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Septic

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Septic mie ou Sepsis grave D finition: r ponse inflammatoire syst mique certaines agressions cliniques graves ( SRIS ) + processus infectieux en volution ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Septic


1
Septicémie ou Sepsis grave
  • Définition réponse inflammatoire systémique à
    certaines agressions cliniques graves ( SRIS )
    processus infectieux en évolution, confirmé au
    moins cliniquement dysfonction dau moins un
    organe
  • Septicémie Bactériémie

2
  • Clinique
  • Fièvre et frissons
  • FC gt 110 bpm
  • FR gt 25 min
  • Insuffisance rénale avec oligurie
  • Perturbation hépatique
  • Signes neurologiques
  • Splénomégalie

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  • Biologie
  • Hémocultures
  • ECBU
  • ECBC
  • PL
  • Prélèvements locaux

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  • Traitement
  • Traitt de la défaillance multiviscérale
  • Antibiothérapie
  • Large ( probabiliste ), IVL, Bactéricide, Double
  • Staph ORBENINE GENTAMICINE
  • Strepto CLAMOXYL GENTAMICINE
  • BGN CLAFORAN GENTAMICINE ou OFLOCET
  • Pyocyanique FORTUM AMIKLIN

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MENINGITE
  • Généralités inflammation des méninges
  • Urgence médicale diagnostique et
  • thérapeutique.
  • !! Méninges sont des membranes qui entourent le
    cerveau et la moelle épinière contenant vaisseaux
    sguins permettant lalimentation du cerveau.

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(No Transcript)
7
(No Transcript)
8
  • Méningites bactériennes
  • Clinique
  • AEG, Fièvre, Fatigue, Anorexie, Vomissements
  • Syndrome méningé céphalées violentes avec
    photophobie et raideur méningé ( signe de KERNIG
    et signe de BRUDZINSKI )
  • Kernig malade en décubitus dorsale, cuisses
    fléchies à 90 sur le bassin. Impossibilité
    d étendre la jambe sans réveiller la douleur
    dans le rachis cervical

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  • Brudzinski flexion involontaire des genoux qd on
    essaie de fléchir la nuque sur le thorax
  • Diagnostic
  • Repose sur la PL ( ponction lombaire ). Se
    pratique immédiatement avant toute ATB.
  • Avant la PL, il faut sassurer quil ny a pas de
    signes de localisations ( asymétrie pupillaire,
    hémiplégie, paresthésies, dysphasie..)
    traduisant une éventuelle HTIC et nécessitant
    aant la PL la réalisation dun TDM cérébral.

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(No Transcript)
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(No Transcript)
12
(No Transcript)
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  • Germes en causes
  • Méningocoques 25 des méningites en France.
    Déclaration obligatoire.
  • Prophylaxie par suppression du portage
    rhino-pharyngé ( Rifampicine )
  • Traitt par C3G pdt 7 jours à fortes doses
  • ( CLAFORAN ou ROCEPHINE )

14
(No Transcript)
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  • Pneumocoques terrains particuliers ( infection
    ORL, éthylisme, SIDA, PA )
  • 60 des méningites en France
  • Traitt par C3G /- VANCOMYCINE forte dose pdt 10
    jours
  • Pas de traitt prophylactique.
  • Le vaccin anti-pneumococcique est discuté

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  • Listéria terrains particuliers ( femme enceinte
    et immunodéprimés )
  • Traitt par CLAMOXYL /- GETAMYCINE pdt 2 à 3
    semaines
  • !! Seul germe donnant un aspect panaché du LCR (
    PNN et lymphocytes )

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  • Méningite virale
  • Clinique céphalées intenses, fièvre à 40 et
    syndrome méningé.
  • Diagnostic PL avec LCR clair. Prédominance de
    lymphocytes
  • Etiologie difficile de retrouver le virus en
    cause.
  • Traitement aucun hormis symptomatique.

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  • Prévention isolement
  • traitement des cas suspects de méningite pour
    éviter contagion.
  • ? ATB, Immunoglobulines préventives ou vaccins
    spécifiques ( méningocoque, grippe, oreillons,
    rougeole ) pour entourage

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FIEVRE TYPHOIDE
  • Bactériémie à point de départ lymphatique
    mésentérique due à SALMONELLA TYPHI ( bacille
    dEBERTH ) ou PARA TYPHI A, B OU C.
  • Maladie à déclaration obligatoire
  • !! Maladie rare en France. Importation

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  • Transmission
  • Réservoir des germes strictement humain.
  • Contamination se fait par lintermédiaire des
  • fécès de malade ou de porteurs sains
  • directe contact avec selles, mains, linge,
    aliments
  • indirecte eau souillée ou ingestion de produits
    de la mer, des rivières, darrosage

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  • Clinique
  • Incubation de 7 à 15 jours
  • Phase dinvasion fièvre à 40, AEG, douleurs
    abdo, constipation, épistaxis
  • Phase détat fièvre à 39-40, somnolence,
    obnubilation, douleurs abdo, diarrhée  jus de
    melon 

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  • Diagnostic
  • Isolement germe dans coproculture
  • Isolement germe dans hémocultures
  • Sérologie de Widal et Félix ( recherche dAc
    dirigés contre les antigènes O et H de Salmonella
    ) ? interprétation difficile
  • Complications
  • Péritonite, hémorragies basses, état de choc

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  • Traitement
  • Adulte OFLOCET pdt 1 semaine
  • Enfant ROCEPHINE pdt 8 jours
  • Prophylaxie
  • Isolement patient ( désinfection selles, linge et
    chbre après guérison
  • Maladie des  mains sales 
  • Ne pas boire eau non contrôlée et manger des
    denrées crues ou fraîches.

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  • Vaccination
  • maladie non immunisante.
  • vaccin existant est le TYPHIM Vi protégeant
    contre Salmonelle typhi mais pas contre para
    typhi A, B ou C
  • Vaccin obligatoire pour personnels de labo, et
    militaires.Conseillé aux voyageurs et personnels
    de santé. 1 injection / 3 ans.

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MALADIE DES LEGIONNAIRES
  • Généralités
  • Lagent responsable de la légionellose est la
    LEGIONELLA PNEUMOPHILA.
  • Mortalité varie de 5 à 30
  • Lhabitat naturel du germe est eau de source,
    sols humides et réseaux de distribution deau
    chaude.
  • Contamination par les tours réfrigérantes,
    évaporateurs, piscines, douches, matos médic

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  • Épidémiologie
  • terrains prédisposés adultes, fumeur,
    éthylique, immunodéprimés, etc.
  • !! Pour évoquer le diagnostic, il faut notion de
    contamination hydroaérique ( air conditionné ).

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  • Clinique
  • Incubation de 2 à 10 jours
  • Sd pseudogrippal avec fièvre et dissociation
    pouls, dyspnée
  • Puis pneumonie bilatérale et extensive
  • /- associé à céphalées, confusion, coma,
    myalgies, dl abdos.

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  • Examens complémentaires
  • PNN gt 10000 / mm³
  • Insuffisance rénale
  • Cytolyse hépatique
  • Augmentation des CPK
  • Le diagnostic repose sur la sérologie et plus
    récemment sur la mise en évidence de lAg soluble
    urinaire

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  • Traitement
  • Antibiothérapie par Macrolides ou
    Fluoroquinolones

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LISTERIOSE
  • Agent causal
  • LISTERIA MONOCYTOGENE
  • Multiplication à basse température ( 4 )
  • Résistance agents physiques et chimiques
  • Épidémiologie
  • le milieu ext ( sol, eau, plantes ) est le
    réservoir véritable du germe à partir duquel
    lhomme se contamine
  • contamination par chaîne du froid

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  • Pathogénie
  • survient sur terrains particuliers ( femme
    enceinte, PA, suite à traitt immunosuppress
  • 2 groupes formes materno-fœtales
  • formes adultes
  • !! Létalité est de lordre de 20 à 30

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  • Clinique
  • Listériose foeto-maternelle
  • infection lors des 2 premiers trimestres de
    grossesse. Fréquent avortement.
  • dépistage difficile
  • Listériose néonatale
  • Granulomatose septique infantile
  • sepsis sévère avec conjonctivite, pneumopathie,
    splénomégalie ( survient dans les 4 premiers
    jours )

33
  • Méningite aigue
  • survenant dans les 3 semaines suivant
    accouchement apparemment normal
  • Listériose de ladulte
  • Bactériémies
  • Atteintes neuro-méningées

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  • Diagnostic
  • Bactériologique par isolement et identification
    du germe à partir de différents prélèvements
  • Hémocultures
  • LCR et autre prélèvements locaux
  • Si accouchement fébrile? examen macroscopique et
    bactériologique du placenta , prélèvements
    multiples chez le nouveau-né ( méconium, liquide
    gastrique, conduit auditif )

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  • Traitement
  • Atteintes neuro Amoxicilline aminoside
  • Bactériémies et listérioses néonatales
    amoxicilline et aminoside
  • Listériose de la femme enceinte amoxicilline
    aminoside pdt 10 à 15 jours, lamoxicilline étant
    poursuivi seul jusquau terme
  • !! Traitt de 4 à 6 semaines dont 15 jours en IV

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TETANOS
  • Agent causal
  • CLOSTRIDIUM TETANI
  • présent dans sol et fécès humaines et animales.
  • spores résistantes à la chaleur et à la
    désinfection.
  • sécrète une exotoxine neurotrope.

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  • Fréquence-Groupe à risque
  • fréquent dans les pays en voie de développement.
  • 1 des 10 premières causes de mortalité par
    maladie infectieuse
  • Transmission-Contagiosité
  • Réservoir tellurique
  • Maladie non contagieuse à déclaration obligatoire
  • Incubation de 3 à 30 jours

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  • Pathogénie
  • 3 conditions pour quun tétanos se developpe
  • - absence de vaccination correcte
  • - introduction de spores lors effraction
  • cutanée
  • - plaie avec environnement anaérobie

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  • La neurotoxine ( tétanospasmine ) cause la
    maladie
  • Clinique
  • Invasion dure 2 jours en moyenne
  • Trismus ( contracture des masseters bloquant
    louverture de la bouche qui devient permanente,
    irréductible et invincible parfois douloureuse.(
    impose arrêt de alimentation )

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  • Période détat contractures généralisées.
    possible anoxie.
  • Diagnostic
  • strictement clinique
  • Diagnostic différentiel
  • Trismus de cause local patho dentaire, angine
  • Trismus neuro patho tronc cérébral, NLP
  • Trismus hystérique contexte psychiatrique

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  • Évolution
  • Mortalité importante chez non traités
  • Complications surinfections, TVP ( alitement )
  • Traitement
  • Hospitalisation en REA qlq soit la gravité du
    tétanos
  • Traitt étiologique nettoyage plaie, ATB, Ig
    spécifiques 500 UI, 1ère injection vaccin

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  • Traitt symptomatique réa respi avec intubation
    ou trachéotomie, drogues décontracturantes,
    alimentation par SNG, Traitt anticoag préventif
  • Prévention
  • Vaccination par anatoxine tétanique
  • Prophylaxie en cas de plaie ( cf tableau )

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Situation vaccinale Risque modéré Risque majeur
Vaccinat complète D rappel lt 5 ans D rappel 5 à 10 a D rappel gt à 10 a rien rien rappel rien rappel rappel Ig 250 UI
Vaccination incomplète rappel rappel Ig 250 UI
Vaccination absente ou incomplète vaccin Ig 250 UI vaccin Ig 500 UI
Plaie minime, ulcère,intervention chirurgicale Plaie étendue, souillée ou vue tardivement, brulures. compléter ultérieurement la vaccination Plaie minime, ulcère,intervention chirurgicale Plaie étendue, souillée ou vue tardivement, brulures. compléter ultérieurement la vaccination Plaie minime, ulcère,intervention chirurgicale Plaie étendue, souillée ou vue tardivement, brulures. compléter ultérieurement la vaccination
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GRIPPE
  • Généralités
  • maladie virale aigue, contagieuse survenant par
    épidémie
  • Étiologie
  • virus responsable est le MYXOVIRUS INFLUENZAE (
    virus à ARN )
  • gde variabilité antigénique doù difficulté pour
    vacciner

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  • Clinique
  • Incubation brève de 24 à 72 h
  • Phase invasive malaise, frissons, fièvre,
    céphalées, myalgies
  • Phase détat fièvre à 40, frissons ,
    asthénie, anorexie, céphalées, douleurs diffuses
    ( arthralgies, myalgies)
  • Évolution vers guérison spontanée

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  • Diagnostic
  • facile en période dépidémie
  • Traitement
  • traitt symptomatique
  • - repos
  • - antipyrétiques, analgésiques
  • - sédatifs de la toux
  • - hydratation correcte
  • - ATB si surinfection

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  • Prophylaxie
  • vaccination par vaccin inactivé, préparée sur
    œuf de poule embryonnées. Injection unique SC à
    lautomne.
  • prévient la grippe chz 70 à 90 des sujets en
    bonne santé ( lt 65 ans )
  • - efficace chz gt 65 ans mais prévient
    complications de grippe ( pneumonie,
    hospitalisation, mortalité )

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INFECTIONS à HERPES VIRUS SIMPLEX ( HSV )
  • Physiopathologie
  • - ? seul réservoir. virus très fragile.
  • - transmission par contact direct
  • - diffusion le long des troncs nerveux
  • - possible réplication virale lors stress,
  • soleil, règles, relations sexuelles
  • - incubation de la PI 2 à 12 jours
  • - infection à HSV1 et HSV2

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  • Clinique
  • HSV1
  • Gingivostomatite aigue
  • dysphagie, ulcération muqueuse jugale, ADNP,
    fièvre
  • Manifestations OPH
  • conjonctivite benigne( !! Pas de CORTICOIDES )
  • Encéphalite herpétique
  • gravissime.fièvre, céphalées, tbles caractères
    et phasique,obnubilation, coma.

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  • HSV2
  • Herpès génital
  • Primo-infection incubation de 2 à 7 j. Vésicules
  • puis ulcérations gland, corps pénis,vulve col,
  • fesse, vagin. Fièvre, ADNP, dysurie
  • Récurrence dl, prurit, brûlures,
    vésicules-ulcérations
  • Herpès anal et péri anal
  • douleurs , prurit, dysurie, fièvre, vésicules
    puis ulcérations
  • Herpès néonatal
  • infection très grave. Transmission de la mère à
    lenfant lors accouchement. Tableau de sepsis
    néonatal grave avec vésicules nécrotiques
    diffuses, hépatite, thrombopénie, pneumopathie

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  • Diagnostic
  • Mise en évidence Ag viraux ( assez coûteux )
  • Isolement viral ( méthode de référence
    recherche de leffet cytopathogène sur des
    Cellules sensibles )
  • PCR surtout pour LCR en cas de suspicion
    dencéphalite ( très rapide )
  • Sérologie ( sans intérêt pour Dg de récurrence )

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  • Traitement
  • Curatif
  • Gingivostomatite réH2O, bains bouche, aspirine,
    aliments froids
  • Herpès génital Aciclovir ou Valaciclovir
  • Herpès génital et grossesse Aciclovir mère et
    enfant césarienne
  • Herpès cornéen Aciclovir en pommade OPH et avis
    OPH
  • Encéphalite herpétique urgence thérapeutique.
    Aciclovir IV pdt 15 à 21 j

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  • Préventif
  • Si gt 6 récurrence par an , herpès génital ou
    cutanéo-muqueux ?Aciclovir ou Valaciclovir pdt
    6-12 mois
  • Prévention
  • identique aux IST
  • - limiter partenaires, utilisation préservatif,
  • traitt partenaire
  • !! Aucun vaccin disponible

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(No Transcript)
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ZONA
  • Epidémiologie
  • peut survenir à tout âge de la vie
  • Physiopathologie
  • le zona est lexpression clinique de la
    réactivation du virus Varicelle-Zona et survient
    en général une fois dans la vie

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  • Clinique
  • Zona thoracique
  • Phase prodromique brûlures, démangeaisons,
    picotements siégeant dans le territoire atteint
  • Phase détat éruption douloureuse unilatérale en
    hémiceinture. Dabord érythémateux roses vifs,
    les éléments se recouvrent en 24 h de vésicules
    arrondies, groupées en bouquet. Les vésicules se
    troublent au 5ème jour puis sèchent et forment
    des croûtes au 7ème jour. Les croûtes tombent au
    10ème jour laissant une cicatrice dépigmentée
    indélébile. Lévolution dure 2 à 3 semaines

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  • Zona OPH éruption siège dans le territoire du
    nerf ophtalmique, lune des 3 branches du
    Trijumeau ( frontal, lacrymal et nasal ). Il
    existe des ADNP. Se complique fréquemment
    dalgies post-zostériennes et parfois de
    paralysies oculomotrices.
  • Zona du GG géniculé éruption dans la zone de
    RAMSAY-HUNT ( tympan, CAE, conque du pavillon de
    loreille ). Saccompagne dune paralysie
    faciale, éruption sur les 2/3 antérieures de
    lhémilangue homolatérale.
  • Zona céphalique rare. Volontiers très douloureux

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  • Complications
  • Douleurs post-zostériennes surtout chez PA et
    surtout lors des localisations céphaliques.
    Douleurs qui persistent au-delà de un mois.
    Disparaissant dans un délai de 6 mois mais
    pouvant être définitives
  • Autres complications paralysie oculomotrice,
    myélites et encéphalites
  • Diagnostic
  • essentiellement clinique

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  • Traitement
  • Traitt antiviral
  • Zona OPH Aciclovir ou Valaciclovir pdt 7 j
  • Dans les autres localisations traitt chez gt 50
    ans pour réduire fréquence et intensité des
    algies post-zostériennes. Possible chez lt 50 ans
    SSI facteurs prédictifs d évolution vers algies
    post-zostériennes.
  • Chez immunodéprimés Pour tout zona ? Aciclovir
    IV
  • Traitt symptomatique
  • pas de talc, crèmes, pommades, gels.
  • - traitt de la douleur Di-Antalvic
  • - algies post-zostériennes Laroxyl , Tégrétol
    , Rivotril , Neurontin

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MONONUCLEOSE INFECTIEUSE
  • Infection à EPSTEIN-BARR VIRUS
  • Épidémiologie
  • Primo-infection souvent inapparentes
  • Pas de récurrence

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  • Clinique
  • Forme typique
  • asthénie, fièvre, angine érythémato-pultacée,
    œdème de luette, œdème palpébral, pétéchie, ADNP,
    splénoMG, /- hépatite biologique.
  • Évolution vers guérison spontanée en 3 à 4
    semaines.
  • Immunodépression
  • chez les patients HIV , développement de
    lymphomes de haut grade de malignité.

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  • Diagnostic
  • - Sd mononucléosique défini par une augmentation
    du de grands lymphocytes hyperbasophiles et une
    augmentation des éléments mononucléés (
    lymphocytes et monocytes )
  • - augmentation modérée des transaminases
  • - MNI test test dagglutination rapide
  • - réaction de PAUL-BUNNELL-DAVIDSON mise en
    évidence des agglutinines de GR de mouton
  • - recherche danticorps spécifique

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  • Traitement
  • Pas de vaccin, ni dimmunoglobulines spécifiques
    anti-EBV
  • Traitt essentiellement symptomatique repos,
    absence de sport

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RAGE
  • maladie constamment mortelle une fois
    déclarée.Prévention par vaccination et parfois
    sérovaccination
  • Agent causal
  • Rhabdovirus. Détruit rapidement hors dun
  • organisme par le savon, éther, Il est sensible à
    la chaleur, la lumière et la dessication.

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  • Observé en microscopie électronique, le virion
    rabique présente un diamètre moyen de 75 nm (1
    nm10-9 m) et une longueur variant entre 130 et
    300 nm (moyenne 180 nm) l'enveloppe virale est
    hérissée de spicules de 9 nm de long.

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(No Transcript)
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  • Réservoir-Épidémiologie
  • Zoonose des vertébrés à sang chaud,
  • accidentellement transmissible à lhomme
  • Rage sauvage des carnassiers ou rage sylvatique (
    en Europe ? le renard )
  • Rage canine ou rage urbaine
  • Rage des chiroptères ( vampires et chauves-souris
    )
  • Maladie professionnelle ( tous travaux où contact
  • avec des animaux atteints ou suspects de rage ou
  • avec leur dépouilles

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  • Transmission
  • par la salive des animaux.animaux contaminant
    que dans les 5 à 7 jours qui précèdent les signes
    cliniques et ce jusquà leur mort.
  • La manipulation danimaux morts est dangereuse
  • Clinique
  • Incubation
  • de 10 j à plus de 1 an. Début dautant plus
    rapide que la porte dentrée est proche du
    système nerveuxcentral ( face )

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  • Phase détat 2 tableaux avec évolution mortelle
  • Rage furieuse excitation psychomotrice avec
    hallucination, convulsions, soif vive, salivation
    , fièvre majeure et sueurs
  • Rage paralytique Sd paralytique ascendant. Mbres
    inf puis tbles sphinctériens puis atteinte
    bulbaire et enfin arrêt cardio-respiratoire.
  • Diagnostic positif
  • confirmé par Laboratoire spécialisé à partir de
    prélèvements salivaires, de LCR, de biopsies
    cutanées et cérébrales

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  • CAT après exposition au risque rabique
  • pas de traitt de la rage déclarée
  • Si contamination ? vaccination, plaie lavée
    abondamment
  • Traitt spécifique
  • Immunoglobulines spécifiques
  • indiqué si morsure grave par animal très suspect
  • Traitt vaccinal
  • - animal inconnu ou cadavre détruit
  • - animal mort mais encéphale intact
  • - animal vivant et suspect
  • - animal vivant et sain

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  • il existe 2 protocoles de vaccination
  • - protocole dit  ZAGREB 
  • - protocole dit  ESSEN 
  • Prophylaxie de la rage humaine
  • Lutte contre la rage animale ( vaccination
    renards, bovins, chiens, chats )
  • Vaccination préventive humaine chez profession à
    risque

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Infections à ENTEROVIRUS
  • Rappel les Entérovirus appartiennent à la
    famille des picornavirus
  • Poliomyélite antérieure aiguë
  • Agent Causal
  • poliovirus de type 1,2 et 3

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  • Groupes à risque
  • PAA fréquente chez les enfants dans les pays
    pauvres
  • Réservoir-Transmission
  • Homme seul réservoir. Transmission interhumaine
    manuportée et indirecte
  • Clinique
  • Forme paralytique commune
  • Période invasive état fébrile avec pharyngite,
    tbles digestifs, / - myalgies, rachialgies,
    tbles sphinctériens

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(No Transcript)
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  • Période détat paralysies dapparition rapide
    touchant tous les muscles
  • Formes respiratoires
  • - paralysies muscles respiratoires
  • - atteinte centre bulbaire
  • - encombrement trachéo-bronchique
  • Autres formes
  • - formes pseudo-grippales
  • - formes encéphaliques
  • - paralysie faciale

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  • Diagnostic
  • Virus isolé dans gorge au début puis dans
  • les selles pdt 2 ou 3 mois
  • Évolution-Pronostic
  • Évolution vers régression des paralysies mais
    séquelles fréquentes
  • Traitement
  • Traitt curatif de la PAA est symptomatique

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  • Prévention et surveillance
  • La PAA est une maladie à déclaration obligatoire
  • 2 types de vaccins
  • vaccin à virus tués ? bonne tolérance
  • vaccin à virus vivants atténués ? per os
  • !!! Vaccination antipoliomyélitique est
  • obligatoire en France ( loi du 1er juillet
    1964 )
  • - chez enfant avt age de 18 mois
  • - chez sujets exerçant une profession exposée
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