LE N O M A UNE MALADIE GRAVE MAIS FACILE A PREVENIR ,la face cache de la pauvret - PowerPoint PPT Presentation

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LE N O M A UNE MALADIE GRAVE MAIS FACILE A PREVENIR ,la face cache de la pauvret

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PRORAMME AFRICAIN DE PREVENTION. INTEGRATION DANS LE PROGRAMME PCIME. IEC au NIVEAU DES ... FORMATION DES TRADIPRATICIENS, INSTITUTEURS AU NIVEAU DES DISTRICTS ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: LE N O M A UNE MALADIE GRAVE MAIS FACILE A PREVENIR ,la face cache de la pauvret


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LE N O M A UNE MALADIE GRAVE MAIS FACILE A
PREVENIR ,la face cachée de la pauvreté
  • Division of Noncommunicable Diseases

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1. Définition de cas2. Ampleur du problème3.
Facteurs contributifs4. Prévention et
traitement5. Obstacles à la prévention et
au traitement 6. Propositions

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Définition de cas
  •   Définition scientifique
  • - gangrène buccale
  • - maladie infectieuse


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PARTENARIAT
  • COORDINATION AFRICAINE
  • PRORAMME AFRICAIN DE PREVENTION
  • INTEGRATION DANS LE PROGRAMME PCIME
  • IEC au NIVEAU DES ASSOCIATIONS COMMUNAUTAIRES DE
    FEMMES
  • FORMATION DES TRADIPRATICIENS, INSTITUTEURS AU
    NIVEAU DES DISTRICTS

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Définition de cas (suite)
  •   Définition opérationnelle Enfant
  • -   avec ulcération buccale
  • -   vivant dans des conditions de
    pauvreté
  • -   malnutri
  • -   immuno-compromis
  • -   au décours dune rougeole

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Ampleur du problème
  • Incidence
  • - incidence globale de 140 000 cas (1997)
  • Mortalité (70-90 )
  • Morbidité et séquelles
  • - estimation du nombre de personnes vivant
    avec les séquelle du noma ( 770 000, 1997)
  •   

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SEQUELLE DU NOMA
  •   

SEQUELLE
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TECHNOLOGIE COUTEUSE
  •   

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REHABILITATION PHYSIQUE
  •   

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FACTEURS CONTRIBUTIFS
  • Extrême pauvreté
  • Malnutrition
  • Période de sevrage
  • Mauvaise hygiène buccale et générale
  • Maladies infectieuses (Rougeole)

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SIGNES CLINIQUES PRECOCES
  • Difficultés de manger
  • Fièvre
  • Hypersalivation
  • Saignement des gencives (GUN)
  • Oedème facial
  • Halitose très marquée (mauvaise haleine)

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OBSTACLES A LA PREVENTION ET AU TRAITEMENT
  • Pas de suivi
  • Accessibilité aux soins pour les enfants à risque
  • Connaissance des professionnels de santé en ce
    qui concerne les signes cliniques précoces du
    noma
  • Croyances socio-culturelles/tabous entourant le
    Noma .

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QUE PEUT-ON FAIRE (1)?
  • Lexamen buccal systématique en routine
  • Avoir connaissance de la maladie (on ne trouve
    que ce que lon cherche)
  • Incorporer la composante noma dans les modules de
    formation de santé de lenfant
  • Incorporer le Noma dans le système de
    surveillance épidémiologique dans les zones
    touchées.

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QUE PEUT-ON FAIRE (2)?
  • Identification des enfants à risque
  • Diagnostic et traitement précoces guérison
    certaine, à faible prix

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Quel rôle pour la PCIME?
  • Conscience du problème
  • Prévention du risque
  • Recherche systématique des facteurs de risque
    (déjà intégrée)
  • Examen systématique de la bouche
  • Soins précoces

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NOMA, FACE DE LA PAUVRETE
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