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Diapositive 1

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Approches r sultant des recommandations du comit de B le 2 ... Objectif : Assurer que les banques appliquent des proc dures internes saines et ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Diapositive 1


1
Quantification des risques dans le secteur
bancaire Approches résultant des recommandations
du comité de Bâle 2
Richard Mekouar - CSC Peat Marwick
Strasbourg 2003
2
Sommaire
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Contexte et définitions ? Approche des risques
opérationnels ? Gestion des risques de crédit
? Gestion des risques de marché ? Impacts en
terme dorganisation et dapproche
méthodologique Quelles applications dans
les autres secteurs ?
3
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Contexte et définition
4
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Contexte et définition
  • Le comité de Bâle sur le contrôle bancaire, fondé
    en 1975 par les gouverneurs des banques centrales
    des pays du G-10, a institué un premier ratio de
    solvabilité appelé  ratio Cooke  en 1988.
  • Ce ratio requiert des banques quelles détiennent
    suffisamment de Fonds Propres en proportion du
    risque généré par leur portefeuille tel que
  • (Fonds Propres Quasi Fonds Propres) / total
    des engagements pondérés gt 8
  • Fonds Propres / total des engagements pondérés gt
    4

5
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Contexte et définition
  • Au fil des années, cette version du ratio a
    montré quelques limites
  • Obsolescence des pondérations
  • Mauvaise prise en compte des risques souverains
    démontrée par les récentes crises de certains
    pays émergents
  • Non prise en compte de certains risques
    (opérationnel).
  • entraînant lengagement de discussions en 1999
    qui ont abouti au nouvel accord de Bâle
    instaurant un nouveau ratio de solvabilité, le
    ratio  Mac Donough   en janvier 2001.
  • Celui-ci devra remplacer le ratio Cooke à
    lhorizon 2006-2007.

6
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Contexte et définition
  • Les exigences de Bâle 2 concernent
  • Les Banques,
  • Les Sociétés de gestion d'actifs,
  • Les OPCVM,
  • Les Sociétés de Factoring,
  • Les Sociétés de Leasing.

7
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Calendrier
1ère version de laccord de Bâle II
Version finale Ratio Mc Donough
Abandon du ratio Cooke
Ratio Cooke
2006
2005
2004
2003
2002
2001
2000
1999
1988
2007
Nouveau cycle de consultation
1ère application Ratio Mc Donough
Directive européenne
8
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Contexte et définitions
Risques de plus en plus complexes et
diversifiés Qui concernent toutes les activités
de la Banque Préoccupation du Comité de Bâle
Sophistication des produits
Sophistication des process
Globalisation
9
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Contexte et définitions
Élargir et renforcer le champs
d investigation jusqualors concentré sur les
risques de contrepartie et les risques de marché
Risque Incertitude sur la valeur future
d une donnée actuelle
10
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Le
ratio de Mac Donough
  • Le nouveau dispositif est destiné à
  • Mieux évaluer le niveau de Fonds Propres requis
    pour chaque établissement afin de couvrir
    lensemble des risques générés par son activité
  • Mettre en place une surveillance chargée de
    sassurer de la validité du processus
    dévaluation des risques
  • Promouvoir une meilleure transparence dans la
    politique de communication des banques vis à vis
    des marchés concernant leur profil de risque et
    leur politique de couverture.

11
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Les
risques considérés
  • Le nouvel accord de Bâle prend en compte les 3
    grands types de risques auxquels sont confrontés
    les établissements bancaires
  • Le risque de crédit, déjà pris en compte dans le
    ratio Cooke, correspond au risque de défaut de la
    contrepartie à laquelle un prêt a été accordé
  • Le risque de marché, pris en compte par les
    réglementations postérieures au ratio Cooke,
    couvre dans le cadre des opérations de marché
  • Le risque de taux
  • Le risque de change
  • Le risque de règlement-livraison
  • Le risque de variation des prix dactions.
  • Le risque opérationnel, constituant lune des
    principales novations du nouvel accord,
    correspond au risque inhérent à un défaut de
    procédure, de personne, de systèmes
    dinformations ou dû à un élément extérieur
    pouvant entraîner une perte ou un déficit dimage.

12
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? La
structure de laccord
FP Fonds Propres
13
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Pilier
1 exigence minimale de fonds propres
  • Question  pour une banque, quelle est la
    problématique qui justifie, de toutes façons, le
    changement de règle de calcul du besoin en Fonds
    Propres ?
  • Le recul et lexpérience pris sur lobservation
    de lensemble de la clientèle montre une forte
    disparité des comportements, qui prouve que
    lapplication du simple forfait réglementaire
    (Ratio Cooke) nest plus assez discriminant
  • Le mode de calcul actuel entraîne la pénalisation
    des établissements qui sont positionnés sur des
    marchés sains et la mise en risque des
    établissements exposés sur des marchés plus
    risqués 
  • La spécificité des établissements  chaque
    établissement présente un portefeuille
    spécifique, qui dans la plupart des cas nécessite
    une approche particulière et adaptée.
  • Objectif  ? Assurer que la mesure du besoin en
    Fonds Propres dun établissement soit limage
    fidèle du niveau de risque porté par son propre
    portefeuille.

14
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Pilier
2 processus de surveillance prudentielle
  • Objectif ? Assurer que les banques appliquent
    des procédures internes saines et efficaces afin
    de déterminer ladéquation de leurs Fonds Propres
    sur la base dune évaluation approfondie des
    risques encourus.
  • Il incombera aux autorités de contrôle de juger
    si les banques parviennent à bien évaluer leurs
    besoins en Fonds Propres par rapport aux risques
    et notamment si elles apprécient correctement la
    relation entre les différents types de risques.
  • Pour ce faire, les autorités de contrôle devront
    sappuyer sur leur connaissance des meilleurs
    pratiques en vigueur.
  • Ce processus doit sappuyer sur 4 principes
  • Les banques doivent disposer dun processus
    dévaluation du niveau global des Fonds Propres
    et dune stratégie permettant de maintenir ce
    niveau
  • Les autorités de contrôle sont chargées de
    vérifier et dévaluer ce processus
  • Les autorités de contrôle doivent attendre des
    banques quelles maintiennent des Fonds Propres
    supérieurs aux ratios réglementaires
  • Les autorités de contrôle doivent exiger
    ladoption rapide de mesures correctives si les 3
    premiers principes ne sont pas respectés.

15
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Pilier
3 surveillance de marché
  • Objectif ? Améliorer la transparence financière
    des banques ainsi que leur communication
    financière et permettre aux investisseurs de
    connaître leurs profils de risque, la gestion et
    la couverture de ces risques.
  • Ces exigences devraient permettre de promouvoir
    la solidité des banques et des systèmes
    financiers.
  • La communication des établissements devra couvrir
    les 3 domaines suivants sur, au minimum, une
    fréquence annuelle
  • Le montant et la structure des Capitaux Propres
    ainsi que les méthodes de valorisation des
    éléments de son bilan
  • Une analyse détaillée de lexposition de
    létablissement en termes qualitatifs et
    quantitatifs, ainsi que la stratégie de gestion
    des risques
  • Le montant des Fonds Propres et leur adéquation
    avec le niveau de risque de létablissement ainsi
    que leur allocation par activité.
  • Les autorités de contrôle sassureront de la mise
    en place de mesures correctives en cas de
    manquement.

16
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
L approche  Mac Donough 
PILIER 3 DISCIPLINE DU MARCHE
PILIER 2 CHAMP D'ACTION DES AUTORITES SUPERIEURES
DE LA BANQUE
  • Approche indicateur de base
  • Approche standardisée
  • Approche par mesure interne
  • Mise en place dun cadre organisationnel propre à
    la banque
  • Mise en place de process
  • Vérification de lefficacité du management des
    risques opérationnels de la banque
  • Suivi des systèmes de la banque et de la qualité
    des données afférents à la surveillance et au
    reporting des risques opérationnels
  • Mise en place de procédures
  • Suivi des actions menées
  • 2 POSTULATS
  • La délivrance d'une information récurrente et
    pertinente sur la structure du capital et
    l'exposition aux risques de la banque est
    attendue
  • Une plus grande transparence et une pression
    accrue sur le marché encourageront les banques à
    mieux gérer leurs risques.

Objectif année 2005
17
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Comparaison Ratio de Cooke / Ratio de Mac Donough
Ratio Cooke
Ratio Mc Donough
Périmètre de Contrôle
  • Calcul du besoin en Fonds Propres
  • Contrôle du processus interne
  • Transparence financière
  • Risque crédit
  • Risque de marché
  • Risque opérationnel
  • Pondération forfaitaire
  • Ou méthodes de calcul interne
  • Catégories dactifs plus fines
  • Calcul du besoin en Fonds Propres
  • Risque crédit
  • Risque de marché
  • Pondération forfaitaire
  • 3 grandes catégories dactifs

Périmètre de Risques
Mesure du risque
Spécificité / Précision
Flexibilité
18
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
19
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
  • Définition du risque opérationnel
  • Selon le Comité de Bâle, cest le risque de
    pertes directes ou indirectes, dune inadéquation
    ou dune défaillance attribuable à
  • des organisations
  • des procédures
  • des personnes
  • des systèmes internes
  • des événements extérieurs

20
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
  • Néanmoins, des définitions multiples ont
    également été proposées
  • Définition négative ni risque de crédit, ni
    risque de marché, ni risque de taux dintérêt
    global
  • Définition plus restrictive issue du règlement
    97-02 risque résultant dune insuffisance
    de conception, dorganisation et de mise en
    uvre des procédures denregistrement dans les
    systèmes comptables et plus globalement dans les
    systèmes dinformation
  • Définition positive intégralité des risques
    émanant de la non qualité
  • Une présentation selon les 5 catégories de
    risques
  • organisationnels
  • de process
  • humains
  • technologiques
  • prise en compte de facteurs externes.

Un consensus émerge à ce jour autour de la
définition de Bâle néanmoins cette définition a
nécessité une adaptation à la problématique de
chaque Banque.
21
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
  • Afin de préciser la démarche, le comité de Bâle a
    établit une liste d'évènements de risques
    opérationnels.
  • Ces évènements de risque sont notamment
  • Les fraudes internes ou externes,
  • Les risques qui touchent aux relations clients,
    les pratiques autour des services et des
    produits, qui peuvent conduire à des
    contestations et à des pertes,
  • Les problèmes liés à la gestion du personnel,
  • Les dommages qui pourraient toucher les actifs
    physiques,
  • L'interruption totale ou partielle des systèmes
    ou des processus,
  • La mauvaise exécution de certains processus
    qu'ils soient internes ou externe à la banque,
    comme une transaction qui est exécutée dans le
    mauvais sens.
  • Les facteurs de risques opérationnels identifiés
    par le Comité de Bâle
  • Loptimisation des techniques
  • Le développement de l e-commerce
  • La fourniture de services
  • Les techniques de réduction des risques
  • Les fusions de grande ampleur
  • Le recours à la sous-traitance

22
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
  • 3 approches progressives pour la maîtrise des
    risques opérationnels
  • Lapproche  indicateur de base 
  • Lapproche standardisée
  • Lapproche mesures internes également appelée
    AMA (Advanced Measurement Approach)

élevé
Approche  indicateurs de base 
Complexité de l organisation
Capital
Approche  standardisée 
Approche  mesures internes 
lourd
23
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
Les 3 approches du Comité de Bâle L approche
 indicateur de base 
  • Cette approche établit une relation entre
  • - Lexigence de fonds propre en regard du
    risque opérationnel
  • et
  • - Un indicateur unique représentatif de
    l exposition globale au risque
  • Exemple
  • Si lindicateur est le Produit Brut, la banque
    constitue un montant de fonds propres équivalent
    à un pourcentage fixe de son produit brut
  • Fonds propres ? . Indicateur
  • FP ? . PB
  • ? facteur de pondération compris entre 12 et 20
    selon lactivité

24
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
Les 3 approches du Comité de Bâle L approche
standardisée
  • Cette approche est basée sur une répartition des
    activités d un établissement en catégories
    standards configurant sa structure interne (ex
    financement des entreprises, banque de détail )
  • Pour chaque catégorie, les exigences de fonds
    propres sont calculées en multipliant un
    indicateur de risque opérationnel
  • Selon le type d activité, lindicateur et le
    pourcentage fixe peuvent différer
  • L exigence de fonds propres globale au regard
    du risque correspond à la somme des exigences
    pour chaque catégorie d activité
  • Fonds propres i ß i Indicateur de risque i
  • FP global ? FP i ? ßi . Indicateur de risque
    i
  • i catégorie d activité

25
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
Les 3 approches du Comité de Bâle L approche
standardisée
26
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
Les 3 approches du Comité de Bâle L approche
standardisée
  • Principales caractéristiques
  • Les pourcentages fixes appliqués aux indicateurs
    sont fournis par le Comité de Bâle sur la base
    des données de lensemble du secteur bancaire
  • A lavenir, une définition standard des
    catégories dactivités, indicateurs de risque
    et événements générateurs de pertes devrait être
    appliquée

27
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
Les 3 approches du Comité de Bâle L approche
mesures internes (AMA)
  • L'approche  AMA  se distingue de la méthode
    standard en ce sens qu'elle intègre lobligation
    d une évaluation et d un suivi des risques
    scientifiquement établis et rigoureusement
    contrôlés.
  • Au niveau de l'évaluation des risques, cela se
    traduit par lobligation de collecter les
    incidents et les données de risques associées
    avec un historique suffisant (5 ans et 3 ans)
    permettant de développer des modèles d'évaluation
  • Analyse des courbes de distribution des
    évènements,
  • Prise en compte de différents niveaux
    d'exposition,
  • Mesure des pertes en cas de défaut.
  • Ces modèles d'évaluation doivent faire l'objet
    d'un contrôle de qualité et être testés par
    rapport aux données collectées et par rapport à
    des données externes.Les risques devront faire
    l'objet d'un calcul d'une VaR (value at risk)
    avec un intervalle de confiance de 99,9.

28
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
Les 3 approches du Comité de Bâle Lapproche
mesures internes (AMA)
  • En outre, la banque doit construire une analyse
    de scénario qui fait intervenir des évènements de
    grande gravité et qui mesure la solvabilité de la
    banque dans ces cas.
  • D'autre part, tout le processus de gestion des
    risques doit être découpé en procédures,
    documentées et ensuite contrôlées par
    l'intermédiaire d'un audit.
  • Au niveau organisationnel, l'AMA demande la mise
    en place d'une entité "Risque Opérationnel"
    indépendante, en charge de mettre en place une
    politique de gestion de risque opérationnel, les
    procédures et les contrôles associés.

29
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
Les 3 approches du Comité de Bâle L approche
mesures internes (AMA)
  • - Cette approche consiste finalement à réaliser
    pour lensemble des processus
  • Une cartographie complète des risques
  • Une allocation de fonds propres pour chaque
    risque, chaque ligne de métier
  • Lintégration de données internes et externes
    (statistiques d incidents)
  • Des niveaux de priorités dans la gestion et la
    mise en place de contrôles des risques
  • - Elle permet donc d optimiser la charge de
    fonds propres à mobiliser pour le traitement
    des risques opérationnels
  • - Cest lapproche pour le moment adoptée par les
    grandes banques françaises et 75 des grandes
    banques mondiales (celles dont le bilan est
    supérieur à 250 Milliard de ). Source
    Etude MMC. - Décembre 2002

30
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
  • Le choix de l'approche n'est donc pas neutre
  • En terme de charge de capital
  • En terme d'organisation à mettre en place.
  • Prenons l exemple d une banque ayant
    essentiellement une activité de banque privée
  • Si cette banque opte pour l'approche de base,
    elle subit une charge de capital de 15
  • Si elle opte pour l'approche standard, cette
    charge peut descendre à 12
  • En revanche si elle considère qu'elle a un
    profil de risque qui est largement en dessous de
    12, elle a intérêt à aller vers l'approche AMA,
    avec laquelle elle mesurera son risque
  • Si, par contre, la banque décide de faire une
    approche  pas à pas , elle peut opter pour
    l'approche standard et appliquer certains
    éléments de l'approche AMA. Ainsi après avoir
    stabilisé son savoir faire et être certaine de
    ses mesures, la banque pourra évoluer vers
    l'approche AMA.

31
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Le cycle
vertueux du contrôle des risques opérationnels
Révision des process
Identification des risques
La gestion des risques opérationnels requiert des
processus importants d'analyse des risques et des
contrôles
Mise en place des contrôles
Quantification des risques
Comparaison risques / contrôles
Identification des contrôles
Quantification des coûts de ces contrôles
32
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Des
niveaux de priorité dans la gestion
Dans cette partie, les risques doivent être
impérativement maîtrisés
Probabilité/Fréquence
En raison de la faiblesse de leur probabilité et
de leur impact, ces risques ne doivent être
contrôlés que périodiquement
contrôle actif
Surveillance attentive
Contrôle ponctuel
0 1 2 3 4 5
Coûts,impacts
En raison de leur nature, ces risques doivent
être attentivement surveillés.
33
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Une
approche pragmatique du risque opérationnel
Fréquence / Probabilité
5
4
A construire
3
Considérable
2
Outils Matrice de notation de la probabilité
1
Identification de la probabilité / fréquence de
l'évènenement
Insignifiant
0 1 2 3 4 5
Impact
Base de données
Identification des risques à gérer
Outils Matrice de notation de l'impact
Identification des impacts économiques
Ces risques incluent également ceux considérés
comme étant d'une importance majeure par celui
qui les gère.
A construire
34
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ?
Approche des risques opérationnels
  • En conclusion, le point le plus novateur ...
  • - Avant Bâle 2, la notion de risques
    opérationnels n'était pas incluse dans le calcul
    des fonds propres.
  • mais le moins finalisé
  • - Une définition en évolution, un périmètre
    controversé (couverture des pertes moyennes)
  • - Un ajustement sur la pondération au sein du
    ratio global de 20 à 12 qui laisse des
    incertitudes sur les poids respectifs des
    autres risques
  • - Lémergence dune matrice business lines /
    risk events de plus en plus précise qui servira
    à cartographier les risques
  • - Un élargissement des méthodes internes
    autorisées qui ne permet pas une clarification
    méthodologique

Une contrainte absolue de mise en uvre
collecter des données via une base de données
fiable et significative - une base à
construire dès aujourd'hui (horizon 2006) - un
mapping basé sur la matrice ligne métier / type
de risque - un double comptage du risque
opérationnel induit par risques de marché et de
crédit pris en compte Le besoin dintégration de
données externes (émises par la profession).
35
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? La
gestion des risques de crédit
36
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? La
gestion des risques de crédit
La problématique du risque de crédit est un des
grands enjeux de Bâle 2
  • L'ancienne méthode de calcul des fonds propres,
    purement forfaitaire, est remplacée par une
    approche prudentielle plus fine.
  • Les autorités de tutelle jugent que les fonds
    propres réglementaires diminueront ainsi pour les
    banques dotées de modèles internes, ce qui reste
    sujet à caution pour de nombreuses banques.
  • Cette nouvelle approche est de plus beaucoup
    plus complexe à mettre en uvre
  • - orientation majeure vers le choix d'une
    notation interne
  • - focalisation sur les modes de récupération et
    d'historisation des données
  • - segmentation des portefeuilles de crédit en 6
    sous-catégories.

37
La gestion des risques de crédit ? Les 3
approches possibles
  • Néanmoins, compte tenu
  • de la prépondérance du risque de crédit (75 des
    FP à constituer et novation de la méthode)
  • de la moindre importance du risque opérationnel
    et de labsence de directives claires
  • de la correcte maîtrise du risque de marché
  • beaucoup d établissements vont concentrer leur
    approche sur le risque de crédit.
  • Il est dès lors, là aussi, envisagé 3 approches
    possibles
  • A la différence de laccord de 1988 suivi de la
    mise en place du ratio Cooke, le nouvel accord de
    Bâle permet aux établissements bancaires de
    définir la finesse dévaluation du besoin en
    Fonds Propres généré par le risque de crédit en
    fonction des caractéristiques du portefeuille.

38
La gestion des risques de crédit ? Les 3
approches possibles
  • Chaque établissement a donc le choix entre
  • Lapproche standard dont la méthode est similaire
    à celle de laccord existant puisque quelle
    consiste en lapplication dune pondération
    forfaitaire, mais avec des niveaux de pondération
    plus nombreux et donc une catégorisation plus
    fine des classes dactifs.
  • Lune des approches fondées sur la notation
    interne (ou  NI ) permettant une évaluation
    plus précise du risque de crédit spécifique dun
    portefeuille mais impliquant le développement,
    lutilisation et la justification de modèles
    dévaluation du risque par létablissement
    bancaire
  • Lapproche simple fondée sur les notations
    internes
  • Lapproche complexe fondée sur les notations
    internes et externes.

39
La gestion des risques de crédit ? L approche
standard
  • Lapproche standard, qui devrait être choisie par
    la majorité des établissements bancaires de
    petite et moyenne importance, constitue une
    version révisée de laccord de 1988.
  • Son objectif est daffecter à chaque crédit une
    pondération qui correspond au niveau de risque de
    celui-ci et den déduire le montant de Fonds
    Propres à mobiliser pour couvrir ce risque.
  • Pour cela, il est nécessaire de
  • Calculer lexposition nette de chaque crédit,
    cest à dire de déduire du montant du crédit les
    différents éléments atténuant le risque inhérent
    tel que
  • Un collatéral (cash, titres)
  • Une garantie (hypothèque, garantie émise par la
    maison-mère).
  • Cette phase permet de déterminer lEAD ou
    exposition nette de chaque crédit (Exposure at
    Default).
  • Catégoriser lensemble des tiers constituant le
    portefeuille de crédit suivant les 11 catégories
    définies par le comité de Bâle telles que
  • Les pays de lOCDE
  • Les entreprises
  • Les particuliers,
  • Affecter à chaque crédit une notation délivrée
    par
  • Les organismes externes de Crédit à
    lexportation pour les emprunteurs souverains
  • Les agences de notations pour les banques et les
    entreprises en bénéficiant
  • Une pondération égale à 100 minimum pour les
    autres emprunteurs.

40
La gestion des risques de crédit ? L approche
standard
  • Les tableaux fournis par les autorités
    réglementaires permettent ensuite de définir le
    niveau de risque de chaque crédit, appelé RW,
    comme suit
  • Cette phase permet de déterminer le RW de chaque
    crédit.
  • Les deux indicateurs dun crédit, EAD et RW,
    permettent de mesurer quel est le niveau de
    pertes attendues ou EL ( Expected Loss ) pour
    ce crédit
  • Exposition nette du crédit le niveau de risque
    du crédit Pertes attendues
  • ou
  • EAD RW EL
  • Le montant de pertes attendues permet de calculer
    le montant des pertes non-attendues
  • Montant de pertes attendues coefficient
    réglementaire pertes non-attendues
  • ou
  • EL 8 UL (Unexpected Loss)

41
La gestion des risques de crédit ? L approche NI
  • Les approches NI permettent à chaque
    établissement bancaire de réaliser ses propres
    évaluations internes du risque de crédit et donc
    de mesurer un besoin en Fonds Propres reflétant
    plus précisément le profil de risque de
    létablissement.
  • A linstar de lapproche standard, il est
    nécessaire de
  • Calculer lexposition nette (EAD)
  • Catégoriser les tiers constituants le
    portefeuille.
  • Au lieu dappliquer un coefficient réglementaire
    (RW) en fonction de la catégorie et de la
    notation du crédit, la banque doit évaluer son
    propre coefficient de pondération. Celui-ci
    correspond au produit de la probabilité de défaut
    ( PD ) et du taux de recouvrement du crédit
    ( LGD )
  • RW PD LGD
  • La mise en place dun système de notation interne
    ainsi que le calcul du coefficient de pondération
    nécessite
  • Des historiques afin dobserver le taux de
    recouvrement
  • Un outil de scoring pour sélectionner les tiers
    en fonction de caractéristiques discriminantes
  • Un modèle de mesure des pertes afin de déterminer
    la probabilité de défaut
  • Un système de classes de rating afin daffecter
    une classe à chaque actif pour connaître la
    probabilité de défaut de celui-ci.

42
La gestion des risques de crédit ? L approche NI
  • Les trois indicateurs dun crédit, EAD, PD et
    LGD, permettent de mesurer quel est le niveau de
    pertes attendues ou EL ( Expected Loss ) pour
    ce crédit
  • Exposition nette du crédit Probabilité de
    défaut Taux de recouvrement Pertes attendues
  • ou
  • EAD PD LGD EL
  • Le montant de pertes attendues permet de calculer
    le montant des pertes non-attendues
  • Montant de pertes attendues coefficient
    réglementaire pertes non-attendues
  • ou
  • EL 8 UL
  • LUL correspond au montant de Fonds Propres
    mobilisés par loctroi du crédit
  • Les banques ayant adopté une approche fondée sur
    la notation interne ont le choix entre une
    approche simple et complexe, qui se distingue par
    la proportion dindicateurs fournis par les
    autorités bancaires

43
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Gestion
des risques crédit
  • Les problématiques
  • - Montant de capital nécessaire à la couverture
    du portefeuille
  • - Cartographie du risque au sein du
    portefeuille
  • - Identification des segments les plus rentables
    du portefeuille
  • - Évaluation du fair price dun crédit
  • - Pilotage de la politique commerciale par la
    définition de la marge réelle.
  • Les objectifs
  • - Flexibilité en terme de données, structure de
    portefeuille, stratégie
  • - Optimisation méthodologique par la prise en
    compte de
  • - la corrélation dhypothèses multiples
  • - limpact des hypothèses de départ
  • - des facteurs annexes.

44
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? La
gestion des risques de marché
45
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? La
gestion des risques de marché
  • Fin 1997 obligation pour les banques de
    mesurer leurs risques de marché et de leur
    appliquer des exigences de fonds propres
    (amendement du comité de Bâle I, de janvier
    1996).
  • Choix d'une méthode de mesure de risques
    standard...
  • Ou d'une méthode basée sur des modèles internes,
    respectant un certain nombre de critères
    quantitatifs et qualitatifs fixés par Bâle
  • Préférence du Comité de Bâle pour la méthode de
    mesure basée sur les modèles internes
  • Diminue les coûts en fonds propres
  • Promeut les stratégies de diversification des
    risques
  • Malgré la lourdeur des développements et des
    validations des modèles internes.

Il devient nécessaire pour les banques de
développer en interne des dispositifs de suivi
des risques de marché, validés in fine par la
Commission Bancaire
46
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Gestion
des risques de marché
  • Méthode de mesure des risques de marché selon des
    modèles internes

MODELES DE MESURE DES RISQUES
  • Diminution de la consommation des fonds propres
  • Précision de l'approche statistique
  • Capacité des fonds propres de la banque à
    absorber les conséquences des conditions de
    marché exceptionnelles (choc systémique, choc
    décennal)
  • Mesures à prendre pour limiter les risques de la
    banque et préserver le capital

STRESS SCENARIO
47
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Gestion
des risques de marché
Le suivi des risques de marché passe également
par des reportings
48
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Gestion
des risques de marché
L'accord de Bâle 2 n'a que peu d'impacts
novateurs sur le suivi des risques de marché. Les
risques de marché ne représentent qu'une
proportion très faible du ratio Mac Donough.
Néanmoins, cette proportion reste encore
incertaine à cause de la baisse du poids relatif
du risque opérationnel.
  • Cependant, un minimum de normes générales reste
    indispensable à mettre en place pour le suivi des
    risques de marché
  • Politique de suivi et gestion des risques
  • Procédures
  • Organisation
  • Outils bases de donnée, systèmes

49
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Impacts
en terme dorganisation et dapproche
méthodologique
50
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Impacts
en terme dorganisation et dapproche
méthodologique
La mise en application de ces nouvelles règles
implique une mobilisation rapide et importante
des banques avant 2005 et jusquà 2006
  • Une grande majorité des banques a déjà défini sa
    cible en terme de système de calcul de
    consommation en fonds propres plus de 75 des
    banques pensent opter pour un système IRB
    (Internal Ratings Based). Source Etude Adsatis
    ltd. - Septembre 2001
  • Les implications majeures de ce nouveau système
    reposent sur la collecte et lhistorisation des
    données nécessaires pour obtenir
  • - Un système de notation interne
  • - Les encours moyens nets de collatéraux par
    notation
  • - Les probabilités de défaut par notation (base
    minimum 3 ans dhistorique)
  • - La matrice de corrélation des probabilités de
    défaut (base minimum 3 ans dhistorique)
  • - Les taux de recouvrement moyen par notation
    interne.

51
Les recommandations du Comité de Bâle
2?Problématique de la gestion des données
  • Postulats de base de la collecte des données
  • Détailler suffisamment la notation interne (par
    type de crédit, par secteur d'activité et par
    zone géographique) et l'associer à une valeur par
    défaut ("cartographie")
  • Valider par simulation le processus de notation à
    partir de données historiques, de façon à
    vérifier la justesse des prévisions dans le futur
  • Démontrer que le processus de notation interne se
    trouve au cur à la fois du processus de CRM et
    du processus interne d'allocation de capital
  • Rendre suffisamment transparents
  • - l'ensemble du processus de notation interne
  • - la cartographie
  • - et le processus de validation par simulation
    sur des données historiques pour être contrôlés
    par un tiers (régulateurs).
  • Impacts cruciaux pour les banques
  • Utiliser pour la cartographie des définitions et
    des paramètres standardisés par le comité de Bâle
  • Couvrir par le processus de notation interne la
    totalité du portefeuille de crédit
  • Disposer d'une capacité de stockage
    d'informations suffisamment importante pour que
    les régulateurs soient en mesure de valider la
    justesse du processus de notation (piste d'audit,
    données historiques) .

52
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Une
direction des risques conditions de
fonctionnement
Pour un fonctionnement optimal de cette Direction
des Risques, un certain nombre d'éléments sont
indispensables
La mise en place de procédures strictes -
Suivi de la globalité des risques - Des
procédures évolutives - Des procédures faciles
à consulter (intranet) La mise en place de
comités de suivi des risques - Comités de
risques de crédit, de risques de marché - Les
décisions sont prises uniquement en comité - La
mise en place dune procédure durgence hors
comité est néanmoins nécessaire - Le système de
délégation de risque doit être clair et
communiqué Des moyens humains adéquats Un
Système d Information de Gestion des Risques
(Progiciel ou développement spécifique)
53
Les recommandations du Comité de Bâle 2 ? Impacts
en terme dorganisation et dapproche
méthodologique
  • Le PASSAGE à Mac Donough est obligatoire à une
    échéance moyen terme (2006)
  • Et sa mise en place aura donc des IMPACTS
    potentiels sur
  • Les SI et référentiels (nouvelle nomenclature et
    nouveaux indicateurs) ? modification importante
    des référentiels
  • Les systèmes de mesure des risques (réglementaire
    et économique) ? modification des indicateurs
  • Les organisations et contrôles internes des
    risques ? modification des procédures (notamment
    sur lacceptation)
  • Les politiques de couverture et dallocation des
    FP / de provisionnement (limites) ? modification
    des limites, approche assurantielle
  • Le reporting ? modification des états
  • Qui NECESSITERONT de vérifier que le mode de
    gestion existant est adapté
  • Pour, le cas échéant, identifier les PLANS
    D ACTIONS à mener

54
Les recommandations du Comité de Bâle
2?Proposition dorganisation du dispositif de
contrôle interne
Audit / Inspection Générale
Direction Générale
Risk Manager
Risques de crédit
Risques opérationnels
Risques de marché
55
Les recommandations du Comité de Bâle 2? Règles
relatives au système de gestion des risques
Lexistence de systèmes efficients est citée de
façon contraignante dans le livre blanc de Bâle
(janvier 2001)
Le Système d Information de Gestion des Risques
(S.I.G.R.) doit - Être alimenté par une
source unique de données (datawarehouse) -
Permettre l'interrogation de la base de données
sur plusieurs critères - Disposer d'un
système informatique de secours. Une base de
données doit également être créée afin de -
Mettre à disposition un historique en termes de
données et d'organisation - Rassembler
lensemble des données (pertes observées) par
ligne de métiers et nature de risque - Mesurer
et fournir des données financières sur les
risques - Servir de base à une modélisation
des pertes et des événements extérieurs. L'utilisa
teur doit être en mesure de - Séparer les
process  métiers  des systèmes informatiques
- Standardiser les systèmes et les process
 métiers  à travers les départements et les
activités - Limiter les interventions
manuelles sur le système de gestion et la base.
56
Les recommandations du Comité de Bâle 2?Quels
chantiers pour traiter les risques dans le
secteur bancaire?
  • Gestion du risque de marché
  • - Mise en place des méthodologies de calcul de
    VAR (Value At Risk)
  • - Harmonisation des systèmes de suivi des
    risques de taux entre entités internationales
  • Gestion des risques de crédit
  • - Mise en place des méthodologies quantitative
    d évaluation des risques de crédit
  • - Conception et implémentation de bases de
    données statistiques internes et externes
  • - Mise en place des contrôles stricts des
    procédures
  • Dispositif de contrôle interne risques
    opérationnels et contrôle interne
  • - Définition d'une cartographie complète des
    risques
  • - Mise en place de l'organisation du
    refinancement des activités, de la centralisation
    de l'accès aux marché pour l'ensemble de ces
    activités, et des règles de couverture des
    risques financiers entre entités internes
  • - Élaboration et mise en place de procédures
    sur le suivi du risque client
  • - Définition et attribution des fonctions de
    Risk Management
  • - Revue des risques et de l'ensemble du
    dispositif de contrôle interne
  • - Diagnostic du dispositif de contrôle interne
    au regard du 97-02 et rédaction de procédures
  • - Audit et réorganisation du back office client

57
Les recommandations du Comité de Bâle
2?Conclusions
  • Les travaux de Bâle 2 vont aboutir à un texte
    réglementaire dont le champ d'application est à
    la fois très large et très contraignant pour les
    banques et les établissements financiers.
  • L'une des principales nouveautés de ce dispositif
    consiste en l'introduction du calcul du besoin en
    fonds propres sur les risques opérationnels qui
    va inciter sans doute les établissements
    financiers à améliorer la gestion de ce type de
    risques.
  • Cette table ronde avait pour objectif de
    présenter et commenter différents points de la
    nouvelle réglementation, leurs contraintes pour
    les établissements financiers ainsi que les
    approches en quantification des risques qui ont
    fondé ces dispositions.
  • Les questions principales qui demeurent sont les
    suivantes
  • Quelle organisation et répartition des rôles
    mettre en place pour mesurer et gérer les risques
    opérationnels ?
  • Comment impliquer le maximum d acteurs à la
    démarche ?
  • Quelles méthodes et quels outils choisir pour
    mesurer et piloter les risques ?
  • Quelles seront les conséquences de ces méthodes
    et outils sur l organisation et les systèmes
    d'information ?
  • En se projetant dans l'avenir
  • Quels seront les autres développements possibles
    ?
  • Et puis, quelles seront les orientations des
    autres acteurs du monde financier, et notamment
    les assureurs, sur leurs risques opérationnels ?
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