SOUTH AFRICAN DEEPSEA TRAWLING INDUSTRY ASSOCIATION RGLEMENT DU CONSEIL CE N 10052008 Systme de cert - PowerPoint PPT Presentation

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SOUTH AFRICAN DEEPSEA TRAWLING INDUSTRY ASSOCIATION RGLEMENT DU CONSEIL CE N 10052008 Systme de cert

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Le point de vue du secteur priv sud-africain. Introduction ... Les entreprises ont besoin du commerce licite afin de poursuivre leurs activit s ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: SOUTH AFRICAN DEEPSEA TRAWLING INDUSTRY ASSOCIATION RGLEMENT DU CONSEIL CE N 10052008 Systme de cert


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SOUTH AFRICAN DEEP-SEA TRAWLING INDUSTRY
ASSOCIATIONRÈGLEMENT DU CONSEIL (CE) N
1005/2008 - Système de certification des prises
pour les produits de la pêche importés de pays
tiersLe point de vue du secteur privé
sud-africain
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Introduction
  • Les questions soulevées ont des implications
    profondes pour les acteurs du secteur privé dont
    la survie dépend du commerce européen.
  • Le secteur privé est conscient du caractère
    inévitable du Règlement.
  • Il recommande et soutient ses objectifs et mettra
    tout en uvre pour aider à assurer un
    fonctionnement sans heurts du système de
    certification.
  • Les entreprises ont besoin du commerce licite
    afin de poursuivre leurs activités sans
    bouleversement ni entraves à partir de janvier
    2010 et sans augmentation significative des coûts
    d'exportation.
  • Les entreprises souhaitent également que le
    Règlement favorise le développement du commerce
    avec l'Europe.
  • Elles ne veulent pas être considérées comme trop
    critiques envers le Règlement CE n 1005/2008.

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AVERTISSEMENT
  • Étant donné la grande diversité des pêcheries
    commerciales dans les pays ACP, il est
    extrêmement difficile de présenter une vue
    définitive du secteur privé.
  • L'opinion exprimée ici s'appuie sur 
  • L'intensivité du capital
  • La moyenne et la haute technologie
  • Des entreprises dépendant largement du commerce
    européen
  • Des législations complexes en matière de pêche
  • Une bonne gestion des pêcheries
  • Une mise en uvre et un respect rigoureux des
    normes.
  • Les dispositions appropriées pour les pêcheries
    de petite taille et de quasi-subsistance
    diffèrent de celles destinées aux pêcheries
    industrielles.
  • Le Règlement aurait également pu mieux cibler les
    besoins des secteurs artisanaux.

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CRAINTES ET PORTÉE
  • Les craintes concernent les questions dordre
    mécanique et juridique.
  • Les produits de la pêche ne seront importés
    qu'avec un certificat de prise validé par une
    autorité compétente lié au(x) navire(s) de pêche
    (responsable(s)) opérant conformément à la
    législation en vigueur et disposant de toutes les
    informations mentionnées à l'annexe II.
  • L'article 12, de même que la définition de la
    pêche illicite, engendrent un risque d'incapacité
    à respecter la procédure pour les entreprises
    sous peine d'être défavorisées.
  • Il y a des raisons d'espérer que d'autres
    inquiétudes seront apaisées en temps voulu à
    mesure que le système de certification est
    affiné.

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DIFFICULTÉS DE TRACABILITÉ
  • Les mécanismes pour les pays tiers s'inspirent
    largement des ORGP, permettant au système de
    certification de lutter efficacement contre les
    opérations iconiques, de haute mer et INN.
  • Les ORGP ne constituent pas la norme, mais un
    aspect minoritaire du commerce halieutique. Le
    reste du secteur de la pêche dépend souvent d'une
    diversité de modèles commerciaux beaucoup plus
    complexes.
  • Les pratiques commerciales avancées impliquent
    généralement des processus d'agrégation et de
    désagrégation, du débarquement à l'exportation,
    afin de garantir une traçabilité parfaite.
  • Le navire, l'itinéraire et le skipper sont
    généralement perdus mais une traçabilité sûre
    n'en reste pas moins possible.

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DIFFICULTÉS JURIDIQUES
  • De l'avis général, l'un des grands avantages du
    Règlement est qu'il confie l'application de la
    procédure de certification aux législations et
    aux politiques des partenaires commerciaux.
  • Lorsque la définition du caractère illicite dans
    le Règlement CE n 1005/2008 interfère avec une
    tradition de mise en uvre locale rigoureuse,
    cette force peut devenir une faiblesse.
  • La législation locale peu ou non interdire la
    distinction entre  pêche illicite  et  pêche
    non règlementaire , alors que la pratique locale
    l'opérera probablement toujours.
  • L'absence de distinction par d'autres systèmes
    juridiques entre l'illicite complet ou partiel a
    des implications perverses dans les meilleurs
    systèmes de gestion.

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QUE FAIRE ?
  • Le rôle du navire et du skipper devrait être
    limité, en particulier en ce qui concerne le
    second, probablement via une reformulation de
    l'annexe II.
  • La traçabilité doit être appropriée aux
    circonstances plus diverses des pêcheries, avec
    peut-être comme référence utile l'approche de
     point de contrôle critique  du système de
    sécurité alimentaire européen existant.
  • Les autorités compétentes d'administration de
    systèmes de gestion des pêcheries de qualité
    doivent être investis d'un pouvoir
    discrétionnaire d'émission des certificats pour
    les entreprises nationales.
  • Le concept de pêche dûment règlementée doit avoir
    plus de poids dans la mise en uvre du Règlement.

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CONCLUSIONS
  • Un système de certification reste le meilleur
    moyen de garantir la légalité des produits
    halieutiques pénétrant sur le sol européen.
  • Le Règlement ne peut être amendé dans un délai
    raisonnable. Les gouvernements et les autorités
    européennes devront faire preuve de rapidité, de
    flexibilité et de créativité avec les instruments
    à leur disposition.
  • Ceux-ci se limitent de toute évidence aux
    règlements d'application, à l'interprétation et
    aux exemptions, avec un espoir d'amélioration de
    l'annexe II.
  • La probabilité de négociations bilatérales dans
    le cadre du Règlement CE n 1005/2008 signifie
    que les pays ACP auront l'occasion de coopérer
    avec la Commission européenne afin que le système
    de certification prenne le cap désiré.

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SOUTH AFRICAN DEEP-SEA TRAWLING INDUSTRY
ASSOCIATION
MERCI
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Agrégation, etc.  cas despèce
  • Les consommateurs italiens adorent les filets de
    merlu emballés dans des cartons de 400 grammes.
  • Pour obtenir cette découpe, il faut couper le
    poisson en filets, enlever la peau et le couper
    une fois de plus en six pour différents marchés.
  • 35  du débarquement est réservé à d'autres types
    de produits, le reste étant découpé, à savoir les
    poissons de plus de 600 grammes uniquement.
  • 2  du débarquement est récupérable sous forme de
    filets.
  • Le navire effectue 7 débarquements par semaine,
    soit 40 tonnes de matière première en moyenne par
    débarquement.
  • Il faudra environ 900 tonnes de poisson débarqué
    pour remplir un conteneur de 18 tonnes pour un
    seul client.
  • 900 tonnes équivalent approximativement à 23
    débarquements stockés navire par navire en
    l'espace d'un mois environ.
  • 23 certificats de prise sont nécessaires pour ce
    seul conteneur, sans parler de tous les autres
    conteneurs contenant les autres parties du même
    poisson.
  • On constate que du moment de la prise à son
    arrivée en Italie, le poisson n'a été en
    possession et sous la garde que d'une seule
    personne.
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