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Prsentation PowerPoint

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Si gestion active = essayer de d terminer le meilleur gestionnaire (valable pour tout ... Ajustement pour le risque! D terminer s'il s'agit de ' chance ' Tenir ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Prsentation PowerPoint


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INVESTMENT DES EN GESTION Gestion active et
mesure des performances KIM OOSTERLINCKSOLVAY
BUSINESS SCHOOLUNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES
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Gestion active
  • Si gestion active gt essayer de déterminer le
    meilleur gestionnaire (valable pour tout type
    dinvestisseur)
  • Nécessité de parvenir à évaluer ses performances
  • En interne (par exemple pour offrir un bonus aux
    meilleurs)
  • En externe prouver la valeur ajoutée de la
    gestion
  • Validité pour de nombreux secteurs et
    investisseurs (fonds de pension, gestion du
    patrimoine public etc)
  • En pratique quel critères retenir?
  • Return? Quel type?

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Returns
  • Return pour investissement ne comprenant quune
    période assez simple r (D1P1-P0)/P0
  • Exemple achat action en 0 pour 50, perception
    dun dividende de 2, revente en 1 à 53. Dans ce
    cas le return vaut 10.
  • Que se passe-t-il lorsque des montants sont
    ajoutés et retirés lors de la période?
  • Même exemple mais horizon de 2 ans, achat dune
    action supplémentaire en 1 réception dun
    dividende dec4 par action en 2 et revente juste
    après pour 54.
  • Dépenses en 0 achat action 1 (50)
  • en 1 achat action 2 (53)
  • Gains en 1 dividende 2
  • en 2 dividende 2 x2 4 et revente 2 x54
    108
  • Return????

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Approche actuarielle
  • 1ère approche en égalisant les VA gains-dépenses
  • 50 53/(1r) 2/(1r) 112/(1r)2
  • On en déduit que r vaut 7,117 (il sagit du TRI
    encore appelé dans ce cas dollar-weighted rate of
    return)
  • 2nde approche regarder par période.
  • Première période return de 10.
  • Seconde période return de 5,66 par action.
  • Return moyen 7,83 (time-weighted rate of
    return)

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Returns
  • Existe-t-il une meilleure méthode?
  • Première méthode intuitivement meilleure vu
    quelle tient compte des montants investis.
  • Seconde méthode néanmoins utile lorsque le
    gestionnaire na pas demprise sur les montants
    quil peut investir.
  • gt pas de meilleure méthode pour tous les cas!

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Returns
  • Returns arithmétiques ou géométriques?
  • Arithmétique Moyenne des returns (Cf plus haut
    7,83)
  • Géométrique Composition des intérêts
  • (1rG)2 1,1 x 1,0566 et
  • rG 7,81
  • Intuitivement géométrique mieux car permet de
    tenir compte de la composition des intérets (OK
    pour les returns passés!)
  • En fait returns arithmétiques meilleurs pour les
    returns futurs car estimateur non-biaisé du
    return attendu du portefeuille

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Exemple
  • Exemple portefeuille avec probabilité égale de
    voir sa valeur doubler en un an ou de la voir
    descendre de 50
  • Supposons que le portefeuille est investi pour
    deux ans.
  • Return géométrique (1 rG)2 (1ru) x (1rd)
  • Ou encore 1 rG (1100)x(1 50)½
  • Et donc rG 0
  • Cependant return attendu du portefeuille ? 0
  • En effet
  • Er 50 x 100 50 x (-50) 25
  • Quid si on ne connaît pas la probabilité de
    distribution?

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Performance
  • Si deux gestionnaires présentent des returns
    différents. Par exemple, lun deux a réalisé un
    return de -3 et lautre un return de 8. Faut-il
    nécessairement récompenser le 1er?
  • Nécessité dentamer une réflexion sur le return
    comme reflet de la performance
  • Ajustement pour le risque!
  • Déterminer sil sagit de  chance 
  • Tenir compte de létat du marché (benchmark)
  • Possibilités dinvestissements laissées aux
    gestionnaires
  • Synergies sur base des résultats observés

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Benchmarking
  • Idée comparer la performance réalisée avec celle
    dune référence (le benchmark)
  • Benchmark doivent être appropriés!
  •  Normal portfolios  portefeuille de référence
    passif comprenant tous les titres en cohérence
    avec les objectifs du fonds en termes de
    politique dinvestissement LT et de risque
  •  Style portfolios  portefeuille de référence
    censé refléter le style dinvestissement du fonds
    (souvent mélange dindices)

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Performance
  • Option grouper les portefeuilles par catégorie
    de risque et comparer les performances (returns
    time-weighted) de chacun des fonds. Le percentile
    de chaque fonds donne une idée de la performance.
  • Avantage aisé à créer et rapide pour donner une
    première impression
  • Inconvénient création du groupe de référence
    pas toujours fait de manière optimale
  • gt Apparition de mesures plus précises

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Evaluation de la performance
  • Mesures
  • Sharpes Measure (rp rf) / ?P
  • Treynors Measure (rp-rf)/?P
  • Alpha de Jensen ?p rp - rf ?P (rM-rf)
  • Information ratio Inf Ratio ?p / ?e(P)
  • Avec rp la moyenne des returns du portefeuille,
    rf la moyenne du taux sans risque

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Evaluation de la performance
  • Mesure M2
  • Idée de base variante du Sharpe Ratio
  • Méthode composer un portefeuille comprenant le
    portefeuille à évaluer (P) et des T-Bills, de
    telle sorte que le nouveau portefeuille (P) ait
    les mêmes caractéristiques que le portefeuille de
    marché (un index par exemple) en termes de
    volatilité.
  • Puis comparer le return de ce portefeuille au
    return de lindice
  • M2 rP - rM

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Performance
  • Quel critère choisir???
  • Fonction des situations de départ
  • H0 Portefeuille représente lensemble des
    investissement Dans ce cas Sharpe Ratio
  • H1 Portefeuille fait partie dune stratégie
    active et est mélangé avec un portefeuille de
    marché. Dans ce cas Information ratio.
  • H2 Portefeuille fait partie dun ensemble
    dautres portefeuilles risqués. Dans ce cas
    Treynor Ratio ou Alpha de Jensen
  • Mais pertinence statistique???

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Changement de risque
  • Validité statistique nécessite une très longue
    période
  • De plus elle est fortement sensible aux décisions
    visant à changer lexposition au risque du
    portefeuille.
  • Pour des portefeuilles gérés de manière active,
    il convient de tenir compte de tout changement de
    composition avant dutiliser les différentes
    mesures
  • Même ordre didée si lon désire évaluer une
    stratégie de market timing.

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Market timing
  • Stratégie visant à constituer un portefeuille
    composé dactifs sans risque et dune copie du
    portefeuille de marché et à changer la
    pondération de chacun en fonction de ses
    anticipations quant à leur performance future.
  • Estimation de la stratégie
  • Treynor Mazuy (1966)
  • rp rf a b (rm-rf) c (rm-rf)2 eP
  • Market timing si c positif et significatif
  • Alternative Henriksson Merton (1981)
  • rp rf a b (rm-rf) c (rm-rf)D eP
  • Avec D une Dummy 1 pour les marchés bull (rm gt
    rf) et zéro sinon

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Procédures
  • Procédures dattribution de performance.
  • Idée de base ne pas se focaliser uniquement sur
    les mesures de rentabilité ajustées pour le
    risque mais déterminer lhabilité à prendre des
    décisions pertinentes
  • Décomposition de la performance globale en
    sous-classes.
  • Exemple Pertinence de la proportion
    actions-actifs sans risque
  • Pertinence du choix des secteurs (au sein des
    actifs risqués)
  • Pertinence du choix des titres au sein de
    chaque secteur
  • Introduction dun portefeuille de référence
    (bogey portfolio). Ce portefeuille est investi en
    parts égales dans chacun des actifs. Le manager a
    pour objectif de trouver des pondérations amenant
    à un meilleur return.

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Performance
  • P portefeuille du manager, B bogey portfolio, X
    proportions investies dans chaque actif
  • n
  • rP rB ? (XPirPi XBirBi)
  • i1
  • En décomposant, on retrouve la part de
    performance attribuable au choix de pondération
  • (Xpi Xbi) rBi
  • et celle provenant de la sélection des titres
  • Xpi (rPi rBi)

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Style Analysis
  • Constat Asset allocation entre bons, obligations
    et actions permet dexpliquer /- 90 de la
    variation des returns entre fonds.
  • Sharpe (1992) distinction de 12 classes dactifs
    (bons CT, MT, LT, obligations corporate, emprunts
    hypothécaires, value stocks, growth stocks,
    medium-cap stocks, small cap, foreign, European,
    Japanese stocks) et régression sur base dindex
    de chacune des classes.
  • Partie non expliquée de la variation stock
    selection dans les classes.

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Holding based style analysis
  • Classification de tous les titres du portefeuille
    suivant leur style (règle de style étant
    définie), puis détermination du style du
    portefeuille
  • Exemple Classification de Morningstar. Matrice
    basée sur deux critères
  • Capitalisation (small, medium, large)
  • Croissance ou valeur (value, blend, growth)
  • Critères de taille percentiles
  • Critères de croissance ou valeur sur base du
    P/E et du P/B
  • In fine, normalement meilleurs benchamrks mais
    coûteux et potentiellement difficile et f (moment
    de détermination de la référence)

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Returns based analysis
  • Essayer de retrouver la combinaison de classes
    dactifs qui gérée de manière passive aurait été
    au plus près de celle observée gt estimation sur
    base des données historiques.
  • Points forts
  • Facilité dutilisation et faible coût
  • Fréquence des données
  • Approche  portefeuille  et  non titre  gt
    moins de bruit
  • Points faibles
  • Nexplique rien! Possibilité de résultats
    fallacieux!
  • Très sensible au rebalancement de portfeuille
  • Difficulté de créer les classes

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Morningstar RAR
  • Morningstar Source importante dinformations sur
    les Mutual Funds notamment via leur Risk Adjusted
    Rating
  • Rating basé sur un ensemble de critères de
    performance (/- identiques à ceux vus plus haut)
  • Etablissement dun ranking sur base des
    performances et attribution détoiles pour les
    meilleurs (fonction du percentile)

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Gestion active
  • Quelle cohérence par rapport à la notion
    defficience des marchés?
  • BKM (2005) logique économique et observations
    empiriques pourraient suggérer que des managers
    exceptionnels pourraient battre le marché
  • Daprès BKM (2005)
  • Quelques managers peuvent montrer une suite de
    returns anormaux impressionnante qui ne ressemble
    pas a priori à un résultat dû au hasard
  • Le bruit existant dans les returns réalisés ne
    permet pas de rejeter lhypothèse que certains
    managers battent le marché dune faible (mais
    significative) marge
  • Certaines  anomalies  ont persisté assez
    longtemps dans le passé pour que le manager qui
    laurait observé en temps utile ait pu en tirer
    profit.

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Gestion active
  • Gestion active basée sur un index nest pas une
    condition suffisante (Cf market timing). Ici,
    proportions fixes et insensibles au marché.
  • Investisseur débutant avec 1000 au 1/1/1927
  • Return au 31/12/1978 si investissement en T-Bills
    (échéance 1 mois)
  • 3600
  • Return si investissement dans le NYSE index
    67500
  • Quid sil existait un manager capable dopérer un
    market timing parfait?
  • Approche dévaluation du  perfect timer 
  • Équivalent à un call sur le portefeuille de
    marché!!!

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Option de timing
Return perfect timer
rf
rf
rm
Présentation sous forme doption permet de
trouver une valeur du  timing 
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Treynor-Black (1975)
  • Analyse des actions
  • Analyste essaye de trouver des  mispricings 
    càd des titres avec des ? attendus positifs.
  • Néanmoins concentrer tout le portefeuille sur ces
    titres entraîne une perte de diversification
  • Nécessité de trouver un équilibre entre les deux
  • Modèle
  • Hypothèses
  • Seul un nombre limité de titres peut être analysé
  • Le portefeuille de marché fournit une
    diversification efficace et est considéré comme
    la référence  passive 
  • Les prévisions macroéconomiques sont connues
  • Les actions  mispricées  seront à la base du
    portefeuille

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Treynor-Black (1975)
  • Application
  • Déterminer les returns anormaux attendus (?) sur
    base dune estimation des bétas et des prévisions
    macro
  • Estimer la pénalisation provenant dune
    diversification imparfaite (et notamment la
    variance des résidus)
  • Sur base des deux estimations retrouver la
    pondération idéale de chaque titre
  • Construction

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Treynor-Black (1975)
  • Sur base du CAPM, return attendu des actions à
    leur prix  juste 
  • ri rf ?i (rM - rf) ei
  • (on suppose ei un bruit de moyenne nulle,
    lindépendance des ei, et que rM et ?2(rM)
    connus)
  • Pour certaines actions k, on essaye de trouver
    des  mispricings  (i. e. des ? positifs)
  • rk rf ?k (rM - rf) ek ?k
  • Pour chaque action k, on estime ?k ?k et ?2(ek)

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Treynor-Black (1975)
  • Supposons que des actions à ?k positifs aient été
    trouvées. Dans ce cas, on peut construire un
    portefeuille actif (A).
  • Par définition, la variance du portefeuille
    vaudra
  • ?2A ?2A?2M ?2(eA)
  • (variance du portefeuille total correspond à la
    somme du risque systématique et du
    non-systématique)
  • Et le return attendu
  • E(rA) ?A rf ?A (rM - rf)

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Er
P
ErA
CML
A
M
?r
?rA
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Pondération?
  • Possibilité de montrer que le poids optimal à
    investir dans A (XA) vaut
  • XA ?A /?A(1- ?A) rM ?2(eA)/ ?2M
  • Quid si ?A 1? Alors XA ?A /?2(eA) / rM /
    ?2M
  • Rapport met en avant lavantage relatif de A
    (via ?A / ?2(eA)) mais tient aussi compte de son
    désavantage relatif rM /?2M

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Treynor-Black (1975)
  • Possibilité de montrer que le Sharpe Ratio (S) du
    portefeuille optimal P vaut
  • S2P S2M ?2A /?2(eA)
  • On peut alors montrer que
  • n
  • Xk ?K /?2(eK) / ? ?i /?2(ei)
  • i1
  • Importance de linformation ratio ?2A /?2(eA)
    qui donne une mesure de la performance de la
    partie active du portefeuille.

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Modèles multifacteurs
  • Possibilité détendre les résultats du modèle
    Treynor-Black à un modèle multifacteur (// APT)
  • Dans ce cas, réitérer lanalyse pour chacun des
    éléments constitutifs du modèle
  • En pratique Importance de la capacité dobtenir
    une bonne approximation au début de létude
    (quand on cherche les alphas)

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Conclusion générale
  • Importance de la notion de gestion passive
  • Efficience des marchés?
  • La gestion active et lefficience
  • Mesures de performance
  • Importance des analyses de sensibilité
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