LA VENTILATION ARTIFICIELLE - PowerPoint PPT Presentation

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LA VENTILATION ARTIFICIELLE

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LA VENTILATION ARTIFICIELLE Dr Fr d ric ETHUIN Anesth sie -R animation INTRODUCTION La ventilation artificielle (ou m canique) est destin e suppl er ou ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: LA VENTILATION ARTIFICIELLE


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LA VENTILATION ARTIFICIELLE
  • Dr Frédéric ETHUIN
  • Anesthésie -Réanimation

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INTRODUCTION
  • La ventilation artificielle (ou mécanique) est
    destinée à suppléer ou à remplacer chez un
    patient une ventilation inefficace ou absente. 2
    modalités
  • Ventilation invasive, après intubation
  • dans le cadre dune atteinte aiguë ou chronique
    décompensée (insuffisance respiratoire aiguë,
    état de choc, traumatisme crânien grave, coma) ?
    ventilation continue, de longue durée, en
    réanimation
  • à loccasion dun geste médical nécessitant le
    contrôle de la ventilation (intervention
    chirurgicale sous anesthésie générale) ?
    ventilation continue, de courte durée, au bloc
    opératoire

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INTRODUCTION
  • Ventilation non-invasive, sans intubation
  • Au stade dinsuffisance respiratoire chronique
    terminale ? ventilation intermittente, le plus
    souvent nocturne, à domicile
  • En relais dune ventilation invasive, ou pour
    léviter (décompensation de BPCO) ? ventilation
    intermittente, en réanimation ou en service de
    pneumologie

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LA VENTILATION INVASIVE
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LES MODES VENTILATOIRES
  • Deux principaux modes de ventilation
  • soit le patient ne respire pas ? mode CONTRÔLE
  • soit le patient respire ? mode ASSISTE
  • Deux paramètres peuvent être contrôlés ou
    assistés
  • Le volume courant (Vt) avec un objectif dobtenir
    6 à 8 ml/kg poids idéal (càd rapporté à la taille
    ! )
  • La pression dinsufflation (Pins) avec un
    objectif dobtenir une pression moyenne lt 30
    cmH20
  • Ces deux paramètres sont inter-dépendants lun
    se règle en fonction de lautre et vice-versa

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Surdistension pulmonaire Lésions pulmonaires
Collapsus alvéolaire Hypoventilation alvéolaire
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MODES VENTILATOIRES
  • Mode CONTROLE
  • Prise en charge complète du travail nécessaire à
    la ventilation. On ne tient pas compte des
    efforts inspiratoires du patient. Nécessite donc
    une sédation lourde (voire une curarisation) pour
    une adaptation parfaite.
  • en volume  volume contrôlé (VC), volume contrôlé
    à régulation de pression (VCRP)
  • Réglage Vt 6-8 ml/kg (poids idéal, càd /
    taille) à condition davoir une pression moyenne
    lt 30 cmH20
  • en pression  pression contrôlée (PC)
  • Réglage Pins nécessaire pour obtenir un Vt 6-8
    ml/kg et à condition davoir une pression moyenne
    lt 30 cmH20

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MODES VENTILATOIRES
  • Mode ASSISTE
  • Prise en charge partielle du travail
    respiratoire. Respecte la ventilation spontanée,
    mais moindre travail respiratoire pour le
    patient. Meilleure adaptation au respirateur,
    moindre sédation.
  • en volume  volume assisté (VA)
  • Réglage Vt pré-réglé 6-8 ml/kg (poids idéal)
    à condition davoir une pression moyenne lt 30
    cmH20
  • en pression  ventilation spontanée avec aide
    inspiratoire (VSAI)
  • Réglage Pins nécessaire pour obtenir un Vt 6-8
    ml/kg (20 cmH2O au début en général) puis niveau
    inversement proportionnel à la FR et au Vt du
    patient. Niveau minimun 8-10 cmH2O
    (compensation des résistances liées à lensemble
    du circuit du respirateur).

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MODES VENTILATOIRES
  • Mode mixte ASSISTE et CONTROLE
  • avec synchronisation des cycles contrôlés et des
    cycles spontanés. Meilleur confort et moindre
    sédation. Assure une ventilation alvéolaire
    minimale si absence de VS.
  • assisté et contrôlé en volume  volume assisté
    contrôlé (VAC)
  • assisté en pression et contrôlé en volume
    ventilation assistée, contrôlée par intermittence
    (VACI) VSAI VC
  • assisté et contrôlé en pression
  • même niveau de pression pour les cycles contrôlés
    et assistés pression assistée-contrôlée (PAC),
    BIphasic Positive Airway Pressure/Assist
    (BIPAP/Assist),
  • Niveaux de pression différents entre les cycles
    contrôlés et assistés BIphasic Positive Airway
    Pressure/Aide inspiratoire (BIPAP/AI) PC
    VSAI

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MODES VENTILATOIRES
  • Mode particulier réglé en temps de pression
    APRV (Airway Pressure ReleaseVentilation)
    ventilation spontanée avec pression positive
    continue dans les VAS et périodes brèves de levée
    de la pression. Réglage
  • dun temps de pression haute 5 à 6 sec à un
    certain niveau de Pression haute
  • dun temps de pression basse 2 à 1 sec à un
    certain niveau de Pression basse

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  • Il ny a pas UN mode ventilatoire à imposer. Tous
    les modes sont utilisables, en fonction du
    patient, de sa pathologie et des habitudes du
    prescripteur.
  • Par contre il y a DES objectifs de ventilation à
    obtenir
  • Saturation gt 90 PO2 gt 8kPa (60 mmHg)
  • Volume courant 6-8 ml/kg
  • Pression moyenne dans les voies aériennes (reflet
    de la pression alvéolaire) lt 30 cm H2O

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REGLAGES COMMUNS
  • FiO2, adaptée au résultat de la gazométrie
  • Pression de fin dexpiration positive (Peep)
    varie de 0 (Zeep) à 15 cm H2O. La pression
    alvéolaire reste supérieure à Patm pour lutter
    contre le collapsus alvéolaire de fin dexpiration

Peep
Palv
Collapsus alvéolaire
Peep
Expiration Palv lt Patm
Inspiration Palv gt Patm
Expiration Palv gt Patm
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REGLAGES COMMUNS
  • Limites dalarmes (à adapter à la ventilation du
    patient)
  • FR minimale et maximale
  • Pins maximale, réglée environ 10 cm H2O au dessus
    de celle mesurée. (Dépiste une sonde bouchée ou
    coudée, bronchospasme, pneumothorax, intubation
    sélective)
  • Pins basse, réglée environ 10 cm H2O en dessous
    de celle mesurée (dépiste un débranchement et
    fuites)
  • Spirométrie basse et haute (dépiste hypo-
    hyperventilation, fuite, extubation)
  • FiO2 min 30 (sauf cas de lIRC), max 100
  • Temps dapnée (30 secondes) et ventilation
    dapnée (VC 12 X 500)
  • Filtre humidificateur et réchauffeur de gaz (/48h)

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REGLAGES SPECIFIQUES
  • Dans un mode contrôlé,
  • la fréquence respiratoire (en fonction de la
    PCO2).
  • le rapport temps inspiratoire / temps expiratoire
    rapport I/E.
  • Directement réglé sur certains respirateurs, ou
    déterminé par le réglage du temps inspiratoire
    Tinsp sur dautres.
  • Normalement 1/2. Tinsp est allongé (I/E réglé
    à 1/1 ou 50) dans les pathologies pulmonaires
    comme le SDRA pour tenter de diminuer la pression
    dinsufflation. Tinsp est raccourci (I/E réglé à
    1/3 ou 25) dans lasthme et la BPCO pour
    permettre une vidange complète du poumon et
    diminuer lhyperinflation (auto-peep).
  • la durée du plateau inspiratoire (0-10)
  • Dans un mode assisté,
  • la pente (résistance imposée à linspiration)
    0,15 à 0,3 sec
  • le trigger (ou seuil de déclenchement) effort
    inspiratoire de la part du patient avant que le
    respirateur ne se déclenche 2, 4, 6 l/min

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RETENIR QUE
  • Quelque soit le mode, la ventilation artificielle
    est anti-physiologique, puisque elle est en
    pression positive.
  • En elle-même, elle induit
  • des modifications hémodynamiques (baisse du
    débit cardiaque, du débit sanguin rénal et
    hépato-splanchnique)
  • une inflammation pulmonaire ventilator-induced
    lung injury (VILI) par volo- ou baro-traumatisme
  • une inflammation systémique bio-traumatisme

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ET QUE
  • la ventilation artificielle, la sédation, le
    décubitus dorsal induisent une réduction des
    volumes pulmonaires (jusquà 50), responsables
    de troubles de ventilation (atélectasies), doù
  • - hypoxémie par effet shunt
  • - risque de surinfection et de pneumopathie
    nosocomiale acquise sous ventilation mécanique
    (PNAVM)
  • DONC,
  • Intérêt à dé-ventiler un patient le plus vite
    possible
  • Intérêt à préserver la ventilation spontanée et
    la toux du patient (pas dexcès de sédation !)

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  • Atélectasies en bandes
  • Atélectasie complète
  • Atélectasie des bases

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  • Importance dassurer (et de maintenir) un
    recrutement alvéolaire pour lutter contre les
    atélectasies par
  • Des manoeuvres de recrutement (manuelles, au
    ballon, ou avec le respirateur en AI ou en PC)
  • Une pression de fin dexpiration positive (peep)
  • Une kinésithérapie respiratoire
  • Attention aux soins infirmiers !
  • Débranchement (au cours de la toilette) et
    aspirations endotrachéales dérecrutement
    alvéolaire

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VIDDventilator-induced diaphragmatic dysfunction
  • Cliniquement difficulté de sevrage ventilatoire
  • Physiopathologie dysfonction des muscles
    respiratoires (diaphragme) par
  • Atrophie
  • Stress oxydatif (oxydation des protéines et des
    lipides)
  • Lésions des myofubrilles
  • Remodelage des chaînes de myosine
  • Traitement préventif (?) Maintien de la
    ventilation spontanée, Peep (évite les cycles
    ouverture/fermeture et maintien le diaphragme à
    sa longueur optimale)

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ASPIRATIONS ENDOTRACHEALES
  • Nécessaires pour évacuer les sécrétions
    trachéo-bronchiques, et retarder les obstructions
    de sondes (ou de canules de trachéotomie) et
    prévention des pneumopathies acquises sous
    ventilation artificielle
  • Mais responsables de lésions (hémorragiques
    taille de la sonde daspiration lt de 50 du Ø de
    la sonde dIOT, càd la plus petite possible!) et
    lèvent la Peep ( dérecrutement alvéolaire ?
    hyper-oxygénation 4 à 6 cycles avant et après ou
    hyper-inflation)
  • Fréquence par 3h et en fonction de
    lencombrement du patient.

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ASPIRATIONS ENDOTRACHEALES
  • Techniques
  • port de gants stériles ou non en fonction du
    protocole de service
  • Instillation sérum physiologique non systématique
    (?PAVM et délai de retour à la saturation de
    base)
  • Avec débranchement du respirateur ou sans, à
    travers valve étanche type rotule Bodaï. Système
    clos si HIV, HBV, BK
  • Aspiration seulement en retirant progressivement
    la sonde, pas de va-et-vient. Changement de sonde
    et rebranchement intermédiaire au respirateur si
    besoin de recommencer
  • Noter quantité, aspect

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  • VENTILATION NON INVASIVE

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LA VSAI au masque facial
  • Indications
  • en relais de la ventilation invasive et en
    post-extubation, chez des patients restés
    ventilés longtemps
  • pour éviter lintubation et la ventilation des
    insuffisants resp chroniques
  • Réglage
  • Aide inspiratoire de 8 à 15 cm H2O peep
  • FiO2 fonction de la saturation.
  • Durée, fonction de la tolérance (15 à 30 min en
    réa chir (en post-extubation), 30 min à
  • 3h voire en continu en réa med chez
    décompensation aiguë BPCO).
  • Surveillance fuites, distension gastrique,
    points de compression (nez)

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LA CPAP au masque facial
  • Indications
  • CPAP Continuous Positive Airway Pressure
  • Intérêt dans lOAP cardiogénique
  • Réglage
  • Haut débit dO2 15-20 l/min (mural ou obus) pour
    obtenir peep 5, 8
  • Pas daide inspiratoire.
  • Durée, fonction de la tolérance (15 min à
  • 1h)
  • Surveillance fuites, distension gastrique,
    points de compression (nez)

CPAP de Boussignac
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  • SEVRAGE ET EXTUBATION

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  • Mode ventilatoire de sevrage VSAI. Se conçoit
    quand FiO2 lt 50, PaO2/FiO2 gt 200, Peep lt 5, toux
    efficace, Réponse aux ordres simples, absence de
    sédation, de catécholamines, Hb gt 8 g/dl
  • Niveau daide de départ 20 cmH20 puis diminution
    de 2 cm H20 / ½-journée jusquà un niveau daide
    autour de 10 cmH20, bien tolérée.
  • Epreuve dAquapack 8 l/min dO2, FiO2 à 0,4. 30
    min à 2h (possible plus long chez les IRC, réa
    médicale). Cest une épreuve deffort !
  • Extubation, après vérification de la présence de
    fuites autour du ballonnet dégonflé (cuff-leak
    test) et en se mettant dans des conditions de
    sécurité, cest-à-dire de ré-intubation en
    urgence en cas de trachéomalacie, dyspnée
    laryngée
  • Oxygénation (masque, sonde nasale, lunettes,
    VNI) et kinésithérapie respiratoire
    post-extubation aérosol

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  • Autres paramètres de sevrage
  • Fr/Vt Plus ce quotient est bas, plus il est
    probable que lextubation réussira. Par contre,
    Fr/Vt gt 100 min-1L-1 ? 95 de probabilité
    déchec
  • Pression docclusion P 0,1 mesure de la
    pression dans les VA lors dune occlusion de 100
    ms (0,1 s) de la valve inspiratoire. Reflet de
    leffort inspiratoire neuro-musculaire (et peu de
    la force musculaire générée par le diaphragme).
  • N 2 à 4 mbar . Une P 0,1 élevée (en valeur
    absolue) signe un effort inspiratoire important
    qui ne pourra pas être maintenu longtemps et donc
    est le signe dun risque dépuisement
  • Negative Inspiratory Force (NIF) ou Maximun
    Inspiratory Pressure (MIP) mesure leffort
    inspiratoire maximal après une expiration.
    Probabilité de réussite dune extubation quand
    NIF gt -20 mbar.

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EXTUBATION
  • Extubation retour dune ventilation mécanique
    (en pression positive) à une ventilation
    spontanée (en pression négative) induit
  • ? travail des muscles respiratoires
  • ? retour veineux (pré-charge)
  • ? la post-charge du VG
  • ? tonus sympathique (réponse adrénergique par le
    stress émotionnel)
  • Risque de décompensation cardiaque aiguë
    post-extubation chez les patients porteur dune
    altération de la fonction cardiaque gauche

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EXTUBATION
  • Extubation risque de détresse respiratoire par
    obstruction des voies aériennes par
  • oedème laryngée (arythénoïdes et cordes vocales)
  • trachéomalacie
  • laryngospasme
  • CAT
  • Attendre et corticoïdes (aérosols ou IV)
    efficacité ?
  • Ré-intubation en urgence et si impossibilité
    ponction inter crico-thyroïdienne ou trachéotomie

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LINTUBATION EN URGENCE
  • INDICATIONS liberté et protection des voies
    aériennes, ventilation artificielle, aspirations
    bronchiques
  • PLATEAU DINTUBATION
  • Laryngoscope (vérifié) avec 2 lames courbes
    (moyenne et grande)
  • Sondes dintubation, ballonnet (basse pression)
    vérifié aseptiquement /- lubrifié, seringue de
    10 ml (air)
  • Xylocaïne spray 5 si INT
  • Pince de Magill
  • Canule de Guedel
  • Mandrin souple
  • Moyen de fixation (sparadrap, cordon)
  • MONITORAGE CONTINU, VOIE VEINEUSE
  • TETE de LIT BAISSEE, LIT AVANCE

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LINTUBATION EN URGENCE
  • Procédure IOT/INT
  • Oxygénation au masque et ballon (insufflateur
    manuel avec valve sac réservoir au mieux FiO2
    1), 15 l/min, ablation prothèse dentaire
  • Aspiration forte à la tête avec sondes
    daspiration, vidange de lestomac seulement si
    SNG en place
  • /- Anesthésie hypnotique (propofol ou
    étomidate sans dilution), curare (Célocurine amp
    de 100mg dans 2 ml conservé au réfrigérateur, à
    diluer à 10 ml)
  • Auscultation puis fixation
  • Raccord au respirateur, sédation
  • Contrôle radiologique du positionnement de la
    sonde (noter repère)
  • Pression du ballonnet lt25 cmH20 (risque
    dischémie de la muqueuse trachéale par
    compression et de fistule)

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GAZ DU SANG
  • Prélèvement de sang artériel afin dévaluer la
    fonction ventilatoire (PO2, PCO2) et léquilibre
    acide-base (pH)
  • Au niveau de lartère radiale (exceptionnellement
    lartère fémorale) ou sur cathéter artériel.
    Condition dasepsie du prélèvement (au robinet ou
    à la tête de pression)
  • Par de bulles dair dans la seringue (héparinée).
    Transport dans la glace
  • Noter la T du patient, la FiO2, le mode
    ventilatoire et les paramètres de ventilation

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LE DRAINAGE THORACIQUE
  • Pneumothorax ou épanchement liquidien (exsudat,
    transsudat, pus, hémothorax)
  • Si tamponnade gazeuse (désarmoçage par
    compression de la VCI) drainage en urgence
    exsufflation à laiguille avant
  • Drainage thoracique Pleurocath, drain de Joly,
    drain de Monod
  • Pose sous aseptie chirurgicale (casaque) et sous
    AL (xylocaïne 1), installation du patient,
    contrôle radiologique
  • Aspiration sur valise (-10 à -20 cm H2O)
  • Valve de Heimlich NON (danger)
  • Ablation
  • si pneumothorax après 24h de clampage et
    contrôle radio
  • si épanchement pleural qd débit de liquide lt
    100-150 ml/24h

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(No Transcript)
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LE DRAINAGE THORACIQUE
  • SURVEILLANCE
  • AIR bullage (ou prise dair sur raccord !)
  • intermittent/permanent (fistule
    broncho-pleurale?)
  • LIQUIDE
  • Aspect citrin, séro-hématique, sanglant,
    chyleux?
  • Quantité / 24 h
  • Oscille ? Si non drain exclu ou bouché
  • TRAITE si sang
  • TRANSPORT pas de clampage systémique si PNO

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LE MONOXIDE dAZOTE (NO)
  • Gaz inhalé, à effet local relaxation de la
    cellule musculaire lisse ? broncho- et
    vasodilatation
  • amélioration de loxygénation par redistribution
    du sang vers les zones ventilées. Effet
    potentialisé par le recrutement alvéolaire
  • diminution de la pression dans lartère
    pulmonaire en cas dHTAP et amélioration de
    léjection ventriculaire droite
  • Absence deffet systémique mais toxicité locale
    (par production de radicaux libre azotés, effet
    anti-aggrégant plaquettaire, sensibilité aux
    infections virales)
  • Branchement sur le circuit inspiratoire
  • Débit (en l/min) (VE x concentration désirée) /
    225
  • Concentration 5, 10, 15 ppm
  • Effet additif () avec lalmitrine IVSE
    (Vectarion, 2 à 4 µg/kg/min, voie centrale
    réservée) renforce la vasoconstriction
    pulmonaire hypoxique (VPH) avec diminution du
    shunt.
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