TROISIME CONSENSUS CANADIEN SUR LE DIAGNOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA DMENCE - PowerPoint PPT Presentation

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TROISIME CONSENSUS CANADIEN SUR LE DIAGNOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA DMENCE

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TROISI ME CONSENSUS CANADIEN SUR LE DIAGNOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA ... Centre Hospitalier de l'Universit de Montr al et. Institut Universitaire de G riatrie de ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: TROISIME CONSENSUS CANADIEN SUR LE DIAGNOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA DMENCE


1
TROISIÈME CONSENSUS CANADIEN SUR LE DIAGNOSTIC ET
LE TRAITEMENT DE LA DÉMENCE
  • Congrès de la SQG - Octobre 2008
  • Fadi Massoud MD FRCPC, Gériatre
  • Centre Hospitalier de lUniversité de Montréal et
  • Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal

2
FADI MASSOUD MD FRCPC Conflits dIntérêts
Potentiels
  • Conférencier pour EMC
  • Janssen-Ortho, Novartis, Pfizer
  • Comités aviseurs
  • Janssen-Ortho, Lundbeck, Novartis, Pfizer
  • Fonds de recherche
  • Janssen-Ortho, Lundbeck, Novartis, Pfizer
  • Soutien pour congrès
  • Janssen-Ortho, Pfizer
  • Aucune action détenue ou autre valeur négociable

3
OBJECTIFS
  • Se familiariser avec les faits saillants du du
    Consensus canadien sur le diagnostic et le
    traitement de la démence 2006
  • Discuter des retombées de ces recommandations sur
    la pratique des médecins soignant des personnes
    âgées
  • Proposer un plan d intégration des
    recommandations dans la pratique clinique

4
TROISIÈME CONSENSUS CANADIEN SUR LE DIAGNOSTIC ET
LE TRAITEMENT DE LA DÉMENCE
  • MCI et CIND
  • Diagnostic et Diagnostic Différentiel
  • Prévention Primaire
  • Prise en Charge de la MA lég-mod
  • Prise en Charge de la MA sév
  • Prise en Charge de la MAcomposante vasculaire
  • Considérations Éthiques

5
CCCDTD 3 - 2006Participants
  • 42 participants
  • Médecine familiale
  • Gériatrie
  • Neurologie
  • Gérontopsychiatrie
  • Neuropsychologie
  • Counselling génétique

6
CCCDTD 3 - 2006Processus
  • Avant la Réunion (mars 2006)
  • Groupes de travail
  • Revue exhaustive de la littérature
  • Rédaction de documents de références
    ( Background paper )
  • Proposition de recommandations
  • Vote électronique sur les recommandations
  • Consensus si ? 80 en faveur
  • Lors de la rencontre
  • Discussion des recommandations litigieuses et du
    plan de diffusion

7
CCCDTD 3 - 2006Processus
  • 215 recommandations initiales
  • 149 ont fait consensus
  • Plan
  • Publication des 18 articles de référence dans un
    supplément de Alzheimers and Dementia, oct 2007
    (www.cccdtd.ca)
  • Publication de 5 articles basés sur des cas
    clinique pour le Can Med Assoc Journal 2008
  • Développement d outils ( tool kit ) pour
    l usage des médecins de première ligne
  • Évaluation de l impact des ces recommandations

8
Niveau de Qualité des Données
  • I Données disponibles de ? 1 ERC
  • II Données disponibles de
  • - ? 1 étude dintervention contrôlée,
    non- randomisée
  • - Données détude dobservation de cohorte ou
    cas-contrôle
  • - Études de comparaisons /- intervention
  • III Opinion dexperts, expérience clinique,
    études descriptives

9
Grade des Recommandations
  • A Il existe des données de bonne qualité pour
    soutenir cette manuvre (études de qualité I)
  • B Il existe des données raisonnables pour
    soutenir cette manuvre (étude de qualité II)
  • C Les données sont insuffisantes pour soutenir ou
    rejeter la manuvre, mais une recommandation peut
    être faite en se basant sur dautres critères
  • D Il existe de données raisonnables pour
    recommander contre cette manuvre (études de
    qualité II)
  • E Il existe de données de bonne qualité pour
    rejeter cette manuvre (études de qualité I)

10
SUJET 1Concept, Utilité, et Prise en Charge
du MCI et CIND
  • H Chertkow, F Massoud, S Belleville, Z
    Nasreddine, Y Joanette, H Bergman

11
MCI/CIND
  • Les médecins devraient être conscients (B, III)
  • Majorité des démences est précédée d une phase
    identifiable de déficits cognitifs légers.
  • Concept de Mild Cognitive Impairment (MCI) (ou de
    Cognitive Impairment Not Dementia, CIND)
  • Du haut risque de détérioration et de démence (B,
    III)
  • La preuve est insuffisante pour recommander une
    terminologie (MCI, CIND) plus qu une autre (B,
    III)

12
MCI/CIND
  • La preuve est inadéquate pour considérer que cet
    état est un équivalent de démence, ou de le
    traiter comme tel (C, II)
  • Suivi périodique recommandé (B, II)
  • Si MMSE est dans les limites de la norme, des
    tests tels que le MOCA, le DemTect, ou le CMC
    peuvent être administrés(B, II)
  • Évaluation neuropsychologique poussée peut être
    recommandée pour confirmer le diagnostic (A, I)

13
MCI/CIND
  • Les données sont insuffisantes pour recommander
    des interventions cognitives (C, I) ou un
    programme d exercice physique particulier dans
    le but de prévenir la progression du MCI (C,
    III)
  • La participation à des activités cognitivement
    stimulantes (B, I) ainsi que l exercice physique
    individualisé peuvent être adoptés dans le cadre
    d un mode de vie sain chez les individus avec ou
    sans déficits cognitifs (B, II)
  • Les données sont insuffisantes pour recommander
    l utilisation des ChEI dans le MCI (C, I)

14
MCI/CIND
  • Rrecommandation contre l utilisation des
    produits suivants dans le MCI (D, I)
  • AINS
  • Oestrogènes
  • Vitamine E
  • Ginkgo Biloba
  • Comme les facteurs de risque et comorbidités
    vasculaires ont un impact sur le développement et
    l expression de la démence, ils devraient être
    dépistés et traités de manière optimale dans le
    MCI (B, II)

15
MCI/CINDRésumé
  • Être conscient du concept
  • Limites des outils usuels (MMSE)
  • Suivi régulier
  • Bonne habitudes de vie
  • Exercice physique et  intellectuel 
  • Prévention des comorbidités vasculaires
  • Pas de Rx spécifique

16
SUJET 2Diagnostic et Diagnostic Différentiel de
la Démence Données Cliniques, Laboratoires,
Imagerie
  • H Feldman, A Robillard, A Kertesz, M Blair, C
    Jacona, T Chow, M Borrie, A Garcia

17
DIAGNOSTICClinique
  • Diagnostic de Démence (A, II)
  • Demeure principalement clinique
  • Maintien des critères actuels
  • Critères NINCDS-ADRDA de MA (B, I)
  • Sensibilité ? spécificité
  • Maintien de ces critères

18
DIAGNOSTICDémence Vasculaire
  • Les critères diagnostiques disponibles sont de
    précision variable
  • Une approche intégrative est recommandée (B, II)
  • Histoire
  • Patron des déficits
  • Examen physique
  • Neuroimagerie

19
Démence à Corps de Lewy et Démence Parkinsonienne
  • Les caractéristiques cliniques de la démence à
    corps de Lewy (DCL) et la démence da la maladie
    de Parkinson (DMP) se chevauchent
    considérablement.
  • Démence à corps de Lewy (B, III)
  • Déficits cognitifs surviennent avant ou de façon
    concomitante au parkinsonisme.
  • Démence de la Maladie de Parkinson (B, III)
  • La démence survient dans un contexte de MP
    établie, généralement plusieurs années plus tard

20
DIAGNOSTICDémence fronto-temporale (A, II)
  • Synonymes
  • Complexe de Pick (Pick complex disease)
  • Dégénérescence lobaire fronto-temporale
  • Caractéristiques principales
  • Détérioration du langage
  • Détérioration des praxies
  • Changement important de la personnalité
  • Ces maladies devraient être référées à un
    spécialiste

21
DIAGNOSTICHydrocéphalie à Pression Normale (B,
II)
  • Considérer le diagnostic
  • Démence
  • Apraxie à la marche précoce
  • Incontinence urinaire précoce
  • Évaluation suggérée par CT ou RMN
  • Une référence à un spécialiste est recommandée
  • L évaluation pourrait inclure la documentation
    d une amélioration clinique suite a une ponction
    de LCR, si une intervention chirurgicale est
    considérée

22
DIAGNOSTICMaladie de Creutzfeldt-Jacob (MCJ)
  • Considérer le Diagnostic
  • Démence rapidement progressive
  • Myoclonies
  • EEG avec des pointes périodiques
  • Trois séries de critères diagnostiques
    spécifiques
  • La détérioration rapide progressive du syndrome
    démentiel devrait à elle seule évoquer le
    diagnostic (A, II)
  • Déclaration obligatoire au Canada et des mesures
    spéciales de contrôle
  • Diagnostic Soutenu (B, II)
  • Test positif au 14-3-3 dans le LCR
  • RMN anormale (hypersignal au niveau des NGC)
  • Détérioration sur l EEG.
  • La référence à un spécialiste est recommandée (B,
    II).

23
DIAGNOSTICÉvaluation Neuropsychologique
  • Le diagnostic et diagnostic différentiel de la
    démence demeure clinique et intégratif.
  • L évaluation neuropsychologique seule ne peut
    pas être utilisée à cette fin et doit être ciblée
    de façon sélective (B, II)
  • L évaluation neuropsychologique peut assister
    dans les situations suivantes
  • Distinguer le vieillissement normal, le MCI-CIND,
    et la démence (B, II)
  • Évaluer le risque de détérioration dans le
    MCI-CIND (B, II)
  • Diagnostic différentiel de la démence (B, II)
  • Suivre la progression de l atteinte cognitive si
    indiqué (A, III)

24
DIAGNOSTICÉvaluation Neuropsychologique
  • Évaluations neuropsychologiques sériées
  • Prédiction de la progression de MCI à MA, mais la
    valeur prédictive n a pas été estimée (C, II)
  • Non recommandées dans la confirmation
    diagnostique de la MA très légère si elles sont
    séparées de ? 12 mois (D, II)

25
DIAGNOSTICTests Cognitifs Brefs
  • MCI (B, II)
  • Le MOCA et le DemTect plus sensible que le MMSE
  • Données sont insuffisantes pour en recommander un
    plutôt que l autre
  • Démence vs Vieillissement Normal (B, II)
  • Plusieurs tests plus précis que le MMSE
  • MOCA, DemTect, BNA, GPCOG, et le 7MS
  • Les données sont insuffisantes pour en
    recommander un plutôt que l autre

26
DIAGNOSTICMarqueurs Biologiques
  • Médecins de Première Ligne
  • Les marqueurs biologiques ne devraient pas être
    inclus dans l évaluation d individus avec
    déficits cognitifs (C, III).
  • La considération d une telle évaluation devrait
    dicter la référence dans un centre spécialisé.

27
DIAGNOSTIC Marqueurs Biologiques
  • Spécialistes
  • Aucun test biologique diagnostique de la MA (C,
    III).
  • Les biomarqueurs du LCR ne sont pas recommandés
    de routine chez tous les individus évaluées pour
    des déficits cognitifs (D, II)
  • Indications des biomarqueurs du LCR
  • DDx de la MA en présence d éléments atypiques ou
    d incertitude diagnostique (ex MA vs DFT) (B,
    II)
  • Type de biomarqueurs
  • Les concentrations dans le LCR de A?-42 et de
    p-tau (A, I).
  • Analyse des spécimens dans un centre fiable

28
Biomarqueurs du LCR Dans la Maladie d Alzheimer
Marqueur de l hyperphosphorylation de la
protéine tau et la formation d ENF P-tau? ? ?
? LCR
Marqueur de dégénérescence axonale et neuronale
T-tau? ? ? ? LCR
Marqueur de la formation de plaques amyloïdes
???? LCR
Blennow et al., Lancet Neurol 2003
29
BIOMARQUEURSFiabilité
  • Maladie d Alzheimer vs Contrôles
  • Mesure Sensibilité Spécificité
  • A?-42 86 90
  • Tau 81 90
  • P-tau 80 92

Blennow et al., Lancet Neurol 2003
30
BIOMARQUEURSUtilité Clinique
Blennow et al., Lancet Neurol 2003
31
DIAGNOSTICImagerie Structurale
  • Usage sélectif du CT ou de la RMN dans
    l évaluation de la démence selon les critères du
    consensus de 2001 (B, II)
  • Utilisation de la neuroimagerie pour évaluer une
    atteinte cérébrovasculaire concomitante qui
    pourrait influer la prise en charge (B, II)

32
DIAGNOSTICImagerie Fonctionnelle (B, III)
  • Utilité du SPECT et du PET
  • Atteinte légère
  • Syndrome fronto-temporal
  • Contexte d évaluation spécialisée
  • Expertise variable entre les différents centre

33
SUJET 4Évaluation et Prise en Charge des
Facteurs de Risque (Prévention Primaire)
  • C Patterson, J Feightner, A Garcia, C MacKnight,
    D Sadovnick, R Hsiung

34
FACTEURS DE RISQUE
  • Recommandation de traitement de l HTA systolique
    (? 160 mm Hg) chez les personnes âgées (cible ?
    140 mm Hg) (A, I)
  • Réduction du risque d AVC
  • Réduction de l incidence de démence .
  • En prévention primaire de la démence, les données
    sont insuffisantes pour recommander (C, I)
  • ASA/statines après un IAM
  • Anticoagulation pour la FA
  • Endartérectomie
  • Donnés insuffisantes pour/contre l utilisation
    des AINS dans l unique but de réduire le risque
    de démence (C, II)

35
FACTEURS DE RISQUE
  • Ne Sont Pas Recommandés (I, E)
  • L utilisation des oestrogènes /- des
    progestatifs dans le seul but de réduire le
    risque de démence
  • La vitamine E à doses élevées (? 400 UI/j) -
    Association à un excès de mortalité
  • Les données insuffisantes pour/contre la
    supplémentation avec les vitamines C et E pour la
    prévention de la démence (C, II).

36
FACTEURS DE RISQUE
  • Données insuffisantes en faveur/contre (C, II)
  • Niveau élevé d exercice physique
  • Niveau élevé d exercice intellectuel
  • Consommation de poisson
  • Réduction de consommation de gras saturés
  • Consommation modérée de vin
  • Pourrait être adoptées pour d autres raisons
    (habitudes de vie saines)

37
Sujet 5La Prise en Charge de la Maladie
d Alzheimer Légère à Modérée
  • D Hogan, P Bailey, A Carswell, B Clarke, C Cohen,
    D Forbes, M Hing, K Lanctôt, D Morgan, L Thorpe

38
MALADIE D ALZHEIMER LÉGÈRE À MODÉRÉE
  • PRINCIPES GÉNÉRAUX

39
MA Légère à Modérée
  • La majorité des patients avec démence peut être
    évaluée et prise en charge par son médecin de
    famille (B, III)
  • Tous les patients et leurs familles consentantes
    devraient être référées à la Société Alzheimer
  • Médecins de famille devraient être au courant des
    ressources communautaires disponibles dans leur
    région

40
MA Légère à ModéréeRéférence à Un Spécialiste
  • Indications de référence à un spécialiste (B,
    III)
  • Incertitude concernant le diagnostic durant
    l évaluation initiale ou le suivi
  • La demande par le pt/aidant d une deuxième
    opinion
  • Présence concomitante de dépression, surtout si
    elle est résistante au traitement
  • Difficultés ou échec au traitements spécifiques
    de la MA
  • Besoin d aide supplémentaire dans la prise en
    charge du patient (troubles du comportement)
  • Counselling génétique si indiqué
  • L intérêt de participer à des protocoles de
    recherche diagnostiques ou thérapeutiques

41
MA Légère à ModéréeAnnonce du Diagnostic
  • Le Dx devrait être annoncé au patient/famille
    avec discussion de (B, III)
  • Incertitude diagnostique
  • Pronostic
  • Options thérapeutiques
  • Conduite auto
  • Niveau de soins
  • Groupes de support
  • Les exceptions à l annonce du Dx sont
  • Démence sévère
  • Phobie du Dx
  • Dépression sévère

42
MA Légère à ModéréeAidant Naturel
  • Le clinicien doit réaliser le rôle important de
    l aidant naturel et prévoir des rencontres
    régulières avec/sans le patient (B, III)
  • Le médecin doit s informer des besoins
    d information et de support de l aidant (A, I)
  • Information /éducation
  • Recrutement d autres membres de la famille
  • Référence aux ressources communautaires

43
MA Légère à ModéréeAidant Naturel
  • Le clinicien doit s informer de l état de santé
    de l aidant, et lui offrir les traitements
    nécessaires ou la référence aux ressources
    appropriées (B, III)
  • Le clinicien doit s informer des troubles du
    comportement chez le patient et leurs effets chez
    l aidant, et référer au besoin (A, I)

44
MA Légère à ModéréeAidant Naturel
  • Le traitement Rx de la MA peut diminuer la charge
    de l aidant et doit être considéré dans ce
    contexte (B, I)
  • Les études pharmacologiques futures devront se
    pencher sur l impact sur la charge des aidants
    (B, III)
  • Il y a un besoin d assurer une constance dans la
    mesure objective de la charge des aidants (B,
    III)

45
MALADIE D ALZHEIMER LÉGÈRE À MODÉRÉE
  • CONSIDÉRATIONS MÉDICO-LÉGALES

46
MA Légère à ModéréeAptitude
  • Les médecins de première ligne devraient être au
    courant des lois pertinentes au consentement
    éclairé, à l évaluation de l aptitude ainsi
    qu à l identification d un décideur substitut
    et de leur responsabilité à cet égard (B, III)
  • Les patients devraient être encouragés à préparer
    / mettre à jour leur testament et mandat en cas
    d inaptitude (B, III)

47
MA Légère à ModéréeConduite Automobile
  • Les médecins devraient informer les individus
    avec démence progressive et leur familles que
    l abandon de la conduite auto sera une
    conséquence inévitable de leur maladie. Des
    stratégies pour faciliter cette transition
    devraient être instaurées précocement (B, II)
  • Il n existe aucun test cognitif bref ou
    combinaison de tests brefs suffisamment sensible
    ou spécifique pour déterminer l aptitude à
    conduire. Des anomalies sur le MMSE, le dessin
    de l horloge, et le Trail B devraient dicter une
    évaluation plus poussée des aptitudes à conduire
    (B, III)

48
MA Légère à ModéréeConduite Automobile
  • La conduite est contre-indiquée chez les
    individus qui, en raison de leurs déficits
    cognitifs, sont incapable d accomplir plusieurs
    AVD (Rx, , repas, etc.) ou une AVQ (B, III)
  • La capacité de conduire chez l individu avec
    démence légère doit être évaluée de façon
    individualisée (B, III)

49
MA Légère à ModéréeConduite Automobile
  • Une évaluation en salle et sur route par un
    professionnel habileté représente la méthode
    d évaluation la plus juste (B, III)
  • Si non disponible, clinicien devrait se baser sur
    son jugement (B, III)
  • L individu jugé apte à conduire devrait être
    réévalué à cet effet aux 6 à 12 mois (B, III)
  • Des stratégies compensatoires ne sont pas
    appropriées chez les individus jugés inaptes à
    conduire (B, III)

50
MALADIE D ALZHEIMER LÉGÈRE À MODÉRÉE
  • COMORBIDITÉS ET MÉDICATION

51
MA Légère à ModéréePrévention Médicale et
Comorbidités
  • Les patients avec démence légère à modérée
    devraient être identifiés comme à risque de
    delirium lorsque hospitalisés. Des moyens
    non-pharmacologiques de prévention du delirium
    devraient leurs être offerts (B, II)
  • Techniques d orientation /communication
  • Mobilisation précoce
  • Optimisation du sommeil
  • Compensation des désafférentations
  • Prévention de la déshydratation

52
MA Légère à Modérée Prévention Médicale et
Comorbidités
  • Les comorbidités des patients avec MA lèg-mod
    devraient être gérées adéquatement (B, III)
  • La prise en charge des maladies chroniques
    pourraient être modifiées dans un contexte de
    démence. En générale, il faudra moins compter
    sur le patients et davantage sur l aidant dans
    cette prise en charge (B, III)

53
MA Légère à ModéréeMédicaments
  • La compliance médicamenteuse devra être vérifiée
    chez tous les patients avec MA lég-mod. Si
    celle-ci est difficile, des moyens compensatoires
    devront être considérés incluant l intervention
    d un tiers. Toute modification de médicaments
    devra être réévaluée adéquatement (B, III)
  • L usage de médicaments avec propriétés
    anticholinergiques devrait être minimisée chez
    les patients avec MA (D, III)

54
MA Légère à ModéréeAnticholinergiques
  • Anticholinergiques
  • Antihistaminiques (diphenhydramine, hydroxizine)
  • Antiparkinsoniens (benztropine, procyclidine)
  • Antispasmodiques (Lomotil)
  • Atropine/Scopolamine
  • Antidépresseurs tricycliques (amitryptiline,
    imipramine)
  • Neuroleptiques (chlorpromazine, haloperidol,
    thioridazine)

55
MA Légère à Modérée Charge Anticholinergique 
  • . Furosémide . Nifédipine
  • . Digoxine . Isosorbide
  • . Théophylline . Codéine
  • . Warfarine . Cimétidine
  • . Prednisolone . Captopril
  • . Triamtérène et . Ranitidine
  • hydrochlorotiazide

56
MALADIE D ALZHEIMER LÉGÈRE À MODÉRÉE
  • APPROCHE NON-PHARMACOLOGIQUE

57
MA Légère à ModéréeApproche Non-Pharmacologique
  • Données insuffisantes pour recommander
  • Entraînement / réadaptation cognitive (C, I)
  • Interventions environnementales (C, I)
  • Il existe des données de bonne qualité indiquant
    que des programmes d exercice individualisé ont
    des impacts fonctionnels chez les patients avec
    MA lég-mod (A, I)

58
MALADIE D ALZHEIMER LÉGÈRE À MODÉRÉE
  • APPROCHE PHARMACOLOGIQUE

59
MA Légère à ModéréeApproche Pharmacologique
  • Le médecin de famille devrait être en mesure
    d administrer et d interpréter les outils de
    mesure cognitive et fonctionnelle ou référer dans
    le cas contraire (C, I)
  • Après le début d un traitement, les patients
    devraient être réévalués régulièrement par les
    intervenants pertinents (B, III)

60
MA Légère à ModéréeApproche Pharmacologique
  • Dans l évaluation de la réponse à une
    intervention, les informations de l aidant
    devraient être obtenues (cognition,
    fonctionnement, comportement) (B, III)
  • Les médecins de première ligne devraient être en
    mesure d expliquer les attentes réalistes face à
    l amorce d un traitement (B, III)
  • Durant le suivi, le médecin devrait consigner
    l information pertinente à la détermination
    d une stabilisation / amélioration
    /détérioration (B, III)

61
MA Légère à ModéréeTraitement Pharmacologique-ChE
I
  • Les trois ChEI disponibles au Canada sont
    efficaces dans la MA lég-mod et sont tous des
    options thérapeutiques viables (A, I)
  • La sélection d un ChEI (B, I)
  • Profil d effets secondaires,
  • Facilité d utilisation
  • Familiarité avec le produit
  • Croyances quant aux propriétés pharmacocinétiques
    et autres mécanismes d action des produits
  • Le médecin prescripteur doit être conscient des
    contre-indications et précautions pertinentes (B,
    III)

62
MA Légère à Modérée Traitement
Pharmacologique-ChEI
  • Si un ChEI est associé à des effets secondaires,
    il devrait être interrompu ou sa dose diminuée
    avec l option de la réaugmenter quatre semaines
    plus tard selon l évolution (B, III)
  • En cas de nausées/vomissements (B, III)
  • Réévaluer la compliance (dose, fréquence, repas,
    surdose, etc.)
  • Modifier l administration (aidant ? patient,
    horaire, etc.)
  • Réduire la dose
  • Anti-nauséeux avec prudence (anticholinergiques
    )
  • Le clinicien devrait considérer le rôle
    contributif d un ChEI en cas d un nouveau ou de
    détérioration d un symptôme (B, II)

63
MA Légère à Modérée Traitement
Pharmacologique-ChEI
  • La substitution entre ChEI est sécuritaire.
    L indication et le timing est basé sur le
    jugement du médecin/patient (B, III)
  • La substitution d un ChEI à la mémantine est
    possible. L indication et le timing est basé
    sur le jugement du médecin/patent. Il n y a pas
    de recommandation sur les modalités de
    substitution, mais l information préliminaire
    suggère que cela est sécuritaire (B, III)

64
MA Légère à Modérée Traitement
Pharmacologique-ChEI
  • Indication de Suspendre le Traitement (B, III)
  • Patient/aidant décident d arrêter
  • Patient refuse de prendre Rx
  • Patient non-compliant, et la situation n est pas
    modifiable
  • Absence de réponse thérapeutique après un essai
    raisonnable
  • Effets secondaires intolérables
  • Comorbidités rendant la poursuit du traitement
    risquée (ex SSS) ou futile (maladie terminale)
  • Démence à un stade où il n y a plus de bénéfice
    au traitement
  • Après l arrêt du traitement, les patients
    devraient être suivis de près et s il y a
    évidence de détérioration cognitive,
    fonctionnelle, ou comportementale, la reprise du
    traitement devrait être considérée (B, III)

65
MA Légère à Modérée Traitement
Pharmacologique-Mémantine
  • La mémantine est une option thérapeutique pour
    les patients avec MA modérée. Son utilisation
    dans la démence légère n est pas recommandée (B,
    III)
  • La combinaison de mémantine et d un ChEI est
    rationnelle (mécanismes d action différents),
    sécuritaire, et semble entraîner des bénéfices
    additionnels dans la MA modérée à sévère (B, I)
  • Le traitement avec un ChEI et/ou de la mémantine
    devrait se poursuivre jusqu à la disparition de
    bénéfice clinique (B, III)

66
MA Légère à Modérée Traitement Pharmacologique
  • NE SONT PAS RECOMMANDÉS
  • Vitamine E (E, I)
  • Idebenone (antioxydant) (D, I)
  • Vitamines B1, B6, B12, acide folique chez les
    individus sans déficits (D, III)
  • Ginkgo Biloba (C, I)
  • AINS (D, I)
  • Statines (D, III)
  • Oestrogènes /- progestérone (D, I)
  • Androgènes (C, I)

67
MALADIE D ALZHEIMER LÉGÈRE À MODÉRÉE
  • MANIFESTATIONS NON-COGNITIVES

68
MA Légère à Modérée Troubles du Comportement
(BPSD)
  • L évaluation d un patient avec MA lég-mod
    devrait inclure une mesure des manifestations
    neuropsychiatriques et comportementales (B, III)
  • La prise en charge des BPSD devrait inclure la
    documentation du comportement, les facteurs
    précipitants, perpétuants et atténuants et une
    évaluation de la sécurité du patient et de son
    environnement (B, III)

69
MA Légère à Modérée BPSD - Approche Non-Rx
  • Les interventions non-pharmacologiques devraient
    être considérées en premier ou en combinaison
    avec les Rx (C, I)
  • Plusieurs interventions non-pharmacologiques ont
    été explorés mais ne peuvent être recommandées de
    routine (C, II)
  • Musicothérapie
  • Snoezelen (stimulation multi-sensorielle)
  • Luminothérapie
  • Thérapie de réminiscence
  • Thérapie de validation
  • Aromathérapie
  • Massage et  touch therapy 

70
MA Légère à Modérée BPSD - Approche Non-Rx
  • Des programmes communautaires ont démontré une
    certaine efficacité
  • Centre de jour (B, II)
  • Groupe de support visant les BPSD (B, I)
  • Support à domicile visant les BPSD avec suivi
    prolongé (B, I)

71
MA Légère à Modérée BPSD - Approche Rx
  • Le traitement pharmacologique des BPSD devrait
    être considéré après un essai raisonnable
    d approche non-pharmacologique (B, III)
  • Les Rx pour les BPSD devraient être débutés à
    faible dose et titrés selon la réponse clinique
    et la tolérance (B, III).
  • Des essais de sevrage devraient être tentés
    régulièrement (B, III).
  • Les patients avec MA lég-mod et BPSD pourraient
    être considérés pour un essai de ChEI et/ou de
    mémantine pour ces symptômes (B, III)

72
Démence à Corps de Lewy BPSD - Approche Rx
  • En présence de démence lég-mod et
    d hallucinations visuelles, un Dx de DCL devrait
    être considérée
  • Les patients avec DCL ont une hypersensibilité
    aux neuroleptiques
  • Si le traitement des hallucinations est
    nécessaire, un ChEI devrait être tenté en premier
  • Si ce traitement est non efficace ou non toléré,
    un essai prudent d antipsychotique atypique est
    recommandé (ex. Quetiapine à faible dose) (B, II)

73
MA Légère à Modérée Dépression
  • Les syndromes dépressifs sont fréquents chez les
    patients avec démence. Ce diagnostic devrait
    être considéré chez les individus se présentant
    avec des symptômes sub-aigus suggestifs (B, III)
  • Si les symptômes ne sont pas sévères, ils peuvent
    être abordés de manière non-pharmacologique (B,
    III)
  • Si la réponse à l approche non-Rx est
    insuffisante ou les symptômes sévères, un essai
    avec un antidépresseur devrait être tenté (B,
    III)
  • L agent thérapeutique de choix devrait avoir un
    activité anticholinergique minimale, tel que les
    ISRS (B, III)

74
MA Légère à Modérée Trouble du Sommeil
  • Les individus avec MA et trouble du sommeil
    devraient être évalués pour des facteurs
    contributifs (B, III)
  • Condition médicale (douleur)
  • Psychopathologie (dépression)
  • Facteurs environnementaux
  • Hygiène de sommeil
  • En présence de trouble du sommeil REM, un
    diagnostic de DCL devrait être considéré. Les
    options thérapeutiques incluent le clonzépam (B,
    II)

75
MA Légère à Modérée Trouble du Sommeil
  • Des approches non-pharmacologiques (surtout en
    combinaison) peuvent être efficaces (B, I)
  • Lorsque cliniquement nécessaire des agents Rx
    (BZD à courte action) peuvent être considérés aux
    doses les plus faibles et pour la durée la plus
    courte possible (B, III)

76
MALADIE D ALZHEIMER LÉGÈRE À MODÉRÉE
  • ÉDUCATION / DIFFUSION DES RECOMMANDATIONS

77
MA Légère à ModéréeÉducation / Diffusion
  • Tous les médecins soignant des individus avec MA
    lég-mod devront acquérir les connaissances
    nécessaires pour la prise en charge de cette
    condition (B, III)
  • Un programme multidimensionnel devrait être conçu
    pour permettre l adoption des recommandation du
    CCCDTD (B, I)
  • Chaque communauté devrait évaluer les ressources
    disponibles ainsi que leur qualité et proposer
    des plans pour combler les lacunes (C, III)

78
MA Légère à ModéréeÉducation / Diffusion
  • Des modèles de prise en charge partagée (médecin
    de famille et spécialiste) devraient être conçus
    et évalués pour la MA lég-mod (C, III)
  • La prise en charge de la démence devrait être
    adéquatement rémunérée. Une compensation
    inadéquate ne devrait pas être un obstacle à la
    prise en charge optimale de cette condition (C,
    III)

79
MA Légère à ModéréeConclusions
  • Insistance sur le rôle de laidant
  • Recommandations plus pratiques pour la conduite
    automobile
  • Gestion des comorbidités médicales et des
    médicaments
  • Prévention du delirium
  • Utilisation plus structurée des ChEI
  • Indication de la mémantine
  • Approche systématique et pratique des troubles du
    comportement

80
Sujet 7Prise en Charge de la Démence Avec
Composante Vasculaire
  • C Bocti, S Black, C Frank

81
DÉMENCE AVEC COMPOSANTE VASCULAIREInterventions
Non-Pharmacologiques/Investigation
  • Les données sont insuffisantes pour recommander
    lentraînement cognitif dans la démence
    vasculaire (C, II)
  • Il est recommandé didentifier les facteurs de
    risque vasculairs chez les patients avec déficits
    cognitifs vasculaires (C, III)

82
DÉMENCE AVEC COMPOSANTE VASCULAIREApproche
Pharmacologique
  • Traitement de l HTA
  • Prévention de la détérioration cognitive associée
    aux maladie cérébrovasculaires (B, I)
  • Prévention des autres issues cardio et
    cérébro-vasculaires (A, I)
  • Les données sont insuffisantes pour recommander
    un agent plus quun autre (B, I).
  • Les données sont insuffisantes en faveur/contre
  • Les antiplaquettaires dans le but spécifique de
    traiter les déficits cognitifs vasculaires (C,
    III)
  • La nimodipine (C, I)
  • La mémantine (C, I)

83
DÉMENCE AVEC COMPOSANTE VASCULAIREApproche
Pharmacologique-ChEI
  • Démence  mixte 
  • Léger effet de la galantamine sur les plans
    cognitif, fonctionnel, comportemental et global
  • La galantamine peut être considéré une option
    thérapeutique pour la démence mixte (B, I)
  • Démence Vasculaire
  • Léger effet du donépézil sur les plans cognitif
    et global (avec bénéfices plus inconstants sur
    les mesures fonctionnelles)
  • Le donépézil peut être considéré comme une
    options thérapeutique dans la démence vasculaire
    (B, I)
  • Les données sont insuffisants pour recommander en
    faveur/contre la galantamine (C, I)

84
Sujet 6Recommandations Clinique Pour la Maladie
dAlzheimer Sévère
  • N Herrmann, S Gauthier, PG Lysy

85
MALADIE DALZHEIMER SÉVÈRE
  • Définition
  • Patient totalement dépendant
  • Typiquement, MMSE lt 10 et GDS à 6-7 (B, II)
  • Évaluation au moins tous les 4 mois et tous les 3
    mois si un traitement pharmacologique instauré
    (C, III)
  • La prise en charge médicale inclut (B, III)
  • Traitement des comorbidités médicales
    intercurrentes (infections, parkinsonisme,
    convulsion, ulcères de décubitus, etc.)
  • Optimiser le traitement de la douleur
  • Optimiser létat nutritionnel
  • Optimiser les fonctions sensorielles

86
MALADIE DALZHEIMER SÉVÈRE- ChEI/Mémantine
  • TRAITEMENT
  • ChEI, mémantine, ou les deux (A, I)
  • Bénéfices escomptés (A, I)
  • Amélioration modeste des capacités cognitive,
    fonctionnelle, et du comportement ou un
    ralentissement de la détérioration
  • Durée du traitement (C, III)
  • Jusquà la disparition de tout bénéfice
    identifiable
  • Le traitement ne devrait pas être cessé
    simplement parce que le patient est
    institutionnalisé

87
MALADIE DALZHEIMER SÉVÈRE BPSD - Traitement Rx
  • Principes généraux
  • Approche Rx et non-Rx concommitantes (B, III)
  • Initiation aux doses les plus faibles et
    titration graduelle (B, III)
  • Tentatives de sevrage/retrait standardisées (A,
    I)
  • La risperidone et lolanzapine peuvent être
    utilisés pour lagitation sévère, lagressivité,
    et la psychose (A, I).
  • Le bénéfice potentiel des antipsychotiques
    devrait être pesé avec les risque potentiels
    notamment de maladies cérébrovasculaires et de
    décès (A, I)

88
Sujet 7CONSIDÉRATIONS ÉTHIQUES- Annonce du
Diagnostic- Consentement au Traitement
  • JD Fisk, BL Beattie, M Donnelly, A Byszewski, F
    Molnar

89
CONSENTEMENT AU TRAITEMENT
  • Participation à la Recherche
  • Il est essentiel de clairement distinguer la
    participation à la recherche des soins cliniques.
  • Les rôles de clinicien et chercheur devraient
    être clairement expliqué / compris.
  • La disponibilité d un médecin non impliqué dans
    la recherche est souhaitable dans les milieux
    académiques

90
CONSENTEMENT AU TRAITEMENT
  • Un diagnostic de démence n exclut pas
    l aptitude à consentir à un traitement ou à
    participer à la recherche. Cela devra être
    considéré de façon individualisé et contextuelle
    (A, III)
  • Il n existe pas de méthode standardisée pour
    évaluer l aptitude à consentir aux soins ou à la
    recherche (B, III)
  • Il faut réaliser que l aptitude à consentir est
    une capacité qui peut (va) changer avec le temps.
     L assentiment  (plutôt que le consentement)
    est presque invariablement nécessaire

91
CONSENTEMENT AU TRAITEMENT
  • Considérer le rôle de l aidant dans
    l évaluation de l aptitude à consentir (B, III)
  • Les cliniciens / chercheurs devraient s assurer
    que les décisions prises par un substitut sont
    basées sur les attitudes et valeurs antérieures
    du patient (A, III)

92
CONCLUSIONS
93
CONCLUSIONS
  • Recommandations plus pratiques en générales
  • Prise en charge non-pharmacologique
  • Insistance sur le rôle des aidants
  • Recommandations pour la conduite automobile
    (AVD/AVQ)
  • Dans lapproche des troubles cognitifs
  • Dans lapproche des troubles du comportement
  • Prise en charge pharmacologique
  • ChEI (indications, gestion des effets 2res,
    substitution, arrêt)
  • Mémantine
  • Antipsychotiques dans les BPSD

94
CONCLUSIONSLimites
  • Non-Pharmacologique
  • Peu de discussion de la gestion des comorbidités
    médicales (chutes, dénutrition, etc.)
  • Pharmacologique
  • Démence à corps de Lewy et démence associée à la
    maladie de Parkinson
  • Rivastigmine aurait dû obtenir une recommandation
    B, I
  • Démence mod-sévère
  • Parmi les ChEI, donépézil obtiendrait une
    recommandation B, I
  • Prescription des ChEI
  • Peu/pas de guidance par rapport à la gestion des
    comorbidités cardiovasculaires (arythmies,
    bradycardie, etc.)
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