MANAGEMENT DES HOMMES ET DES ORGANISATIONS Une introduction - PowerPoint PPT Presentation

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MANAGEMENT DES HOMMES ET DES ORGANISATIONS Une introduction

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man ge ', de l'italien maneggiare, dresser un cheval, mais aussi : mani re d'agir ... Agissant dans un contexte d'interd pendance strat gique... – PowerPoint PPT presentation

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Title: MANAGEMENT DES HOMMES ET DES ORGANISATIONS Une introduction


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MANAGEMENT DES HOMMESET DES ORGANISATIONSUne
introduction
  • Christian THUDEROZ
  • Centre des Humanités

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UN. QUEST-CE QUE LE  MANAGEMENT  ?
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1. Lorigine du mot
  • 2 origines
  •  ménage , du latin manere, demeurer, séjourner,
    puis maneir, maisnie, maison, famille, puis
    administration domestique
  •  manège , de litalien maneggiare, dresser un
    cheval, mais aussi  manière dagir artificieuse
  • Exporté en langue anglaise, utilisé en français,
    prononcé à langlaise ( managementhe )

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2. Que signifie-t-il ?
  • au sens strict  gestion de(risk management)
  • au sens large  pilotage dune organisation
  • Le changement des pratiques (nouveau style
    hiérarchique, nouvelles relations sociales dans
    lentreprise) ? ? le changement du mot 
  • manager / chef
  • Le top management / les cadres supérieurs
  • Le management / la hiérarchie
  • MHO /  Administration industrielle et générale 
    (Fayol, 1916)

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3. Une définition possible
  • Laction, ou lart de conduire une organisation,
    de la diriger, de planifier son développement, de
    la contrôler.
  • Donc une action volontaire  la main visible du
    manager  dAlfred Chandler vs  la main
    invisible du marché  dAdam Smith
  • Un art, parce quon ne gouverne jamais les
    hommes, ou les organisations, par des décrets, ou
    en appliquant des principes, appris dans des
    livres, ou enseignés à lécole... Le management
    sapprend en situation et en fonction

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4. QUEST-CE QUE  MANAGER UNE ORGANISATION  ?
  • Réponse de Henri Fayol, dans son Adminis-tration
    Industrielle et Générale, 1916 5 verbes
    daction 
  • Prévoir
  • Organiser
  • Commander
  • Coordonner
  • Contrôler

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Mais aussi
  • décider (sélectionner des options daction, dans
    une liste non exhaustive et dans un champ de
    contraintes)
  • réguler (harmoniser des contraires, équilibrer
    des intérêts)
  • (s) adapter (réparer des erreurs, modifier les
    plans)
  • réagir (saisir les opportunités)
  • négocier (ajuster, arranger, nouer des compromis)

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Addendum Aucune one best way !
  • Plusieurs manières de bâtir, piloter une
    organisation 
  • En fonction du contexte économique (cf. les
    théories de la contingence) ou politique,
  • En fonction du contexte culturel (cf. ABB,
    DIribarne)
  • En fonction des incertitudes et des aléas (donc 
    souplesse, cf. article de R-A Thiétard)
  • En fonction des jeux et des systèmes sociaux

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5. QUEST-CE QUE  MANAGER DES HOMMES  (ET DES
FEMMES !) ?
  • Diviser les tâches, les répartir entre des
    individus, les coordonner
  • Les motiver, les faire simpliquer dans un projet
    dentreprise qui nest pas le leur !
  • Les faire coopérer, alors que leurs intérêts,
    visions, etc. sont divergents, ou non convergents
  • Gérer des relations sociales, inter-personnelles
    ou organisationnelles (groupes, services,
    collectifs, etc.), ou institutionnalisées (IRP,
    syndicats)
  • Gérer une main-duvre (la recruter, la former,
    la licencier, la discipliner, la fidéliser, etc.)

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Deux. UNE APPROCHE SOCIOLOGIQUE DU MANAGEMENT
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1. Le management comme un art ? comme une
science, systématisée
  • Donc  un savoir faire, une habileté
  • acquise ne situation,  en première ligne 
  • donc  une compétence, mais
  • qui sentretient (car elle se dégrade, ou nest
    plus appropriée)
  • donc un usage doutils (de gestion) mais des
    outils incomplets, imparfaits
  • déployés dans un monde peuplé de
     récalcitrants  (des individus qui refusent
    toujours dêtre des moyens au service dune fin
    Kant à lusine !)

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2. Le management comme un pilotage ? comme une
administration, ou une direction
  • Un système multi-acteurs
  • Avec des logiques, des visions et des intérêts
    différents / divergents
  • Agissant dans un contexte dinterdépendance
    stratégique
  • Et de relations de pouvoir
  • Peuplé dindividus autonomes et revendiquant
    cette autonomie
  • Et arbitrant eux-mêmes leur degré denga-gement
    dans le projet dentreprise

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3. Le management comme recherche dun équilibre,
comme jeu de compromis ? comme imposition dun
ordre, dune rationalité ex ante
  • Une gestion du désordre !
  • dans un monde incertain, voire chaotique
    (toujours le papillon de Lorenz)
  • non programmable à partir du passé
  • et faiblement prévisible / prédictible
  • avec une dynamique des structures (inertie,
    mimétisme, routines, effets collatéraux, effets
    pervers, effets de position / disposition, etc.)

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4. Le management comme une action
dauto-production de lorganisation, comme
travail sur lui-même ? une application de
principes
  • Lorganisation  un jeu dacteurs complexes !
  • Le manager  un acteur-clé du système social dans
    lequel il agit. Cest dans la mesure où ce
    manager aura identifié les logiques de
    fonctionnement de son propre milieu daction,
    celui dans lequel il est inséré, quil pourra,
    alors, le piloter, ou le transformer
  • Lorganisation  un apprentissage collectif !
  • Le manager un décideur sujet aux erreurs et aux
    souricières cognitives !

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5. MANAGER ? Oui, mais comment ?
  • 4 voies possibles
  • Manager par les règles
  • Manager par les valeurs
  • Manager par les objectifs
  • Manager par les compétences

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Manager par
  • les règles OST et Rationalisation  gt
    efficience productive obtenue par lapplication
    dun corps de règles (consignes et prescription
    des tâches), avec discipline et contrôle des
    activités
  • les valeurs  projets dentreprise ,
    application dun  Système Management Entreprise
    X , décliné en  principes  et  valeurs  gt
    faire coopérer les individus en misant sur leur
    adhésion à un projet, sur leurs cultures
    professionnelles ou sur des valeurs
    extra-entrepreneuriales

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Ou manager par
  • par les objectifs plutôt quun contrôle des
    tâches un contrôle des résultats ! Cf. lépopée
    de la DPPO, Direction participative Par Objectifs
    (Octave Gélinier, en France)
  • ou par les compétences reconnaître des
    professionnalités et sappuyer sur les savoir
    faire des individus (GPEC)

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  • 3 NOTIONS CLÉS  POUR CLORE CETTE INTRODUCTION
    AU MHO
  • L AUTONOMIE DES INDIVIDUS
  • LA RATIONALITÉ LIMITÉE DES MANAGERS
  • LE NOUVEAU MONDE INDUSTRIEL

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Trois. AUTONOMIE, RATIONALITÉ ET MUTATIONS
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1. L AUTONOMIE DES INDIVIDUS
  • (Autonomie, de auto, soi-même, et nomos,
    normes gt agir selon ses propres règles)
  • Leçons (sociologiques) de base 
  • 1) Les individus savent ce quils font, pourquoi
    ils le font et sont capables de lénoncer
  • Donc  pas de conduites sociales non
    ration-nelles  ils agissent en fonction dun but
    (le leur) et de façon appropriée (à leurs yeux)
    et peuvent argumenter au sujet de leurs actions

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Leçons (sociologiques) de base (suite)
  • Les individus ont donc leurs propres logiques
    daction, et leurs mobiles sont pluriels (le
    gain, le respect, lhonneur, le confort, la
    dignité, etc.) chercher leurs  bonnes raisons
    dagir et de penser 
  • Les individus ont appris à jouer avec / se jouer
    des règles, savent utiliser les  trous dans les
    règles  et opacifier ou rendre incertains leurs
    comportements ? donc, une marge de liberté plus
    grande ! (même si système est contraignant et
    codifié)

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Leçons (sociologiques) de base (suite)
  • Si les individus simpliquent dans lentreprise,
    cest quils ont estimé que leur intérêt ne sy
    oppose pas
  • Et quils ont procédé à un arbitrage entre les
    coûts (et avantages) de la coopération et les
    coûts (et avantages) du retrait ou les coûts (et
    avantages) de lapplication stricte des consignes
  • (Exercice de compréhension sociale  lire
    larticle de Gwénaëlle Rot,  Autocontrôle,
    traçabilité, responsa-bilité , 1998)

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2. LA RATIONALITÉ LIMITÉE DES MANAGERS
  • 2.1. La légende du travail du manager 
  • Des managers  dans leur bureau à longueur de
    journée   quy font-ils ?
  • Dans son article, The Managers Job  Folklore
    and Fact, in Harvard Business Review (1975),
    Henry Minzberg dit  Il y a quatre idées reçues
    sur la profession de manager qui ne résistent pas
    à une analyse soigneuse des faits 

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Légende 1   Le manager est un planificateur
réfléchi .
  • En fait, dit Mintzberg, la plupart des managers
    sautent dun sujet à un autre, règlent un
    problème au téléphone, puis participent à une
    réunion, puis étudient un dossier, puis répondent
    à du courrier en attente, etc., et cela sur des
    centaines de sujets différents par jour...

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Légende 2   Il accomplit un travail varié et
stratégique. 
  • En fait, dit Mintzberg, leur journée de travail
    est souvent ponctuée dactivités répétitives, ou
    routinières, sans compter leur présence obligée à
    une foule de cérémonies ou de cocktails... Et ils
    soccupent dun tas de tâches diverses, souvent
    hors de leurs compétences

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Légende 3   Il centralise et traite des
informations importantes 
  • En fait, dit Mintzberg, ils sappuient
    essentiellement sur des communications verbales
    (téléphones, réunions) et appré-cient les
     potins  (cela leur permet de  sentir  leur
    organisation...). Globalement, peu dinformations
    quils collectent sont dusage immédiat et
    opérationnel (et ils les gardent pour eux)

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Légende 4   Le management est une science et
une profession .
  • En fait, dit Mintzberg, les managers fonctionnent
    le plus souvent  à lintuition , sont
    surchargés de travail et, dit-il,  sont bouclés
    à lintérieur de leur cerveau ...

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2.2. Des managers rationnels ?
  • Les managers prennent-ils leurs décisions de
    manière rationnelle ? Agissent-ils
    rationnel-lement ?
  • Réponse originale de Herbert Simon, prix Nobel
    déconomie,1978 et son compère James March oui,
    sans doute, mais de façon... limitée !
  • Le concept de bounded rationality, traduit par
     rationalité limitée , a révolutionné, depuis
    les années 1950, lAdministrative Science et,
    au-delà, toutes les théories du management

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Que signifie une décision dite  rationnelle 
pour la théorie classique ?
  • Que le manager 
  • 1) dispose dune information parfaite
  • 2) est capable de dresser la liste des
    différentes scénarios possibles (ses options)
  • 3) quil peut évaluer les conséquences de chacune
    de ces options
  • 4) et quil peut donc choisir la meilleure...
  • Cela, cest la théorie. Mais dans la pratique ?

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Une rationalité... limitée !
  • Le manager  ne possède jamais toutes les (bonnes)
    informations  certains individus les gardent
    pour eux  dautres les transmettent, mais sans
    les vérifier...
  • La liste des options possibles est réduite, le
    problème est mal posé, une solution évidente est
    oubliée...
  • Il ne peut envisager tous les aléas, les
    enchaî-nements de cause, les dérives probables...
  • Dans ces conditions, il choisira loption la plus
    satisfaisante à ses yeux, au moment où il doit
    décider (et non pas la décision optimale)...

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Quelques conséquences (parmi dautres) de cette
rationalité limitée du manager
  • La masse dinformations rassemblées dans
    lorganisation a souvent peu de choses à voir
    avec la décision finale
  • Le manager ne peut optimiser son comportement
    ( Même sil le veut, il na pas le choix  écrit
    Simon en 1969...)
  • Il raisonne de façon séquentielle (il décide
    phase après phase), et non de manière
    synoptique...
  • Le management réel très loin des prétentions
    normatives des théories ! Exemple les mythes
    du management

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2.3. Les mythes du management 
  • Dans le domaine du management, dit James March
    (Les mythes du management, conférence, 1998), des
     histoires  se racontent, utilisées par les
    étudiants, les professeurs ou les praticiens.
    Même si elles sont fausses, elles facilitent la
    coordination des actions et rendent possible les
    échanges

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1. Le mythe de la rationalité
  •   Une action un choix rationnel, qui entraîne
    des conséquences  
  • gt minore le rôle de lambiguïté et des
    contradictions dans nos décisions, et néglige
    limportance du passé ou de lidentité des
    décideurs

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2. Le mythe de la hiérarchie
  •  Les actions peuvent être découpées en
    sous-problèmes et la gestion de ceux-ci délégués
    aux subordonnés, les dirigeants pouvant contrôler
    ces actions 
  • gt néglige le rôle de la complexité, et reste
    aveugle à lexistence dapproches différentes de
    celles défendues par la hiérarchie

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3. Le mythe du leader
  •  Importance du leader individuel, lhistoire
    étant le reflet dintentions humaines, ou
    dinteractions entre des projets dindividus
    identifiables 
  • gt peu de  héros , mais bon nombre dactions
    diverses, individuelles ou collectives, aux
    finalités contraires, et qui échappent à un plan
    préconçu

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4. Le mythe de lefficience historique
  •   Un optimum historique  lhistoire suit une
    trajectoire, aboutissant à un équilibre unique,
    déterminé par les conditions initiales 
  • gt ignore le rôle des adaptations locales

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Pourquoi ces mythes sont-ils acceptés, diffusés ?
  • Parce que les acteurs, dit March, se répétant
    tous les mêmes histoires, finissent par les
    croire vraies
  • Un des rôles de lenseignement du management,
    conclue March, est de  remettre en question ces
    mythes  et,  au minimum, de faire prendre
    conscience de leur existence 

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3. LE NOUVEAU MONDE INDUSTRIEL
  •  Les manières de travailler, de produire,
    dinnover et déchanger sont en pleine révision 
    (Pierre Veltz, 2000, Le Nouveau monde industriel)
  • Parmi ces novations, multiformes, foisonnantes et
    animées par une cohérence globale  

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Parmi ces mutations / novations
  •  Lefficacité nest plus ce quelle était  
    elle se déduit des talents, de la prise
    dinitiative et des engagements subjectifs des
    salariés, alors quhier, on la croyait fondée
    sur le contrôle et la discipline
  • Déclin généralisé des schémas hiérar-chiques et
    pyramidaux, au profit de schémas dorganisation
    en réseau, fondés sur des contrats et des
    coopérations

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Parmi ces mutations / novations(suite)
  • Recomposition des collectifs de travail, hier
    fondés sur une simple coordination des tâches,
    aujourdhui sur une coopération entre des acteurs
    capables de réagir aux aléas, de travailler en
    équipe, de simpliquer dans la vie de
    lorganisation
  • La qualité et lefficacité de cette organisation
    deviennent centrales, résultant de la qualité de
    la coopération et de linterface entre les
    acteurs dune même chaîne productive

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Parmi ces mutations / novations(suite 2)
  • Une modification en profondeur du travail salarié
    subordonné  non plus la réalisation de tâches
    programmées, mais une prestation à accomplir, un
    résultat à atteindre.
  • Exemples  Challenge of Global Management (cf.
    article de Jacques Bélanger et alii, Being Local
    Worldwide, 1999)

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Pourquoi ce  challenge  ?
  •  Think global, act local   Why ? What ? How ?
  •  Dynamics of local variations   What ? Why pay
    off ?
  • Décentralisation (Business areas)/centralisation
    quel dosage ?
  • Les effets pervers des modes managériales / leur
    efficience / inefficience
  • Les apprentissages organisationnels / culturels

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Les High-Performance Work Systems
  • (cf. article de Eileen Appelbaum, Manufacturing
    Advantage, 2000)
  • HPWS   The work is organised to permit
    front-line workers to participate in decisions
    that alter organizational routines.
  • The team concept
  • TQM, Total Quality Management Total ?
  • Reconnaissance des savoirs des opérateurs
  • Programmes de QVT, Qualité de Vie au Travail
  • Productivité et  workplace practices 

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4. LES NOUVEAUX CHANTIERS DES MANAGERS
  • Logique des compétences, Knowledge management,
    approches par les processus, procédures et effets
    des ERP, normalisation ISO, etc. 
  • quid ? Une révolution managériale ?
  • Une (rapide) interprétation sociologique

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A. Obsolescence du vieux paradigme productif  (le
modèle taylorien-fordien)
  • (même si pénétration différente des secteurs
    professionnels, même si adaptation de lancien
    modèle, même si ce vieux paradigme un simple
    référentiel !)
  • Aujourdhui, ce référentiel disqualifié !
  • Sous quels effets ?

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B. Parce que les anciens principes deviennent
contre-performants
  • Nouvelle configuration productive (économie de
    variété, économie dinnovation, meilleure
    formation de la MO)
  • Individualisation et désir dautonomie des
    individus
  • Ne veulent plus être gouvernés dans lentreprise
    comme avant
  • Et les managers ne peuvent plus les gouverner
    comme avant

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C. Du fait de lémergence de nouvelles approches,
  • de la rationalisation productive, avec pluralité
    et compétition entre ces approches, parfois
    antagoniques (autonomie des opérateurs ou
    encadrement par la norme ISO ? Management par les
    objectifs ou par les consignes et la prescription
    des tâches ? )

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D. Du fait dexpérimentations diversifiées et
tâtonnantes
  • de ces approches, avec un zeste dhybridation,
    partout dans le monde occidental, et dans des
    secteurs différents, avec des applications
    différentes

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E. Avec une nouvelle  formule générale 
  • autour du triptyque   qualité, coûts, délais ,
  • avec des principes nouveaux  décentralisation et
    coordination horizontale (les problèmes se
    règlent là où ils se posent  sur le
     shopfloor ),
  • Avec une réduction des lignes hiérarchiques
    ( lean production ),
  • Une contractualisation dans la firme (principes
    du  principal / agent , ou du  fournisseur /
    client  le marché entre à lusine !)
  • Et un souci de léthique, du développement
    durable ( prise en compte des exigences de la
    société civile)

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F. Mais aussi des distorsions, des régressions
  • On parle de  néo-taylorisme (cf. les Call
    Centers), dune  révolution asynchrone , on
    note partout des survivances de la
    rationalisation bureaucratique, la présence d
    incohérences, la prolifération de discours creux
    et des effets de manche
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