Critиre de choix d’un composite, d’un adhйsif, et d’une lampe а polymйriser - PowerPoint PPT Presentation

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Critиre de choix d’un composite, d’un adhйsif, et d’une lampe а polymйriser

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Crit re de choix d un composite, d un adh sif, et d une lampe polym riser Plan Introduction I/ D finition d un composite et de ses composants, leur ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Critиre de choix d’un composite, d’un adhйsif, et d’une lampe а polymйriser


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Critère de choix dun composite, dun adhésif, et
dune lampe à polymériser
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Plan
  • Introduction
  • I/ Définition dun composite et de ses
    composants, leur rôle sur la polymérisation
  • II/ La Polymérisation (définition, réaction,)
  • III/ Critère de choix dun adhésif
  • IV/ Les lampes à polymériser
  • Conclusion

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Introduction
  • La photopolymérisation compte parmi les
    révolutions les plus importantes quà connues la
    dentisterie au cours des trente dernières années.
  • Les générateurs de polymérisation trônent
    aujourdhui en bonne place dans les cabinets
    dentaires, en partie du fait du confort apporté
    au praticien lui permettant de figer la forme
    donnée au matériau de manière instantanée.
  • Cest la photopolymérisation qui autorise, par
    le jeu des combinaisons de couches successives de
    matériaux de teintes et d opacités différentes
    de réaliser des restaurations dont les propriétés
    optiques sont aujourdhui plus proches de celles
    des tissus dentaires naturels.

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I/ DEFINITION DUN COMPOSITE ET DE SES COMPOSANTS
  • Leur rôle sur la polymérisation

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Définition dun composite
  • Apparu en 1962, à la suite des travaux de bowen
  • Cest un matériau dobturation esthétique composé
    dune matrice et dune charge matériau
    hétérogène à 2 composants
  • Combinaison 3D dau moins 2 matériaux différents
    avec une interface distinct liaison
    physico-chimique entre les différents
    constituants

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3 composants principaux dun composite
  • 1- on a une phase organique cest la matrice.
    (40 du volume)
  • (la matrice la plus répandue est la matrice de
    BIS-GMA)
  • 2- on a une phase inorganique particules
    minérales ou organo-minérales, ce sont les
    charges. (60 du volume)
  • (elles confèrent au composite ses qualités
    mécaniques, physiques et esthétiques)
  • 3- entre les 2, un agent de liaison (le plus
    fréquemment employé méthacryle oxypropyle
    triméthyle silane)

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  • Les résines composites actuelles polymérisent
    grâce aux photons de la lumière visible.
  • Plus précisément, les longueurs dondes
    efficaces sur la prise des matériaux que nous
    utilisons se situent dans la bande du bleu de la
    lumière visible, de 400 à 500 nanomètres.

8
LES ADJUVANTS
  • A ces 3 composants, il faut ajouter les
    adjuvants ce sont des substances qui
    influencent, et ont un rôle essentiel dans la
    réaction de polymérisation.
  • Les photo - amorceurs
  • Les photo - sensibilisateurs
  • Les inhibiteurs
  • Les retardateurs
  • Les stabilisants

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LES PHOTO - AMORCEURS
  • Celui-ci, sous leffet dun rayonnement, engendre
    des radicaux libres capables de réagir ensuite
    directement sur le monomère et déclencher la
    réaction de polymérisation (ouverture des doubles
    liaisons).
  • Dans le visible, la camphroquinone (une di
    cétone) absorbe la lumière bleue (430-450nm).
  • La réaction ne se produit quen présence dun
    amine (tel que le DAM).
  • Cest le complexe formé par la camphroquinone et
    lamine qui se fractionne en deux radicaux libres
    qui vont alors initier la réaction de
    polymérisation des résines type BIS-GMA.
  • Lefficacité de la polymérisation est sous
    létroite dépendance de la réactivité
    particulière des photo amorceurs.

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LES PHOTO - SENSIBILISATEURS
  • Généralement, les photo amorceurs absorbent la
    lumière dans un domaine étroit de longueur
    donde.
  • Les photo sensibilisateurs sont ajoutés pour
    élargir leur spectre de réponse et accroître leur
    rendement quantique.
  • Ceux-ci facilitent le transfert dénergie aux
    espèces susceptibles de générer des radicaux.
  • La mise au point des mélanges amorceur/ résine/
    sensibilisateur, visant a améliorer les qualités
    des composites, est fort complexe.

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LES INHIBITEURS
  • Ces substances chimiques consomment les radicaux
    amorceurs à des vitesses stoppant lamorçage.
  • Pour être efficace un inhibiteur doit avoir une
    vitesse de réaction assez grande pour consommer
    tous les radicaux amorceurs aussi vite quils se
    forment.
  • Une fois linhibiteur consommé, la polymérisation
    peut démarrer à vitesse normale.
  • Le rôle des inhibiteurs est donc de différer le
    démarrage de la réaction de réticulation
  • Les inhibiteurs les plus souvent utilisés sont
    ceux qui forment avec les radicaux amorceurs des
    radicaux de faible réactivité, tel est le cas des
    quinones et des dérivés du phénol.

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LES RETARDATEURS
  • Leur but nest pas de stopper la réaction, mais
    de diminuer sa vitesse.

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LES STABILISANTS
  • Tous les matériaux polymères subissent une
    dégradation au cours du temps.
  • Le vieillissement se traduit par des craquelures,
    des changements de coloration, des pertes de
    propriétés physiques et mécaniques du matériau.
  • Les stabilisants auront pour rôle de supprimer
    ou de retarder ces phénomènes.

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II/ LA POLYMERISATION
  • Définition, la réaction de polymérisation, la
    rétraction de polymérisation,

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Définition de la polymérisation
  • Mécanisme aboutissant à la formation, à partir
    dun monomère ou de chaînes de polymères, dun
    polymère de plus haut poids moléculaire par
    louverture de doubles liaisons carbone carbone.

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LES REACTIONS DE POLYMERISATION Cette réaction
comporte 3 étapes successives
  • Énergie photonique camphroquinone
    camphroquinone
  • Lénergie lumineuse excite la molécule photo
    initiatrice (camphroquinone) qui génère la
    formation de radicaux libres ()
  • Cest le point de départ dune réaction en
    chaîne.
  • Camphroquinone amine amine
  • Lamine (co amorceur) cède un atome dhydrogène
    à la cétone et devient un radical libre.
  • Amine monomère de résine composite
    monomère (amorçage)
  • Les radicaux libres du co amorceur initient
    louverture des doubles liaisons des monomères,
    ce qui permet lélongation du polymère composite,
    matrice du matériau, donc sa polymérisation.

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Facteurs qui influencent la polymérisation
  • Intensité de la source lumineuse
  • -distance embout/matériau (I 1/d2 )
  • -composantes de la lampe (nature et énergie du
    rayonnement photonique émis)
  • Durée de lexposition 30s 60s
  • Matériau de restauration
  • - nature chimique (charges) et structure de la
    résine composite
  • - grosseur des particules
  • - teinte du composite
  • - épaisseur de la couche (maximum de 2mm,
    au-delà le degré de conversion obtenu est réduit)

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Rétraction de polymérisation
  • Mode de polymérisation
  • photopolymérisation rétraction en direction
    de la source lumineuse, prise rapide, contrainte
    forte.
  • autopolymérisation rétraction au centre de
    la masse, perte de volume sur toute la surface,
    prise lente.

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La polymérisation Effet de
rétraction, entraîne
  • Tension au niveau des tissus dentaires
    (fragilisation cuspide)
  • Déchirure au niveau du joint (percolation,
    dyscoloration)
  • Contraintes internes du matériau (rupture liaison
    résine/particules, fractures cohésives)
  • Diminution de la résistance mécanique
  • Contraction minimale 0.2-0.5

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Facteurs de variation de la rétraction
  • Effet du type de résine Bis-GMA si Bis-GMA
    faible, rétraction
  • Effet des charges charges, rétraction
    finale
  • Effet du volume du matériau polymériser hiatus
    faible avec une quantité faible

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Avantages de la polymérisationils sont nombreux
  • Maîtrise du temps de travail
  • Reconstitution couche par couche
  • Alternances de teintes
  • Retouches, maquillage
  • Combinaison de matériaux de densités différentes
  • De plus, du fait que les photocomposites se
    présentent sous la forme dune seule pâte prête à
    lemploi permet den tirer les avantages suivants
  • Matériau homogène
  • absence de bulles dair et donc de porosités qui
    sont responsables dune diminution des qualités
    mécaniques et esthétiques des composites
  • Économie des matériaux dutilisation
  • Éventail de teinte vaste
  • Meilleures propriétés physico-chimiques

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Inconvénients Ils sont beaucoup moins nombreux
  • Il ne faut pas exposer le matériau aux sources
    lumineuses ambiantes trop intenses. Ceci pouvant
    provoquer une réticulation précoce du composite
  • La température de la dent a tendance à augmentée
  • Éblouissement potentiel du patient et surtout du
    praticien suite à une utilisation fréquente
  • Le coût de la lampe nest pas à négliger

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IV/ Critère de choix dun adhésif
24
1) Rôle
  • Ils font la liaison entre composites et support
    dentaire amélaire ou dentinaire.
  • On cherche à établir un lien idéalement adhérent
    et étanche entre les tissus dentaires calcifiés
    et les biomatériaux de restauration ou
    dassemblage.
  • Hormis les ciments verres ionomères, et quelques
    exceptions, tous les biomatériaux employés en
    dentisterie restauratrice et en prothèse fixée
    requièrent leur emploi.

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2) Propriétés recherchées
  • Biocompatibilité
  • Assurer de manière immédiate un joint adhérent
    suffisamment fort pour sopposer aux contraintes
    de polymérisations
  • Adhésion aux structures dentaires émail et
    dentine
  • Cohésion - Etanchéité
  • Répartition uniforme
  • Polymériser en présence dO2
  • Coller en milieu humide
  • Pérennité du collage

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3) Composants
  • Un acide permet la déminéralisation,
    louverture des tubulis et lexposition
    des fibres de collagène
  • Un primer Favorise le mouillage, permet de
    configurer les fibres de collagène empêche
    leur effondrement par déshydratation
  • Un siler Résine qui sinsert dans la matrice
    partiellement déminéralisée elle complète
    lintérieur des tubulis et sancre avec les
    fibres de collagène.

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  • On a vu se succéder de nombreuses générations
    dadhésifs de plus en plus efficaces.
  • Nous nous intéresserons seulement aux 4ème,
    5ème, 6ème et 7ème générations car à partir de la
    4ème génération , ce na sont pas les performances
    mais le conditionnement et lergonomie qui ont
    changés.

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On peut les répartir en deux groupes
  • Les MR Mordançage et Rinçage
  • ? 3 temps 4ème génération
  • ? 2 temps 5ème génération
  • Les SAM Systèmes Auto-Mordançants
  • ? 2 temps 6ème génération
  • ? 1 temps 7ème génération

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(No Transcript)
30
5) AvantagesMR SAM
  • Mordançage à lacide orthophosphorique souvent
    plus profond permet un nanoclavetage qui donne
    un très bon joint
  • Boue dentinaire éliminée? pas de risque de
    contamination
  • On peut utiliser séparément les différents
    composants (utile pour la restauration dun
    composite par exemple)
  • Etanchéité immédiate garantie car le front de
    déminéralisation front de pénétration du
    monomère
  • Simplification de la procédure clinique limite
    les risques derreur à chaque étape
  • Pas de rinçage limite les risques de
    contamination par saignement ou par fluides
    gingivaux
  • Pas ou peu de sensibilités post-opératoires grâce
    au bouchon de boue dentinaire
  • Travail sur dentine ou émail sec donc pas de
    gestion de lhumidité

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6) InconvénientsMR SAM
  • Boue dentinaire rebouche plus les tubulis donc
    plus de risques de sensibilités post-opératoires
  • Il faut maîtriser lhumidité sécher sans
    dessécher, attention à leffet de piston avec
    leffet osmotique
  • Mais, lacide fort requiert la présence deau ?
    utilisation dalcool ou dacétone pour léliminer
  • Au moment du rinçage, risque de brûlure des
    tissus buccaux et de saignement dun parodonte
    marginal (notamment en labsence de digue)
  • Adhésion à lémail moins favorable sur émail non
    préparé
  • Pas toujours compatible avec les composites
    chémopolymérisables
  • Risque dhydrolyse à long terme des monomères
    hydrophiles
  • Durée dutilisation plus courte
  • Risque au niveau de la boue dentinaire non
    totalement éliminée présence possible de germes

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7) Résumé
  • Les SAM sont plus simples à utiliser- présentent
    moins de risques de contamination par le sang et
    les fluides- présentent moins de sensibilités
    post-opératoires- mais ont un pouvoir adhésif
    inférieur
  • Remarques
  • - attention à la photopolymérisation-
    attention à lincompatibilité des adhésifs avec
    certains composites

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8) Conclusion
  • Malgré les progrès observés chez les adhésifs et
    les composites, on ne peut pas encore parler de
    joint parfait
  • De plus, lefficacité des adhésifs dépend
    principalement de leur mise en œuvre car la
    technique adhésive savère très sensible à la
    manipulation
  • Le choix du praticien se fera donc en
    fonction du tableau clinique et de ses
    compétences

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9) Exemples cliniques
  • Reconstitution dun composite
  • ? MR pour refaire le joint
  • Obturation dune dent postérieure - cavité de
    taille moyenne - fortes contraintes occlusales
  • ? MR car plus efficace
  • Dent jeune (grosse pulpe) - cavité importante
  • ? SAM car risque sensibilité post-opératoire
  • Patient chez qui on ne peut pas poser la digue -
    cavité modérée
  • ? SAM pour limiter les risques de contamination

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V/ Les lampes à polymériser
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Propriétés de la lampe idéale
  • Peu coûteuse
  • Esthétique
  • Ne pas induire daltération des tissus mous, en
    particulier pulpaire
  • Produire un spectre adapté à lamorçage de la
    polymérisation de tous les matériaux
    photopolymérisables proposés sur le marché
  • Facile dutilisation Durable, fiable
  • Insonore
  • Légère et compacte (maniable
    et ergonomie)
  • Propriétés techniques de la lampe idéale
  • Temps opératoire rapide
  • Degré de conversion final
  • en profondeur 100
  • en surface monomère résiduel
  • Contraction de polymérisation nulle
  • infiltration marginale nulle
  • Douleur post-opératoire aucune

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LAMPE CONVENTIONNELLEou Lampe halogène classique
  • Lénergie photonique est induite par le passage
    dun courant électrique à travers un filament de
    tungstène contenu dans une ampoule de quartz
    remplie de gaz halogène.
  • Temps de polymérisation 40secondes
  • Distance embout-matériau lt 1 cm
  • Spectre 400-520 nm ( lumière du visible bleue)
    large, donc leur permet de polymériser la
    plupart des résines composites.
  • Irradiance (en bout de fibre) 600 - 1000 mW/cm2
  • Avantages
  • Meilleure intégrité marginale (vs PAC et
    laser)
  • Polymérisation qui se poursuit un certain temps
  • Pour 2 mm dépaisseur
  • Désavantages
  • I 1/d2 quand d gt1 cm (perte de 40 )
  • Spectre large
  • Degré de conversion faible en profondeur
    (nécessite strat.)

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Exemples de lampes halogènes
Optilux 501
Astralis 5
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LASER
  • Temps de polymérisation ¼ du temps requis par
    la lampe conventionnelle
  • Distance embout-matériau aucune restriction
  • Spectre 450-490 nm
  • Irradiance 1000 mW/cm2
  • Désavantages
  • Contraction de polymérisation
  • Intégrité marginale
  • Douleur post-opératoire
  • Dégagement important de chaleur affectant la
    pulpe et le parodonte
  • Effets inconnus sur les tissus biologiques
  • Dommages aux yeux
  • Encombrant
  • Ventilation bruyante
  • Coût
  • Avantages
  • Aucune perte dintensité
  • Moins de monomère résiduel
  • Meilleures propriétés physiques
  • Puissance et rapidité
  • Polymérisation à travers la dent
  • Image publique intéressante
  • PEU UTILISE !!!!

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LAMPE A HAUTE INTENSITE (PAC LIGHT)Plasma Arc
Curing
  • Nommée également Lampe à polymérisation rapide
  • Technologie semblable au laser
  • Source lumineuse gaz ionisé à haute pression
    traversé par un courant électrique
  • Utilisée pour de nombreuses applications
    médicales
  • Temps de polymérisation 3 secondes (faible)
  • Distance embout-matériau peu dimpact clinique
  • Spectre 430-500 nm (étroit)
  • Irradiance gt600 mW/cm2

Avantages Spectre spécifique à lexcitation de
la camphoroquinone Degré de conversion Temps à
la chaise Réglage automatique pour une
intensité lumineuse constante
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  • Désavantages
  • Contraction de polymérisation très
  • Impossibilité de photopolymériser certains
    adhésifs et composites
  • Stress et contraintes très
  • - microfractures nombreuses
  • - instabilité colorimétrique
  • - dégradation rapide des restaurations
    réalisées
  • - percolation marginale associée à des récidives
    de caries
  • - douleur post-opératoire
  • Achat très coûteux

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LES LAMPES A DIODES ELECTROLUMINESCENTES (LED)
  • Cest le dernier type de source en cours
    dexpérimentation
  • Ce sont des micro-plaquettes solides qui
    transforment directement lénergie électrique en
    énergie photonique
  • Temps de polymérisation 440 à 490 nm (dans la
    longueur donde du bleu)
  • Irradiance 1ère génération inf. à 300 mW/cm2
  • 2eme génération 1000 mW/cm2 en
    moyenne
  • Avantages
  • Elles sembles idéales car elles émettent une
    lumière bleue correspondant au spectre
    dabsorption de la camphroquinone
    dégagent très peu de chaleur
  • Ont des durées de vie supérieures à 100 000
    heures avec une très faible perte de puissance
    avec le temps ( lampes halogènes)
  • Dun point de vue ergonomique, elles sont
    équipées dune batterie et sont donc sans fil
  • Elles supportent sans dommage les allumages
    fréquents
  • Grâce à leur nature solides, ces générateurs sont
    très résistants aux chocs ( des ampoules des
    lampes halogènes)

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  • Inconvénients
  • les 1ères génération avaient un spectre
    démission relativement étroit, rendait
    problématique la polymérisation des matériaux
    contenant un photo- initiateur différent de la
    camphroquinone (amélioré avec la nouvelle
    génération)
  • Leur coût
  • Point faible de lautonomie limitée des
    batteries, même si le branchement sur secteur
    basse tension par un cordon permet de résoudre
    partiellement ce problème avec de ce fait une
    perte de maniabilité !!!

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Exemples de LED
Bluephase
Coltolux
Elipar FreeLight II
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Spectre démission de quelques lampes à
photopolymériser
  • Le spectre des lampes halogènes (de forme
    trapézoïdale) couvre une plus grande surface
    dabsorption que le spectre des LED (de forme
    gaussienne)

46
DISCUSSION
  • Il faut rappeler quil est impossible de
    polymériser vite et bien Les lampes
    plasma et laser dont les atouts commerciaux
    étaient un gain de temps lors de la
    polymérisation, sont aujourdhui abandonnés
  • Il apparaît aujourdhui clairement dans la
    littérature que les lampes halogènes et les LED
    de 2e génération permettent dobtenir un degré de
    conversion du composite comparable sur une
    profondeur de 2mm
  • Les lampes halogènes
  • Un entretien et un remplacement irrégulier des
    ampoules halogènes (tous les 6mois pour maintenir
    leurs performances)
  • Leur spectre large offre une fiabilité de
    polymérisation quelque soit le matériau à
    polymériser
  • Leur coût dachat les rend également attractives
  • Les LED de 2e génération présentent des
    performances tout à fait intéressantes
  • Leur permettent de rivaliser aujourdhui avec les
    lampes halogènes
  • Leur coût à lachat reste relativement important
  • Toutefois cette technologie est en constante
    évolution. Les progrès de demain sont déjà
    annonciateurs de diodes organiques plus
    polyvalentes et plus performantes encore A voir
    !!!

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  • Les applications cliniques
  • Dans lobturation de la cavité la
    photopolymérisation exige un travail par couches
    nexcédant pas 2mm.
  • Dans le choix des matrices sont préconisées les
    matrices transparentes car elles laissent passer
    les rayonnements lumineux, même si elles en
    absorbent une partie (5). De ce fait le matériau
    doit être polymérisé quelques secondes après la
    dépose de la matrice.
  • Dans le choix des coins le choix se porte
    majoritairement sur les coins transparents qui
    transmettent la lumière latéralement. Ils sont en
    plus conçus pour reproduire la convexité des
    faces proximales. Cependant, ils absorbent une
    partie de la lumière et seulement 20 parviennent
    aux faces proximales.

48
CONCLUSION
49
(No Transcript)
50
  • En conclusion, il faut avant tout retenir quil
    nexiste pas de règles strictes.
  • Chaque cas clinique amène son propre
    raisonnement, qui induit son propre choix
    thérapeutique !!
  • Quelque soit la solution retenue, un suivi
    régulier est nécessaire
  • Car, il faut considérer que cest un domaine très
    récent (1962), en constante évolution, qui a
    encore ses limites

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BIBLIOGRAPHIE
  • Réalités cliniques les composites- dec. 2005
  • Information dentaire vol. 85, 86 et 87
  • Thèse sur la contribution à létude de la
    photopolymérisation des composites par Stéphane
    LECUYER
  • Thèse sur la lampe halogène et lampe LED par M.C.
    VALATS
  • Faire la lumière sur la polymérisation de FMD
    (formation continue)
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