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FRACTURES DE L

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Inconv nients d stabiliser le foyer de fracture par une tentative de r duction. ... Traitement chirurgical (fixation du fragment) ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: FRACTURES DE L


1
FRACTURES DE LEXTREMITE SUPERIEURE DE LHUMERUS
  • N. MEZIANI
  • CHU BAB EL OUED
  • FACULTE DE MEDECINE DALGER

2
GENERALITES
  • Fractures fréquentes du sujet âgé.
  • Elles siègent par définition au-dessus du bord
    inférieur du grand pectoral. 
  • Elles présentent de multiples variétés dont le
    pronostic diffère considérablement.
  • Le délai de consolidation est environ de 6
    semaines, mais la rééducation doit être précoce.
  • La séquelle principale est la raideur de l'épaule.

3
ANATOMIE
4
ANATOMIE
5
ANATOMIE RADIOLOGIQUE
6
MECANISME
7
Le diagnostic est suspecté
  • Attitude de traumatisé du membre supérieur.
  • Sur la douleur au niveau du col huméral.
  • Parfois, une déformation visible dans les
    fractures en abduction.
  • Plus tard, une ecchymose diffusant vers le bras
    et le coude.

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Il faut demblée rechercher les complications
possibles
  • Vasculaires lésions des vaisseaux axillaires
    (pouls).
  • Nerveuses lésions du plexus brachial, du nerf
    circonflexe, du radial.
  • Cutanées louverture est rare.
  • Musculaires deltoïde, tendon du biceps,
    interposition dans la fracture empêchant la
    réduction et justifiant une réduction
    chirurgicale.

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Radiographie
  • FACE.
  • PROFIL AXILLAIRE.
  • Parfois SCANNER.

Analyser les traits de fractures et compter le
nombre de fragments
10
Analyser les traits de fractures et compter le
nombre de fragments (pas toujours facile sur des
radios simples)
11
Intérêt parfois du scanner
Analyser les traits de fractures et compter le
nombre de fragments
12
CLASSIFICATION DE DUPARC et OLIVIER
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Fractures extra-articulairesFractures des
tubérosités (trochiter - trochin)
Fractures du trochiter
Réduction chirurgicale des fractures déplacées
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Ostéosynthèse par vis ou cerclage
Fractures du trochiter déplacées
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Fractures extra-articulairesFractures des
tubérosités (trochiter - trochin)
Fractures du trochin
Arrachement rare du trochin (sous-scapulaire) Tra
itement chirurgical (fixation du fragment)
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Fractures extra-articulairesFractures
sous-tubérositairesENGRENEES
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Fractures extra-articulairesFractures
sous-tubérositairesDEPLACEES
18
Fractures extra-articulairesFractures
sous-tubérositairesDEPLACEES
19
Fractures articulaires
Fractures céphalo-tubérositaires
Fractures céphaliques
20
Les fractures céphalo-tubérositaires
21
Les fractures céphalo-tubérositaires
22
TRAITEMENT
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OBJECTIF
  • L'objectif est d'obtenir la consolidation de la
    fracture tout en préservant la mobilité de
    l'épaule.
  • C'est pourquoi la rééducation commence dès que le
    foyer est englué.

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Traitement des fractures engrenées peu déplacées
  • Elles sont simplement immobilisées sans tentative
    de réduction car elles sont stables.
  • Inconvénients à déstabiliser le foyer de fracture
    par une tentative de réduction.
  • Une simple écharpe est possible mais il vaut
    mieux faire un bandage de VELPEAU pendant 2
    semaines.
  • Après ce délai, la mobilisation de lépaule est
    entreprise doucement et progressivement en
    gardant une simple écharpe protectrice quelques
    jours.
  • Après 4 semaines, la rééducation peut être
    commencée activement et passivement pour
    récupérer la mobilité de lépaule.

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Traitement des fractures déplacées
  • La réduction orthopédique sous anesthésie
    générale est menée progressivement.
  • Les manoeuvres comportent
  • - Une traction longitudinale.
  • - Une mise en adduction et en rotation neutre.
  • - Une translation externe de la diaphyse alors
    que le fragment épiphysaire est poussé en dedans.
  • - On relâche la traction quand les fragments
    sont en face lun de lautre, puis on met en
    abduction.

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Traitement des fractures déplacées.Traction
trans-olécrânienne.
  • Traction continue avec une broche dans lolécrâne
    et un étrier.
  • La traction se fait au zénith ou sur le plan du
    lit.
  • Le plus souvent, Il sagit dun traitement
    dattente pour des polytraumatisés inopérables
    afin dobtenir une réduction progressive et faire
    une ostéosynthèse secondairement.
  • Chez certains grands blessés qui doivent rester
    alités, cette traction peut être poursuivie
    jusquà la consolidation, avec un dispositif
    permettant la suspension de lavant-bras.

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IMMOBILISATIONS
28
CHIRURGIE
29
CHIRURGIE
30
Fractures-luxations de lépauleFractures-luxation
s antérieures
31
Fractures-luxations de lépauleFractures-luxation
s antérieures
32
Fractures-luxations de lépauleFractures-luxation
s antérieures
33
Fractures-luxations de lépauleFractures-luxation
s postérieures
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COMPLICATIONS
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Complications immédiates
  • Louverture est rare car les muscles à ce niveau
    sont épais (deltoïde).
  • Les lésions nerveuses existent dans 1 des
    fractures.
  • La lésion la plus fréquente est celle du nerf
    circonflexe et en second lieu du nerf radial du
    nerf cubital et du plexus brachial.
  • Il importe, avant toute manoeuvre de réduction,de
    faire un bilan nerveux précis afin de faire la
    preuve dun déficit.
  • Une paralysie dun nerf due à une compression par
    un fragment osseux, impliquera une réduction
    sanglante pour dégager le nerf.

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Complications immédiatesLésions vasculaires
  • - Section des vaisseaux axillaires soit dun
    embrochage .
  • - Lésions dépistées par la recherche du pouls
    et au moindre doute, par une artériographie.
  • - Il sagit parfois dune oblitération
    provoquée par une dissection de lintima.
  • - La réduction chirurgicale et lostéosynthèse
    complèteront le geste de rétablissement de laxe
    vasculaire.

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Complications secondaires
  • La nécrose de la tête humérale.
  • Cals vicieux.
  • Les pseudarthroses sont exceptionnelles.
  • Larthrose omo-humérale.
  • La raideur est fréquente.

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FORMES CLINIQUES
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FRACTURES DE LENFANT
  • Il s'agit
  • - Soit d'une fracture-décollement épiphysaire
    (type 2 de Salter).
  • - Soit, le plus souvent, d'une fracture
    métaphysaire.
  • Leur traitement est largement non invasif en
    raison
  • - De la tolérance des cals vicieux.
  • - Du remodelage par la croissance.
  • - De l'absence de raideur secondaire aux
    immobilisations.

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FRACTURES DE LADULTE JEUNE
  • La survenue des fractures de l'adulte jeune
    nécessite un traumatisme violent.
  • Il s'agit
  • - Soit de fractures dans un contexte de
    polytraumatisme.
  • - Soit de fractures avec complications immédiates.

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FRACTURES PATHOLOGIQUES
  • Les fractures pathologiques surviennent à
    l'occasion d'un traumatisme minime sur un os
    fragilisé.
  • Schématiquement
  • - Chez l'enfant, il s'agit d'une tumeur bénigne,
    surtout le kyste essentiel.
  • - Chez l'adulte, il s'agit d'une métastase, le
    plus souvent.

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CONCLUSION
  • Fractures fréquentes du sujet âgé.
  • Elles présentent de multiples variétés dont le
    pronostic diffère considérablement.
  • Une bonne lecture radiologique est indispensable.
  • Analyser les traits de fractures et compter le
    nombre de fragments.
  • Il importe, avant toute manoeuvre de réduction,de
    faire un bilan nerveux précis afin de faire la
    preuve dun déficit.
  • La consolidation est souvent obtenue, mais la
    rééducation doit être précoce.
  • La séquelle principale est la raideur de l'épaule.
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