deux types de constructions
    corrélatives
  • Les deux propositions (i.e. la  subordonnée  et
    la  principale ) sont en état dinterdépendance
    on ne peut supprimer ni lune ni lautre
    séparément. Il sagit là dun système corrélatif
    au sens strict du terme.
  • Marie a agi comme tu laurais fait à sa place
  • Jean parle plus vite quil ne pense

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VII. Les constructions corrélatives
  • Lune des deux propositions est effectivement
    subordonnée à lautre, mais dépend dun adverbe
    qui est corrélatif de la conjonction dans la
    principale. Il sagit alors dune corrélation au
    sens étendu.
  • Jean est si bête quil ne pourra rien comprendre
  • Luc a tellement crié quil a réveillé tout le
    quartier

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VIII. Les comparatives
  • Il nest pas aisé de donner une définition
    précise de ces constructions.
  • Disons, en simplifiant quelque peu, que dans ces
    constructions, la subordonnée formule des
    comparaisons quantitatives ou qualitatives.
  • Diverses constructions peuvent entrer dans cette
    classe.

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VIII. Les comparativesa. Comparaison qualitative
  • Dans ce type de comparaison, on met en relation
    deux phrases, soit pour énoncer un rapport
    déquivalence global entre deux faits, soit pour
    rapprocher dun SN un autre SN sur la base dun
    prédicat commun, implicite ou explicite.
  • Ces constructions comportent très souvent une
    ellipse, le prédicat commun (verbe ou adjectif)
    nétant généralement pas répété.

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VIII. Les comparativesa. Comparaison qualitative
  • Exemples de constructions sans ellipse
  • Marie ment comme elle respire
  • Marie est jolie comme on est joli à cet âge
  • Le spectacle était bien tel quon lavait
    annoncé
  • Il est ressorti ainsi quil était entré
  • Il mentira, de même quil a menti à tous ses
    amis

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VIII. Les comparativesa. Comparaison qualitative
  • Exemples de constructions avec ellipse
  • Jean parle comme son père
  • Jean est heureux comme un enfant
  • Il vous regarde comme une vielle fille son
    confesseur
  • (ex. de Sanfeld)
  • Problème pour lanalyse syntaxique faut-il
    considérer la séquence elliptique comme un SP ou
    comme une phrase ?

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VIII. Les comparativesa. Comparaison quantitative
  • Dans ce type de comparaison, la proposition
    comparative, introduite par que, dépend
    formellement dun adverbe quantifieur ou dun
    déterminant complexe à valeur quantificatrice.
  • Les adverbes quantifieurs sont plus, davantage,
    moins, aussi, autant,
  • Les déterminants complexes à valeur
    quantificatrice sont plus de, moins de et autant
    de.

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VIII. Les comparativesa. Comparaison quantitative
  • Exemples sans ellipse
  • Pierre a bu autant de vin que Paul a bu deau
  • Pierre a bu plus dalcool quil nen pouvait
    supporter
  • Exemples avec ellipse
  • Marie est plus grande que Paul
  • Marie est aussi intelligente que Paul
  • Marie mange plus que Paul

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VIII. Les comparativesLa syntaxe des comparatives
  • Les comparatives, même lorsquelles ne sont pas
    elliptiques, comportent un élément vide
    constitutif de leur construction comme
    subordonnée.
  • Cet élément est rendu manifeste, dans les
    comparatives introduites par les déterminants
    adverbiaux autant, plus ou moins, par le SN
    incomplet en de N quil laisse paraître
  • Marie a écrit autant de romans que Zoé a tourné
    de films

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VIII. Les comparativesLa syntaxe des comparatives
  • Attention cet élément vide nest pas une
    ellipse. Il sagit du quantifieur parallèle, dans
    la subordonnée, au quantifieur de la principale.
  • Cest cet élément vide sous-jacent qui
    différence, dans certains cas, la comparative
    dune consécutive
  • Il est tel quon imagine un PDG
  • Cette phrase est ambiguë entre une interprétation
    comparative et une interprétation consécutive.

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VIII. Les comparativesLa syntaxe des comparatives
  • Interprétation comparative
  • Il est tel quon imagine quest un PDG
  • Avec élément vide lattribut
  • Interprétation consécutive
  • Il est tel quon imagine quil est PDG
  • Sans position vide

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VIII. Les comparativesLa sémantique des
comparatives
  • Les comparatives quantitatives peuvent exprimer
  • Linégalité
  • a. supériorité
  • Marie est plus intelligente que Zoé
  • b. infériorité
  • Marie est moins intelligente que Zoé
  • Légalité
  • Marie est aussi intelligente que Zoé

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VIII. Les comparativesLellipse dans les
comparatives
  • Lellipse est extrêmement fréquente dans les
    constructions comparatives.
  • Principe Les éléments qui ne sont pas
    contrastés entre la principale et la subordonnée
    sont facultatifs
  • Jean a vu plus de choses que Paul (nen a vu)
  • Jean a écrit plus de romans que Marie dessais
  • Jean a écrit plus de romans que Marie na tourné
    de films

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VIII. Les comparativesLellipse dans les
comparatives
  • Dans (1), les deux constituants contrastés sont
    Jean et Paul, le sujet de la principale et celui
    de la subordonnée. Tout le prédicat, le SV, peut
    alors être supprimé dans la subordonnée.
  • Dans (2), il y a deux deux paires de constituants
    contrastés le sujet et le COD de la principale
    sont contrastés respectivement avec le sujet et
    le COD de la subordonnée. Les verbes des deux
    propositions ne sont en revanche pas contrastés,
    doù labsence du verbe dans la subordonnée.

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VIII. Les comparativesLellipse dans les
comparatives
  • Enfin, dans (3), tous les constituants de la
    principale sont contrastés avec ceux de la
    subordonnées, doù labsence de lellipse dans la
    subordonnée.
  • La possibilité de telles constructions
    elliptiques est une des difficultés principales
    de lanalyse syntaxique des constructions
    comparatives.
  • La question principale qui se pose est la nature
    de la séquence elliptique.

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VIII. Les comparativesLellipse dans les
comparatives
  • Doit-on rattacher ces constructions elliptiques à
    une structure prédicatives complètes ? Autrement
    dit, est-il justifié danalyser Marie dans
  • Jean a écrit plus de romans que Marie
  • comme une proposition complète, même si cette
    séquence ne comporte quun syntagme nominal ?
  • Nous nous contenterons ici de signaler ces
    difficultés, sans y apporter une réponse.

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IX. Les consécutives
  • A linstar de Muller (1996) nous distinguerons
    deux classes de consécutives syntaxiques
  • 1. Les consécutives quantifiées
  • Il a tant bu quil est tombé malade
  • Il fait si froid que je ne sortirai pas de chez
    moi
  • 2. Les consécutives non quantifiées
  • Il écrit, de sorte quil passe pour un écrivain
  • (Les exemples sont empruntés à C. Muller)

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IX. Les consécutives1. Les consécutives
quantifiées
  • Ces constructions sont introduites soit
  • 1. par un marqueur de degré, de quantité ou
    didentité, accompagné ou non dun nom
    classifieur dont il est épithète ou attribut. Ces
    marqueurs sont tel, tellement, tant, si.
  • 2. Soit par le nom classifieur seul. Le nom
    classifieur spécifie le domaine de quantification.

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IX. Les consécutives1.1. Quantifiées avec un
marqueur
  • A. Sans nom classifieur
  • Les circonstances sont telles que je préfère me
    taire
  • Luc est tellement bête, quil ne comprendra rien
  • Il fait si chaud que je bougerai pas de chez moi
  • Il a tant crié que tout le quartier sest
    réveillé

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IX. Les consécutives1.1. Quantifiées avec un
marqueur
  • B. Avec nom classifieur
  • Les noms classifieurs sont manière, façon,
    point, quantité, degré. Ils sont employés avec le
    marqueur tel
  • Il agit de façon telle que tout le monde le
    déteste
  • Il m énerve à tel point que je vais me fâcher
  • Il boit en quantité telle quil va être malade

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IX. Les consécutives1.1. Quantifiées avec le nom
classifieur seul
  • Dans ce cas-là, le nom classifieur forme un
    syntagme prépositionnel
  • Il boit au point quil en est tombé malade
  • La négation entraîne généralement une alternance
    modale
  • Il ne boit pas au point qu il en soit tombé
    malade
  • La négation ne porte pas sur le verbe boire, mais
    sur la quantité estimée nécessaire pour
    déclencher la conséquence, cest-à-dire tomber
    malade.

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IX. Les consécutives2. Les consécutives non
quantifiées
  • Dans ce type de construction consécutive, la
    première proposition ne comporte pas de
    quantification.
  • Luc parle tout le temps, si bien quil passe
    pour un bavard
  • Marie a fait tout ce qu elle pouvait pour
    sauver Jean, de sorte quon ne peut rien lui
    reprocher

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IX. Les consécutives2. Les consécutives non
quantifiées
  • A la différence du cas précédent, la négation de
    la proposition na pas d effet sur la seconde
  • Il parle beaucoup, si bien qu il passe pour un
    idiot
  • Il ne parle pas beaucoup, si bien qu il passe
    pour un idiot
  • ? La négation porte bien ici sur le verbe de la
    principale.
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