Introduction aux Bases de donn - PowerPoint PPT Presentation

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Introduction aux Bases de donn

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Informatique appliqu e la gestion : EG5 Introduction aux Bases de donn es I. Introduction I.1 Exemple de donn es manipuler La gestion des ressources humaines ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Introduction aux Bases de donn


1
Introduction aux Bases de données
  • Informatique appliquée à la gestion EG5

2
I. Introduction
  • I.1 Exemple de données à manipuler
  • La gestion des ressources humaines dune société.
  • On a besoin de la liste des employés.
  • Employés en changement permanent
  • Nouveau recrutement,
  • départ (retraite, démission,)
  • changement de poste,

3
  • Pour chaque employé on a besoin denregistrer
    certaines informations
  • le nom et prénom,
  • le sexe,
  • la date de naissance,
  • l'adresse,
  • la date de recrutement,
  • la fonction dans l'entreprise,
  • N dimmatriculation ...

4
  • Ces informations sont
  • consultées plusieurs fois,
  • modifiées si nécessaire
  • Ajout et suppression

5
Entreprise
6
  • ? doù la nécessité davoir un système de
    stockage des données.
  • Différents manières ont été développées pour le
    stockage
  • A- avant lère informatique
  • Le tri manuellement,
  • plus le volume des données croît plus la gestion
    manuelle devient difficile vue la masse et la
    complexité des données.

7
  • B - Lère informatique
  • Utilisation des fichiers informatiques pour
    stocker les informations
  • mais lutilisation de fichiers impose
  • à l'utilisateur de connaître larborescence des
    fichiers afin de pouvoir accéder aux informations
    dont il a besoin,
  • d'écrire des programmes pour pouvoir
    effectivement manipuler ces informations.

8
  • On a donc recherché des solutions tenant compte
    à la fois des désirs des utilisateurs et des
    progrès techniques. Cette recherche a abouti au
    concept de base de données.

9
II. Base de Données
  • II.1 Définition
  • Une base de données BD, (database DB) est un
    ensemble de données, stocké de façon 
  • Exhaustif  la base contient toutes les
    informations requises pour le service que l'on en
    attend 
  • non redondant  la même information n'est
    présente qu'une seule fois (pas de doublons).
  • Structuré  les données ont des structures bien
    définies.

10
  • Remarques  ? Ces données doivent pouvoir être
    utilisées par des utilisateurs différents. Ainsi,
    la notion de base de données est généralement
    couplée à celle de réseau.
  • ? On parle généralement de Système d'Information
    pour désigner toute la structure regroupant les
    moyens mis en place pour pouvoir partager des
    données.

11
II-2 Utilité d'une base de données
Une base de données permet de mettre des données
à la disposition des utilisateurs pour
  • une consultation,
  • une saisie
  • ou bien
  • une mise à jour,
  • tout en s'assurant des droits accordés aux
    utilisateurs.

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  • Une base de données peut être locale,
    c'est-à-dire utilisable sur une machine par un
    utilisateur,
  • ou bien
  • répartie, c'est-à-dire que les informations sont
    stockées sur des machines distantes et
    accessibles par réseau et par plusieurs
    personnes.
  • Exemple la réservation des billets davions.

13
  • L'avantage majeur de l'utilisation de
    bases de données est la possibilité de pouvoir
    être accédées par plusieurs utilisateurs
    simultanément.
  • Il existe des bases de données de toutes tailles,
    depuis les plus modestes
  • . une liste des numéros de téléphone utilisée
    par une seule personne,
  • jusqu'aux plus grandes
  • . la base des données commerciales d'une société
    à activités multiples, avec des Géga octets de
    données.

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  • On reprend lexemple de la société
  • Pour éviter les problèmes de la redondance et
    construire une base de données bien structurée et
    facilement modifiée, il faut créer deux tableaux
  • 1- tableau Produit

15
(No Transcript)
16
  • Et
  • 2- Tableau Fournisseurs

17
(No Transcript)
18
III- La gestion des bases de données III-1
Système de gestion des bases de données (SGBD)
Le contrôle des données et des utilisateurs, se
fait grâce à un système de gestion appelé
système de gestion de bases de données, SGBD
19
  • (Database management system DBMS).
  • Le SGBD est un ensemble de services
    (applications, logicielles) permettant de gérer
    les bases de données, c'est-à-dire 
  • permettre l'accès aux données de façon simple à
    laide de linterrogation de la base
  • autoriser un accès aux informations à de
    multiples utilisateurs

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  • manipuler les données présentes dans la base de
    données (administration, insertion, suppression,
    modification).
  • Exemples des applications utilisant les SGBD
  • Gestion des étudiants dune université,
  • Gestion des réservations des places davions,
  • Gestion de comptes bancaires, ...

21
III-2 Constitution dun système de gestion des
bases de données
  • Un SGBD est principalement constitué d'un
  • moteur
  • interface graphique (ou SGBD externe).
  • Le moteur est le coeur du logiciel, c'est à dire
    qu'il assure les fonctions essentielles 

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  • saisir les données,
  • les stocker,
  • les manipuler,
  • etc.
  • Il peut être décomposé en deux parties 
  • un système de gestion de fichiers
  • un SGBD Logique.

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  • L'interface graphique permet à l'utilisateur de
    communiquer commodément avec le logiciel.

24
La couche externe (interface graphique) prend
en charge linterface avec les utilisateurs
(analyse des requêtes interrogation,
modification de la BD, contrôle des droits
daccès, présentations des résultats, ...) La
couche logique assure les fonctions de contrôle
global (optimisation des requêtes, gestion des
conflits daccès, contrôle de la cohérence
globale de la base, garantie du bon déroulement
des actions en cas de panne, ...)
25
  • La couche interne (le système de gestion de
    fichiers) qui soccupe du stockage des données
    sur les supports physiques et de la gestion des
    fichiers et des accès (index, clés, ...).

26
III.3 Objectifs dun SGBD
  • Parmi les objectifs principaux dun SGBD sont 
  • Indépendance physique  La façon dont les données
    sont définies doit être indépendante des
    structures de stockages utilisées.
  • Par exemple les données doivent être définies
    indépendamment à ce que on utilise un système
    Windows ou Unix ou un réseau Serveur-Client ou un
    réseau Domestique,

27
  • Indépendance logique  Un même ensemble de
    données peut être vu différemment par des
    utilisateurs différents. Toutes ces visions
    personnelles des données doivent être intégrés
    dans une vision globale.
  • Par exemple dans une bibliothèque, un
    utilisateur veut lister tout les livres
    concernant la macroéconomie, un autre utilisateur
    veut lister les livres de la macroéconomie par
    auteur, donc se sont les même données manipulées
    différemment.

28
  • Manipulations des données par des non
    informaticiens  Il faut pouvoir accéder aux
    données sans savoir programmer ce qui signifie
    des langages "quasi naturels".
  • Efficacité des accès aux données  Ces langages
    doivent permettre d'obtenir des réponses aux
    interrogations en un temps "raisonnable". Ils
    doivent donc être optimisés.

29
  • Administration centralisée des données  Des
    visions différentes des données se résolvent plus
    facilement si les données sont administrées de
    façon centralisée.
  • Non redondance des données  Afin d'éviter les
    problèmes lors des mises à jour, chaque donnée ne
    doit être présente qu'une seule fois dans la
    base.
  • Cohérence des données  Les données sont soumises
    à un certain nombre de contraintes d'intégrité
    qui définissent un état

30
  • cohérent de la base. Elles doivent pouvoir être
    exprimées simplement et vérifiées automatiquement
    à chaque insertion, modification ou suppression
    des données.
  • Partageabilité des données  Il s'agit de
    permettre à plusieurs utilisateurs d'accéder aux
    mêmes données au même moment. Il s'agit alors de
    pouvoir

31
  • permettre à deux (ou plus) utilisateurs de
    modifier la même donnée "en même temps"
  • assurer un résultat d'interrogation cohérent
    pour un utilisateur consultant une table pendant
    qu'un autre la modifie.
  • Sécurité des données  Les données doivent
    pouvoir être protégées contre les accès non
    autorisés. Pour cela, il faut pouvoir associer à
    chaque utilisateur des droits d'accès aux
    données.

32
III-3 Les principaux SGBD
  • Parmi les Les principaux éditeurs des SGBD, il y
    a
  • IBM (36 ), éditeur de DB2 et Informix
  • Oracle (34 ), éditeur dOracle.
  • Microsoft (18 ), éditeur de trois SGBD 

33
  • SQL Server est destiné aux gros systèmes,
  • Access est un produit de bureautique
    professionnelle,
  • Foxpro est destiné aux développeurs.
  • Sybase (lt3 ).

34
IV. Exemples de BD
  • 1. Gestion des cours et étudiants dune
    université Données beaucoup plus complexes, car
    faisant intervenir des informations diverses,
    liées entre-elles

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  • - Informations de type académique, sur les
    étudiants (matricule, date dinscription,
    section, notes, ...)
  • Informations de type personnelles, sur les
    étudiants (nom, prénom, adresse, ...)
  • Informations sur les cours dispensés (titre,
    pré-requis, matière, langue, enseignant, horaire,
    salle, ...)

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  • Informations sur les enseignants (nom, prénom,
    bureau, téléphone, statut, ...)
  • Informations sur les cours dispensés (titre,
    matière, langue, enseignant, horaire, salle, ...)
  • Ensemble de données trop complexe pour être géré
    manuellement
  • il faut faire appel à un SGBD.

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V. Les différents modèles de bases de données
  • Il existe cinq modèles de SGBD, différenciés
    selon la représentation des données qu'elle
    contient
  • le modèle hiérarchique les données sont classées
    hiérarchiquement, selon des relations de type
    père-fils. Ce qui génère une structure
    arborescente descendante.

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  • On doit connaître a priori la structure de
    larbre pour avoir accès aux données, si la
    structure change les algorithmes doivent changer.
    Ce modèle est le premier modèle de SGBD.

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  1. le modèle réseau Ce modèle repose sur le
    principe du regroupement des données de la base.
    Les données sont placées a proximité les unes des
    autres sur le disque si elles sont reliées
    logiquement. Par exemple une commande concernant
    des produits doit être placés avec la liste des
    produits.

40
  1. le modèle relationnel (SGBDR  Système de gestion
    de bases de données relationnelles) les données
    sont enregistrées dans des tableaux à deux
    dimensions (lignes et colonnes). La manipulation
    de ces données se fait selon la théorie
    mathématique des relations

41
Champs
Lignes
42
  • le modèle déductif les données sont
    représentées sous forme de table, mais leur
    manipulation se fait par calcul de prédicats
    (relations de logique mathématique)
  • le modèle objet (SGBDO) les données sont
    stockées sous forme d'objets, c.à.d. des
    structures appelées classes présentant des
    données membres. Les champs sont des instances de
    ces classes

43
Remarque Les modèles relationnels restent les
modèles les plus répandues (environ trois quarts
des bases de données), car elles conviennent bien
à la majorité des besoins des entreprises .
44
VI. Concept de base dune base de données
  • Le cycle de vie dune base de donnée (BD) se
    décompose en trois phases 
  • La conception définition des fonctionnalités,
  • Limplantation réalisation effective de la
    base,
  • Lexploitation utilisation et maintenance de
    la base.

45
A- Conception
  • La phase de conception est une phase danalyse et
    de modélisation de la problématique à traiter,
    qui aboutit à déterminer le futur contenu de la
    BD.
  • La description obtenue, indépendamment des
    systèmes de SGBD, utilise un langage formel basé
    sur des concepts bien établis, comme les objets,
    les liens et les propriétés. Cette description
    est appelée
  • Schéma Conceptuel (des besoins).

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  • Lensemble des concepts utilisés par le langage
    formel de description choisi est appelé le
  • Modèle Conceptuel des Données (MCD).
  • Un MCD se décompose généralement en deux parties
  • Une partie statique décrivant la structure des
    données
  • Une partie dynamique décrivant les opérations
    sur les données

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Le modèle conceptuel illustré dans le cours est
le modèle  Entité - Association.
  • VI.1 Entité - Association 
  • VI.1.1 Entité 
  • Une entité est une population dindividus
    homogènes.
  • Exemple les produits ou les articles vendus par
    une société peuvent être regroupés dans une même
    entité Articles.

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Articles

?
  • Ordinateurs
  • Imprimantes
  • Scanner

ceci est possible du fait que ces produits ont
les mêmes caractéristiques (par exemple  la
désignation, le prix unitaire, la quantité, etc).
Clients

Fournisseurs

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VI.1.2 Association 
  • Une association est une liaison qui a une
    interprétation précise entre plusieurs entités.
  • Exemple entre lentité client et article il y a
    une liaison qui est Commander  un client
    commande un article, et entre fournisseurs et
    clients il y a la liaison  Livrer


Fournisseurs

Commander

Livrer

Articles

Clients

Fig. Associations
50
VI.2 Attributs et identifiants 
  • Un attribut est une propriété (caractéristique)
    dune entité ou dune association.
  • Exemple Dans lexemple de la société, lentité
    Articles a des attributs que nous avons déjà
    cités 
  • Désignation,
  • Quantité,
  • prix unitaire, 

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  • Lentité Client peut avoir comme attributs
  • adresse client,
  • nom et prénom du client,
  • Les associations Commander et Livrer peuvent
    avoir comme attributs 
  • quantité commandée,
  • date de livraison,

52
Chaque individu dune entité doit être
identifiable dune manière unique et sans
ambiguïté, Exemple Lindividu Said Hamidi de
lentité Clients ne peut pas être identifier
dune façon unique par son nom Plusieurs
clients peuvent avoir le même nom
53
  • chaque entité doit posséder un attribut sans
    doublon (ne prenant pas deux fois la même
    valeur). Il sagit de
  • lidentifiant

Remarque  Une entité doit posséder au moins un
attribut qui est son identifiant, par contre une
association peut être dépourvu dattributs.
54
VI.3 Cardinalité
  • La cardinalité dun lien entre une entité et une
    association précise le nombre de fois quun
    individu de lentité peut être concerné par
    lassociation.
  • Exemples un client peut commander de
    1 jusquà n articles.
  • Un articles peut être commander 0 fois
    jusquà m fois

55
(No Transcript)
56
  • Un client ne peut exister que sil commande au
    moins un article.
  • Cardinalité minimale pour le client est 1
  • Un article peut exister dans le stock même sil
    nest pas commandé par aucun client,
  • Cardinalité minimale pour larticle est 0.

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VI.4 Règles de modélisation
  • Un bon schéma Entités-association doit vérifier
    certaines règles dites
  • règles de modélisation (normalisation)
  • Objet Rassembler les données homogènes et
    éviter les redondances.
  • Règ 1 Normalisation des entités  Toutes les
    entités qui sont remplaçables par une association
    doivent être remplacées.

58
Deux entités homogènes peuvent être fusionner
Redondance, donc risque dincohérence Les
adresses peuvent ne pas être les même donc où
va-t-on livrer ?
59
  • Règ 2 Normalisation des noms  le nom dune
    entité, dune association ou dun attribut doit
    être unique.
  • Règ 3 Normalisation dun identifiant  Chaque
    entité doit posséder un identifiant.
  • Règ 4 Normalisation des attributs et des
    associations les attributs dune association
    doivent dépendre directement des identifiants de
    toutes les entités en association et il faut
    éliminer les association superflues.

60
  • Règ 5. Normalisation des cardinalités  une
    cardinalité minimale est toujours 0 ou 1 (pas 2,
    3 ou n) et une cardinalité maximale est toujours
    1 ou n (pas 2, 3,).

61
Méthodologie de Base
62
VII. Implantation
  • VII.1 Modèle Logique des Données (MLD)
  • La deuxième phase dans la vie dune base de
    données est la phase dimplantation qui consiste
    en la traduction du MCD en un modèle employé par
    le SGBD.
  • Le nouveau modèle obtenu est appelé le
  • Modèle Logique de Données (MLD).

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  • Il y a plusieurs modèles logiques selon le SGDB
    correspondants (hiérarchique, relationnel,
    objet,).
  • VII.2 Modèle logique de données relationnel
    (MLDR)
  • Ce modèle est lié au SGBD relationnel (SGBDR) qui
    se base sur le concept de table à deux dimensions
    constituées de lignes et champs

64
VII.2.1 Tables, lignes et colonnes 
  • Dans le MLDR
  • les entités sont remplacées par les tables
  • les colonnes (les champs) représentent les
    attributs communs
  • les lignes contiennent les valeurs des champs
    pour chaque ligne.

65
Il ny a pas deux lignes identiques dans une
table.
66
VII.2.2 Clés Primaires et Étrangères 
  • Les lignes dune table doivent être identifiées
    dune façon unique et précise cest pour cela
    quun ou plusieurs champs sont utilisés pour
    identifier les lignes. On appelle ce(s) champ(s)
  • Clé primaire (identifiant).
  • Toute table possède une seule clé primaire.
  • La connaissance dune valeur de la clé primaire
    délivre de façon unique et certaine celle de
    chacun des autres champs de la table.

67
  • Le champ auquel on applique une clé primaire
    acquière les propriétés suivantes 
  • les doublons (deux informations identiques ou
    plus) sont désormais interdits par le système 
  • la présence de la clé primaire interdit la
    présence d'un champ vide dans un enregistrement,
    la valeur "Null" est désormais interdite.

68
? Clé Étrangère
  • Une clé étrangère, est une clé (donc un champ
    permettant d'identifier de façon unique une
    ligne) faisant référence à une clé appartenant à
    une autre table.
  • Exemple

La table Clients possède une clé primaire qui est
le champ N client, on remarque que la deuxième
table Commandes contient le même champ N client.
Ce champ sert à établir le lien entre les deux
tables, dans la deuxième table Commande le champ
N Client est dite Clé Étrangère.
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  • Propriétés
  • Une même table peut contenir plusieurs clés
    étrangères mais une seule clé primaire.
  • Le SGBDR vérifie que les clés étrangères ne
    prennent pas de valeurs en dehors de celles
    prises par les clés primaires correspondantes.

70
  • Cette vérification se fait lors de
  • linsertion,
  • lajout,
  • la suppression
  • la mise à jour
  • des tables,
  • on dit que SGBDR garantit
  • lintégrité référentielle des données.

71
VII.3 Schéma relationnel
  • Dans un SGBDR, les tables dune base sont
    représentées par un schéma relationnel dans
    lequel
  • les tables sont appelées relations
  • et les liens entre les clés étrangères et
    primaires sont symbolisés par des connecteurs.

Connecteur
Relations
Schéma relationnel simple entre deux tables
72
Traduction dun MCD en un MLDR
  • Pour traduire un schéma MCD en un schéma MLDR, il
    suffit de suivre les étapes suivantes 
  • Etape 1  Toute entité devient une table
  • dans laquelle
  • les attributs deviennent les colonnes
  • lidentifiant de lentité devient la clé
    primaire de la table.

73
  • Exemple  Lentité Article suivante devient la
    table Article

Colonnes (Champs)
Clé primaire
Attributs
Identifiant
Entité Article
Table Article
74
  • Étape 2  Une association binaire de type 1n
    devient clé étrangère du côté 11 ou 10 qui
    référence la clé primaire de lautre table.

75
  • Remarque Cette clé étrangère ne peut pas
    recevoir la valeur vide si la cardinalité est 11

Étape 3  Une association binaire de type n m
devient une table supplémentaire appelée table de
jonction
76
  • Lassociation Concerner (1) est traduite par la
    table supplémentaire
  • lignes de commandes.
  • Les attributs de lassociation deviennent les
    colonnes de la nouvelle table.
  • La clé primaire est composé de deux clés
    étrangères.
  • La clé primaire de cette dernière table est
    constituée des deux clés des tables commandes et
    articles.

77
  • Étape 4  Une association binaire de type 11 se
    traduit comme une association de type 1n sauf
    que la clé étrangère se voit imposé une
    contrainte dunicité qui impose à la colonne
    correspondante de ne prendre que des valeurs
    distinctes.

78
  • Lassociation diriger disparaît au profit de la
    table services qui comportera un nouveau champ n
    employé (comme clé étrangère).
  • !!! Les colonnes de ce champ ne peuvent pas
    prendre des valeurs identiques.

Étape 5  Une association non binaire est
traduite par une table supplémentaire
79
  • La clé primaire est composée dautant de clés
    étrangères que dentités en association.
  • Les attributs de lassociation deviennent les
    colonnes de la nouvelle table.

80
  • Lassociation projeter se traduit par une table
    supplémentaire projections.
  • La clé primaire de cette table est constituée des
    clés primaires des autres tables.
  • lattribut tarif de lassociation projeter
    devient une colonne de la table projection.

81
VIII. Exploitation
  • En phase dexploitation, lutilisation de la BD
    se fait au moyen dun langage de manipulation de
    données (LMD).
  • Un LMD permet dexprimer aussi bien des
    requêtes dinterrogation que des requêtes de mise
    à jour.
  • Exemple de langage  SQL (Structured Query
    Langage).

82
VIII. Récapitulation
  • Finalement on peut schématiser la description
    complète dune base de données à laide de 4
    types de schémas, dont 3 sont directement
    utilisés par le SGBD.

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  • Schéma conceptuel  cest le Modèle conceptuel de
    données (MCD).
  • Schéma externes  Lors de son interaction avec la
    BD, chaque utilisateur nest généralement
    intéressé que par une partie des données stockées
    dans la base.
  • On lui associe donc un schéma externe (aussi
    appelé vue) décrivant le sous-ensemble de la base
    auquel il a accès, structuré de façon à répondre
    à ses besoins spécifiques.

84
  • Schéma logique  La phase dimplantation
    nécessite la traduction du schéma conceptuel dans
    un schéma utilisant les concepts du
  • Modèle logique de données relationnel (MLDR).
  • Schéma internes  Pour limplantation effective
    des données, il faut effectuer les choix relatifs
    à leur stockage et leur structuration sur les
    mémoires physique, sous la forme dun ensemble de
    fichiers.

85
  • Ces choix sont consignés dans ce quon appelle le
    schéma interne de la base de données, qui repose
    sur le modèle interne, dont les concepts sont
    ceux du système de fichiers utilisé.
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