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Diapositive 1

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1- Les caract ristiques et les causes de l explosion urbaine de Casablanca Casablanca 3 800 000 habitants en 2004 Mohammedia 322 286 habitants en 2004 – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


1
1- Les caractéristiques et les causes de
lexplosion urbaine de Casablanca
Les raisons du départ Mobiles d'émigration La
raison principale de l'exode rural est le manque
de travail et de revenus. La misère sévissant sur
place, la dureté de la vie à la campagne, sont en
général invoquées, de même que le manque de
distractions et l'absence d'avenir pour les
enfants. Enfin, nombre de ces ruraux ont quitté
le village comme adolescents à la mort de leurs
parents et ont été appelés par la famille déjà
installée en ville. Choix de la ville La
majorité d'entre eux sont allés vers la ville la
plus proche, qui est aussi souvent celle où
d'autres membres de la famille ont déjà émigré.
Toutefois, un tiers déclarent être allés là où
ils avaient un travail précis en vue (ouverture
d'une usine ou d'un chantier, embauche dans une
carrière). Une petite minorité a fait son choix
en fonction de projets plus lointains émigrer à
l'étranger, après s'être installé provisoirement
à Casablanca (Office d'Emigration). Ces ruraux
ont-ils trouvé en ville ce qu'ils y cherchaient ?
Ont-ils été déçus par la réalité de leurs
conditions en ville ? En majorité, les anciens
ruraux prétendent avoir trouvé du travail assez
rapidement (67 ) mais 20 d'entre eux sont
restés sans emploi ou n'en ont trouvé que de
temps à autre. Parmi ceux qui sont arrivés depuis
moins de 6 ans, cette proportion est plus élevée
(30 ). Toutefois, même sans emploi, "on se
débrouille mieux en ville qu'à la campagne",
dit-on. La solidarité familiale joue, et les
commerçants font crédit... L'isolement de la vie
à la campagne semble avoir beaucoup pesé "ici
on est nombreux, il y a toujours moyen de gagner
quelques sous". "Ici on se débrouille". C'est le
mot le plus souvent entendu pendant les
interviews. Quant au logement, il n'est pas
tellement éloigné au point de vue confort de
celui de leur ancien habitat. Enquête
socio-économique sur échantillonnage de
bidonvilles marocains par D r Maria Graeff
Wassink, Conseiller technique à la FMVJ, UNESCO
2
Les raisons de l'essor  L'essor de la cité
casablancaise, phénomène majeur de la géographie
du Maroc au cours du 20e siècle est certes lié à
la situation favorable de l'agglomération à
proximité des riches plaines atlantiques de la
Chaouïa et des Doukala ainsi que des grands
gisements de phosphates du pays. Néanmoins, ces
éléments ne suffisent pas pour comprendre sa
formidable expansion. Plusieurs facteurs
indépendants et complémentaires ont contribué à
cette ascension. Casablanca est aujourd'hui un
foyer d'activités extrêmement diversifiées. Au
Maroc, l'exercice de la fonction écoomique et
celle de coordination politique ont imposé
l'amélioration des Instruments d'échanges et de
circulation. (...) Ainsi, la capitale économique
constitue aujourd'hui le nœud privilégié des
échanges à l'échelle de tout le pays et commande
un réseau de relations remarquablement
denses. Grand port moderne de la colonisation,
elle est devenue très tôt, le principal pôle de
drainage et de diffusion de produits divers, de
capitaux et des hommes, la seule grande place
financière et commerciale du pays. Près de 70 de
l'activité portuaire de tout le Maroc transitent
aujourd'hui par l'ensemble Casablanca-Mohammedia.
Par ailleurs, l'agglomération possède le seul
grand aéroport de classe internationale.
Daprès A. KAIOUA, Casablanca, lindustrie et
la ville, fascicules de Recherches dURBAMA n30
31, 1996
Source Dynamique urbaine au Maroc et bassins
migratoires des principales villes
www.cered.hcp.ma
La vie en ville En majorité, les habitants
interrogés préfèrent cependant la vie actuelle à
celle de la campagne (57 ) - la façon de vivre
en ville est meilleure (40 ) , - on peut
trouver du travail en ville (37 ) , - tout est
mieux ici (31 ) Les commentaires suivants
illustrent cette opinion "Quand on n'a pas de
terre à soi-même, la vie à la campagne est très
malheureuse","Là-bas, on n'arrêtait pas de
travailler mais on n'avait pas un sou en
poche","En ville on apprend des choses","Ici on
se distrait, on voit des gens, on discute", "On
s'ennuie à la campagne, la vie y est sale et
fatiguante". Ont-ils changé leurs habitudes
depuis leur venue en ville ? "Oui", répondent 44
de l'ensemble de l'échantillon. Ce sont des
ruraux arrivés depuis relativement peu de temps
qui signalent le plus souvent (64 ) les
changements intervenus dans leur façon de vivre
L'alimentation "On ne mange pas les mêmes
choses, on mange plus varié là-bas, on ne
mangeait que ce qu'on produisait", "Ici on mange
beaucoup de légumes et du poisson, là-bas il n'y
avait que des tomates et des oignons". Les
mentalités "On apprend plein de choses en
ville". "On change d'avis sur beaucoup de
questions, par exemple sur l'éducation des
enfants"."Au début, je voulais que les enfants
travaillent, maintenant je les envoie à l'école".
"Je pensais que l'école était une perte de temps,
j'ai changé d'avis". Enquête socio-économique sur
échantillonnage de bidonvilles marocains par D r
Maria Graeff Wassink Conseiller technique à la
FMVJ, UNESCO
3
2- Des disparités fortes au sein dune même ville
4
Des très riches et des très pauvres LeMonde.fr -
15 juil. 2009 Le calme et la végétation. C'est
peut-être cela, le véritable luxe d'Anfa, 4e
arrondissement de Casablanca, le plus huppé de la
capitale économique du royaume. Ici, ni pollution
ni bruits de klaxons. Des chants d'oiseaux, des
palmiers, des lauriers-roses... Plus on monte sur
la colline, plus c'est chic. D'en haut, on
aperçoit la mer. Tout est beau. Reda, 30 ans, dit
avoir passé ici une enfance et une jeunesse de
rêve . Il a fait sa scolarité au lycée français
de Casablanca avant de faire ses études
supérieures en France puis aux Etats-Unis, comme
tous ses amis. Les jeunes d'Anfa vont se baigner
sur la Corniche. Pas de plages publiques. Chacun
est inscrit à un club. Le plus prisé est le Sun,
surnommé le CCC (club des clubs de Casa). Ses
adhérents s'y baignent dans une piscine olympique
à l'eau de mer, renouvelée trois fois par
semaine. Le soir, on va souvent dîner dans l'un
des endroits branchés de Casablanca, le Relais de
Paris par exemple, avant de finir dans l'une des
boîtes à la mode. Le Golfe royal, au sommet de la
colline d'Anfa, est un autre lieu de rencontres,
à deux pas du fameux hôtel d'Anfa, où Churchill,
Roosevelt, de Gaulle et Giraud se réunirent en
janvier 1943 pour décider de l'après-guerre. Tout
près, un ensemble de villas est interdit d'accès.
C'est une propriété privée de Mohammed VI. Ici,
chaque famille a au moins un gardien, un
chauffeur et trois femmes de ménage, tous
nourris-logés. C'est le truc basique , explique
Reda. Les mariages sont l'occasion de réceptions
fastueuses. Parfois, tout ce beau monde prend le
prétexte d'une noce pour se déplacer à Marrakech.
Le week-end du 1er mai, il y a eu là-bas trois
fêtes concurrentes. C'était de la folie ! Une
débauche de vêtements de grands couturiers, de
bijoux, de voitures de sport... , raconte un
témoin. Les riches ont leur royaume. Ils
restent entre eux et nous méprisent , lâche,
désabusée, Saidia, 40 ans. Cette mère de deux
adolescentes avoue avoir honte d'habiter Sidi
Moumen. Situé dans le 16e arrondissement de
Casablanca, ce bidonville est le plus vaste de la
ville. Un condensé de misère et de violence sur
42 km2. Par endroits, on se croirait dans une
décharge à ciel ouvert. Les enfants jouent pieds
nus au milieu des ordures et des carcasses de
voitures. Ici et là déambulent une vache ou des
chèvres... Sidi Moumen, c'est l'envers du décor,
l'anti-Anfa. La plupart des kamikazes qui se sont
fait sauter le 16 mai 2003 en divers endroits de
Casablanca, faisant 45 morts et plus de 100
blessés, venaient de là.
Source Dynamique urbaine au Maroc et bassins
migratoires des principales villes
www.cered.hcp.ma
L'itinéraire de Maâti. Assis à califourchon
devant sa baraque de 10 mètres carrés, Maâti se
demande, en rage, comment il a pu quitter sa
belle campagne pour venir s'entasser dans ce
bidonville au nom évocateur de "Lahouna" (ils
nous ont jeté) de 1a périphérie de Casablanca.
Est-ce le harcèlement constant de sa femme qui ne
cessait de lui tambouriner les oreilles avec
"l'émigration" réussie de son cousin Ahmed ? "Un
vrai homme", ne cessait-elle de répéter d'un air
moqueur. Ou est-ce le ras-le-bol engendré par les
conditions de vie harassantes dans son douar
Cherja à Ouled Ziane ? Maâti reconnaît, au fond
de lui-même, qu'il était très sensible à
l'attrait exercé sur lui par cette "féerique
Lamdina" telle que présentée par sa télé
fonctionnant à la batterie (...), cette ville
propre et radieuse comme il l'avait imaginée et
qui ne ressemblait en rien à son bidonville. Il
s'imaginait passant dans ses longues artères
bordées d'arbres, habitant ses maisons spacieuses
et circulant à bord de ses voitures luxueuses.
(...) Il voulait être comme ces hommes que lui
montrait la télé, propres et rasés de près,
travaillant avec le stylo et non avec la pioche
ou la bêche. Plus encore, le travail aisé qu'il
comptait décrocher a été remplacé par "le métier"
harassant et peu lucratif de marchand ambulant. A
longueur de temps, le voilà traînant un chariot
de légumes et de fruits selon la saison, fuyant
le service d'ordre et les bandes de lascars et
essuyant sarcasmes et moqueries de certains
clients. Le confort et le mieux être se sont
évaporés pour laisser place à la misère, la
saleté et la promiscuité gênante de ce
rassemblement de baraques où tout manque. Ni
réseaux d'assainissement, ni eau courante, encore
moins d'électricité. (...) Maâti a tout perdu. Sa
maison et son lopin de terre au Douar qu'il a
bradé pour venir en ville, sa femme, qui n'est
plus que raillerie et dont le corps autrefois
vigoureux s'est ramolli. (... ) Il ne supporte
plus rien ni personne. II ne désire plus rien.
Sauf, peut-être. revenir quelques années en
arrière, du temps de son douar, loin, loin de
cette frénétique "Lamdina". D'après L'événement
Magazine n l, Casablanca. mars 1995
5
3- Les difficultés dune grande métropole
La corruption dénoncée Tenue, samedi 29 juin à
Casablanca, lassemblée générale de
lAssociation marocaine de lutte contre la
corruption (Transparency Maroc) sest soldée par
un diagnostic particulièrement alarmant. Aux yeux
des membres de cette ONG, le fléau de la
corruption nest pas encore endigué au Royaume.
Au contraire, la banalisation de la corruption
sous toutes ses formes, notamment à travers les
détournements des deniers publics, la concussion,
labus des biens sociaux, le racket et le
clientélisme, continue davancer dans les rouages
de lEtat et de la société sans susciter les
réactions à la mesure des dégâts quelle
occasionne. Maroc Hebdo International - N 518 -
Du 5 au 11 juillet 2002
La décharge publique de médiouna  Un gisement de
richesses à la recherche dun gestionnaire Par
Mhamed EL KHMOULLI, jeudi 13 janvier 2005, par
Centre national de documentation Maroc
http//doc.abhatoo.net.ma Quand on habite près
dune décharge publique on la sent. Les odeurs
sont insupportables, cela va jusquà la nausée
pour les riverains. Sous le vent, les problèmes
oculaires (picotements des yeux, larmes) sont
fréquents. Cest le vécu quotidien des habitants
de la région Est de la métropole de Casablanca,
notamment de la ville de Médiouna et ses
périphéries. En effet à la sortie-Est de la
capitale économique, se trouve la plus grande
décharge publique du royaume, qui reçoit plus de
3.000 tonnes de déchets par jour. Une véritable
usine de déchets où sentassent  les cadavres
danimaux morts de causes suspectes (maladie,
chiens écrasés), les plumes, les sous-produits de
la pêche, le contenu des intestins, le sang, les
déchets hospitaliers, en plus des effets néfastes
sur la nappe phréatique de la ville.
Extrait du journal Au fait, lundi 26 avril 2010,
www.aufaitmaroc.com
Vidéo pollution littorale
Les problèmes dans certains quartiers Derb
Ghallef est un quartier populaire de Casablanca
célèbre pour son marché appelé le marché joutia
mais aussi "Paradis du Piratage". Il est connu
pour la vente des produits électroniques, ainsi
que des contrefaçons à des prix modestes et
abordables par la majeure partie de la population
marocaine. On y trouve des marchands de meubles,
de prêt-à-porter, du multimédia, surtout pour les
étrangers. On peut y acheter quasiment n'importe
quel matériel informatique ou vidéoludique
possible. Toutes les pièces, puces, cartes sont
disponibles en quantité respectable. Certains
marchands font venir leur marchandise de
Corée-du-Sud et du Japon. On peut donc parfois
trouver du matériel pas encore sorti en Europe ou
aux US. Derb Ghallef est aussi l'archétype de la
corruption des fonctionnaires au Maroc. En effet,
ce marché est situé sur un terrain que se
déchirent des héritiers et les magasins le
constituant sont installés en dur sur place (pas
loin de 2 000 magasins numérotés). Ces magasins
sont la propriété de commerçants et peuvent se
céder comme un pas de porte, appelé en arabe le
"tanazoul". Le prix de certains magasins se sont
cédés par exemple à 130 000 dhs (13 000 euros)
pour un magasin de prêt à porter de
12 m². Wikipedia
Maroc bidonville ou fabrique de kamikazes ?
Ils nétaient quune dizaine. Mais depuis quils
se sont fait exploser au nom dAllah, le quartier
populaire de Sidi Moumen, en périphérie de
Casablanca, doit vivre avec le poids davoir vu
grandir des terroristes. La majorité des 12
kamikazes du 16 mai 2003, qui ont fait 33 morts
dans le centre-ville de Casablanca, étaient
originaires des bidonvilles de Sidi Moumen. Idem
pour Abdelfettah Raydi, 23 ans, qui sest fait
exploser dans un cybercafé du quartier le 11 mars
dernier, et son frère Ayoub, 19 ans, qui, traqué
par la police, a déclenché sa ceinture
dexplosifs le 10 avril, avec deux autres
complices. Depuis ce temps, Sidi Moumen sest vu
coller le surnom peu enviable de  fabrique de
kamikazes . La Presse - Frédérick Lavoie
http//www.bladi.net mai 2007
6
4- Faire face  les enjeux et le développement
durable
Le conseil de la ville de Casablanca adopte le
projet de charte de l'environnement Au fait,
14.07.2010 Le conseil de la ville de Casablanca,
réuni hier soir dans le cadre de sa session
ordinaire de juillet, a adopté à l'unanimité le
projet de Charte nationale de l'environnement,
destinée à insuffler une nouvelle dynamique aux
efforts de préservation de l'environnement. Le
conseil a, par ailleurs, adopté à l'unanimité un
projet de convention portant sur le partenariat
avec les associations concernées par
l'environnement dans le province de Nouaceur. Il
concerne la décharge publique, l'acquisition de
terrains au profit de Lydec pour la mise en
place, entre autres, de citernes d'eau potable,
de bassins de stockage des eaux de pluie et un
centre de transformation électrique. Le conseil a
aussi adopté unanimement les projets de jumelage
de Casablanca et de la ville brésilienne Rio de
Janeiro et d'amendement de la réglementation
fiscale sur l'évacuation et le traitement des
déchets industriels et hôteliers. Le conseil a
également adopté à la majorité la décision
d'accorder des subventions (90.800.000 dirhams)
aux 16 arrondissements de la région du Grand
Casablanca.
Tramway de Casa  Tracé arrêté, début des travaux
en 2009 2 février 2008 bladi.net Si tout se
déroule comme prévu, les travaux de construction
de la première ligne du tramway de Casablanca
démarreront en mai 2009. Ce chantier durera trois
ans. Sur 28 km, cette ligne ratisse vraiment
large pour que, dès sa mise en service,
Casablanca puisse trouver un début de solution au
problème ardu de la circulation urbaine. Selon
les estimations des responsables de la ville, ce
parcours prendra en tout et pour tout une heure.
Quelque 200.000 voyageurs seront transportés
quotidiennement dans deux rames couplées de 30
mètres de long chacune. Un départ est prévu
toutes les cinq minutes. A titre de comparaison,
aujourdhui le réseau des autobus urbains (Mdina
Bus et sociétés privées) transporte chaque jour
900.000 personnes, soit 14  des déplacements des
Casablancais contre 18  pour les taxis rouges et
blancs. Le reste du transport est assuré par les
voitures particulières, les sociétés de transport
du personnel, sans oublier le transport informel
qui joue un rôle non négligeable.
Casablanca veut lutter contre la pollution par le
traitement des eaux usées http//www.leconomiste.
com - 2010Un vaste programme dassainissement
liquide attend la zone Est de la métropole qui,
dici fin 2014, devrait jouir dune meilleure
qualité environnementale. Initié par la wilaya du
Grand Casablanca et la Lyonnaise des eaux de
Casablanca (Lydec), il vise ainsi à améliorer
lenvironnement pour environ 2,5 millions
dhabitants.Le dispositif est composé de
plusieurs collecteurs, de stations de pompage,
dune station de prétraitement, en plus dun
émissaire marin sur 2,2 km situé à Sidi
Bernoussi. Il devrait assurer un traitement
préliminaire des eaux usées en provenance de
cette zone Est avant de les rejeter en mer. Il
contribuera ainsi à préserver les plages de cette
zone sétalant sur près de 22 km fortement
sollicités par les riverains et les estivants.
Le chantier nécessitera 48 mois et sera réalisé
en plusieurs tranches le long du littoral.
Louvrage serait totalement opérationnel fin
2014. Coût du projet 1,4 milliard de
dirhamsBouchra SABIB
http//www.casatramway.ma/
Mission de la Banque Mondiale au Maroc un prêt
pour les déchets solides  www.lematin.ma
-14.01.2009 Le prêt accordé par la Banque
Mondiale au Maroc vient en appui aux efforts
déployés par le Royaume pour l'amélioration de
ses capacités de gestion des déchets solides,
dans le cadre notamment du programme national des
déchets ménagers et assimilés (PNDM).Le PNDM a
pour objectifs, à l'horizon 2020, d'atteindre un
taux de collecte de 90, de réaliser des
décharges contrôlées et de réhabiliter, après
fermeture, les décharges existantes au profit de
toutes les communes, pour un coût global de 37
milliards de DH.
Les division administratives (JF TROIN)
7
DECLARATION DENGAGEMENT SOLIDAIRE DE CASABLANCA
www.unhabitat.org Nous, signataires de la
présente déclaration de Casablanca Lançons un
appel à tous les acteurs concernés (État,
Collectivités locales, secteur privé, société
civile, partenaires au développement,
associations de quartiers, etc.) pour quils
unissent leurs efforts afin dassurer laccès
pour tous à un logement décent dans le respect
des principes de la bonne gouvernance, pour
latteinte des Objectifs du Millénaire pour le
Développement. Cest pourquoi, nous nous
engageons à Promouvoir une politique de
gestion transparente de loccupation de lespace
urbain Lutter, dans le respect des lois et
règlements en vigueur, contre les évictions
forcées qui entraînent une paupérisation accrue
des populations Identifier lapport des
technologies pour lamélioration de
laccessibilité, linformation, léducation, les
services collectifs afin de profiter de
raccourcis technologiques pour réduire les
exclusions économiques et sociales Soutenir
toutes les actions communautaires de
développement, telles que la restructuration et
la régularisation foncière des quartiers
insalubres et la promotion des micro entreprises
Assurer la préservation et la protection
durables de lenvironnement, notamment des
espaces verts et éviter linvasion des terres
agricoles à forte valeur productive
Développer un plaidoyer pour limplication
effective des populations vulnérables, notamment
des femmes, dans le processus de développement
Mobiliser les ressources nécessaires à la
mise en oeuvre du programme national des
villes sans bidonvilles en tant quapplication
concrète des deux campagnes Mettre en oeuvre
les orientations Royales relatives à la politique
daménagement du territoire fondées sur
ladéquation entre lefficacité économique,
léquité sociale et la préservation des
ressources naturelles, dans le cadre dune
gouvernance territoriale participative et de
proximité Valoriser les expériences pilotes
de gouvernance urbaine conduites dans le cadre
des Agendas 21 locaux et autres initiatives
(stratégies de développement urbain..), et leur
généralisation à travers un programme global
intégrant les différents niveaux territoriaux,
national, régional et local
Programmes de mise en convergence Pour le développement dune stratégie sociale au niveau de la Région du Grand Casablanca, des programmes de mise en convergence ont été établis par des Conventions de Partenariat entre la Wilaya et les Conseils (Régional, Communal et préfectoral) avec différents départements source casablanca.ma (site du Grand Casablanca) Programmes de mise en convergence Pour le développement dune stratégie sociale au niveau de la Région du Grand Casablanca, des programmes de mise en convergence ont été établis par des Conventions de Partenariat entre la Wilaya et les Conseils (Régional, Communal et préfectoral) avec différents départements source casablanca.ma (site du Grand Casablanca) Programmes de mise en convergence Pour le développement dune stratégie sociale au niveau de la Région du Grand Casablanca, des programmes de mise en convergence ont été établis par des Conventions de Partenariat entre la Wilaya et les Conseils (Régional, Communal et préfectoral) avec différents départements source casablanca.ma (site du Grand Casablanca)
lutte contre lhabitat insalubre partenariat avec les intervenants publics et privés 7 milliards DHS 98000 familles
généralisation du raccordement aux réseaux deau potable dassainissement et délectricitéconvention avec lONE (office national de lélectricité), la LYDEC (Lyonnaise des Eaux de Casablanca) et lONEP (Office National de l'Eau Potable) 1,9 milliards dhs
loptimisation de loffre publique de soins 350 Mdhs
lutte contre la Tuberculose 65.05 Mdhs
formation au profit de 300 acteurs sociaux 6 Mdhs
lutte contre lanalphabétisme 16,3 Mdhs 100 000 bénéficiaires
lutte contre la mendicité
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