EXAMENS COMPLEMENTAIRES EN ORTHOPEDIE/RHUMATOLOGIE ET TRAUMATOLOGIE - PowerPoint PPT Presentation

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EXAMENS COMPLEMENTAIRES EN ORTHOPEDIE/RHUMATOLOGIE ET TRAUMATOLOGIE

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EXAMENS COMPLEMENTAIRES EN ORTHOPEDIE/RHUMATOLOGIE ET TRAUMATOLOGIE PLAN l imagerie m dicale la biologie les techniques invasives IMAGERIE MEDICALE L ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: EXAMENS COMPLEMENTAIRES EN ORTHOPEDIE/RHUMATOLOGIE ET TRAUMATOLOGIE


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EXAMENS COMPLEMENTAIRES EN ORTHOPEDIE/RHUMATOLOGIE
ET TRAUMATOLOGIE
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PLAN
  • Ø limagerie médicale 
  • Ø la biologie 
  • Ø les techniques invasives 

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  • IMAGERIE MEDICALE

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L IMAGERIE MEDICALE
  • Radiographie standard
  • Examen dimagerie simple et standard
  • Intérêt  visualiser los, absorbant les rayons
    X, par opacité
  • (cartilage et parties molles radio transparents 
    invisibles
  • sur clichés)
  • Interprétations 
  • architecture des os et articulations,
    ostéophytes,
  • pincement de linterligne articulaire  lésions
    du cartilage,
  • calcifications articulaires ou péri-articulaires,
    traits de
  • fractures.

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RADIO STANDARD
  • Radio fémur

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RadioProthèse Totale de Hanche
7
Radio épaule
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  • 2. Tomodensitométrie ou scanner
  • Utilisation des rayons X
  • Intérêt  étudier los et les parties molles, et
    canal rachidien
  • Interprétation 
  • Image produite par ordinateur de la densité des
    différents tissus (blanc forte densité, noire
    faible densité)
  • Images réalisées en coupes transversales, avec
    reconstitution en 3D
  • Peut nécessiter lutilisation de produits de
    contraste iodés par injection (arthroscanner par
    exemple)

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TDM ou Scanner
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Imagerie TDM en 3 D
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  • 5. I.R.M. (Imagerie par Résonance Magnétique)
  • Étudie les os et les parties molles.
  • Principe 
  • Utilise les propriétés magnétiques des protons
    contenus dans les noyaux dhydrogène du corps
    humain.
  • Obtenue par le déplacement des protons sous
    linfluence dun champ magnétique.
  • Interprétation 
  • Les images sont analysées par ordinateur et
    donnent des plans dans lespace.

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  • Précautions et contre indications
  • Patients porteurs dobjets métalliques externes
    ou internes
  • Externes 
  • Prothèses dentaires et auditives,
  • Bijoux ( montre, barrettes, épingles à cheveux)
  • Carte magnétique, ticket de métro
  • Internes 
  • Prothèses, plaques, pace-maker, clip
    vasculaires, éclats dobus, corps étrangers dans
    lœil

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  • Informations délivrées au patient 
  • Durée 40 à 60 minutes Indolore
    Bruyant (bruits sourds  coups de
    marteau )
  • Appareil en forme de tunnel dans lequel est
    placé le patient, ouverture à lavant et
    larrière risque de claustrophobie
    (prémédication parfois nécessaire)
  • Ne doit pas bouger durant lexamen
  • Faire uriner avant lexamen

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IRM
15
IRMGenou
16
IRM
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IRMTendinite genou
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  • 3. Saccoradiculographie
  • Examen complémentaire demandé lors dun conflit
    disco-radiculaire ou dune éventuelle tumeur
    rachidienne
  • Intérêt réalisé en position debout, il montre
    la réalité des conflits dans la position dite "en
    charge".
  • Principe 
  • Injection dans le canal rachidien (sous
    arachnoïdien)
  • dun produit opaque permettant de visualiser le
    cul de
  • sac et les racines de la moelle épinière. Une
    analyse
  • du LCR est réalisée en même temps.

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SACCORADICULOGRAPIE
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  • 4. Scintigraphie osseuse
  • Examen qui consiste à injecter par voie
    intraveineuse un produit
  • radioactif se fixant sur los.
  • Principe 
  • Une caméra retranscrit limage sur un film
    radiographique.
  • Le produit se concentre sur les os
    pathologiques.
  • Permet ainsi de rechercher les zones osseuses
    pathologiques  hyperfixation ( pas
    didentification de la cause)
  • Information au patient 
  • Examen en 2 temps. Réalisé en médecine nucléaire
    avec injection sur place
  • Non douloureux mais sensation de chaleur
    possible
  • Installation sur le dos, sur table dexamen
  • Caméra se déplaçant autour du patient
  • Le patient doit rester immobile. Examen non à
    jeun

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  • CI  grossesse et allaitement
  • Faire uriner avant examen. Une sonde vésicale
    peut être posée au
  • patient incontinent
  • Surveillance de la diurèse et Hydratation
    (élimination rénale du
  • produit radioactif)

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SCINTIGRAPHIE OSSEUSE
23
SCINTIGRAPHIE OSSEUSE
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6. Densitométrie osseuse
  • Définition 
  • Examen radiologique non invasif qui mesure la
    minéralisation
  • osseuse du patient
  • Intérêt
  • Permet de quantifier la densité osseuse
  • Permet de confirmer une baisse de cette masse
    osseuse et
  • den évaluer le risque fracturaire ( risques de
    fractures ) par
  • rapport à un sujet du même âge et du même sexe
  • Mais ne définit pas le type d'ostéopathie
    déminéralisante (éviter les
  • mesures sur le sites des fractures)

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  • Principe
  • Consiste à mesurer l'atténuation d'un rayonnement
    au cours de la
  • traversée d'un segment osseux, et à en déduire la
    densité minérale
  • de l'os Mesure la différence entre la quantité
    de rayons X et la
  • quantité récupérée
  • Permet la mesure du contenu minéral osseux
  • rachis lombaire et du bassin, col du fémur
  • l'avant-bras
  • voire du corps entier

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  • Les résultats ( Interprétation)
  • Exprimés en valeur absolue (en g / cm²)
  • Représentent "la masse osseuse" ou Densité
    Minérale Osseuse DMO
  • La variation de la masse osseuse est corrélée au
    risque fracturaire.
  • Exprimés en nombre de déviation-standard (DS) par
    rapport à une population de même sexe, poids, et
    ethnie
  • Z Score
  • Nombre de DS par rapport à la masse osseuse
    moyenne d'une population de
  • même sexe, même âge et même poids.
  • T Score
  • Nombre de DS par rapport à la masse osseuse
    moyenne d'une population de
  • même sexe, même poids mais jeune, à son maximum
    de masse osseuse (le
  • pic de masse osseuse étant atteint vers 20 ans)

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RESULTATS en OSTEODENSITOMETRIE

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  • Les résultats en T Score permettent ainsi une
    définition
  • densitométrique de l'ostéoporose.
  • Selon l'OMS
  • Normal T score supérieur à -1 DS
  • Ostéopénie T score compris entre -1 et -2,5 DS
  • Ostéoporose T score inférieur à -2,5 DS
  • Ostéoporose sévère T score inférieur à -2,5 DS
  • Indications 
  • Femmes de plus de 50 ans en période
    post-ménopausique
  • Douleurs lombaires avec perte de taille chez une
    femme
  • Antécédents dostéoporose familiale
  • Corticothérapie prolongée ou à hautes doses

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  • Déroulement de lexamen 
  • Durée de 30 minutes environ
  • Indolore
  • Patient allongé sur le dos mais immobile le temps
    de
  • lexamen
  • Un centrage est réalisé puis lappareil
     balaye  la
  • zone concernée. Le radiologue contrôle sur un
    écran la
  • prise des clichés et un ordinateur réalise
    linterprétation
  • en référence Z score ou T score.

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Matériel pour Densitométrie osseuse
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Installation patient lors de lostéodensitométrie
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  • BIOLOGIE

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LA BIOLOGIE
  • NFS
  • Anémie, Hyperleucocytose, Leucopénie,
    Thrombopénie
  • VS
  • Normale lt 20 mm à 1H chez ladulte
  • Étude de la rapidité de la sédimentation des
    hématies dans un tube
  • gradué. Se mesure par la hauteur en mm de la
    colonne de
  • plasma
  • Élevée lors de rhumatismes inflammatoires
    (proportionnelle à
  • linflammation)
  • Normale dans les affections mécaniques (arthrose)
  • Patient à jeun, tube citraté 7 ml, bien rempli,
    retournement du tube

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  • CRP (C. Réactive Protéine)
  • Normale lt 15 mg/l (haptoglobine)
  • Marqueur de linflammation plus sensible que la
    VS
  • Normale en faible quantité dans le plasma  moins
    de 5 mg/L
  • Augmentation légère  oestrogènes, grossesse
  • Inflammation  pic rapide en 2 à 3 jours
  • Élevé en cas dinflammation chronique.

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  • Bilan Phosphocalcique
  • Permet de dépister des troubles de lhoméostasie
    phosphocalcique
  • et de préciser le mécanisme des troubles de la
    minéralisation
  • squelettique
  • Fait appel à la mesure de la quantité de Ca
    ingéré comparée à la
  • quantité de Ca éliminé par les urines et selles
    Normale équilibre
  • La calcémie 
  • Os principale source de Calcium de lorganisme
  • Normale  90 à 105 mg / L soit 2,2 à 2,6 mmol / L
  • Tube sec ou hépariné de 5 ml
  • Certaines affections augmentent le taux de la
    calcémie  Hyperparathyroïdie,
  • et cancers osseux .
  • Certaines affections abaissent le taux de la
    calcémie  ostéomalacie,
  • hypoparathyroïdies
  • Tout dosage de la calcémie doit être associé à
    celui de la phosphorémie

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  • La Calciurie  2 à 6 mmol /l / 24 H Quantité
    de calcium
  • excrétée par le rein
  • Bocal décalcifié
  • Échantillon durines des 24 heures noter la
    diurèse des 24 heures
  • Augmente dans les maladies hypercalcémiantes
  • Diminue dans les insuffisances rénales

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  • La phosphorémie 
  • Normale  25 à 45 mg / L soit 0,8 à 1,45 mmol / L
  • En étroite relation avec la concentration de
    calcium
  • Tube sec ou hépariné de 5 ml
  • Prélevée le matin à jeun car élevée en post
    prandiale
  • Agiter le tube lentement  éviter lhémolyse qui
    laugmente
  • considérablement dans les ostéomalacies et
    rachitisme
  • Phosphaturie 
  • Normale 22 à 32 mmol /l / 24 H Quantité de
    phosphore
  • excrétée par le rein. Permet dévaluer les
    apports alimentaires (si
  • dénutrition souvent phosphatémie associée)

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  • TECHNIQUES INVASIVES

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LES TECHNIQUES INVASIVES
  • 1. Ponction articulaire
  • Introduction dune aiguille dans lespace
    intra-articulaire pour
  • prélever du liquide synovial
  • Intérêts
  • étudier le liquide synovial (arthrocentèse)
  • injecter un produit (de contraste, corticoïde,
    antibiotique) infiltration articulaire
  • évacuer un épanchement (hémarthrose, hydarthrose)

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Ponction articulaire
Résultats normaux Résultats pathologiques
Quantité De 0,5 à 4 ml Abondant hydarthrose
Aspect Macroscopique Jaune pâle, transparent , visqueux, incoagulable, Peu abondant Arthrose  normal mais abondant et visqueux, Inflammatoire  - coloré, trouble, coagulable, -Visqueux Infecté  trouble Hémarthrose  rouge, saignement
Compte cellulaire Microscopique  éléments figurés PN et cellules synoviales Peu déléments cellulaires lt 200 éléments/mm3 lt 25 de polynucléaires Liquides mécaniques  lt 1500 / mm3 lt 50 de PN Liquides inflammatoires  gt 1500 / mm3 Majorité de PN
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Ponction articulaire
Recherche de cristaux Absents Présence de cristaux dans la Goutte  C. uratiques Chondrocalcinose  C. de calcium
Recherche bactériologique (germes) Absence de germe Liquide stérile Présence de germes si liquide infecté par BK , gonocoques, streptocoques
Biochimie Dosage des Protéines Anticorps lt 30 g / litre absence inflammation 30 à 50 g/l liquide inflammatoire Facteur rhumatoïde et facteur anti-nucléaire
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  • Soins infirmiers 
  • Avant lexamen 
  • prévenir le risque danxiété
  • rassurer le patient  geste invasif
  • préciser le lieu où se déroulera lexamen en
    fonction de
  • lorganisation du service car lexamen peut être
    effectué au lit, en salle de soins ou au bloc
  • préciser la durée de lexamen (quelques minutes)
    et les modalités de participation du patient 
    position allongée, ne pas bouger pendant
    lintroduction de laiguille
  • expliquer lintérêt de lanesthésie

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  • prévenir le risque hémorragique
  • sassurer que le traitement anticoagulant est
    suspendu avant lexamen et que le patient na pas
    pris danti-agrégants plaquettaires (Aspégic
    Kardégic)
  • sassurer que les examens dhémostase  TP- INR /
    TCK
  • et NFS-Plaquettes sont réalisés et vus par le
    médecin
  • La préparation locale 
  • prévenir le risque infectieux (ostéite)
  • Dépilation selon protocole
  • Désinfection rigoureuse locale indispensable
  • Contre-indiquée en cas dinfection cutanée au
    regard du site de ponction
  • Asepsie

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  • Après la ponction 
  • Pansement compressif à la recherche dun
    écoulement (sang, sérosités, ? risque
    hémorragique)
  • Surveiller létat local  notamment la survenue
    dun hématome et dun œdème
  • vessie de glace /- antalgique sur prescription
    médicale afin de diminuer la douleur et loedème
  • membre surélevé pendant 24 h en discontinu
    favorise retour veineux et diminue oedème
  • Reprise de la marche immédiate sur prescription
    médicale afin de diminuer le risque thrombo
    embolique et éviter lankylose du genou

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2. Arthrographie
  • Examen radiologique invasif (de moins en moins
    utilisé/IRM)
  • Permet de visualiser la cavité articulaire après
    injection dun produit de contraste dans
    larticulation
  • Le produit
  • - de lair
  • - un produit de contraste iodé
  • - les 2 à la fois
  • Le contraste obtenu permet de visualiser le
    cartilage, les ménisques, la capsule articulaire
    et certains ligaments
  • Larthrographie peut-être couplée au scanner (
    arthro-scanner) plus précis
  • Pratiqué en salle de radiologie
  • Peut concerner  genou, épaule, cheville, hanche,
    poignet

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  • Indications 
  • Pour révéler des lésions méniscales,
    articulaires, capsulaires, synoviales ou des
    corps étrangers
  • C-I 
  • syndromes hémorragiques et infectieux

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Arthrographie genou
  • Aspect d'une fissure intra
  • méniscale en arthrographie

48
Arthrographie épaule
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  • Avant lexamen 
  • Prévenir le risque de réaction aux produits de
    contraste radiologique
  • Rechercher si le patient présente un terrain
    allergique  notion de choc, déruptions
    cutanées, dœdème de Quincke, de rhinite,
    dasthme. Si terrain à risque  une prémédication
    spécifique peut-être prescrite par le médecin (
    Antihistaminique, corticoïdes) oralement, ou en
    perfusion IV débuté 24 à 48H avant lexamen.
  • Prévenir le patient de leffet sédatif de
    lAtarax.
  • Laisser le patient à jeun depuis la veille au soir

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  • Prévenir lanxiété du patient 
  • Expliquer le déroulement de lexamen
  • Anesthésie locale
  • Ponction rapide et Injection ensuite du produit
    de contraste dans larticulation et réalisation
    de nombreux clichés
  • Il est normal que linjection entraîne parfois
    une impression de chaleur passagère, un goût de
    métal dans la bouche, un flush (érythème
    congestif), des nausées et parfois des
    vomissements

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  • Évaluer le risque hémorragique 
  • Bilan dhémostase
  • Arrêt déventuel traitement anticoagulant en
    cours avant lexamen
  • Prévenir le risque infectieux 
  • Toilette minutieuse et Nettoyage local avec
    antiseptique /- dépilation

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  • Après lexamen 
  • Prévenir la douleur
  • Administrer sur prescription antalgique et anti-
    inflammatoire /- vessie de glace
  • Prévenir le gonflement et lhématome
    post-arthrographie 
  • Vessie de Glace
  • Bandage compressif
  • Surélévation du membre

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  • Dépister les signes dune infection iatrogène 
  • Surveillance de la T
  • Surveillance du point de ponction et de
    larticulation (chaleur, rougeur, douleur, œdème)
  • Avertir le médecin si observation de ces signes

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  • Prévenir les risques thrombo-emboliques 
  • Surveillance locale à la recherche de signes de
    phlébites et débuter ou reprendre traitement
    anticoagulant sur prescription
  • Nécessité de dépister les signes dune
    intolérance à liode
  • (Pour les sujet à risque une prémédication peut
    être prescrite)
  • signes cutanés (prurit, urticaire, œdème des
    paupières)
  • signes pulmonaires(toux, sensation
    doppression,dyspnée)
  • signes digestifs (nausées, vomissements)
  • signes cardiovasculaires(sueurs, pâleur,
    tachycardie, hypotension)
  • Un seul de ces signes conduit lIDE à alerter le
    médecin

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3. Arthroscopie
  • Examen endoscopique effectué le plus souvent au
    genou mais
  • autres articulations comme hanche, épaule.
  • Permet de visualiser lintérieur de
    larticulation grâce à un
  • endoscope rigide muni dune fibre optique et
    relié à une caméra
  • Acte chirurgical effectué au bloc opératoire sous
    anesthésie
  • générale ou locorégionale
  • Indication 
  • Rarement diagnostique
  • Souvent thérapeutique 
  • Synovectomie, méniscectomie, ligamentoplastie
  • Biopsies synoviales (processus inflammatoires ou
    infectieux)
  • Lavages articulaires (arthrites septiques)
  • Extractions de corps étrangers avec lavages
    articulaires
  •  Shaving  dun cartilage arthrosique
    (égalisation du cartilage)

56
Matériel pour Arthroscopie
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  • soins pré-opératoires 
  • à jeun (8 heures minimum)
  • réaliser, récupérer, et montrer le bilan de
    coagulation
  • douche préparation locale
  • administrer la prémédication
  • soins post-opératoires 
  • Le patient revient du bloc opératoire avec 2 ou 3
    incisions suturées
  • par des fils ou des stéristrips et un bandage
    compressif.
  • Durée dhospitalisation selon limportance de
    lintervention

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  • Prévenir la douleur
  • Administrer sur prescription antalgique et anti-
    inflammatoire et vessie de glace
  • Prévenir le gonflement et lhématome 
  • Glace sur larticulation (prescription médicale)
  • Veiller à limmobilisation du genou
  • Surélévation du genou par une attelle
  • Surveillance du pansement compressif et dépister
    lapparition dhématome ou dœdème
  • Pansement laissé en place jusquà lablation des
    fils selon protocole (souvent à J8 post
    interventionnel)

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  • Dépister les signes dune infection  
  • Pansement compressif retiré à J2
  • Surveillance de la température
  • Surveillance de létat des cicatrices et
    rechercher des signes inflammatoires (douleur,
    gonflement, écoulement)
  • Avertir le médecin si observation de ces signes

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  • soins éducatifs avant la sortie 
  • suites simples
  • J 0 à H 24  1er lever, marche en plein appui sur
    le genou opéré autorisée avec Cannes anglaises.
    Pas de flexion à plus de 90 donc marche,
    position assise, montée et descente descalier
    autorisées
  • gt 24H
  • Augmentation progressive du périmètre de marche
    et de la durée de
  • station verticale  limiter lœdème du genou, en
    position assise, ne
  • pas laisser pendre la jambe mais lallonger sur
    un tabouret
  • Glace à poursuivre selon prescription au domicile
  • Ablation des fils vers J10 ? pas de bain
  • Rééducation dans certains cas pour stimulation
    musculaire (ex.
  • genou/quadriceps)

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  • Arrêt de travail denviron 8 jours
  • Reprise du sport selon geste réalisé lors de
    larthroscopie 
  • en général 
  • Course  J15
  • Entraînement  3ème semaine
  • Compétition  1er mois

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  • Lauto-rééducation 
  • prévue après larthroscopie
  • permet de muscler le quadriceps, le vaste interne
  • permet de lutter contre la rétraction musculaire
    des ischio-jambiers et du triceps
  • Les exercices doivent être effectués sieurs fois
    par jours, sans résistance et ne doivent jamais
    être douloureux.

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VIDEO
  • ..\Imageries\arthroscopie1,3mo.WMV
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