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Pr

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Dans un 3 me temps Des flammes commencent appara tre dans les fum es et les gaz de distillations accumul s dans les parties hautes du local. – PowerPoint PPT presentation

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Transcript and Presenter's Notes

Title: Pr


1
(No Transcript)
2
FEUX DESPACES CLOS ET TECHNIQUES DEXTINCTION
VERSION 1.0 03/2001
3
  • SOMMAIRE
  • AVERTISSEMENT
  • RAPPELS THEORIQUES SUR LES L.D.V.
  • LES FEUX DESPACES CLOS
  • PHENOMENES PARTICULIERS
  • METHODES DATTAQUES

4
  • AVERTISSEMENT
  • Les sapeurs-pompiers utilisent de nouveaux
    outils, modernes et adaptés à leurs missions
  • Ainsi les incendies ne représentent en moyenne
    que 37 des interventions, lapparition de L.D.V
    à permis la mise en place de nouvelles techniques
    dextinctions,
  • Étudions ces nouvelles techniques.

5
(No Transcript)
6
LES DIFFERENTS TYPES DE LANCE EN SERVICE DANS LE
DEPARTEMENT
7
L.D.V AUTOMATIQUES DE TYPE MACH3
8
L.D.V DE TYPE QUADRAFOG
9
L.D.V. DE TYPE PROTEK
10
Le principe du jet des L.D.V
JET DIFFUSE DATTAQUE
11
JET DIFFUSE DE PROTECTION
12
Les avantages des L.D.V
  • Débits ajustables.
  • Portée des jets relativement constante (pour les
    lances automatiques).
  • Diffusé protecteur avec un minimum deau et de
    pression.
  • Amortissement des coups de bélier.
  • Sécurité du porte-lance accrue
  • Rapidité dextinction

13
LES FEUX DESPACES CLOS CARACTERISTIQUES ET
PHENOMENES PARTICULIERS
14
  • Lévolution des matériaux de construction et des
    mobiliers dhabitation , a facilité le
    développement dincendie mettant à jour de
    nouveaux phénomènes qui sont à prendre en compte
    par les équipes de secours.

15
Mais dabord quels sont ces nouveaux matériaux ?
  • Les bandes de laine de verre dont certaines ont
    une induction de goudron.
  • Leur épaisseur peut atteindre 25 cm suivant les
    régions.
  • Les feuilles de PVC armé pour létanchéité
    placées sous les tuiles.
  • Les double vitrages (meilleure résistance à la
    chaleur).
  • Les plaques de plâtre ou les briques type
    cellulaires
  • Les menuiseries P.V.C, etc. ........

16
  • Les matériaux disolation modifient énormément le
    déroulement dun incendie.
  • Pourquoi ?

17
 Et bien tout simplement par ce quils gardent
la chaleur à lintérieur du bâtiment. 
18
  • Laddition de tous ces éléments modifie le
    développement dun feu et oblige les sapeurs
    pompiers à adapter les méthodes dintervention.

19
Tout dabord voyons quelques rappels sur le
développement dun feu et ses diverses formes
20
Quels sont les produits générés par la
combustion ?
21
Oxydes dAzote
Vapeur deau
Monoxyde de carbone
Fumée
Dioxyde de carbone
Particules de carbone
GAZ CHLORIDRIQUE
Acide cyanhydrique
FLAMMES
  • Vapeurs

inflammables
22
Estimation des volumes de Fumées produits par la
combustion
MATERIAUX (10kg) M3 de FUMEE
PAPIER 10 000
POLYURETHANE 22 000
POLYETHYLENE 22 000
CAOUTCHOUC 25 000
ESSENCE 25 000
GASOIL 25 000
23
TABLEAU DES GAZ PRODUITS EN FONCTION DES
MATERIAUX IMPLIQUES DANS LA COMBUSTION
MATERIAUX CO2 CO HCN HCL NOx
POLYETHYLENE X X
PVC X X X
POLYURETHANE X X X X
BOIS X X
PAPIER X X
HYDROCARBURES X X
CAOUTCHOUC X X
24
RAPPEL Les principaux Modes de Propagation Des
feux?
25
Rayonnement
26
  • Conduction
  • Document IFSTA

27
C
O
N
V
E
C
T
  • Document
  • IFSTA

I
O
N
28
Le feu, origine et développement
29
Les premières minutes
  • Une source de chaleur X émet des rayonnements.
  • L élément combustible placé à proximité est
    amené à distiller des gaz de combustion.
  • La température d auto-inflammation est atteinte.
  • Lincendie se développe

30
  • C est l inflammation

31
Suivons le développement du feu !
Document IFSTA
32
Dans un second temps
  • Le feu commence à prendre de lampleur.
  • Le rayonnement calorifique est de plus en plus
    important.
  • Les matériaux dans la pièce commencent à
    distiller des vapeurs inflammables.
  • La température au niveau des parties hautes
    augmente.

33
  • C est
  • le développement

34
Accumulation et stratification des fumées
Document IFSTA
Les matériaux commencent leur distillation
35
L évolution du feu
  • A partir de cet instant T, le feu peu prendre
    différentes orientations.
  • Soit à larrivée des secours, le feu brûle à
    l air libre et suit un développement normal.
  • Soit il parait être en phase d auto-extinction.

36
Cest au cours de la reconnaissance que le chef
dagrès devra être en mesure didentifier
lévolution du feu
37
  • COMMENT ?
  •  Lecture  précise du feu
  • Recherche des signes extérieurs caractéristiques.

38
  • Fumée
  • Flammes
  • Chaleur

Sont les premiers signes à repérer
39
Et ne pas oublier !
  • Fenêtre
  • Son

40
Vous avez repéré les premiers signes Précisons
les à travers un premier cas
41
  • Fumée s échappant par le bas des portes.
  • Fumée s échappant par les interstices.
  • Couleur de la fumée (jaunâtre, rougeâtre).
  • Flammes non visibles.
  • Chaleur perceptible de l extérieur.
  • Fenêtres brûlantes et présentant des traces
    noirâtres.
  • Sons assourdis.

42
Vous avez identifié certains de ces signes?
43
OUI ?
44
Alors VOUS RISQUEZ LE BACKDRAFT
45
Comment se développe le BACKDRAFT ?
46
Document IFSTA
Départ de feu traditionnel avec distillation des
matériaux présents
47
PUIS.. à cause de lisolation du volume
48
Le feu sétouffe de lui même par manque dO2
DANGER
DANGER
DANGER
49
Document IFSTA
50
Attention danger
51
Bruit sourd
T
Fumée
52
Vous devez alors adopter une attitude défensive
53
Quest ce que l attitude défensive face au
risque de Backdraft ?
54
  • LA SECURITE DU PERSONNEL
  • SA POSITION
  • SON EQUIPEMENT
  • SES ACTIONS

55
Attitude défensive
  • Ne pas pénétrer dans le local.
  • Ne pas ventiler par le bas.
  • Informer le commandement.
  • Créer des exutoires en partie haute.
  • Contrôler labaissement de la température et
    lévacuation des fumées avant toute pénétration
    dans le local.
  • .PUIS.

56
Vous devez alors retarder la survenue du
BACK-DRAFT
  • Simplement en abaissant la température
  • au niveau du local.
  • Par quel moyen ?
  • la projection deau.

57
La projection de leau à lintérieur du local.
  • Comment ?
  • En respectant un ordre chronologique.
  • Le porte-lance ouvre dans un premier temps sa
    lance en diffusé de protection.
  • Cette action va commencer à faire chuter la
    température, tout en assurant la sécurité du
    binôme dattaque.

58
  • Dans un deuxième temps, projections de brèves
    giclées en diffusé dattaque vers le plafond
  • Attention de ne pas briser de vitres avant que le
    porte-lance ait déjà procédé
  • à un bref refroidissement.
  • sinon, cette action aura pour effet de créer le
    BACK-DRAFT.

59
Deuxième CAS
Lors de la reconnaissance, vous identifiez les
signes suivants
60
  • Foyer localisé produisant des flammes bien
    jaunes.
  • Couches de fumée en partie haute se densifiant
    rapidement.
  • Chaleur importante provenant de la partie haute
    du volume.
  • Ouvertures du local favorisant l apport
    d oxygène.

61
SIGNES COMPLEMENTAIRES
  • 3 signes complémentaires peuvent permettre de
    déceler un autre phénomène de lincendie.
  • Lorsque je lève le bras, la chaleur est elle très
    importante ?
  • Est ce que jai la possibilité de rester debout
    dans le local ?
  • Y-a-til présence de flammes dans la couche de
    fumée en partie haute ?

62
  • Si tel est le cas,
  • vous observez alors un Roll-Over.
  • Quest ce que le Roll-Over ?

63
  • C est une inflammation partielle de gaz imbrûlés
    et donc combustibles qui se sont accumulés au
    niveau des plafonds.
  • Ces gaz sont poussés hors de la pièce en feu par
    surpression et se dirigent vers les pièces non
    atteintes pour se mélanger à l oxygène.

64
SCHEMATISATION
Document IFSTA
Le pré-Roll-over
65
SCHEMATISATION
  • Document IFSTA

Le Roll-Over
66
ATTENTION, Le risque de FLASH-OVER est possible
67
Vous devez alors adopter une attitude défensive
68
Quest ce que l attitude défensive face aux
risques de Flash-over ?
69
  • Mise en application du T.O.T.EM

Toucher. Observer. Tester.
Engagement Minimal.
70
Action immediate !
71
Test du plafond deux possibilités
72
1 - Si présence de gouttes
Température classique
  • Risque normal
  • Traiter le foyer par attaque directe

73
  • ET
  • Ventiler par création d exutoire en partie
    haute.
  • Si possible, mise en œuvre d une ventilation
    forcée.
  • Engagement d un minimum de binômes.
  • Prévoir un itinéraire de secours et le binôme de
    sécurité.

74
2 - si présence de Vapeur
Température très élevée
Risque maximum
  • Refroidir latmosphère en partie haute
  • au moyen dune LDV en diffusé d attaque

75
  • Ventiler par création d exutoire en partie
    haute.
  • Si possible mise en œuvre d une technique de
    ventilation forcée.
  • Analyse de lenvironnement avant de décider une
    éventuelle progression.
  • Test du plafond à intervalle régulier.
  • Engagement d un minimum de binômes.
  • Prévoir un itinéraire de secours et le binôme de
    sécurité.

76
Alors, est il judicieux de vouloir pénétrer dans
un local quand un FLASH-OVER est possible ?
77
  • OUI,
  • Mais sous certaines conditions
  • Porter une tenue adéquate
  • Disposer dune LDV correctement alimentée
  • Agir avec des techniques appropriées

78
ATTENTION !
  • La protection du binôme dattaque est aujourdhui
    importante.
  • Casque F1, veste dintervention ou veste de cuir,
    sur-pantalon.
  • Au moment de lembrasement généralisé les
    températures peuvent atteindre 1000C, voir plus.

79
Pour le FLASH-OVER, dans un premier temps il y
aura le flash, puis un prolongement de la
combustion avec de très hautes températures.
80
  • Même si les fibres des vêtements de nouvelle
    génération peuvent supporter de très hautes
    températures, il nen demeure pas moins que ces
    résistances sont calculées pour de très courtes
    durées (FLASH).

81
Pour exemple, la norme Européenne EN 469 Relative
à la veste de protection, donne les valeurs
suivantes Pour une exposition à une
température de 1000 C. Soit un flux radian de
40KW/m2, il y aura apparition de brûlures au
2ème degré au bout de 22 secondes dexposition.
82
  • Un flashover

83
  • SYNTHESE DES 2 PHENOMENES
  • LE BACK-DRAFT
  • LE FLASH-OVER

84
  • Température moyenne
  • des gaz chauds (C)
  • Plein
  • développement

croissance
  • 1000
  • Flash-over
  • déclin
  • 800

A cet instant le feu à deux possibilité !
  • 500
  • développement
  • Roll-over
  • Risque de back-draft
  • Temps

85
  • Dans le BACK-DRAFT,
  • le feu est monté en puissance, il est à la limite
    du FLASH-OVER
  • mais il lui manque de lO2 pour évoluer.
  • Il prend alors une phase descendante vers
    lauto-extinction, en gardant toutefois des
    effets de distillation des matériaux.

86
  • Pour le FLASH-OVER
  • Comme pour le BACK-DRAFT les matériaux
    combustibles et lisolation sont responsables des
    hautes températures.
  • La seule différence entre ces deux types de
    réaction, cest que pour le Flash-over nous avons
    une réaction en chaîne avec transformation des
    gaz et des particules en flammes visibles.

87
UTILISATION DE LA LDV
88
  • Utiliser, un jet diffusé dattaque qui doit être
    dirigé vers le plafond le plus loin possible.
  • Le débit maximum doit être utilisé durant un
    temps relativement court
  • ( 5 à 10 secondes).

89
OBJECTIF Abaisser la Température des gaz
combustibles Pour retarder lembrasement
généralisé de la pièce
90
La diffusion deau permet dabsorber de la
chaleur, En effet, lors de la transformation
deau en vapeur, la combustion perd des calories.
91
Comportement du porte-lanceface au feu
92
Les méthodes dattaques du XXI ème siècle
93
Les incendies évoluent. vous devez vous adapter
et faire passer le message à votre personnel
94
  • Lattaque de la base des flammes est toujours
    valable, mais seulement lorsque le feu est à
    lextérieur ou dans des locaux naturellement
    ventilés.

95
(No Transcript)
96
Les dernières études préconisent des attaques
indirectes et directes
97
Quelle est la différence entre ces deux types
dattaques ?
98
Lattaque indirecte
99
1)-Cest une attaque qui devra toujours se faire
du haut vers le bas et seulement pour les feux
despaces clos 2)- Elle doit être conjuguée avec
de gros débits. 3)- Toutefois l application de
cette eau doit se faire durant un temps très
court.
100
Comment appliquer cette eau ?
  • Jet diffusé, si possible dattaque, pour avoir de
    la portée et ne pas être obligé sengager
    profondément dans le local en feu.
  • Couvrir un maximum de surface,
  • le porte -lance doit faire des mouvements en
    forme de S, de Z ou de 8 du haut vers le bas.

101
1
102
2
103
Lattaque directe
104
  • Lattaque directe, cest lattaque
    traditionnelle.
  • Elle est utilisable lorsque le feu est en
    extérieur.
  • Cette attaque peut être utilisée à l intérieur
    si les locaux sont très importants en volume et
    les risques dinflammation spontanée peu
    probables.

105
(No Transcript)
106
La manœuvre type lors d'un feu d'appartement
  • Dans un premier temps
  • -Établissement de la LDT.(pour le public)
  • Dans un second temps
  • -Établissement d'une P.L en appui (enfin un
    débit correct)
  • Dans un troisième temps
  • -Alimentation de l'engin.

107
En attendant le feu progresse !
108
Réfléchissez et posez vous la question suivante !
109
Combien de fois avez-vous vidé la tonne d'un
fourgon lors dun feu d'appartement ?
110
Et si la température extérieure était simplement
de -30 C,lalimentation de votre engin ne vous
causerait-elle pas des problèmes ?
111
Depuis lapparition des LDV, nous sommes en
mesure de faire des  attaques massives  Ou  ful
gurantes 
112
Les nouvelles méthodes d'attaque
  • La relation diamètre du tuyau, pertes de charge,
    ajutage et pression date de 1840.
  • En l'an 2001, les règles sont complètement
    différentes.
  • 500 litres dans un tuyau de 45.
  • 1000 litres dans un tuyau de 70.

113
  • Hier, utiliser le débit dune lance de 65 x 18
    dans un feu d'appartement, c'était absurde.
  • Aujourd'hui cela est devenu
  • un gage de sécurité et defficacité.

114
Encore faut-il penser
en temps et débit et non plus en petite et
grosse lance
115
Agir brièvement
avec Beaucoup d'eau
116
EXEMPLES
  • 1 giclée à un débit de 500l/mn pendant 6 secondes
  • 50 litres
  • 1 giclée à un débit de 1200l/mn pendant 9
    secondes
  • 180 litres
  • Extinction dun feu à la LDT à 120l/mn durant 15
    mn
  • 1800 litres

117
  • Dans les feux de classe B, un taux dapplication
    est conseillé afin de procéder à lextinction.
  • Quest ce quun taux dapplication ?
  • Le taux dapplication minimum.
  • Le taux critique dapplication.

118
Aujourdhui, il faut apprendre à travailler avec
ce taux dapplication pour les feux de classe A
119
La courbe des taux dapplication
120
(No Transcript)
121
La nouvelle analyse des risques par les
différents intervenants lors dune attaque
122
Rôle du conducteur et du chef dagrès
123
  • Le conducteur
  • Il doit savoir quel type de lance est établi
  • ( P.O. de 6 ou 7 bar).
  • Calcul rapide des pertes de charge.
  • Attention aux pièges. (pièces de jonction,
    les débits, les longueurs supplémentaires).

124
PENSER TOUTEFOIS A
  • Maîtrise des débits en cas de risque de manque
    d'eau.
  • Régler toujours la pression pour le débit
    maximum. Pourquoi?

125
  • Le chef d'agrès
  • Juge si l'attaque traditionnelle est préférable à
    une attaque massive.
  • ( en fonction du volume et de laccessibilité
    )
  • Il faut quand même se rappeler que les
    LDV peuvent avoir des débits supérieurs aux G.L
    traditionnelles.
  • Quelle est la quantité d'eau disponible ?

126
  • Dans combien de temps aurai-je les renforts en
    eau ?
  • l établissement à t-il été modifié ?
  • Il doit toujours veiller à ce que le même type de
    lance soit établie sur le même établissement.

127
  • Enfin ayez à lesprit
  • Lattaque fulgurante nest pas une solution
    miracle
  • Elle est efficace
  • pour des feux de locaux dune superficie de 100
    m2
  • Elle est inefficace
  • pour des superficies supérieures à 300m2,
  • Elle est inefficace
  • avec des colonnes sèches
  • à cause de limportance des pertes de charge.

128
  • BIBILOGRAPHIE
  • Essentials of Fire Fighting,
  • International Fire Training Association
  • Loïc DUFRESNE DE VIREL
  • in le SAPEUR-POMPIER ( juin 1998)
  • Cdt Jean-François BECKER
  • in le SAPEUR-POMPIER ( septembre 2000)
  • Lt-col SCHMAUCH
  • in le SAPEUR-POMPIER ( février et mars 2001)

129
A BIENTOT DANS LES FLAMMES
130
Dans un 3ème temps
  • Des flammes commencent à apparaître dans les
    fumées et les gaz de distillations
  • accumulés dans les parties hautes du local.
  • La température peut atteindre 1000C.

131
(No Transcript)
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