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LES NOUVELLES NORMES COMPTABLES ET LEURS CONSEQUENCES DANS L

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Title: LES NOUVELLES NORMES COMPTABLES ET LEURS CONSEQUENCES DANS L ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL Subject: Applicaation des changements comptables au 1/1/2005 dans l ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: LES NOUVELLES NORMES COMPTABLES ET LEURS CONSEQUENCES DANS L


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LES NOUVELLES NORMES COMPTABLES ET LEURS
CONSEQUENCES DANS LENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
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LES NOUVELLES NORMES COMPTABLES ET LEURS
CONSEQUENCES DANS LENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
  • I) PRESENTATION SUCCINCTE DES NORMES
    INTERNATIONALES
  • II) CONVERGENCE AVEC LES NORMES IFRS
  • III) PRINCIPALES CONSEQUENCES COMPTABLES DES
    NOUVELLES NORMES
  • IV) PRISE EN COMPTE DANS LENSEIGNEMENT
    PROFESSIONNEL

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I) PRESENTATION SUCCINCTE DES NORMES
INTERNATIONALES
  • A- NORMES ACTUELLES
  • B- CONVERGENCES EN COURS
  • C- CARACTERISTIQUES DES NORMES IFRS

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A- NORMES ACTUELLES
  • Présence de différentes normes comptables sur le
    plan international, en concurrence pour obtenir
    la primauté dans le cadre dune intégration
    mondiale
  • Normes américaines (US GAAP)
  • Normes internationales (IASB/IFRS)
  • Règles européennes (4ème et 7ème directives)

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B- CONVERGENCES EN COURS
  • US-GAAP et IASB/IFRS les normes américaines et
    internationales ont entamé un processus de
    convergence en 2002
  • IASB/IFRS et Union Européenne lUnion
    Européenne a décidé dinscrire sa normalisation
    comptable dans le cadre des IFRS en 2003

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C- PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DES NORMES (1/2)
  • Les normes IFRS sont caractérisées en
    particulier par 2 concepts fondamentaux
  • substance over form
  • (prééminence du fond sur la forme)
  • fair value
  • (juste valeur)

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C- PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DES NORMES (2/2)
  • Ces concepts fondamentaux en IFRS sont en
    contradiction avec deux principes forts de la
    comptabilité française
  • primauté de laspect juridique et
    principe des coûts historiques
  • principe de prudence

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II) CONVERGENCE AVEC LES NORMES IFRS
  • Elle se traduit de 2 façons différentes
  • pour les sociétés françaises cotées (un millier
    environ), obligation de présenter leurs comptes
    consolidés selon les normes IFRS
  • pour les comptes individuels, intégration dans le
    PCG déléments issus assez directement du cadre
    conceptuel IFRS

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CONVERGENCE AVEC LES NORMES IFRS
  • A- SPÉCIFICITÉS FRANCAISES
  • B- PRINCIPAUX ÉLÉMENTS INTÉGRÉS DANS LE PCG
  • C- LES CONSÉQUENCES COMPTABLES

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A- SPÉCIFICITÉS FRANCAISES
  • Laspect juridique était jusquà présent
    primordial dans la conception française de la
    comptabilité.
  • Par ailleurs la comptabilité française était
    marquée jusquà présent par un lien très fort
    entre comptabilité et fiscalité, ce qui amenait
  • soit à réaliser des comptabilisations sur la base
    des règles fiscales (ex. calcul des
    amortissements sur la base des durées dusage
    admises par ladministration fiscale)
  • Soit à passer des écritures comptables pour tenir
    compte des différences entre traitement comptable
    et fiscal (ex. amortissement dérogatoire pour
    comptabiliser le surplus damortissement généré
    par lamortissement exceptionnel, voire
    dégressif)

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B- PRINCIPAUX ÉLÉMENTS INTÉGRÉS DANS LE PCG
  • En 2000, règlement n00-06 relatif aux provisions
    pour risques et charges
  • Au 1/1/2005 (au plus tard), règlement CRC 02-10
    relatif à lamortissement et la dépréciation des
    actifs et règlement CRC 04-10 relatif à la
    définition, la comptabilisation, et lévaluation
    des actifs

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C) LES CONSEQUENCES COMPTABLES
  • - remise en cause dun certain nombre de règles
    concernant les immobilisations et les
    amortissements
  • déconnection fiscalité/comptabilité ?

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III) PRINCIPALES CONSEQUENCES COMPTABLES DES
NOUVELLES NORMES
  • A) LES IMMOBILISATIONS
  • B) LES AMORTISSEMENTS
  • C) MISE EN APPLICATION

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A) LES IMMOBILISATIONS
  • Les conséquences comptables des nouvelles normes
    dans le traitement des immobilisations touchent
    principalement à 3 aspects
  • Le coût dacquisition
  • La décomposition en composants
  • La dépréciation des immobilisations

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a- le coût dacquisition
  • La principale modification tient à lintégration
    de lescompte dans le coût dacquisition des
    immobilisations  désormais, à partir du
    1/1/2005, lescompte obtenu sur lacquisition
    dune immobilisation doit être déduit de la
    valeur dacquisition de limmobilisation, et non
    plus comptabilisé en produit financier comme
    précédemment
  • Le coût dentrée de limmobilisation doit
    également intégrer, le cas échéant, le coût de
    démantèlement et de restauration du site.
  • Les droits de mutation, honoraires et commissions
    ou frais dactes étaient jusquà présent exclus
    du coût dacquisition. Désormais ils sont compris
    dans la définition du coût dentrée de lactif.
    Cest obligatoire pour les comptes consolidés,
    dans les comptes individuels ces frais peuvent
    être sur option comptabilisés en charges.

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b- composants
  • Les immobilisations doivent être obligatoirement
    décomposées en composants, si les composants ont
    des durées dutilisation différentes ou procurent
    des avantages économiques à des rythmes
    différents que la structure de base (ex.
    ascenseur dans un immeuble, moteur dans une grue,
    réacteurs dans un avion,).
  • Lévaluation des composants, simple pour une
    acquisition nouvelle dont on peut connaître
    facilement le coût de chaque élément constituant
    un composant, est plus complexe pour les
    immobilisations anciennes acquises avant le
    1/1/2005, pour lesquelles 3 méthodes dévaluation
    sont possibles
  • reconstitution du coût amorti, méthode
    applicable pour les comptes individuels et
    compatible avec les normes IFRS
  • réallocation des valeurs comptables, méthode
    simplifiée applicable pour les comptes
    individuels mais non conforme aux normes IFRS
  • évaluation des composants à la juste valeur,
    méthode IFRS mais non applicable pour les comptes
    individuels

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c- dépréciation (1/3)
  • En cas dindice de perte de valeur, un test de
    dépréciation est effectué  si la valeur actuelle
    de limmobilisation est inférieure à sa valeur
    nette comptable, celle-ci est ramenée la valeur
    actuelle par une dépréciation (6816 à 29xx).
  • La valeur actuelle est la plus élevée de 2
    valeurs 
  • valeur vénale
  • valeur dusage

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c- dépréciation (2/3)
Indice de perte de valeur ?
NON
OUI
Valeur Vénale gt V. N. C. ?
OUI
NON
Valeur dusage gt V. N. C. ?
OUI
NON
Dépréciation la VNC est supérieure à la valeur
vénale et à la valeur dusage On retient la plus
forte des 2
La valeur nette comptable (V. N. C.) est
conservée
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c- dépréciation (3/3)
  • Changements comptables 
  • Dans ses anciennes versions, jusquen 2005, le
    PCG prévoyait, si la valeur actuelle dun bien
    devenait inférieure (de façon significative) à la
    valeur nette comptable, la possibilité dune
    dépréciation qui senregistrait en
  • provision si la dépréciation était jugée non
    définitive,
  • ou en amortissement exceptionnel si elle était
    estimée définitive.
  • Désormais, la recherche dune éventuelle
    dépréciation sera beaucoup plus systématique,
    prendra en compte la notion de valeur dusage, et
    sera comptabilisée en dépréciation, le terme de
    provision étant abandonné pour les
    immobilisations .

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B) LES AMORTISSEMENTS
  • Ancienne définition (PCG 1999) lamortissement
    consistait à répartir le coût dun bien sur sa
    durée probable dutilisation selon un plan
    damortissement.
  • Nouvelle définition (PCG 2005)  lamortissement
    est la consommation des avantages économiques
    attendus dun actif.
  • Cette nouvelle définition, beaucoup plus
    économique, a des conséquences sur 
  • la durée damortissement
  • le mode damortissement
  • la base damortissement 

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a) La durée damortissement
  • En raison de la connexion de la comptabilité avec
    la fiscalité, jusque là les entités utilisaient
    en pratique des durées dusage professionnel, en
    accord avec ladministration fiscale, ce qui
    permettait une déduction fiscale égale à la
    dotation comptable.
  • Désormais, lapplication des nouvelles règles
    devrait se traduire par lamortissement sur les
    durées réelles dutilisation, en général plus
    longues que les durées dusage.

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b) Le mode damortissement
  • Situation antérieure au 1/1/2005  la plupart des
    entités utilisaient le mode dégressif pour
    lamortissement comptable des biens qui le
    permettaient.
  • Désormais, lamortissement comptable doit
    correspondre à lutilisation réelle du bien, le
    mode damortissement devrait donc être le mode
    linéaire, à défaut dun mode plus approprié.
  • Cela signifie la nécessité de pratiquer un
    amortissement dérogatoire en complément pour
    bénéficier de la déductibilité fiscale du
    dégressif, plus important en début dutilisation
    du bien.

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c) La base damortissement
  • La base damortissement est le coût dacquisition
    du bien.
  • Désormais, il sera obligatoire de tenir compte
    dune valeur résiduelle si elle est
    significative, et lamortissement sera calculé
    sur le coût dacquisition diminué de cette
    valeur résiduelle, ce qui réduit dautant le
    montant des dotations damortissement.
  • Or ladministration fiscale ne tient pas compte
    de la valeur résiduelle, ce qui signifierait un
    amortissement comptable inférieur au minimum
    fiscal et des AID perdus fiscalement.
  • Lentité devra donc pratiquer en complément un
    amortissement dérogatoire (solution admise
    désormais par ladministration fiscale).

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C) MISE EN APPLICATION
  • Lapplication des nouveaux textes devait
    entraîner une remise en cause des
    comptabilisations réalisées durant les exercices
    précédents en ce qui concerne les immobilisations
    et les amortissements.
  • Les modalités dapplication ont été assez
    fortement assouplies durant les derniers mois, en
    particulier pour les PME.

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a) Règle de base initiale (1/3)
  • Le PCG prévoit quil convient de déterminer
    leffet des nouvelles méthodes comptables (ici
    au 1/1/2005) comme si elles avaient toujours été
    appliquées.
  • Il sagit donc dune application rétrospective
    des nouveaux textes, il faut reconstituer le
    coût amorti des actifs et recalculer les
    amortissements depuis la première utilisation des
    biens.
  • Lincidence du changement à louverture, après
    effet dimpôt, est imputée en report à nouveau.

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a) Règle de base initiale (2/3)
  • Exemple  bâtiment acquis le 1/1/2000 pour
    1 000 000 , dont un ascenseur pour 100 000 . Le
    bâtiment a une durée dutilisation de 50 ans, et
    lascenseur de 25 ans.
  • Entre le 1/1/2000 et le 31/12/2004, le bâtiment,
    enregistré en totalité pour 1 000 000 , a été
    amorti pour 
  • 1 000 000 x 2 x 5 ans 100 000
  • Au 1/1/2005 il faut appliquer la comptabilisation
    par composants, et séparer lascenseur de la
    structure.
  • Il faut également recalculer les amortissements
    tels quil auraient dû lêtre depuis le début,
    soit 
  • Immeuble  900 000 x 2 x 5 ans 90 000
  • Ascenseur  100 000 x 4 x 5 ans 20 000
  • Soit un différentiel damortissement de 
    (90 000 20 000) 100 000 10 000

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a) Règle de base initiale (3/3)
  • Ecritures comptables

2131.1 Bâtiment-structure 900 000
2131.2 Bâtiment-ascenseur 100 000
2131 Bâtiment 1 000 000
Constatation des composants
28131 Amortissement du bâtiment 100 000
119 Report à nouveau 10 000
28131.1 Amort. du bâtiment-structure 90 000
28131.2 Amort. du bâtiment-ascenseur 20 000
Rattrapage des amortissements
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b) Première simplification proposée par le comité
durgence (1/3)
  • Le comité durgence du CNC a proposé (avis 03-E),
    en ce qui concerne les immobilisations
    décomposables, pour la première mise en œuvre de
    la méthode des composants, une modalité
    simplifiée appelée  réallocation des valeurs
    comptables .
  • Cela consiste à réallouer les VNC actuelles pour
    reconstituer les composants. Cette méthode est 
  • rétrospective pour la reconstitution des valeurs
    initiales
  • prospective pour le calcul des amortissements

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b) Première simplification proposée par le comité
durgence (2/3)
  • Exemple précédent 
  • Limmeuble (structure) est repris pour 900 000
    , et lascenseur pour 100 000 (pas de
    changement).
  • Par contre on ne remet pas en cause les
    amortissements initiaux, les 2 composants sont
    repris pour leur part de VNC soit  VNC
    globale  1 000 000 100 000 900 000
  • VNC structure  900 000 x 90 810 000
  • VNC ascenseur  900 000 x 10 90 000
  • Les amortissements nont pas changé 
  • amortissements structure  900 000 810 000
    90 000
  • amortissements ascenseur  100 000 90 000
    10 000
  • Il ny a donc pas dimpact sur les capitaux
    propres de lexercice douverture (au 1/1/2005).

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b) Première simplification proposée par le comité
durgence (3/3)
  • Ecritures comptables

2131.1 Bâtiment-structure 900 000
2131.2 Bâtiment-ascenseur 100 000
2131 Bâtiment 1 000 000
Constatation des composants
28131 Amortissement du bâtiment 100 000
28131.1 Amort. du bâtiment-structure 90 000
28131.2 Amort. du bâtiment-ascenseur 10 000
Reprise des amortissements
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c) Nouvelle simplification (situation actuelle)
(1/2)
  • 1) En raison de la difficulté de mise en œuvre de
    la méthode rétrospective pour les entreprises, le
    comité durgence du CNC (avis 05-D) vient de
    proposer détendre la méthode prospective aux
    immobilisations non-décomposables, ce qui
    éviterait de retraiter les amortissements
    antérieurs.
  • Contrainte  les entreprises devront
    probablement utiliser la même méthode pour tous
    leurs actifs.

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c) Nouvelle simplification (situation actuelle)
(2/2)
  • 2) Par ailleurs, le comité durgence propose pour
    les PME une mesure de simplification permettant
    de continuer à appliquer lamortissement sur des
    durées dusage pour les immobilisations
    non-décomposables . Pour les immobilisations
    décomposables il faudra appliquer les durées
    résiduelles dutilisation.
  • Seuils probables pour les PME (2 sur 3 doivent
    être respectés) 
  • Bilan  3 650 000
  • C. A.  7 300 000
  • Nombre de salariés  50

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IV) PRISE EN COMPTE DANS LENSEIGNEMENT
PROFESSIONNEL
  • A) APPLICATION DES NOUVELLES NORMES DANS
    LENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
  • B) AJUSTEMENT DANS LENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
  • C) COMMENT OPERER LINTEGRATION DES NOUVELLES
    NORMES ?

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A) APPLICATION DES NOUVELLES NORMES DANS
LENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
  • Les élèves de lycée professionnel ne devraient
    pas être concernés par lapplication des normes
    IFRS dans les entreprises cotées, car la
    complexité des opérations dépasse totalement leur
    domaine dintervention.
  • Par contre, ils seront évidemment concernés comme
    lensemble des entreprises, y compris les PME par
    lintégration des nouvelles normes dans le PCG,
    en particulier en ce qui concerne les
    immobilisations et les amortissements.

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B) AJUSTEMENT DANS LENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
  • Question essentielle  quelles difficultés
    intégrer dans létude des immobilisations et des
    amortissements avec les élèves ?
  • Question incidente  comment gérer
    lamortissement dégressif, qui fait partie
    intégrante du référentiel des élèves de
    baccalauréat professionnel comptabilité, mais
    dont la comptabilisation devrait générer des
    écritures comptables en amortissement dérogatoire
    qui sont exclues explicitement du référentiel ?

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C) COMMENT OPERER LINTEGRATION DES NOUVELLES
NORMES ?
  • Il sera sans doute nécessaire de
  • préciser les concepts
  • cerner les éléments à intégrer
  • indiquer les limites pour létude dans le cadre
    de lenseignement professionnel

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a) Définitions
  • Nécessité de revoir les définitions
    dimmobilisation et damortissement
  • Etablir le lien entre les nouveaux concepts et la
    philosophie qui les sous-tend (logique économique
    et financière privilégiée dans les normes IFRS)

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b) Quels éléments intégrer ? (1/2)
  • Il semble difficile de ne pas traiter
  • - pour les immobilisations 
  • - la prise en compte de lescompte,
  • - la décomposition en composants,
  • - la dépréciation

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b) Quels éléments intégrer ? (2/2)
  • - Pour les amortissements 
  • la correspondance entre la nouvelle définition
    et le mode de calcul
  • la modification du plan damortissement suite
    à dépréciation

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c) Quelles limites (1/4) ?
  • La mise en place au 1/1/2005 peut paraître
    inutile, car complexe, et nintervenant quune
    seule fois, au passage aux nouvelles règles.

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c) Quelles limites (2/4) ?
  • Létude des composants pourrait se faire dans
    une situation simple dacquisition dune
    immobilisation à décomposer avec des plans
    damortissement spécifiques de chaque composant
    pour ses conditions propres damortissement.

42
c) Quelles limites (3/4) ?
  • Lapplication dune dépréciation pourrait se
    limiter à son principe, lécriture comptable de
    dépréciation, accompagnée de la réalisation dun
    nouveau tableau damortissement sur la base de la
    nouvelle VNC (correspondant à la valeur actuelle)
    faite en relation avec la logique économique
    dutilisation des biens, dans des cas simples,
    sans envisager la variation éventuelle de la
    dépréciation sur les exercices ultérieurs, qui
    pose des problèmes plus complexes.

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c) Quelles limites (4/4) ?
  • Comment continuer à étudier lamortissement
    dégressif, sans déboucher sur les écritures
    damortissement dérogatoire 
  • faire limpasse sur sa comptabilisation ?
  • considérer que le dégressif pourrait être un mode
    damortissement économique à comptabiliser comme
    tel (par ex. pour du matériel informatique,
    présentant une obsolescence plus rapide ?)
  • autre solution ?

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V) CONCLUSION
  • La mise en place des nouvelles règles comptables
    nécessite sans doute une définition du cadre dans
    lequel ces normes doivent être enseignées dans
    les classes, en particulier dans la perspective
    du baccalauréat.
  • Elles comportent aussi des aspects critiquables,
    peut-on les évoquer de façon simple avec les
    élèves ?
  • Enfin, nest-ce pas une occasion de prendre un
    peu de distance avec lapplication automatique
    des règles du PCG, et de réfléchir sur leur
    finalité ?

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