Le transfert des connaissances et la mise en vigueur des pratiques fondes sur la preuve en sant ment - PowerPoint PPT Presentation

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Le transfert des connaissances et la mise en vigueur des pratiques fondes sur la preuve en sant ment

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Professeure adjointe, d partements de Psychiatrie et des Sciences de la sant ... Le British Board of Trade adopte cette innovation, ordonnant des di tes ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Le transfert des connaissances et la mise en vigueur des pratiques fondes sur la preuve en sant ment


1
Le transfert des connaissances et la mise en
vigueur des pratiques fondées sur la preuve en
santé mentale des enfants
  • 30 janvier 2006
  • Le Centre dexcellence provincial au CHEO en
    santé mentale
  • des enfants et des ados
  • Melanie Barwick, Ph.D., C.Psych.
  • Scientifique en systèmes de santé, Groupe de
    ressources des systèmes communautaires de santé,
    Scientifique agrégée, Institut de recherche,
  • The Hospital for Sick Children
  • Professeure adjointe, départements de Psychiatrie
    et des Sciences de la santé publique, Université
    de Toronto

Childrens Mental Health Ontario Santé Mentale
pour Enfants Ontario
2
Cochercheurs
  • Katherine Boydell, M.Sc., Ph.D.
  • Elaine Stasiulis, M.A.
  • Bruce Ferguson, Ph.D., C.Psych.
  • Groupe des ressources communautaires en systèmes
    de santé
  • The Hospital for Sick Children
  • Toronto (Ontario) Canada

Karen Blase, Ph.D. Dean Fixsen, Ph.D. National
Implementation Research Network Louis de la
Parte Florida Mental Health Institute Université
South Florida Tampa, Floride, USA
Childrens Mental Health Ontario Santé Mentale
pour Enfants Ontario
3
  • ?
  • Ne pas se prévaloir de la science disponible est
    coûteux et nuisible. Cela aboutit à la
    surutilisation des soins inefficaces, la
    sous-utilisation des soins efficaces et à des
    erreurs dexécution.
  • ?
  • Donald Berwick, 2003
  • Institut pour lamélioration des soins de santé

4
Quels progrès avons-nous faits sur le plan de
lintégration des preuves à la pratique?
Temps écoulé depuis Lancaster jusquà
ladoption  264 ans
146 ans
48 ans
70 ans
104 ans
1497
1601
1795
1865
1747
Vasco da Gama  100 membres de son équipage sur
160 sont morts du scorbut  on soupçonne que les
agrumes peuvent guérir.
Le capitaine James Lancaster part avec 4
bateaux  On donne à léquipage du bateau
numéro 1 trois cuillerées à thé de jus de citron
chaque jour  mortalité 0 . Sur les trois autres
bateaux, 40  des membres de léquipage meurent.
James Lind, médecin de la Marine britannique,
effectue des essais aléatoires pour six
traitements destinés aux marins atteints de
scorbut sur le HMS Salisbury  les agrumes font
de nouveau la preuve de leur efficacité contre le
scorbut.
La Marine britannique ordonne que des agrumes
soient fournis aux marins de tous les navires.
Le British Board of Trade adopte cette
innovation, ordonnant des diètes adéquates sur
les vaisseaux de la marine marchande.
5
  • Mettre en vigueur, transférer, déployer des
    pratiques fondées sur la preuve dans le domaine
    concerné nécessite nécessairement 
  • Des ressources
  • Un leadership
  • Une formation
  • Des changements
  • de pratique

- Être prêt - Disposer de méthodes de soutien
multiples - Adopter une culture de développement
professionnel
6
  • ?
  • Il ne suffit pas dappliquer les pratiques
    fondées sur la preuve au domaine concerné sans
    comprendre ce qui est nécessaire pour préparer
    les organismes et les praticiens à recevoir et
    mettre en vigueur les nouvelles connaissances
  • ?
  • Barwick et al 2005

7
Les piliers du système de soins en santé mentale
des enfants, en Ontario
Traitements fondés sur la preuve
Accès aux services
Résultats
Gestion des résultats de la CAFAS
Dépistage à laccueil (BCFPI)
Formation en vue dun changement de pratique
Développement dindicateurs, points de repère
Apprentissage organismes
brève entrevue au téléphone avec lenfant et
la famille
8
  • Les objectifs de létude
  • On a passé en revue la bibliographie en matière
    de transfert des connaissances, de changements
    organisationnels et de science de la mise en
    vigueur
  • On a effectué des sondages auprès des chefs de
    file et des praticiens dans 80 centres de santé
    mentale des enfants de tout lOntario, concernant
    leur utilisation des informations fondées sur la
    preuve et leur disponibilité en vue du changement
  • On a interviewé 12 experts en science de la mise
    en vigueur
  • On a fait des recommandations en vue
    daméliorations au système de soins

9
  • Points saillants de la bibliographie - 1
  • Les stratégies actives, la collaboration, le
    leadership sont important
  • Le partage du savoir tacite, face à face, est un
    outil puissant
  • La résistance au changement de la part du
    système, des chefs de file et des praticiens
    doit être reconnue et résolue
  • Le changement est complexe et nécessite
    lacceptation par une masse critique il faut
    créer un point de transition!
  • Lapplication du savoir résultant de la recherche
    aux lignes directrices pour la pratique ne suffit
    pas à créer des changements de pratique
  • La mise en vigueur nécessite un effort axé sur la
    collaboration
  • Il faut adopter des stratégies multiples 
    pratique, organisme, système, nature des preuves,
    plan de soutien

10
  • Points saillants de la bibliographie - 2
  • les praticiens doivent avoir
  • un meilleur accès à la base de recherche
  • disposer de plates-formes pour partager les
    connaissances tacites
  • développer la capacité dapprentissage pendant
    toute la vie
  • établir un équilibre entre la fidélité au
    traitement et la réinvention dans le milieu de
    pratique

11
  • ?
  • Aucun système pris au piège dans les efforts
    continuels en vue de produire, toujours en marge
    des ressources, ne peut aboutir à de bonnes
    innovations, à moins que sa survie soit en jeu,
    de manière imminente et dramatique
  • ?
  • Donald Berwick, 2003
  • Institut pour lamélioration des soins de santé

12
Points saillants du sondage - 1
  • Taux de réponses 
  • 72,5  des directeurs généraux
  • 12,2  des praticiens sur une population estimée
    à 3 951
  • La plupart venaient du milieu des services
    sociaux
  • 77,8  avaient plus de 16 ans dexpérience dans
    le domaine
  • 50  des centres de santé mentale des enfants
    disposaient de budgets sélevant à entre 1 et
    5 millions de dollars
  • Fournissent une gamme variée de services

13
Points saillants du sondage -2
  • Utilisation de lInternet
  • La majorité (gt 80 ) juge quil est très probable
    que lorganisme se tournera vers lInternet pour
    obtenir des ressources
  • 100  des directeurs généraux sont reliés
  • 92  des praticiens sont reliés à leur bureau
  • 7.6 des praticiens sont reliés ailleurs

Signification? Laccès à la base de preuves
dépend hautement de laccès à lInternet et aux
bases de données électroniques.
14
Points saillants du sondage - 3
Avec quoi sont-ils reliés?
  • 67  des praticiens et 77  des directeurs
    généraux sont affiliés à des universités ou des
    collèges
  • Moins de 40  des centres de santé mentale des
    enfants disposent dun abonnement à des
    bibliothèques universitaires ou collégiales

Signification? Ceci représente un obstacle
important mais évitable à la base de preuves
15
Points saillants du sondage -4
Capacité organisationnelle des centres de santé
mentale des enfants en matière dutilisation des
recherches
  • Acquisition peuvent-ils trouver les preuves de
    recherche dont ils ont besoin?
  • Accès peuvent-ils évaluer la qualité des
    recherches, leur pertinence et leur possibilité
    dapplication?
  • Adaptation peuvent-ils adapter linformation
    obtenue à leurs besoins, à leur population de
    clients et à leur milieu?
  • Application peuvent-ils adopter et mettre en
    vigueur les informations de recherche dans leurs
    contextes?

16
(No Transcript)
17
(No Transcript)
18
(No Transcript)
19
(No Transcript)
20
(No Transcript)
21
(No Transcript)
22
(No Transcript)
23
Facteurs reliés aux changements organisationnels
Leadership, motivation, ressources, priorités se
faisant concurrence
Stratégies de transfert des connaissances 
développement et engagement
Caractéristiques de lorganisme dadoption
.Avantages relatifs, compatibilité, complexité,
capacité de soumettre à des essais, observabilité
Diffusion de linfluence des réseaux sociaux 
ceux qui adoptent tôt ou tard
Caractéristiques de léchange entre les
partenaires
Caractéristiques du milieu
Caractéristiques de la PFP à adopter
Adapté de Miller 2001
24
  • Échelle de disponibilité organisationnelle au
    changement

La bibliographie identifie plusieurs facteurs
importants qui semblent influer sur le processus
de changement. Lévaluation TCU de la
disponibilité organisationnelle au changement
(CRO, Simpson 2002) met laccent sur les
dimensions et sous-échelles suivantes
Dynamique organisationnelle Caractéristiques du
personnel Croissance Efficacité Influence Adaptabi
lité Climat organisationnel Mission Cohésion Auto
nomie Communications Stress Changement
Motivation au changement ? Besoins du
programme ? Besoins en matière de
formation ? Pressions en vue du changement
Ressources du programme ? Bureaux /
Dotation ? Besoins en matière de
formation ? Équipement
25
  • Preuves pour lORC
  • Domaine de labus de substance / justice
    criminelle / agences sociales
  • Échantillon national de 500 membres du personnel
    de plus de 100 programmes
  • 18 échelles contenant en moyenne 6,4 items
    prend 25 minutes
  • Les alpha au niveau du programme vont de 0,64 à
    0,92 (Lehman, Greener Simpson, 2002)
  • Étude de Barwick et al.  réduction des items
    pour les besoins de la gestion la moitié des
    échelles avaient des alpha supérieurs à 0,60

26
Le personnel clinique ressent une pression en
vue du changement provenant des superviseurs et
des gestionnaires (62,5 ), dautres membres du
personnel (52,6 ), du ministère et dautres
bailleurs de fonds (39 ) et des membres du
conseil dadministration (28,9 ). Les directeurs
généraux ressentent une pression en vue du
changement de la part de leurs superviseurs/gestio
nnaires (51 ), du ministère et dautres
bailleurs de fonds (49 ) et du personnel
clinique (42,9 ). Moins dun tiers des
répondants des deux groupes ressentent une
pression en vue du changement de la part des
consommateurs et moins dun quart des directeurs
généraux ressentent une pression en vue du
changement de la part de leur conseil
dadministration.
Les groupes désirent une formation dans
différents domaines le personnel clinique
ressent un besoin de formation pour améliorer
lacceptation du traitement par le client, alors
que les directeurs généraux ressentent un besoin
de formation pour surveiller les progrès des
clients
Motivation à changer
27
Le caractère adéquat des ordinateurs signalé
dans ce rapport est en contradiction avec les
rapports anecdotiques provenant du terrain.
44  du personnel clinique considère les bureaux
comme inadéquats pour les traitements de groupe.
Ceci pourrait avoir des implications sur le plan
de la mise en vigueur future des PFP de groupe
On est généralement daccord sur la valeur et
les occasions de développement professionnel
Caractère adéquat des ressources
28
Les occasions de croissance personnelle sont
considérées comme étant relativement faibles. La
majorité du personnel clinique ne se renseigne
pas chaque mois sur les nouvelles techniques et
na pas doccasions suffisantes de maintenir à
jour le savoir clinique (bien que la moitié pense
être au courant de la bibliographie publiée). Les
directeurs généraux obtiennent des résultats
légèrement meilleurs.
Les deux groupes pensent quils essaient de
nouvelles idées et sadaptent rapidement, mais
cependant, la moitié reconnaît quils sont
parfois trop lents ou trop prudents pour adopter
des changements, ce qui représente une
contradiction étrange.
Les deux groupes ont confiance en leur efficacité
clinique et leur désir et capacité dinfluer sur
leurs collègues, deux caractéristiques
prometteuses de changement
Caractéristiques du personnel
29
Lintérêt à répondre aux exigences de changement
varie selon les groupes  deux tiers des
directeurs généraux pensent que les interventions
changent rapidement pour répondre aux nouvelles
conditions alors que seulement 30 p. 100 du
personnel clinique partage cette opinion.
Cohésion du personnel confiance et
collaboration est importante parmi les deux
groupes, ainsi que limpression dautonomie ou la
latitude en matière de décision que le personnel
clinique perçoit en travaillant avec les clients.
Hauts niveaux de stress et impact négatif dun
volume de travail lourd sur lefficacité du
programme, perçus par les deux groupes mais
encore plus par le personnel clinique.
Il semble y avoir une attitude positive envers
lessai de nouvelles techniques et
lencouragement à le faire parmi les deux
groupes. Ceci est encourageant.
Climat organisationnel
30
  • Points saillants des entrevues -1
  • Développer lacceptation de la mise en vigueur de
    la PFP est nécessaire à tous les niveaux du
    système.
  • Les conscrits font de mauvais convertis.
  • Le scepticisme chez les praticiens constitue un
    obstacle important à la mise en vigueur des
    pratiques fondées sur la preuve.
  •  Beaucoup de gens ont reçu une formation dans le
    domaine des services sociaux. Il y a beaucoup de
    thérapeutes familiaux qui ont appris le principe
    quil sagit dune forme dart, quon ne peut pas
    vraiment létudier et quon ne peut pas le
    valider de manière empirique. 
  • Identifier des  champions  en matière de
    pratique fondée sur la preuve est important à
    tous les niveaux du système. 
  • Le champion peut être nimporte qui, mais il faut
    que ce soit quelquun. 

31
  • Points saillants des entrevues - 2
  • Créer des cultures organisationnelles favorables
    au changement
  • Il faut aider les gens à faire la transition et
    nous devons offrir continuellement de nouvelles
    occasions de formation et la possibilité de
    croissance par le biais des connaissances
    acquises
  • Le changement prend du temps et nécessite un
    effort soutenu ainsi que des plans de maintien à
    long terme.
  • La mise en vigueur nécessite la création et le
    maintien dune  culture dacceptation 
  • Lacceptation est très importante et on obtient
    de meilleurs résultats quand les gens acceptent
    sincèrement lintervention. Mais le roulement du
    personnel, les congés de maternité, tout ceci...
    dilue en quelque sorte lintervention.
  • Un équilibre plus équitable doit être trouvé
    entre se résigner aux longues listes dattente
    pour les services cliniques et le temps et
    lénergie nécessaires à linnovation et au
    développement professionnel.
  • En santé mentale des enfants, nous marchons sur
    un tapis roulant à un rythme tel quil ny a
    presque jamais de temps pour apporter des
    changements.

32
  • Points saillants des entrevues - 3
  • Envisager la mise en vigueur au niveau du système
    des pratiques fondées sur la preuve.
  • Informer les consommateurs concernant les options
    de traitement fondées sur la preuve qui
    deviennent de plus en plus disponibles.
  • Les partenariats entre les bailleurs de fonds,
    les fournisseurs de soins et les chercheurs
    permettent en grande mesure de créer des
    occasions defficacité et de mise en vigueur de
    la recherche ainsi que dévaluation des
    interventions prometteuses sur le terrain.

33
  • ?
  • La plupart des gens sont en faveur du progrès,
    cest le changement quils naiment pas.
  • ?
  • Anonyme

34
  • Mesures à prendre - 1
  • 1. Relier la santé mentale des enfants à la base
    de preuve
  • On pourrait obtenir des avantages si les centres
    de santé mentale des enfants étaient reliés aux
    facultés et aux ressources sur Internet (comme
    base de données en bibliothèque) des collèges et
    universités. Les résultats des sondages indiquent
    que le manque daccès aux bases de données des
    collèges et des universités constitue un obstacle
    important à la capacité du personnel clinique
    davoir accès à la bibliographie actuelle en
    matière de santé mentale des enfants.
  • Santé mentale pour enfants Ontario pourrait jouer
    un rôle pour faciliter ces liens.
  • Créer des occasions de liens et déchanges entre
    les praticiens, les chercheurs et les décideurs.
  • Créer des équipes régionales responsables de
    passer en revue la bibliographie et de présenter
    les résumés aux autres. Ceci pourrait être
    effectué dans un lieu central comme à SMEO ou, à
    léchelle provinciale, au Centre dexcellence en
    santé mentale des enfants et des adolescents.
  • Pour les publications futures de PFP produites
    par SMEO (ou dautres), il est nécessaire
    dadopter une approche plus complète à
    lapplication des connaissances, soit communauté
    de pratique pour des populations spécifiques de
    clients.

35
  • Mesures à prendre - 2
  • 2. Réintroduire le développement professionnel et
    le réseautage comme activités clés dans le
    secteur
  • Il y a un désir détendre le rôle des praticiens
    et nous devons résoudre la question du cycle de
    prestation des services restrictifs pour une
    liste de clients qui sallonge continuellement et
    qui attendent à la porte. Il y a des risques
    associés à lattente pour les services et il y a
    des frais sur le plan du capital humain dans le
    secteur.
  • Il faut faire des recherches pour examiner les
    coûts et avantages associés à la réorganisation
    de la prestation des services, les praticiens
    ayant droit à un certain pourcentage de leur
    temps pour se consacrer au perfectionnement
    professionnel et au réseautage. Ceci
    affecterait-il la prestation des services de
    manière négative ou positive?
  • Explorer comment la capacité croissante en
    Ontario de vidéoconférences au sein des
    initiatives de télésanté et de télépsychiatrie
    pourrait fournir une solution plus économique et
    pratique de partage des nouvelles connaissances.

36
  • Mesures à prendre - 3
  • 3. Développer des incitations à la mise en
    vigueur de pratiques fondées sur la preuve
  • Plusieurs théories du changement mentionnent
    limportance des récompenses ou des incitations
    pour renforcer la mise en vigueur des PFP. Quand
    les PFP sont mises en vigueur dans un système de
    soins, cest le gouvernement (bailleur de fonds)
    qui est responsable dintroduire ces récompenses
    ou incitations.
  • Les incitations peuvent être bénéfiques pour que
    les réussites des premiers professionnels qui les
    ont adoptées soient observables par leurs
    collègues. Quelles stratégies pouvons-nous
    utiliser pour souligner les succès obtenus dans
    le domaine des soins de santé mentale pour les
    enfants?
  • Le Congrès annuel de SMEO et dautres
    plates-formes pourraient être utilisés pour
    présenter et reconnaître lexcellence en matière
    de prestation de services. Un prix spécial
    pourrait être introduit pour les professionnels
    ayant des activités créatrices, comme
    développement et évaluation des pratiques
    prometteuses, excellence sur le plan de la
    prestation des services sensibles sur le plan
    culturel.

37
  • Mesures à prendre - 4
  • 4. Encourager ladoption des 7 règles de Berwick
    pour la diffusion des innovations
  • (1) Trouver des innovations saines
  • Solution de lOntario  Développer un groupe de
    pratique de la santé mentale des enfants.
  • (2) Trouver et soutenir des innovateurs
  • Solution de lOntario  Encourager les chefs de
    file à fournir du temps aux innovateurs ainsi
    quune certaine latitude quant à la prise de
    décisions, peut-être par le biais dun concours
    des innovateurs où les praticiens pourraient
    faire une demande de subvention, par un processus
    compétitif, pour explorer la possibilité
    dinnovation ailleurs dans le monde et créer un
    groupe de travail qui pourrait être ramené en
    Ontario.
  • (3) Investir dans les personnes qui adoptent les
    innovations tôt
  • Solution de lOntario  Les chefs de file
    peuvent encourager les professionnels à adopter
    les innovations tôt, à tester les innovations, à
    adopter une innovation avant les autres. Y a-t-il
    une équipe clinique intéressée à essayer un
    nouveau traitement? Il faudra lui fournir le
    temps nécessaire pour explorer et tester
    linnovation, puis développer des occasions pour
    ces personnes de côtoyer des innovateurs dans
    dautres milieux sociaux.

38
  • Mesures à prendre - 5
  • 4. Encourager ladoption des 7 règles de Berwick
    pour la diffusion des innovations
  • (4) Rendre observable le comportement des
    professionnels qui adoptent tôt les innovations
  • Solution de lOntario  Encourager les
    interactions sociales en dehors des silos
    organisationnels.
  • (5) Faire confiance aux réinventions et les
    permettre
  • Solution de lOntario  Les chefs de file
    peuvent encourager les individus ou les
    organismes qui adaptent des idées venues
    dailleurs à leur propre environnement et les
    mettre en vedette. Ceci pourrait se produire au
    niveau de lorganisme, de SMEO ou du ministère.
  • (6) Créer les conditions nécessaires au
    changement
  • Solution de lOntario  Les chefs de file
    doivent investir le temps et lénergie des gens
    dans lutilisation des PFP et la gestion des
    résultats ainsi que la qualité des services. Ceci
    doit être planifié. Cela ne se produira pas
    naturellement.

39
  • Mesures à prendre - 6
  • 4. Encourager ladoption des 7 règles de Berwick
    pour la diffusion des innovations
  • (7) Donner lexemple
  • Solution de lOntario  Préparer les
    changements à SMEO fournira un exemple aux
    fournisseurs de services en santé mentale des
    enfants, beaucoup dentre eux ayant besoin dêtre
    convaincus du besoin daller de lavant, des
    avantages relatifs et de la disponibilité du
    soutien.

40
  • Mesures à prendre - 7
  • 5. Explorer le niveau de sensibilisation et de
    soutien aux PFP parmi les fournisseurs de
    services de lOntario
  • La mise en vigueur réussie nécessite que lon
    identifie et aborde le niveau de sensibilisation
    et de prise de position philosophique. Les
    attitudes changeantes des pratiquants seules ne
    seront pas suffisantes pour permettre le
    changement, mais elles sont un facteur important.
  • Faire des recherches concernant le savoir et la
    réceptivité des fournisseurs de services en
    matière de PFP, de préférence en utilisant des
    approches qualitatives capables dexplorer ces
    questions en profondeur.
  • Développer des recommandations et des
    méthodologies de formation aux PFP prenant en
    considération les connaissances et la
    disponibilité des praticiens ainsi que les
    ressources disponibles (temps, coûts) pour ces
    efforts.

41
  • Mesures à prendre - 8
  • 6. Faciliter la formation aux PFP pour les
    praticiens
  • Nécessite le soutien du leadership provincial et
    au sein des organismes sous la forme de la
    reconnaissance de la valeur de la formation, en
    fournissant du temps libre et en créant des
    soutiens aux subventions. Cela suppose aussi que
    les gens savent comment obtenir la formation dont
    ils ont besoin.
  • SMEO est bien placé pour fournir une formation en
    PFP à ses membres. La formation en PFP pourrait
    être reliée à un programme de mentorat en
    pratique clinique selon la PFP et la région, ou
    lon pourrait se pencher sur les questions
    reliées au développement des connaissances
    pratiques, à la réinvention ou adaptation, ainsi
    quà lapplication clinique/supervision/fidélité.
  • Le gouvernement provincial a également un rôle à
    jouer en matière de mise en vigueur des PFP sur
    le plan du système et a loccasion dintégrer
    ceci au cadre des politiques en santé mentale des
    enfants. Sattendre à ce que les centres de santé
    mentale des enfants évoluent seuls dans cette
    direction et sur une base ponctuelle est
    inefficace et irréaliste sur le plan financier.

42
  • Mesures à prendre - 9
  • 7. Explorer la dynamique de la gouvernance par le
    conseil dadministration chez les centres de
    santé mentale des enfants
  • Il faut explorer notre observation que les
    conseils dadministration ne représentent pas une
    grande source de pression en vue du changement
    parmi les directeurs généraux.
  • Il faut faire des recherches pour examiner le
    rôle et le fonctionnement des conseils
    dadministration au sein de notre système de
    prestation des services. Leur rôle perçu en
    matière de PFP pourrait également être exploré
    ainsi que la dynamique de la relation de rapport
    et de la manière dont ils pourraient favoriser
    une culture du changement et introduire un
    organisme dapprentissage au sein de
    lorganisation.

43
  • Mesures à prendre - 10
  • 8. Créer des liens avec les éducateurs et les
    collèges de professionnels en services sociaux et
    psychologie
  • SMEO est idéalement placé pour représenter les
    intérêts des membres concernant le niveau
    déducation des nouveaux diplômés lors de leur
    entrée dans le monde de la pratique. Les
    partenaires devraient travailler ensemble pour
    identifier des buts communs et des mécanismes de
    perfectionnement professionnel.
  • Un partenariat est nécessaire pour déterminer si
    les nouveaux praticiens apprennent ce qui est
    nécessaire, pour une culture de la gestion axée
    sur la qualité fondée sur la preuve.
    Développent-ils des connaissances pratiques en
    matière dapprentissage continuel et de pratique
    réflective? Dans quelle mesure les besoins de la
    main-duvre sont-ils comblés au niveau
    préservice?
  • SMEO pourrait collaborer avec des collèges
    professionnels pour développer une approche
    mutuellement bénéfique au perfectionnement
    professionnel des fournisseurs de services de
    santé mentale. Ces systèmes existent mais doivent
    être mieux intégrés.

44
  • Mesures à prendre - 11
  • 9. Aider les fournisseurs de soins à évaluer les
    pratiques prometteuses quils développent en
    première ligne Les interventions en laboratoire
    ne sont quune extrémité du spectre. De
    nombreuses pratiques prometteuses sont
    développées, souvent en fournissant lavantage
    appréciable dêtre sensibles sur le plan culturel
    et sur celui du développement. Les connaissances
    et les ressources nécessaires pour évaluer ces
    pratiques ne sont souvent pas à la portée des
    fournisseurs de services et ceci représente une
    lacune qui doit être comblée par le biais de
    partenariats.
  • SMEO et (ou) le Centre dexcellence en santé
    mentale des enfants et des adolescents pourraient
    aider à faciliter les relations entre les
    fournisseurs de services et le milieu
    universitaire.
  • Des services de consultation évaluatifs
    pourraient être créés, pour rassembler des
    cliniciens chevronnés et des chercheurs en santé
    mentale des enfants.

45
  • ?
  • Il faut porter une attention spéciale au meilleur
    du passé et du présent, afin de stimuler
    limagination collective à formuler lavenir.
  • ?
  • David Cooperrider
  • Université Case Western Reserve

46
  • Information pour le contact 
  • Dre Melanie Barwick
  • Groupe de ressources communautaires sur les
    systèmes de santé
  • The Hospital for Sick Children
  • 555, avenue University
  • Toronto (Ontario) M5G 1X8
  • Canada
  • Tél.  (416) 813-1085
  • Courriel  melanie.barwick_at_sickkids.ca
  • On pourra trouver le rapport entier sur lequel
    cette présentation est basée aux sites Web
    www.kidsmentalhealth.ca et www.sickkids.ca et
    http//nirn.fmhi.usf.edu

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