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Lactivit physique le sport et la sant

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Pour l'Organisation Mondiale de la Sant (OMS) : la sant se caract rise par ' ... est obtenu chez sujets inactifs qui deviennent au moins mod r ment actifs ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Lactivit physique le sport et la sant


1
Lactivité physique le sport et la santé
2
INTR0DUCTION
  • La santé est une préoccupation majeur dans le
    monde daujourdhui. Tous les gouvernements du
    monde ont 1 programme de promotion de la santé
  • Pour lOrganisation Mondiale de la Santé (OMS)
    la santé se caractérise par  un état de complet
    de bien-être physique, psychologique et social et
    pas seulement comme labsence de maladie 
  • A contrario, ne pas être en bonne santé est un
    état qui se traduit par des formes diverses
  • Fatigue, stress, douleurs,
  • Surpoids, obésité,
  • Mal être psychique

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INTR0DUCTION
  • Les causes de détérioration de la santé sont
    nombreuses, parmi lesquelles 2 grandes catégories
    sont particulièrement importantes
  • Une hygiène de vie défaillante, en particulier
    sur le plan de lalimentation, de la consommation
    excessive dalcool et du tabac
  • La diminution de lactivité physique quotidienne
    qui est en chute permanente depuis 2 siècles dans
    notre société

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SÉDENTARITÉ
  • Correspond aux occupations pour lesquelles les
    mouvements corporels sont réduits au minimum et
    la dépense énergétique très faible
  • regarder la TV, travailler sur un ordinateur,
    jouer avec des jeux vidéo et de façon générale
    être assis ou couché
  • La sédentarité est unanimement identifiée comme
    un danger pour notre santé

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RECOMMANDATIONS
  • Les experts du monde entier éditent des
    recommandations pour apporter des réponses face à
    ces problèmes de santé. Ces réponses sarticulent
    autour de 2 grands axes
  • Une alimentation équilibrée
  • Une activité physique ou sportive régulière
  • La base dune bonne santé repose sur une démarche
    cohérente construite autour de ces 2 aspects

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LES APS ET LA SANTÉ
  • Augmenter le niveau dAP et limiter la
    sédentarité est un enjeu important de santé
    publique
  • Depuis une dizaine dannée la notion mise en
    avant est que AP na pas besoin dêtre intense
    pour procurer un bénéfice en terme de prévention
  • En réalité, le gain le plus important est obtenu
    chez sujets inactifs qui deviennent au moins
    modérément actifs
  • Toute la difficulté consiste à mettre en action
    même à minima les sédentaires, et nous allons
    préciser à quoi cela correspond.

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LES ACTIVITES PHYSIQUES ET LE SPORT
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ACTIVITÉS PHYSIQUES
  • Les activités physiques ne se réduisent pas
    simplement à la pratique sportive
  • Les activités physiques au sens large incluent
    tous les mouvements effectués dans la vie
    quotidienne
  • Tous ces mouvements produits par la contraction
    des muscles, qui augmentent la dépense dénergie.
  • On distingue donc
  • AP lors des activités professionnelles
  • AP dans la vie courante (transport)
  • AP lors des loisirs dont activités sportives

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SPORT / ACTIVITE PHYSIQUE
  • Le sport est un ensemble d'exercices physiques
    s'exerçant sous forme de jeux individuels ou
    collectifs pouvant donner lieu à des compétitions
  • La pratique sportive apporte beaucoup plus que
    des effets bénéfiques au plan de lorganisme, en
    particulier du plaisir, du bien être sur le plan
    mental et social.

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BÉNÉFICES DE LAP
  • LAP protège la santé. Elle diminue
  • le risque CV
  • le risque dhypertension artérielle
  • le risque de développer certains cancers
  • le risque de diabète de type 2
  • le risque dostéoporose
  • le taux de graisse dans le sang
  • Elle augmente le  bon  cholestérol et permet de
    limiter la prise de poids

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RECOMMANDATIONS
  • En France, les recommandations sur la santé sont
    éditées dans le cadre du Plan National Nutrition
    Santé (PNNS) www.mangerbouger.fr
  • Une recommandation fondamentale concerne
    lactivité physique, qui dit que pour être en
    bonne santé, il faut  a minima 
  • Faire au moins léquivalent de 30mn
  • de marche rapide chaque jour

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MARCHE RAPIDE
  • Exemple type dactivité physique simple,
    accessible à tous et facile à pratiquer au
    quotidien
  • Intensité modérée qui saccompagne dune
    accélération de la respiration à la limite de
    lessoufflement
  • Equivaut en moyenne à une vitesse de 4 à 6 km/h
    en terrain plat

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RECOMMANDATIONS
  • Principe au moins 30 mn chaque jour
  • Il faut pratiquer tous les jours et ne pas se
    donner de limites
  • 30 mn cest bien. Plus cest encore mieux.
  • Minimum 10mn à chaque fois
  • On peut fractionner les 3O mn au maximum en 3
    fois et on peut donc faire 2 fois 15 mn ou 3 fois
    10 mn
  • Le point fondamental est la régularité

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RÉGULARITÉ
  • La régularité est la clef de la réussite. Elle
    est essentielle pour obtenir un bénéfice pour la
    santé
  • La pratique quotidienne est la forme la plus
    efficace cad que marcher 210 mn le WE est moins
    bénéfique que marcher 7x30 mn dans 1 semaine
  • Il faut maintenir un niveau de dépense
    énergétique le plus longtemps possible cad tout
    au long de sa vie
  • Lidéal est de concilier 30 mn chaque jour et une
    activité plus sportive le week end. Le sport est
    le meilleur moyen de ne pas être sédentaire
  • Etre actif cest vital, être sportif cest mieux

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AGIR AU QUOTIDIEN
  • Profiter des déplacements dans la vie quotidienne
    pour augmenter la dépense dénergie
  • Prendre lescalier plutôt que escalator
  • Monter des marches excellent exercice de
    renforcement des muscles des cuisses action
    favorable sur le plan cardiovasculaire
  • Descendre un arrêt plus tôt du bus,
  • Donner la priorité au vélo pour vos déplacements
    quotidiens de préférence au transports en commun

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AUTRE INDICATEUR
  • Une évaluation de la dépense énergétique peut
    aussi être faite en comptant grâce à un podomètre
    le nombre de pas quun sujet fait chaque jour
    dans sa vie quotidienne
  • Les mesures admises par tous sont
  • Inactif - moins de 5000 pas / jour
  • Peu actif de 5000 à 10 000 pas / jour
  • Actifs 10 000 pas / jour
  • Très actifs au moins 12 500 pas / jour
  • Recommandation PNNS
  • 30 mn de marche active 10 000 pas / jour

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EVOLUTION
  • Mais pour être plus efficace il faut structurer
    un entrainement à base dactivités
    cardio-vasculaires, dexercices de force et
    détirements

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AUTRES ACTIVITÉS ?
  • Toutes les activités qui sollicitent le système
    cardiovasculaires sont indiquées pour répondre à
    cette recommandation
  • Toutes activités à base de marche randonnée en
    campagne, moyenne montagne,
  • Toutes les formes de course de lallure lente
    comme jogging, footing, cross jusquau marathon
  • Toutes activités autour du vélo cyclisme sur
    route, VTT, cyclocross,
  • Natation
  • Cardiotraining en salle, fitness,

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BASES DE LENTRAINEMENT CARDIOVASCULAIRE
20
LENTRAÎNEMENT CARDIO-VASCULAIRE
  • Cest un élément fondamental dune bonne hygiène
    de vie, facile à mettre en uvre et accessible à
    tous
  • Son efficacité est quantifiable grâce à des tests
    évaluation et des programmes individualisés
  • Il est fonction de la capacité du sujet à
    transporter de lO2
  • Dans le sport de haut niveau la consommation
    maximale doxygène (VO2) est la référence pour
    apprécier la qualité de lentrainement
    cardiovasculaire
  • Dans le sport pour tous lentrainement est défini
    à partir de la fréquence cardiaque maximale

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FILIÈRES ÉNERGÉTIQUES
  • Lorganisme peut fournir de lénergie au travers
    de 3 filières complémentaires
  • Une Anaérobie alactique
  • Pour les efforts courts et explosifs
  • Une filière anaérobie lactique
  • Pour les efforts intenses
  • Une filière aérobie
  • Pour les efforts longs

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LA VO2 MAX
  • Cest lindicateur fondamental de la cylindrée du
    moteur
  • Elle correspond à la quantité maximale doxygène
    qui est
  • prélevée par l'échangeur pulmonaire
  • transportée par système cardio-vasculaire
  • consommée par l'organisme au niveau des muscles
  • Elle est exprimée en ml / kg / mn
  • Elle est évaluée en laboratoire sous contrôle
    médical par des Tests Maximaux ou sur le terrain
    par des Test Sous maximaux
  • Les valeurs moyennes
  • Sédentaire de 35 à 40ml/mn/kg
  • Sportif HN de 70 à 80 ml / mn / kg

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INTÉRÊT DE LA VO2
  • Les sportifs qui ont les meilleures VO2 sont ceux
    qui pratiquent laviron, les courses longues
    (marathon) le triathlon, les cyclisme, le ski de
    fond, laviron,
  • La VO2 donne une idée précise du potentiel
    cardiovasculaire du sujet et de sa capacité à
    produire des efforts
  • Chez les sportifs de haut niveau elle a une
    valeur prédictive et danalyse de la performance
  • Elle fournit des indicateurs précis pour
    lentraînement
  • La Vitesse Maximale Aérobie ( km/h )
  • Puissance Maximale Aérobie ( Watt )

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RELATION VO2 / FC
  • Le calcul de la VO2 sapplique essentiellement
    aux sportifs de haut niveau
  • Heureusement, il existe une relation directe
    entre la fréquence cardiaque à leffort et la VO2
    Max utilisé à l effort qui permet de déduire le
    VO2 à partir dune fréquence cardiaque
  • Cest cet indicateur qui est utilisé dans le
    sport pour tous

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LA FRÉQUENCE CARDIAQUE
  • Cest lindicateur de terrain par excellence pour
    quantifier lentraînement cardio-vasculaire chez
    la grande majorité des sportifs
  • On utilise 2 types de repères
  • La Fréquence Cardiaque Maximale FCM
  • Les Fréquences dEntrainement que lon détermine
    à partir de la FCM

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FREQUENCE CARDIAQUE
  • Repère fréquence cardiaque
  • Prendre le pouls au niveau du poignet ou
    directement sur le grill costal
  • Utiliser un cardiofréquencemètre
  • Capteur de la fréquence cardiaque transmise à
    une montre au poignet

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LA FRÉQUENCE CARDIAQUE MAXIMALE
  • La Fréquence Cardiaque Maximale FCM
  • Cest la valeur maximale deffort pour le sujet
  • Elle peut être évaluée directement en laboratoire
    sous contrôle médical
  • Elle peut aussi être calculée simplement par tous
    les sportifs grâce à la formule
  • 220 âge

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LES FRÉQUENCES DENTRAINEMENT
  • A partir de la FCM on peut déterminer des zones
    deffort plus ou moins intenses qui
  • Zone 1 65 à 75 de FCM
  • Cest la zone aérobie pure, celle de lendurance
    fondamentale
  • Elle est facile et se fait en équilibre
    respiratoire
  • Zone 2 75 à 85 de FCM
  • Cest capacité dendurance active, la plus
    utilisée
  • Elle est intermédiaire et augmente la tolérance a
    leffort
  • Zone 3 85 à 100 de FCM
  • Cest la zone la plus dure, celle de la
    résistance dure
  • Cest elle qui permet daugmenter la cylindrée du
    moteur

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Les fréquences dentrainement
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CUR ET ACTIVITE SPORTIVE
  • Les 10 règles dor
  • Recommandations édictées par
  • le Club des Cardiologues du Sport
  • www.clubcardiosport.com
  • Absolument, pas nimporte comment

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CUR ET ACTIVITE SPORTIVE
  • 1/ Je respecte toujours un échauffement et une
    récupération de 10 min lors de mes activités
    sportives
  • Voir échauffement
  • 2/ Je bois 3 à 4 gorgées deau toutes les 30 min
    dexercice à lentraînement comme en compétition
  • Voir hydratation

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CUR ET ACTIVITE SPORTIVE
  • 3/ Jévite les activités intenses par des
    températures extérieures lt 5 ou gt 30
  • 4/ Je ne fume jamais 1 heure avant ni 2 heures
    après une pratique sportive
  • 5/ Je ne prends pas de douche froide dans les 15
    min qui suivent leffort
  • 6/ Je ne fais pas de sport intense si jai de la
    fièvre, ni dans les 8 jours qui suivent un
    épisode grippal (fièvre courbatures)

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CUR ET ACTIVITE SPORTIVE
  • 7/ Je pratique un bilan médical avant de
    reprendre une activité sportive intense si jai
    plus de 35 ans pour les hommes et 45 ans pour les
    femmes
  • 8/ Je signale à mon médecin toute douleur dans la
    poitrine ou essoufflement anormal survenant à
    leffort
  • 9/ Je signale à mon médecin toute palpitation
    cardiaque survenant à leffort ou juste après
    leffort
  • 10/ Je signale à mon médecin tout malaise
    survenant à leffort ou juste après leffort
  • Quels que soient mon âge, mes niveaux
    dentraînement et de performance, ou les
    résultats dun précédent bilan cardiologique

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CONCLUSION / APS
  • Pour être en bonne santé tout au long de sa vie,
    la norme établie en matière de dépense
    énergétique quotidienne est 30 mn dactivité
    dintensité modérée par jour.
  • Les AP et le sport nous offrent une multitude de
    moyens daller au-delà et de prendre du plaisir
    ne vous en privez pas.
  • La combinaison 30mn par jour une activité
    sportive régulière nous semble être la solution
    idéale

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BASES DE LALIMENTATION
  • REGULER LES APPORTS ENERGETIQUES

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LA RATION ALIMENTAIRE
  • Cest la quantité et le type d'aliments qu'une
    personne doit consommer par jour pour subvenir
    aux besoins de son corps
  • Mesurée en calories, elle couvre les besoins
    énergétiques du métabolisme de base, la
    thermorégulation, la digestion, les dépenses liée
    à lactivité physique quotidienne du sujet
  • Les valeurs de base pour un sujet de 20 à 40 ans
  • - 2700 cal pour homme
  • - 2200 cal pour femme

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(No Transcript)
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GLUCIDES
  • Représentent 55 de apport énergétique total
  • Divisés en 2 catégories
  • - glucides simples le sucre traditionnel et le
    sucre contenu dans les gâteaux ou les sodas. Ce
    sont eux qui donnent aux aliments le goût sucré
  • - glucides complexes les féculents  pommes de
    terre, les produits céréaliers pain, pâtes,
    riz, blé - et les légumes secs.

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GLUCIDES
  • Les glucides simples apportent de lénergie
    rapidement, mais pour moins longtemps que les
    glucides complexes.
  • Les glucides complexes assurent une diffusion
    plus lente de lénergie. Cest pour ça que les
    sportifs en consomment. Ils aident bien souvent à
    retarder le retour de la faim
  • Pour être en forme, il est recommandé de
    consommer les glucides  complexes  à chaque
    repas et de limiter la consommation de sucreries.

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LIPIDES
  • Ce sont les graisses de lorganisme
  • Ils représentent 30 à 35 de apport énergétique
    total
  • Ils ont stockées dans tissu adipeux
  • 2 types de lipides
  • ceux qui sont visibles et donc faciles à
    contrôler lhuile, le beurre,
  • ceux qui sont cachées et contenus dans les
    charcuteries, les fromages, les plats cuisinés,
    les sauces, les pâtisseries.

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LIPIDES
  • Les graisses dorigine animale, riches en acides
    gras dits  saturés  contenues dans les
    viennoiseries, les pâtisseries, les charcuteries,
    les rillettes, le saucisson, le beurre, la
    margarine, la crème fraîche et les fromages.
  • Ce sont elles qui contribuent à laugmentation de
    la quantité de mauvais cholestérol dans le sang
    et sont reconnues comme facteurs de risque
    cardiovasculaire 

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LIPIDES
  • Les graisses dorigine végétale, riches en acides
    gras dits  insaturés  qui réduisent la quantité
    de mauvais cholestérol présent dans le sang
  • Les graisses dorigine végétale ont des qualités
    plus intéressantes pour la santé mais sont aussi
    des matières grasses à consommer avec modération !

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PROTIDES
  • Sont le matériel de construction de organisme
    (muscle) formés dun assemblage dacides aminés
  • Représentent 15 de lapport énergétique total
  • Chez un sédentaire il faut apporter 1,5 gr de
    protéines par kg de poids / par jour
  • La structure chimique des protéines comprend des
    acides aminés dont huit sont appelés essentiels
    car notre organisme ne sachant pas les fabriquer,
    ils doivent être obligatoirement fournis par
    l'alimentation

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PROTIDES
  • L'origine des protéines est animale et végétale.
    - les protéines végétales les céréales ( blé,
    froment), les féculents (pâtes, riz, lentilles,
    haricots) légumes secs, soja. - les protéines
    animales les produits lactés, les viandes, les
    poissons et fruits de mer, l'oeuf. Les protéines
    d'origine animale ont une meilleure valeur
    biologique que les protéines d'origine végétale
    souvent carencées d'un ou plusieurs de ces acides
    aminés fondamentaux. Il est donc souhaitable
    d'associer aux protéines végétales des protéines
    animales.

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PROTIDES
  • Les protides sont nécessaires pour la croissance
    et l'élaboration de l'os, de la peau et des
    membranes des cellules
  • Ils sont surtout le constituant fondamental
    indispensable au développement de la masse
    musculaire
  • Le développement musculaire ne peut se faire
    quavec un bon pourcentage de protéines dans la
    ration alimentaire

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VITAMINES
  • Les vitamines sont des substances organiques qui
    n'apportent pas d'énergie mais qui sont
    indispensables au bon fonctionnement de
    l'organisme.
  • Elles participent à de nombreux échanges vitaux
  • Lorganisme nétant pas capable de les
    synthétiser, ou en quantité insuffisante, elles
    doivent être apportées régulièrement et en
    quantité suffisante par l'alimentation
  • On distingue les vitamines
  • hydrosolubles (solubles dans leau) A,D,E et K
  • liposolubles (solubles dans les graisses) B et
    C

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VITAMINES
  • Les vitamines sont présentes dans une
    alimentation équilibrée. Parmi les plus
    importantes citons
  • La Vitamine A ( rétinol ) qui favorise la
    croissance
  • Le groupe des vitamines B qui ont une action
    importante dans tous les métabolismes de
    lorganisme humain
  • La vitamine C lacide ascorbique, qui joue un
    rôle important dans la stimulation des défenses
    immunitaires. Quand elle est absorbée en dose
    excessive, elle est éliminée par les reins.

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LEAU
  • Leau est le principal constituant du corps
    humain
  • La quantité moyenne deau contenue dans un
    organisme adulte est de 65 , ce qui correspond à
    environ 45 litres deau pour une personne de 70
    kilogrammes
  • La teneur totale en eau du corps humain diminue
    avec les années, car plus les tissus
    vieillissent, plus ils se déshydratent
  • À lintérieur de lorganisme, leau nest pas
    répartie uniformément, sa concentration varie
    dun organe à lautre, elle est de 90 dans le
    plasma sanguin et les organes les plus riches en
    eau sont le cur et le cerveau.

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LEAU
  • Le corps humain élimine en permanence de leau
    via les excrétions (lurine), la respiration, et
    surtout la transpiration.
  • Les quantités deau ainsi perdues varient en
    fonction des conditions atmosphériques et des
    activités plus la chaleur et/ou lactivité
    physique sont importantes, plus la transpiration
    est abondante.
  • La quantité globale deau nécessaire à un adulte
    de taille moyenne, vivant en région tempérée et
    ne fournissant pas deffort physique particulier,
    est denviron 2,5 litres par jour dont environ 1
    litre est apporté par les aliments et 1,5 litre
    par les boissons.

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LEAU
  • La soif est un mécanisme par lequel lorganisme "
    avertit " quil est en état de déshydratation et
    cest pourquoi il nest pas bon dattendre
    davoir soif pour boire.
  • Sans apport deau daucune sorte, il ne peut
    vivre plus de deux ou trois jours. Sil boit sans
    manger, il peut survivre environ quarante jours,
    à condition de ne fournir aucun effort.

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LEAU
  • La plus grande part de toute leau de lorganisme
    siège à lintérieur des cellules et dans le sang.
    Elle circule en permanence dans tout lorganisme.
  • Outre ce rôle de constituant essentiel des
    cellules, leau remplit plusieurs fonctions
    fondamentales - elle participe à de nombreuses
    réactions chimiques du corps humain - elle
    permet lélimination des déchets métaboliques -
    elle aide au maintien dune température constante
    à lintérieur du corps

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LEAU
  • Leau est éliminée de diverses manières - les
    reins filtrent le sang ils éliminent par
    lurine un certain nombre de déchets métaboliques
  • - chaque expiration, les poumons rejettent de
    lair qui contient de la vapeur deau- les
    glandes sudoripares situées dans la peau
    produisent la sueur. Celle-ci augmente lorsquil
    fait chaud, car la sueur, qui produit du froid en
    sévaporant, permet de réguler la température
    corporelle

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HYDRATATION et APS
  • Il faut boire avant davoir soif.
  • Il faut boire régulièrement et par petites
    quantités avant, pendant et après leffort
  • Il faut boire dautant plus que la température
    est élevée
  • Par heure dexercice, il faut
  • En hiver 1l deau
  • En été 1,5 l deau

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RECOMMANDATIONS PNNS
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EQUILIBRE ENERGETIQUE
  • Léquilibre entre les apports (alimentation) et
    les dépenses énergétiques (vie quotidienne APS)
    de lorganisme est nécessaire pour avoir un poids
    stable et éviter le surpoids et lobésité qui
    sont des facteurs de risque pour la santé
  • Lindicateur le plus utilisé comme référence de
    poids est lIndice de Masse Corporelle IMC ou
    Body Mass Index (BMI)

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IMC
  • L'indice de masse de corporelle est un outil
    inventé par les médecins et utilisé par lOMS
    pour évaluer les risques pour la santé liés au
    surpoids. Il prend en compte le poids et la
    taille du sujet.
  • LIMC est une méthode fiable pour les adultes de
    20 à 65 ans, mais ne peut pas être utilisée telle
    quelle pour les femmes enceintes ou qui
    allaitent, les athlètes d'endurance ou les
    personnes très musclées.

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IMC
  • Calculer son indice de masse corporelle (IMC)
    permet de chiffrer un excès ou une insuffisance
    de poids. Le résultat permet de connaître le
    nombre de kilos à perdre ou à gagner pour une
    santé optimale. Il s'agit toutefois d'un outil
    incomplet puisqu'il ne tient pas compte de la
    masse musculaire, de l'ossature et de la
    répartition des graisses.

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IMC
  • Cet indice est surtout utile pour mettre en
    évidence l'augmentation des facteurs de risques.
    Il n'a pas vocation à déterminer précisément la
    valeur de la masse grasse et encore moins de la
    masse musculaire et osseuse.
  • L'IMC est corrélé avec une hausse de la mortalité
    toutes causes confondues, mais on constate
    particulièrement une hausse des décès dus aux
    maladies cardio-vasculaires, aux cancers, au
    diabète, aux accidents au fur et à mesure de
    l'augmentation de l'IMC.

59
(No Transcript)
60
VALEURS IMC
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IMC
  • Il est important de garder à l'esprit que l'IMC
    n'est qu'un indicateur, non pas une donnée
    absolue. Du fait de leur masse musculaire,
    certains sportifs ont un indice de masse
    corporelle supérieur à 25 kg/m², sans qu'ils
    encourent de danger.
  • De plus, selon la morphologie d'une personne, son
    IMC de bonne forme varie. Une personne peut être
    trapue sans être grasse et une autre peut être
    longiligne mais avoir une masse graisseuse trop
    importante.

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LES BLESSURES DU SPORTIF
  • Dans la pratique sportive on rencontre 2 grands
    types de blessures
  • Celles qui surviennent lors dun choc ou un
    accident les traumatismes
  • Celles qui sont liées à la répétition du geste et
    la quantité dentrainement les
    microtraumatismes

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LES TRAUMATISMES
  • Ces blessures sont liées à un choc, à une chute,
    un mouvement forcé,
  • Elles concernent donc essentiellement les sports
    dans lesquels les chocs sont fréquents et souvent
    violents comme les sports de combat ou le rugby
  • Ceux dans lesquels les gestes réalisés à grande
    vitesse comme le ski
  • Mais peuvent aussi survenir sur des mouvements
    anodins comme les entorses de cheville lors dun
    simple mouvement de torsion

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LES TRAUMATISMES
  • Ces accidents peuvent survenir
  • Sur les os ce sont les fractures.
  • Sur des articulations des luxations et des
    entorses
  • Sur les muscles des hématomes et des déchirures

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LA FRACTURE
  • La fracture est une rupture de la continuité de
    los qui peut prendre des formes plus ou moins
    graves
  • De la fracture simple sans déplacement à la
    fracture avec déplacement ou plus grave encore
    avec éclatement osseux.
  • Les fractures sont liées à
  • un choc direct
  • Rupture à lendroit de limpact
  • ou un choc indirect.
  • Rupture à distance du point dimpact

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TRAITEMENT DES FRACTURES
  • Long de 45 jours minimum à 90 jours selon la
    localisation et le type de fracture
  • En fonction de la gravité de la fracture
  • Traitement orthopédique
  • le médecin va immobiliser le membre concerné avec
    un plâtre ou une attelle.
  • Traitement chirurgical
  • si les dégâts osseux sont plus graves il va
    procéder à une intervention chirurgicale pour
    réduire la fracture

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CONDUITE À TENIR
  • - Prévenir les secours.
  • - Eviter aggravation
  • sécuriser
  • stopper une hémorragie, immobiliser le foyer
    de fracture.
  • - Ne pas donner à boire ou à manger.
  • - Ne pas tenter de réduire la fracture.
  • - Surveiller état de conscience
  • - Surveiller la ventilation du sujet.

68
TRAUMATISMES ARTICULAIRES
  • Selon la gravité du traumatisme on rencontre 2
    types de blessures au niveau des articulations
  • ENTORSE il y a perte de contact momentanée des
    surfaces articulaires. Mais elles restent en
    position anatomique.
  • LUXATION il y a perte contact fixée des
    surfaces articulaires. Dans ce cas là, elles ne
    retrouvent pas la position anatomique.

69
LENTORSE
  • Il y a perte de contact momentanée des surfaces
    articulaires suite à
  • un mouvement inadapté
  • un mouvement forcé
  • un choc
  • La gravité de lentorse est proportionnelle au
    pourcentage de fibres ligamentaires qui ont été
    rompues dans laccident
  • On lapprécie à partir de 3 indicateurs
  • La douleur
  • Limportance de lhématome
  • Limpotence fonctionnelle

70
LENTORSE
  • Elle concerne essentiellement 3 articulations
  • Cheville cest lentorse la plus fréquente
  • Genou survient quand le pied se bloque au sol
    et que le haut du corps est entraîné dans un
    mouvement de rotation
  • Acromio claviculaire survient souvent lors dun
    choc sur lépaule

71
ENTORSE CHEVILLE
  • Entorse externe est lentorse la plus fréquente.
    Elle représente 90 des entorses
  • Survient lors dun mouvement de torsion forcée et
    que le pied sest tordu sur lui-même
  • Elles est souvent accompagnée dun hématome

72
CONDUITE À TENIR
  • Immédiatement appliquer le protocole GREC
  • En fonction de la gravité traitement médical et
    rééducation avec kinésithérapeute

73
PROTOCOLE GREC
  • Glace.
  • On pose de la glace dés que possible sur
    larticulation pour limiter ldème
  • Ce glaçage est fondamental pour la qualité du
    traitement qui va suivre
  • Repos.
  • On met larticulation au repos pour éviter une
    aggravation de lentorse
  • Elévation.
  • On élève le membre concerné pour drainer
    lhématome
  • Compression.
  • On fait une compression pour limiter lafflux
    sanguin au niveau de la zone traumatisée

74
LA LUXATION
  • Cest un traumatisme beaucoup plus grave
  • La déformation est visible et palpable
  • On trouve souvent des lésions associées
    ligaments, tendons, muscles, vasculaires et
    neurologiques voir osseuses.
  • Les douleurs peuvent provoquer une syncope
  • Il y a une impotence fonctionnelle
  • Le traitement sera orthopédique et chirurgical

75
CONDUITE À TENIR
  • - Prévenir les secours.
  • - Eviter aggravation
  • sécuriser
  • stopper une hémorragie, immobiliser le foyer
    de fracture.
  • - Ne pas donner à boire ou à manger.
  • - Ne pas tenter de réduire la luxation
  • - Surveiller état de conscience
  • - Surveiller la ventilation du sujet.

76
ATTENTION
  • Une entorse de la cheville nest pas un accident
    anodin il ne faut jamais la négliger
  • La phase de glaçage est fondamentale dans la
    perspective de la rééducation. Elle qui va
    faciliter la suite du traitement.
  • Il est conseillé de faire un examen médical pour
    la traiter immédiatement et éviter toute
    aggravation.
  • Il faut respecter les délais prescrits pas le
    médecin pour éviter une instabilité qui va
    handicaper le sujet dans sa pratique sportive
    voire dans sa vie quotidienne.

77
LE GENOU
  • Articulation très sollicitée et très exposée en
    pratique sportive
  • La stabilité du genou repose sur lintégrité des
    ligaments latéraux et des ligaments croisés qui
    maintiennent larticulation en place

78
TRAUMATISMES DU GENOU
  • Ce sont des traumatismes qui surviennent le plus
    souvent sur un mouvement en flexion et rotation
    de larticulation une cheville est bloquée au
    sol et le buste qui pivote ou sur un choc
  • On rencontre 2 lésions
  • Lentorse des ligaments latéraux cest la moins
    grave
  • Une atteinte des ligaments croisés qui peut aller
    jusquà la rupture. Cest la blessure la plus
    grave

79
RUPTURE DU LIGAMENT CROISÉ ANTÉRIEUR
  • Accident grave ne survenant pas exclusivement
    dans un contexte brutal
  • Traumatisme ou mouvement forcé en hyper flexion
    ou hyper rotation du genou.
  • 2 signes fondamentaux
  • Sensation de genou qui se dérobe
  • Craquement

80
CONDUITE À TENIR
  • Entorse simple protocole GREC
  • Entorse grave ou rupture
  • prévenir les secours
  • éviter aggravation sécuriser et immobiliser
  • Surveiller létat de conscience du sujet, la
    ventilation, la circulation.

81
TRAITEMENT
  • Entorse simple des ligaments latéraux
  • Protocole GREC Traitement médical
    Kinésithérapie
  • Rupture du ligament croisé
  • Traitement chirurgical pour remplacer le ligament
    rompu par un greffon
  • Rééducation par un kinésithérapeute à base de
    renforcement musculaire, détirements et
    dexercices de proprioception
  • Il faut un délai de 6 mois avant de reprendre
    lactivité sportive et 1 an avant de retrouver le
    niveau de départ

82
CRAMPE
  • Cest une contraction violente et douloureuse
    dun muscle souvent
  • Elle est souvent liée à la fatigue
  • Traitement
  • étirement passif il faut essayer détirer
    progressivement le muscle dans le sens opposé à
    la contraction
  • massage doux pour détendre le muscle
  • hydratation

83
COURBATURE - CONTRACTURE
  • COURBATURE - CONTRACTURE
  • Contraction exagérée et prolongée dun muscle
    pendant plusieurs jours
  • Survient quand on sollicite les muscles de façon
    excessive et dans un contexte de fatigue
  • Traitement
  • Appliquer de la chaleur
  • Faire des étirements passifs
  • Masser pour détendre le muscle
  • Hydratation

84
ACCIDENTS MUSCULAIRES
  • Les lésions du muscle présentent plusieurs
    niveaux de gravité
  • Lélongation est simplement un étirement excessif
    au-delà de ses possibilités physiologiques qui
    survient dans un contexte de fatigue ou à cause
    dun échauffement insuffisant
  • La déchirure est une rupture de quelques fibres
    musculaires qui survient lors dune contraction
    violente, dans un contexte de fatigue et/ou à
    cause dun échauffement insuffisant
  • La rupture est un stade plus avancé, qui se
    caractérise par la déchirure totale de plusieurs
    faisceaux musculaires et survient dans un
    contexte deffort violent

85
TRAITEMENT
  • Il sera fonction de la gravité de latteinte
  • Pour lélongation
  • Repos 10 à 15 jours Contention
  • Pour la déchirure
  • Repos 30 jours glaçage
  • Mise en déclive du segment et contention
  • Pour la rupture
  • Arrêt de lactivité 45 à 60 jours
  • Immobiliser le segment
  • Traitement chirurgical

86
HEMATOME
  • Poche sanguine provenant de lécrasement ou de la
    rupture des capillaires suite à un choc direct
    sur le corps du muscle
  • Traitement
  • application de froid le plus rapidement possible
    à lapparition de lhématome, pour limiter
    lafflux sanguin
  • compression sur le point dimpact avec un bandage
  • suivi médical
  • ne jamais masser car cette action va à
    lencontre des précédentes en créant un afflux de
    sang sur la zone traumatisée
  • ne jamais appliquer de chaleur non plus car
    elle accentue le flux sanguin sur la zone
    traumatisée

87
MICROTRAUMATISMES
  • Les microtraumatismes sont des phénomènes dusure
    liés à la répétition du geste sportif.
  • Ils sont le dénominateur commun de nombreux
    sports puisque la répétition du mouvement est la
    base de lentrainement sportif
  • Ils concernent essentiellement les tendon qui
    sont particulièrement sollicités dans tous les
    mouvements. Linflammation des tendons les
    tendinites (ou tendinopathies) est le
    microtraumatisme le plus fréquent

88
TENDINITE
  • Douleur inflammatoire du tendon liée à la
    répétition du geste sportif et aux contraintes
    mécaniques exercées sur le tendon
  • Pathologie très problématique en pratique
    sportive car longue à guérir
  • Les tendinites sont localisées sur les tendons
    les utilisés dans la pratique sportive tendon
    dAchille, genou, coude (tennis elbow) épaule

89
TRAITEMENT DES TENDINITES
  • Le premier traitement est la mise au repos du
    tendon. Il y a arrêt de lactivité tant que le
    tendon est douloureux
  • Application de glace pour diminuer linflammation
    du tendon.
  • Traitement médical va essentiellement traiter la
    douleur (antalgiques)
  • Kinésithérapie

90
TRAITEMENT DES TENDINITES
  • En kinésithérapie, il est à base de
  • massages
  • étirements spécifiques
  • renforcement musculaire excentrique
  • En cas déchec on aura recours au traitement
    chirurgical.

91
PREVENTION
  • Une prévention commune des accidents traumatiques
    et micro traumatiques repose sur 4 points
    fondamentaux
  • Hydratation
  • Etirements
  • Échauffement
  • Renforcement musculaire

92
ÉTIREMENTS
  • Les étirements sont un élément fondamental de
    prévention et de rééducation de nombreuses
    pathologies micro traumatiques et traumatique
  • Pour être efficace ? il faut sétirer
    régulièrement  Peu et souvent est mieux
    que beaucoup de temps en temps 

93
ÉTIREMENTS
  • Les étirements sont recommandés systématiquement
    avant et après un effort
  • En phase déchauffement
  • Etirements actifs
  • courts (6 à 10 secondes)
  • alternés avec exercices de course ou répétition
    du geste
  • exécutés en position debout
  • En phase de récupération
  • Etirements passifs
  • plus longs10 à 30 secondes par groupe musculaire
  • souvent exécutés assis ou allongés

94
ÉTIREMENTS
  • Pour faire des étirements de bonne qualité il y a
    quelques règles à respecter
  • Faire une mise sous tension progressive, sans
    à-coups ou de temps de ressort
  • Faire un relâchement progressif en fin dexercice
  • Être rigoureux sur le positionnement pendant
    lexercice
  • Ressentir la mise sous tension du muscle mais ne
    faut pas éprouver de sensation de douleur
  • Ne pas bloquer la respiration souffler sur la
    position détirement et inspirer sur le retour

95
ÉCHAUFFEMENT
  • Il est important de toujours réaliser un
    échauffement lent et progressif pour
  • augmenter progressivement la température du corps
    ce qui amélioration la coordination et la vitesse
    des mouvements
  • augmenter le rythme cardiaque, l'afflux sanguin
    et la dilatation des vaisseaux, ce qui amène plus
    de sang, donc plus d'oxygène aux muscles
  • lubrifier les articulations, ce qui est
    déterminant dans la prévention des blessures
    articulaires.

96
ÉCHAUFFEMENT
  • Plus le sujet est âgé ou sédentaire plus
    léchauffement doit être long et progressif
  • ATTENTION pour bien séchauffer, il faut
    toujours tenir compte des facteurs climatiques
  • la chaleur
  • Elle a tendance à limiter léchauffement
  • Il ne faut pas confondre  avoir chaud  et
     être échauffé 
  • le froid
  • Il fragilise le muscle, le tendon et les
    ligaments
  • En cas de froid, il faut faire un échauffement
    plus long et rester  chaud  (couvert mobile)
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