Homotoxicologie articulaire - PowerPoint PPT Presentation

1 / 114
About This Presentation
Title:

Homotoxicologie articulaire

Description:

Traumeel liquide : en aigu, prendre 15 gouttes aux heures puis espacer progressivement ... par le rhumatisme inflammatoire aigu caus par le d p t des ... – PowerPoint PPT presentation

Number of Views:1015
Avg rating:3.0/5.0
Slides: 115
Provided by: homeopath
Category:

less

Transcript and Presenter's Notes

Title: Homotoxicologie articulaire


1
(No Transcript)
2
Introduction
  • On regroupe parmi les maladies rhumatismales
    toute une variété de troubles caractérisés par
    des processus inflammatoires, des processus
    dégénératifs ou un trouble métabolique des tissus
    conjonctifs de lorganisme, plus particulièrement
    les articulations, les muscles, les bourses
    séreuses, les tendons et les tissus fibreux.
  • Les maladies rhumatismales sont accompagnées de
    douleurs, de raideurs et de limitation des
    mouvements.

3
Introduction
  • Les maladies rhumatismales affectent une partie
    croissante de la population, principalement à
    cause du vieillissement de la population (80
    des plaintes rhumatismales vient des personnes
    retraitées).
  • Larthrite est le nom donné au rhumatisme
    inflammatoire des articulations.

4
Classification des maladies rhumatismales
  • Il existe plusieurs façons de classer les
    maladies rhumatismales à partir des
    renseignements cliniques fournis par le patient.
  • Lune des classifications possibles, fondée sur
    le nombre darticulations touchées par le
    processus, répartit les maladies rhumatismales en
    trois groupes
  • Mono-arthrites une seule articulation touchée
  • Oligo-arthrites certaines articulations
    touchées asymétriquement
  • Polyarthrites plusieurs articulations touchées,
    tendance symétrique.

5
Insérer lancienne table dhomotoxicose
6
Insérer la nouvelle table dhomotoxicose
7
Classification homotoxicologique
  • En homotoxicologie, lévaluation clinique
    consiste à identifier la phase actuelle de
    laffection selon le tableau des six phases
    homotoxiques du Dr Reckeweg.
  • Selon les concepts de lhomotoxicologie, les
    maladies rhumatismales résultent de la formation
    dun dépôt de toxines ou de la dégénérescence du
    mésenchyme ou de lostéoderme.
  • Les maladies rhumatismales dégénératives
    surviennent après la phase de réaction
    (inflammatoire).

8
Classification homotoxicologique
  • Leur manifestation initiale peut être précipitée
    par une réaction inflammatoire chronique ou par
    la suppression dun processus délimination
    pendant la phase de réaction.
  • Une vicariation progressive peut nous transporter
    de la phase de réaction (inflammatoire aiguë) à
    la phase de déposition.
  • Si la coupure biologique est franchie, on peut se
    retrouver à la phase dimprégnation, ou même à la
    phase de dégénération.

9
Classification homotoxicologique
  • Lhomotoxicologie catégorise les désordres
    rhumatismaux de la façon suivante ils affectent
    principalement les tissus cavodermiques du
    mésenchyme, mais aussi les tissus ostéodermiques
    du mésenchyme, de même que les tissus
    musculodermiques du mésoderme.
  • Les phases impliquées dans la table
    dhomotoxicose sont les phases de
  • Réaction
  • Déposition
  • Imprégnation
  • Dégénération

10
Classification homotoxicologique
  • Dun point de vue homotoxicologique, les
    désordres rhumatismaux vont se manifester par des
    symptômes qui, sils ne sont pas modulés,
    risquent de se développer progressivement selon
    un axe de vicariation progressive.
  • De tels symptômes apparaîtront nécessairement
    lorsque lorganisme, avec ses multiples
    mécanismes dautodéfense et de réparation, nest
    plus capable de sadapter à la présence du
    facteur qui a causé le début de la maladie.
  • Un organisme qui est acculé de cette manière aux
    limites de sa capacité de compensation va réagir
    par des maladies chroniques, qui prennent souvent
    la forme de problèmes rhumatologiques.

11
Classification homotoxicologique
  • En homotoxicologie, lévaluation clinique se
    fonde sur les antécédents médicaux et
    chirurgicaux du patient.
  • Elle vise à identifier la phase actuelle de
    laffection selon le tableau des six phases
    homotoxiques du Dr Reckeweg.
  • En reliant les antécédents médicaux aux phases du
    tableau, on parvient à une connaissance
    approfondie des prédispositions génétiques du
    patient et de ses réactions aux traitements.

12
Homéopathie unitaire
  • Il est extrêmement difficile de sélectionner un
    médicament homéopathique unitaire dans le cas des
    affections rhumatismales. Les modalités de la
    douleur peuvent nous aider.
  • Aggravation ou amélioration par
  • La chaleur
  • Le froid
  • Limmobilité
  • Le mouvement
  • Les changements barométriques
  • Lorage

13
Homéopathie unitaire
  • Description de la douleur
  • Brûlure
  • Élancement
  • Pulsatile
  • Piquante
  • Profonde

14
Homéopathie unitaire
  • Il faut aussi tenir compte du terrain
  • Tuberculinisme
  • Psore
  • Sycose
  • Luèse
  • La théorie miasmatique soutient lexistence dun
    lien entre une prédisposition héréditaire et une
    maladie donnée. On relie le rhumatisme
    dégénératif au terrain sycotique, le rhumatisme
    déformant au terrain luétique, le rhumatisme
    dautointoxication au terrain psorique et le
    rhumatisme dégénératif déformant combiné au
    terrain tuberculinique.

15
Homéopathie unitaire
  • Tenir compte de la latéralité
  • Droite
  • Gauche
  • Symétrique
  • Asymétrique

16
Homéopathie unitaire
  • Tenir compte de la localisation des endroits
    douloureux
  • Occiput
  • Visage
  • Mâchoire
  • Cou
  • Épaules
  • Bras
  • Coudes
  • Mains
  • Doigts
  • Thorax
  • Bassin
  • Hanches
  • Vertèbres
  • Coccyx
  • Jambes
  • Genoux
  • Pieds
  • Talons
  • Orteils
  • Etc

17
Homéopathie unitaire
  • Si on le peut, il est toujours préférable de
    rechercher le ou les remèdes homéopathiques
    classiques et de les recommander à nos patients
    dans le but dobtenir un traitement de fond
    spécifique.
  • Cependant, si on ne dispose pas du temps ou des
    compétences nécessaires pour effectuer cette
    analyse, ou encore si on veut obtenir des
    résultats plus rapides, complets et satisfaisants
    pour nos malades, on peut utiliser ou associer
    des médicaments homéopathiques complexes et des
    suppléments alimentaires aux remèdes plus
    spécifiques.

18
Homotoxicologie
  • Lhomotoxicologie, qui est un pont entre
    lhoméopathie classique et la science moderne,
    propose différents traitements qui tiennent
    compte à la fois dun diagnostic précis, dun
    bilan homéopathique approprié et de la
    classification correcte du patient dans la table
    dhomotoxicose à un temps donné.

19
Pharmacologie
  • Les traitements pharmacologiques parviennent
    habituellement à soulager assez bien la douleur
    (anti-inflammatoires, corticostéroïdes,
    analgésiques, méthotrexate, sels dor,
    antimalariaux, sulfasalazine, etc), ce qui est un
    objectif louable en soi.
  • Cependant, ils causent habituellement de nombreux
    effets secondaires qui sont, en réalité,
    lexpression dune vicariation progressive dans
    la table dhomotoxicose. La conséquence est donc
    une aggravation de létat de santé général du
    malade.

20
Douleurs traumatiques
  • Un traumatisme ou une blessure peut amener
    lorganisme instantanément en phase de réaction.
  • Linflammation est un mécanisme de défense, de
    protection et de guérison pour lorganisme.
  • Lobjectif du traitement doit être de moduler
    linflammation, i.e. den accélérer le processus
    et non de le bloquer.
  • Si on empêche un niveau acceptable dinflammation
    de se produire, on risque de provoquer une
    vicariation progressive et damener lorganisme
    en phase de déposition.

21
Douleurs traumatiques
  • Traumeel est le principal remède
    homotoxicologique de la phase de réaction.
  • Il est indiqué en cas de blessures de tous genres
    telles que foulures, luxations, contusions,
    épanchements sanguins et intra-articulaires,
    fractures, commotions cérébrales, oedèmes
    post-opératoires et post-traumatiques et
    tuméfaction des tissus mous.

22
Traumeel
  • Ingrédients
  • Belladonna D4
  • Aconitum napellus D3
  • Hepar sulphuris calcareum D8
  • Chamomilla D3
  • Symphytum officinale D8
  • Arnica montana, radix D3
  • Calendula officinalis D2
  • Hamamelis virginiana D2
  • Millefolium D3
  • Bellis perennis D2
  • Echinacea angustifolia D2
  • Echinacea purpurea D3
  • Hypericum perforatum D3

23
Famille Traumeel
24
Traumeel
  • Disponible sous forme de liquide, comprimés,
    pommade, gel, ampoules et gouttes otiques.
  • Traumeel liquide en aigu, prendre 15 gouttes
    aux heures puis espacer progressivement à quatre
    fois par jour.
  • Traumeel comprimés 1 comprimé S/L aux heures
    puis espacer à quatre fois par jour.

25
Traumeel
  • En pommade ou en gel, peut être employé en
    application simple ou en massage deux fois par
    jour.
  • Excellents résultats pour les douleurs
    musculaires ou tendineuses.
  • Si appliqué tôt, permet damoindrir les
    contusions et les bleus.

26
Douleurs traumatiques
  • En plus du Traumeel, on peut aussi utiliser des
    remèdes complémentaires en fonction des tissus
    affectés
  • Ruta graveolens en cas de tendinite
  • Bryaconeel en cas de bursite
  • Apis-Homaccord en cas ddème important
  • Ignatia-Homaccord ou Gelsemium-Homaccord en cas
    de choc nerveux.

27
Bursite
  • La bursite est linflammation de lune des
    nombreuses bourses séreuses comprises entre les
    tendons, les muscles et les saillies osseuses.
    Les bursites atteignent le plus fréquemment
    lépaule.
  • Dans la grande majorité des cas, les douleurs de
    bursites sont aggravées par le moindre mouvement
    de larticulation impliquée, ce qui correspond à
    Bryonia en homéopathie, remède que lon retrouve
    dans Bryaconeel. Bryonia est un remède dont la
    polarité de laction sur les séreuses est bien
    connue.

28
Bursite
  • Dautres remèdes comme Apis-Homaccord peuvent
    être indiqués, notamment si la douleur est
    améliorée par lapplication locale de froid et si
    un dème local semble impliqué.
  • Puisquil sagit dun phénomène de la phase de
    réaction, utiliser Traumeel.

29
Tendinite
  • Les tendinites sont de plus en plus un sujet de
    consultation, surtout depuis lusage plus
    fréquent de lordinateur comme outil de travail.
  • Lépicondylite est sans doute le type de
    tendinite le plus courant dans ces cas, toute
    abduction ou rotation externe cause une douleur
    vive.

30
Tendinite
  • Le principal remède homéopathique des tendinites
    est Ruta graveolens, que lon retrouve dans
    Ruta-Injeel.
  • Dun point de vue homotoxicologique, on devrait
    lassocier à Traumeel et à Rhododendroneel S, qui
    est un grand remède des inflammations des muscles
    et des tissus mous.

31
Tendinite
  • Dans les cas de syndrome du tunnel carpien, on
    devrait toujours y ajouter Tuberculinum residuum
    en échelle.
  • Dans ce syndrome, les douleurs à types de
    brûlures atteignant la face palmaire des trois
    premiers doigts sont aggravées la nuit et peuvent
    saccompagner dun engourdissement des zones
    atteintes.
  • Le massage local avec Traumeel procure toujours
    un soulagement plus rapide.

32
Polyarthrite rhumatoïde
  • La polyarthrite rhumatoïde est une maladie
    inflammatoire systémique dégénérative chronique,
    caractérisée par une synovite proliférante, dont
    lincidence augmente avec lâge et qui entraîne
    éventuellement une incapacité motrice par la
    limitation fonctionnelle et le handicap corporel.
  • La polyarthrite rhumatoïde peut affecter les
    systèmes pulmonaire, cardiaque, nerveux et
    réticulo-endothélial ainsi que le système cutané.

33
Les critères diagnostiques de la polyarthrite
rhumatoïde
  • Selon lAmerican Rheumatism Association
  • Raideur articulaire au lever
  • Douleur au mouvement ou sensibilité présente à au
    moins une articulation
  • Enflure présente à au moins une articulation
  • Enflure articulaire asymétrique
  • Nodules sous-cutanés sur les saillies osseuses, à
    la surface des extenseurs ou dans les régions
    juxta-articulaires
  • Modifications caractérisées de la polyarthrite
    rhumatoïde observables à la radiographie
    (ostéoporose, suivie de la destruction des tissus
    osseux et cartilagineux, puis de la déformation
    des articulations)

34
Critères pour la polyarthrite rhumatoïde
  • Agglutination positive à lexploration
    biologique
  • Faible précipité de la mucine du liquide
    synovial
  • Changements histologiques caractérisés des
    membranes synoviales
  • Changements histologiques caractérisés des
    nodules.
  • Le diagnostic probable de la polyarthrite
    rhumatoïde est posé en présence de trois de ces
    critères présents pendant une période de six
    semaines.
  • Le diagnostic définitif est établi lorsque cinq
    critères existent pendant une période de six
    semaines.

35
Polyarthrite rhumatoïde
  • En homotoxicologie, les cliniciens doivent
    connaître les antécédents médicaux du patient. Sa
    prédisposition génétique doit être évaluée, non
    seulement à partir des renseignements les plus
    récents, mais aussi en fonction de la théorie
    miasmatique (terrain) et du stade dévolution de
    la maladie selon Reckeweg (e.g. phase de
    réaction cavodermique).

36
Polyarthrite rhumatoïde
37
Polyarthrite rhumatoïde
  • Les principales préparations antihomotoxiques
    pour la polyarthrite rhumatoïde sont Bryaconeel
    et Rhododendroneel S.
  • Dautres médicaments doivent être considérés,
    dont Aconitum-Homaccord, particulièrement quand
    les troubles apparaissent à la suite dune
    infection virale ou y sont associés.

38
Rhododendroneel S
  • Rhododendroneel couvre la plupart des aspects
    symptomatiques de manifestations rhumatismales de
    la main et des doigts.
  • Il contient Aconit D4, Asclepias tuberosa D6,
    Dulcamara D4, Euphorbia D3, Ledum palustre D4,
    Rhododendron D3, Spiraea ulmaria D3, Benzoicum
    acidum D3, Pulsatilla D3 et Stellaria media D2.

39
Rhododendroneel S
  • Posologie
  • 10 gouttes 2 à 4 fois par jour, selon lintensité
    du problème.
  • En aigu 10 gouttes aux heures.

40
Bryaconeel
  • Bryaconeel contient Bryonia D4, Aconit D4 et
    Phosphorus D5.
  • Bryonia convient bien aux patients dont les
    symptômes saggravent au moindre mouvement.
  • Posologie un comprimé S/L 2 à 4 fois par jour.
    En aigu un comprimé aux heures.

41
Zeel compositum
  • Zeel compositum conviendra mieux aux patients
    améliorés par le mouvement lent et la chaleur
    mais aggravés par limmobilité prolongée et le
    froid humide.
  • Il contient Rhus toxicodendron en D3 en plus de
    contenir Sulfur D6, Arnica Montana D3,
    Sanguinaria D2 et Dulcamara D2.

42
Polyarthrite rhumatoïde
  • Si on se trouve en phase de réaction et que lon
    désire soulager le patient de ses douleurs
    inflammatoires, on devra utiliser Traumeel comme
    remède homotoxicologique ou bien
    Belladonna-Homaccord si les articulations sont
    rouges et chaudes ou encore Apis-Homacccord si
    les articulations semblent gorgées deau,
    améliorées par lapplication de froid et
    affligées de douleurs de type piqûre.

43
Polyarthrite rhumatoïde
  • Même si la polyarthrite rhumatoïde est classée à
    la phase de réaction dès lapparition des
    troubles, elle peut ensuite progresser rapidement
    à la phase de déposition, puis à la phase
    dimprégnation et parfois même à la phase de
    dégénération.

44
Polyarthrite rhumatoïde
  • Comme pour toutes les conditions en phases
    cellulaires, des médicaments complexes à action
    non spécifique doivent être administrés pour
    prévenir et traiter les dommages cellulaires et
    pour empêcher une trop forte dégénération
    cellulaire provoquée par laccumulation de
    radicaux libres.
  • Deux des grandes préparations indiquées dans le
    traitement des maladies en phase de dégénération
    et dimprégnation sont Ubicoenzyme et Galium-Heel.

45
Polyarthrite rhumatoïde
  • Il est aussi indiqué de choisir le remède
    homéopathique spécifique choisi en fonction des
    modalités particulières du malade, de même que le
    nosode approprié en se basant sur lanalyse du
    terrain du patient.

46
Arthrobase Plus
  • Le sulfate de glucosamine et le sulfate de
    chondroïtine sont deux remèdes utiles et
    sécuritaires dont lusage peut bénéficier aux
    patients arthritiques. Ces deux composantes
    semblent traiter la maladie à un niveau
    cellulaire, aidant à normaliser la matrice du
    cartilage.
  • En plus de travailler sur le cartilage lui-même,
    elles constituent une partie de la matrice
    extra-cellulaire dautres tissus conjonctifs
    comme les tendons.

47
(No Transcript)
48
Arthrobase Plus
  • La glucosamine répare et construit le cartilage,
    les tendons et les ligaments et est employé pour
    produire le liquide synovial qui lubrifie les
    articulations.
  • La chondroïtine bloque les enzymes qui détruisent
    le cartilage et peut améliorer la nutrition du
    cartilage. Elle aide à promouvoir la rétention
    deau dans le cartilage. Ce liquide permet
    dabsorber les chocs au cours du mouvement
    articulaire.

49
Autres remèdes
  • MSM
  • Harpagophyton
  • Saule
  • Enzymes
  • Boswelia
  • Etc

50
Arthrite psoriatique
  • Ce trouble articulaire est associé à une
    affection cutanée. Il touche de deux à dix
    personnes sur 10,000. Il varie dintensité (de
    léger à érosif) et peut affecter une articulation
    ou plusieurs.
  • Lévolution clinique correspond à la
    classification des phases de la maladie, selon
    les principes de lhomotoxicologie. La peau, les
    articulations et le SNC sont susceptibles dêtre
    touchés, ce qui en fait un trouble tissulaire
    ectodermique qui peut évoluer en phase de
    dégénération.

51
Arthrite psoriatique
  • Le diagnostic de larthrite psoriatique est fondé
    sur le lien entre les lésions rhumatismales et
    les lésions cutanées.
  • La peau présente une éruption papulosquameuse,
    caractérisée par des lésions squameuses épaisses
    blanchâtres à base rouge, localisées surtout au
    cuir chevelu, aux coudes et aux genoux.
  • Les ongles présentent également des modifications
    observables.

52
Arthrite psoriatique
  • Les médicaments antihomotoxiques pour larthrite
    psoriatiques sont Sulfur-Heel et Schwef-Heel, qui
    contiennent du soufre en dilution homéopathique.
  • Sulfur-Heel semble préférable dans les cas de
    lésions cutanées actives puisquil contient aussi
  • Mezereum pour la dermatose irritante
  • Pix liquida (goudron de bois)
  • Caladium pour le prurit
  • Arsenicum album pour la sécheresse cutanée
    chronique avec fines squames blanches
  • Capsicum pour les douleurs brûlantes.

53
Arthrite psoriatique
  • Si les symptômes arthritiques prédominent, on
    recommandera la prise combinée de Zeel et de
    Kalmia compositum.
  • Les remèdes homotoxicologiques de phase devraient
    aussi être utilisés successivement dans cet ordre
  • Ubicoenzyme
  • Galium-Heel
  • Lyphosot
  • Sorinoheel

54
Goutte
55
Goutte
  • La goutte illustre très bien les concepts de
    lhomotoxicologie avec ses phases faciles à
    distinguer
  • Une phase silencieuse ou dexcrétion avec
    laugmentation asymptomatique de la quantité
    dacide urique.
  • Une phase dinflammation ou de réaction
    caractérisée par le rhumatisme inflammatoire aigu
    causé par le dépôt des cristaux dacide urique.

56
Goutte
  • Une phase de déposition avec la déposition des
    cristaux à lintérieur ou près des articulations.
  • Enfin, la possibilité de vicariation progressive
    vers dautres tissus, notamment les reins et le
    cur.

57
Goutte
  • Lorsque posé pendant la phase silencieuse, le
    diagnostic est basé sur un taux élevé dacide
    urique.
  • Ladaptation du régime alimentaire est
    essentielle au traitement en phase
    asymptomatique. Il faut réduire les quantités
    daliments riches en purines dont les fruits de
    mer, les viandes et lalcool et augmenter la
    consommation deau.

58
Goutte
  • La goutte se manifeste par une réaction
    inflammatoire aiguë, accompagnée dune douleur
    importante, denflure, de rougeur et de chaleur.
    La peau est sensible au moindre toucher.
  • En allopathie, la phase inflammatoire aiguë est
    habituellement traitée avec un AINS et de la
    colchicine. Parmi les autres options, on retrouve
    lemploi de corticostéroïdes par voie systémique
    ou par voir intra-articulaire.

59
Goutte
  • En homotoxicologie, la phase aiguë est traitée
    avec Belladonna-Homaccord et Bryaconeel, en plus
    du Lithiumeel qui contient du colchicum.
  • Le traitement de la phase post-aiguë vise à
    réduire le taux dacide urique du patient. On y
    parvient en modifiant le régime alimentaire du
    patient. En allopathie, on prescrira parfois des
    agents uricosuriques et dautres remèdes qui
    ralentissent la production dacide urique
    (inhibiteurs de la xanthine-oxydase).

60
Goutte
  • Cependant, la prise de lallopurinol doit être
    limitée en raison des risques inflammatoires, et
    surtout du risque de formation des calculs
    rénaux. Lallopurinol peut entraîner des
    troubles dermatologiques (syndrome de
    Stevens-Johnson), des complications
    gastro-intestinales (hépatotoxicité), vasculaires
    (angéite nécrosante), hématopoïétiques
    (agranulocytose, anémie aplasique), neurologiques
    et ophtalmiques.
  • Ces effets secondaires sont en fait des
    vicariations progressives, i.e. des modifications
    vers la droite ou vers le bas dans la table
    dhomotoxicose.

61
Goutte
  • Le traitement antihomotoxique de la goutte en
    phase post-inflammatoire est basé sur le
    Lithiumeel, une préparation contenant
  • Lithium carbonicum
  • Colchicum autumnale
  • Ferrum phosphoricum
  • Natrum carbonicum
  • Nux vomica
  • Rhus toxicodendron

62
Goutte
  • La pseudogoutte est une condition résultant du
    dépôt de pyrophosphate dihydrate de calcium. Elle
    touche surtout le genou, mais aussi parfois le
    poignet, les doigts, le coude et lépaule.
  • Son traitement est semblable à celui de la
    goutte.
  • Certains cas de pseudogoutte ont été associés à
    lhyperparathyroïdie et à dautres conditions
    métaboliques de la régulation du calcium.

63
Goutte
  • Le traitement allopathique courant consiste en
    une aspiration du liquide synovial, des
    injections de stéroïdes et la prise orale dAINS.
  • En homotoxicologie, les préparations
    anti-inflammatoires Traumeel et
    Belladonna-Homaccord sont indiquées. Par la
    suite, on recommande une préparation comme Osteel.

64
Goutte
  • Comme nous sommes dans une pathologie de la phase
    de déposition, un remède comme Lyphosot gagne à
    être employé pour éviter de traverser la coupure
    biologique.
  • Des remèdes unitaires comme Lycopodium et le sel
    calcaire de la constitution du patient sont aussi
    recommandables.

65
Arthrose
  • Larthrose est une maladie dégénérative souvent
    précédée par des phénomènes inflammatoires
    chroniques.
  • Elle est caractérisée par des altérations
    destructives du cartilage articulaire et par une
    hypertrophie osseuse.
  • Larthrose connaît plusieurs synonymes, notamment
  • Ostéoarthrite
  • Arthrite hypertrophique

66
Arthrose
  • Dans larthrose, les malades se plaignent avant
    tout de douleurs articulaires survenant surtout
    lors de la mobilisation ou de la mise en charge
    de larticulation.
  • Les douleurs prennent souvent lapparence dun
    endolorissement assez léger elles sont rarement
    intenses.
  • Les douleurs surviennent après le repos et
    persistent quelques minutes à la reprise de
    lactivité. Le "dérouillage" matinal est de
    courte durée (quelques minutes), alors quil dure
    plus dune heure dans la polyarthrite rhumatoïde.

67
Arthrose
  • À Lexamen des articulations, on note
  • Limitation du jeu articulaire
  • Sensibilité locale osseuse
  • Hypertrophie osseuse
  • Épanchement peu abondant
  • Craquements à la mobilisation

68
Arthrose
  • La rougeur et laugmentation de chaleur locale
    sont peu fréquentes dans larthrose.
  • Larthrose des interphalangiennes distales des
    doigts conduit à lhypertrophie osseuse déformant
    les articulations. Des nodules apparaissent.
  • Puis, les tuméfactions douloureuses et
    relativement molles sont remplacées par des
    masses osseuses dures et indolores
    (réactiondépositionimprégnation dégénération).

69
Arthrose
  • Des études ont démontré la supériorité et
    lefficacité du sulfate de glucosamine par
    rapport à un placebo, puis par rapport à
    libuprofène dans les cas dostéoarthrite sur une
    période de huit semaines.
  • Tout comme le sulfate de glucosamine, le sulfate
    de chondroïtine agit en stimulant les
    chondrocytes à produire plus de collagène et de
    proteoglycans. Il inhibe les enzymes qui semblent
    détruire le cartilage.

70
Arthrose
  • Dans une étude impliquant 50 patients avec de
    lostéoarthrite du genou, on a administré du
    sulfate de chondroïtine puis on a examiné des
    échantillons de cartilage après 3 mois dusage.
  • Le groupe traité au sulfate de chondroïtine a
    démontré une évidence de réparation du cartilage.
  • Arthrobase Plus est un produit qui contient à la
    fois du sulfate de glucosamine et du sulfate de
    chondroïtine.

71
Arthrose
  • Zeel est le remède homotoxicologique de choix
    pour larthrose.
  • Traumeel est aussi très utile pour son action
    anti-inflammatoire et analgésique, surtout lors
    des poussées inflammatoires.
  • Des traitements à base doligo-éléments semblent
    aussi très efficaces dans les cas darthrose,
    surtout à moyen et à long terme.

72
Arthrose
  • Il est important dutiliser le remède
    homotoxicologique correspondant à la phase où se
    situe le malade au moment où il consulte
  • Dégénération Ubicoenzyme
  • Imprégnation Galium-Heel
  • Déposition Lyphosot
  • Réaction Sorinoheel

73
Zeel comp.
74
Zeel comp.
  • Ingrédients
  • Rhus toxicodendron D3
  • Sulphur D6
  • Arnica montana, radix D3
  • Sanguinaria canadensis D2
  • Dulcamara D2

75
Zeel comp.
  • Indications
  • Arthrose (en particulier arthrose de
    larticulation du genou)
  • Polyarthrose
  • Spondylarthrose
  • Périarthrite
  • Scapulo-humérale

76
Zeel comp.
  • Lassocier à Arthrobase Plus dans les cas
    darthrose.
  • Un comprimé S/L matin et soir sur une base
    régulière préventive.
  • Un comprimé S/L avant les repas et au coucher
    pendant les périodes douloureuses.

77
Zeel comp. - pommade
78
Wobenzym N
79
Wobenzym N
  • Ingrédients
  • Pancréatine 100 mg
  • Papaïne 60 mg
  • Rutin 50 mg
  • Broméline 45 mg
  • Trypsine 24 mg
  • Chymotrypsine 1 mg

80
Wobenzym N
  • Indications
  • Blessures sportives
  • Affections veineuses
  • Inflammation aiguë et chronique
  • Désordres rhumatismaux
  • Lymphoedème
  • Prostatite

81
Wobenzym N
  • Les enzymes accélèrent la dégradation des
    métabolites inflammatoires.
  • Le rutin restaure la perméabilité des parois des
    vaisseaux sanguins, contribuant ainsi à la
    réduction plus rapide de lenflure et de
    lhématome.

82
Wobenzym N
  • Réduit la viscosité sanguine qui pourrait
    conduire autrement à la formation de caillots.
  • Améliore les propriétés fluides du sang et exerce
    donc une action positive sur la microcirculation.

83
Wobenzym N
  • Linflammation et lenflure se résorbent
    rapidement et le flux sanguin est amélioré.
  • Ces effets contribuent au soulagement de la
    douleur et favorisent le processus de guérison.

84
Wobenzym N
  • Posologie
  • 2 comprimés 3 fois par jour comme dose moyenne ou
    de maintien.
  • En aigu, 4 à 6 comprimés 3 fois par jour.
  • Enrobage entérique ne pas croquer.
  • Prendre avec un grand verre deau, sur un estomac
    vide, 30 à 60 min. avant les repas.

85
Wobenzym N
  • Contre-indications
  • Troubles graves congénitaux ou acquis de la
    coagulation (hémophilie, dialyse, atteintes
    hépatiques graves).
  • Allergies aux composantes.
  • Historique de greffe dorgane.

86
Wobenzym N
  • Mise en garde
  • Certains patients diabétiques (avec troubles de
    coagulation).
  • Femmes enceintes ou qui allaitent.
  • Avant une intervention chirurgicale.
  • Patients utilisant des anticoagulants.

87
Wobenzym N
  • Interactions
  • Aucune interaction médicamenteuse na été
    observée avec Wobenzym.
  • Cependant, Wobenzym peut augmenter la
    concentration dun antibiotique sur le site
    daction.

88
Wobenzym N
  • Effets secondaires
  • Surviennent chez 2 des patients.
  • Allergies rares et disparaissent dès
    linterruption du traitement.
  • Diarrhée
  • Flatulence

89
Wobenzym N
  • Effets secondaires
  • Enzymes contenues dans Wobenzym peuvent parfois
    causer un changement bénin dans la consistance,
    la couleur et lodeur des selles.
  • Généralement, Wobenzym est bien toléré.

90
Wobenzym N
  • Effets secondaires
  • Dans les cas chroniques, les symptômes peuvent
    parfois augmenter au début du traitement.
  • Réaction positive du point de vue thérapeutique.
  • Ne pas cesser le traitement. Diminuer la
    posologie et laugmenter selon la tolérance.

91
Spondylarthrite ankylosante
  • Condition inflammatoire associée à une
    particularité génétique le groupe HLA B27 est
    présent chez 90 des personnes atteintes.
  • La spondylite frappe souvent les patients âgés de
    20 à 30 ans.
  • Douleur chronique au dos, raideur, déformation de
    la colonne et oligo-arthrite périphérique dans 25
    des cas.

92
Spondylarthrite ankylosante
  • Parmi les changements observables, on note
    lossification de larticulation sacro-iliaque et
    la formation de lépine de Lenoir.
  • Dautres tissus sont aussi touchés au niveau
    oculaire par exemple, luvée est atteinte dans 25
    à 30 des cas, ainsi que le cur et les poumons.

93
Spondylarthrite ankylosante
  • Lobjectif principal du traitement médical
    consiste à augmenter la mobilité spinale et la
    force musculaire au moyen de séances de
    physiothérapie et par lutilisation dAINS.
  • On a fait mention dun lien entre la spondylite
    ankylosante, un dérèglement de la flore
    intestinale et une augmentation des bactéries
    Klebsiella.

94
Spondylarthrite ankylosante
  • La spondylite ankylosante est une pathologie qui
    évolue vers la phase de dégénération du tissu
    ostéodermique.
  • Le traitement homotoxique de la spondylite
    ankylosante utilise des remèdes
    anti-inflammatoires comme Traumeel et Zeel.

95
Spondylarthrite ankylosante
  • On recommande aussi de restaurer la flore
    intestinale et de choisir le nosode approprié
  • Medorrhinum en présence dun terrain de sycose ou
    dostéophytes
  • Psorinum en présence dun terrain de psore.

96
Spondylarthrite ankylosante
  • Pour préserver le cartilage, Arthrobase Plus
    (glucosamine-chondroïtine) est fortement indiqué.
  • Puisquon se trouve dans la phase de
    dégénération, il faut utiliser Ubicoenzyme pour
    son action cellulaire de correction
    homotoxicologique.

97
Ostéoporose
  • Lostéoporose affecte une femme sur trois après
    lâge de 65 ans.
  • Ce trouble consiste en une diminution de la
    densité osseuse, ce qui rend les os plus fragiles
    et augmente les risques de fractures et de
    déformation squelettique.

98
Ostéoporose
  • Le mécanisme de déperdition osseuse est complexe.
    Il implique une perte accélérée du calcium et une
    malabsorption intestinale des minéraux.
  • La condition est aggravée par des facteurs
    extérieurs.

99
Risques dostéoporose
  • Race blanche
  • Petite charpente osseuse (phosphorique et
    fluorique)
  • Inactivité
  • Antécédents familiaux
  • Tabagisme

100
Risques dostéoporose
  • Absence de règles
  • Historique de fausses couches
  • Usage de stéroïdes
  • Consommation dalcool
  • Usage de médicaments pour la thyroïde
  • Ménopause prématurée

101
Les ennemis du calcium
  • Tabac
  • Sucre
  • Sel
  • Diurétiques
  • Alcool
  • Phosphates (boissons gazéifiées)
  • Caféine
  • Antiacides contenant de laluminium
  • Suppléments fer
  • Régimes hyperprotéinés (viande)

102
Ostéoporose
  • Lostéoporose est au départ une pathologie de la
    phase dimprégnation du tissu ostéodermique.
  • Le traitement homotoxicologique associera donc
    Galium-Heel à Osteel.
  • En homéopathie classique, on devrait utiliser
    Silicea ainsi que le Calcarea correspondant à la
    constitution du patient.
  • Vérifier lapport nutritif en minéraux et
    supplémenter au besoin.

103
Osteel
  • Contient Calcarea phosphorica et dautres
    ingrédients contribuant à maintenir la trame
    osseuse.
  • Combiner à un apport suffisant de calcium et de
    minéraux (possiblement avec vitamine D,
    magnésium, bore, phosphore, fluor, manganèse,
    zinc et strontium).

104
Fibromyalgie
  • La fibromyalgie touche de 2 à 4 de la
    population et plus particulièrement les femmes
    que les hommes (3,4 et 0,5 respecti-vement).
    Le taux de prévalence général a augmenté durant
    les cinq dernières années.
  • La fibromyalgie peut provoquer de nombreux
    symptômes, les deux plus courants étant la
    douleur (douleur musculaire et raideur) et la
    fatigue (accompagnée de troubles du sommeil).

105
Fibromyalgie
  • La grande variété des symptômes tranche avec le
    peu de signes cliniques identifiables à lexamen
    et dans les résultats des tests de laboratoire.
  • La localisation des points douloureux au toucher
    varie dun patient à un autre.
  • Lanxiété et la dépression sont souvent associées
    au syndrome, en plus de la frustration provoquée
    par le fait dêtre affligé dune maladie pour
    laquelle aucun traitement curatif ne semble
    disponible.

106
Fibromyalgie
  • En 1990, lAmerican College of Rheumatology a
    établi la liste suivante des critères de
    classification de la fibromyalgie
  • Historique de douleurs généralisées depuis au
    moins trois mois
  • Douleur exacerbée par une pression dune force
    approximative de 4 kg sur au moins 11 des 18
    points sensibles.

107
Fibromyalgie
  • Des recherches relient la fibromyalgie à la
    dysfonction cérébrale et au dérèglement de laxe
    hypothalamo-hypophyso-surrénalien.
  • Cela semble indiquer que la fibromyalgie pourrait
    être une maladie métabolique, associée à une
    hypoxémie chronique, un taux anormal de
    lactate-pyruvate (accroissement du pyruvate et
    diminution du lactate) ainsi que de bas niveaux
    de tryptophane, dhistidine et de sérine.

108
Fibromyalgie
  • Un déséquilibre de la fonction surrénalienne dans
    le sens dune hypofonction pourrait expliquer les
    troubles inflammatoires diffus à localisation
    multiple (manque de cortisone endogène), de même
    que la fatigue physique et psychique (déficit en
    noradrénaline), les troubles dadaptation et les
    troubles du sommeil.

109
Fibromyalgie
  • Le déficit surrénalien expliquerait aussi
    pourquoi une forte proportion de cas de
    fibromyalgie surviennent à la suite de stress
    très aigus ou très prolongés, ou encore à la
    suite dune modification hormonale (grossesse,
    pré-ménopause, ménopause, troubles thyroïdiens),
    de même que la prépondérance de cette affection
    chez les femmes.

110
Fibromyalgie
  • Lhypothèse hyposurrénalienne expliquerait aussi
    la supériorité daction de lamitriptyline
    (action sur la noradrénaline) sur celle des
    autres antidépresseurs dont laction se porte
    plutôt sur la sérotonine.

111
Fibromyalgie
  • Dun point de vue homotoxicologique, la
    fibromyalgie se situe dans la phase de réaction
    du tissu musculodermique.
  • Les principaux remèdes de la fibromyalgie sont
  • Traumeel
  • Rhododendroneel
  • Gelsemium-Homaccord
  • Ignatia-Homaccord
  • Glandula suprarenalis suis-Injeel

112
Conclusion
  • La compréhension sous langle homotoxicologique
    des pathologies rhumatismales nous permet de
    mieux cerner les plaintes de nos patients face à
    leurs douleurs et de mieux réagir à lévolution
    de ces maladies.

113
Conclusion
  • Les vicariations progressives ou régressives
    étant reconnues, il devient plus facile pour le
    thérapeute de choisir le traitement approprié
    qui, en plus de soulager le malade, permettra
    ladoption dun traitement homotoxicologique de
    fond qui aura pour objectif le retour à une phase
    dexcrétion efficace.

114
  • Pour de plus amples renseignements
  • Contactez Heel Canada Inc.
  • (514) 353-4335
  • 1-888-879-4335
  • ou
  • Visitez notre site internet
  • www.heel.ca
Write a Comment
User Comments (0)
About PowerShow.com