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forme volu e: ulc ration, l sion v g tante, st nose infranchissable ... transit baryt oeso-gastro-duod nal: en cas de st nose infranchissable par l'endoscope ... – PowerPoint PPT presentation

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1
ŒSOPHAGE ESTOMACEKEUH cca/ Pr WIND26/02/2008
Alain Ekeuh kakanou cca
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  • ŒSOPHAGE
  • Douleurs, dysphagie, régurgitation, pyrosis,
    reflux gastro-oesophagien
  • Imagerie TOGD,fibroscopie, écho-endoscopie.
  • Méga-œsophage, diverticule,cancer,
    perforation,varices oesophagiennes

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  • DYSPHAGIE
  • Définition sensation de blocage ou de gêne
    ressentie lors du passage des aliments dans
    lœsophage
  • Diagnostic différentiel odynophagie, sensation
    de satiété précoce, dysphagie oro-pharyngées
    hautes
  • Étiologies cancer, sténose peptique,
    oesophagites infectieuses, achalasie primitive

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  • DYSPHAGIE Interrogatoire
  • son évolution continue, progressive,
    intermittente.
  • son caractère solides, solides liquides.
  • Paradoxale liquide uniquement
  • circonstances âge, alcoolo-tabagique,
    médicaments, caustiques, radiations,
    immuno-dépression, diabète, sclérodermie,
    association avec des symptômes oesophagiens (
    reflux, odynophagie, régurgitations, fausses
    routes, toux immédiate à lalimentation,
    dysphonie,douleurs thoraciques à lalimentation,
    hypersialorrhée, le hoquet, les otalgies
  • retentissement nutritionnel notion très
    importante, surtout la perte pondérale par
    rapport au poids initial

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  • DYSPHAGIE Examen clinique
  • recherche de ganglions sus claviculaires
  • recherche dune tuméfaction cervicale
  • recherche dune hépatomégalie métastatique
  • recherche dune ascite
  • recherche des signes cutanés de sclérodermie
  • inspection du plancher buccal

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  • DYSPHAGIE Examen essentiel
  • Fibroscopie oeso-gastro-duodénale
  • recherche la lésion responsable
  • situe la lésion par rapport aux arcades dentaires
  • permet la réalisation de biopsies
  • permet de mieux sélectionner les prochains
    examens complémentaires ( écho-endoscopie,
    scanner médiastinal, transit,Phmétrie,
    manométrie)

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  • REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
  • ( RGO) PATHOLOGIQUE
  • définition reflux caractérisé par des symptômes
    et/ou des lésions désignées sous le terme
    dœsophagite.
  • conséquences il en résulte une anomalie
    idiopathique de la motricité oesophagienne des
    relaxations inappropriées du SOI jouent un rôle
    déterminant dans la physiopathologie du RGO

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  • REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
  • LA HERNIE HIATALE
  • définition protusion dune partie de lestomac
    dans le thorax à travers le hiatus oesophagien du
    diaphragme
  • hernie par glissement 95, le cardia est en
    position intra thoracique, favorise le RGO
  • hernie par roulement 5, le cardia est en
    position intra abdominale et la grosse tubérosité
    et parfois le corps gastrique sont en position
    intra thoracique

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  • REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
  • LA HERNIE HIATALE

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  • REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
  • Physiologie multifactorielle
  • principalement par défaillance du SOI.
  • peut exister en labsence de hernie hiatale qui
    nest ni nécessaire, ni suffisante pour justifier
    un RGO.
  • par un nombre excessif de relaxations
    transitoires du SOI se produisant en dehors des
    déglutitions.
  • Les formes sévères de RGO associent un
    effrodrement du SOI

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  • REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
  • Physiologie multifactorielle

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  • REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
  • Signes fonctionnels
  • pyrosis brûlures retro sternales ascendantes
  • régurgitations acides remontées sans nausées du
    contenu gastrique jusquau niveau pharyngée
  • pyrosis et régurgitation sont les pierres
    angulaires clinique du RGO avec leur caractère
    postural, post prandial.
  • parfois des brûlures épigastrique sans trajet
    ascendant et rarement la toux, la dyspnée
    asthmatiforme souvent nocturne, des symptômes
    laryngés ou pharyngés ( enrouement, dysesthésies
    bucco-pharyngées) isolée ou associées aux
    symptômes précédents.

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  • REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
  • Examens complémentaires
  • fibroscopie examen normal 1/5 au cours des RGO
    symptomatiques, permet daffirmer le diagnostic
    lorsquelle découvre une oesophagite définie par
    une perte de substance au moins épithéliales (
    érosive), ou profonde ( ulcéreuse rare)
  • pHmétrie de 24 h exploration fonctionnelle de
    choix, sensible et spécifique
  • manométrie nobjective pas le RGO, mais
    renseigne sur leffrodrement de la pression du
    SOI, à un intérêt dans les anomalies motrices.

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  • ŒSOPHAGE examens complémentaires
  • Transit Oeso-Gastro-Duodénal précise le siège
    tumoral, son étendue en hauteur, surtout si
    celle-ci est infranchissable par lendoscope,
    étudie lestomac. Exclure une fistule
    oeso-trachéale contre indiquant lutilisation de
    Baryte
  • Endoscopie lœsophagoscopie renseigne sur la
    localisation tumorale par rapport aux arcades
    dentaires, et les limites de lenvahissement
    tumoral intra luminal et intra pariétal. Associe
    des biopsies multiples, recherche les fistules
    trachéo ou broncho-oesophagiennes contre
    indiquant la chirurgie et la radiothérapie

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  • ŒSOPHAGE examens complémentaires
  • Fibroscopie bronchique systématique pour
    rechercher lenvahissement de larbre
    trachéo-bronchique refoulement,voire
    bourgeonnement endoluminal, associe des biopsies.
  • scanner permet de réaliser une étude du
    médiastin et labdomen supérieur. Le but
    essentiel est le dépistage dun envahissement
    médiastinal en regard de laxe trachéo-bronchique,
    ainsi que la recherche métastases hépatiques et
    ganglionnaires cœliaques
  • IRM peu dintérêt, pas de supériorité par
    rapport au scanner
  • écho-endoscopie dans le bilan dune masse
    tumorale oesophagienne.

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  • ŒSOPHAGE Méga-œsophage
  • Il sagit de dyskinésie. Londulation secondaire
    naît de la portion inférieure de lœsophage et se
    propage vers le haut par un mouvement
    antipéristaltique mis en évidence par la
    manométrie oesophagienne
  • Cest un diagnostic dexclusion après que la
    fibroscopie oeso-gastro-duodénale aie démontré
    normal de la muqueuse oesophagienne

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  • ŒSOPHAGE Méga-œsophage Achalasie ou
    Cardiospasme
  • affection nerveuse dégénérative idiopathique.
    Perte de ganglions nerveux de lœsophage
    inférieur entraînant une absence de péristaltisme
    oesophagien et de relaxation du SOI.
  • dysphagie chez tous les patients. Affecte
    solides et liquides et rarement paradoxal,
    variable dun jour à lautre, capricieuse.
  • blocages intermittents avec régurgitations
    alimentaires en fin de repas. Fausses routes et
    toux possibles, associe parfois des douleurs
    thoraciques transfixiantes par distension
    oesophagiennes
  • perte de poids au stade ultime de lévolution si
    dysphagie majeure.

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  • ŒSOPHAGE Méga-œsophage diagnostic Manométrie
  • hypertrophie du SOI, supérieur à 45 mmHg, mais
    ceci est inconstant
  • insuffisance ou absence de relaxation du SOI lors
    de la déglutition dun peu deau
  • surtout absence totale de péristaltisme
    oesophagien au niveau du corps de lœsophage.

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  • ŒSOPHAGE Méga-œsophage Achalasie ou
    Cardiospasme
  • complications
  • Candidose
  • Cancer épidermoïde

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  • ŒSOPHAGE Diverticules oesophagiens
  • diverticule de Zenker hernie postérieure de la
    muqueuse et de la sous muqueuse, à travers la
    musculeuse siégeant entre le constricteur
    inférieur du pharynx et le muscle crico
    pharyngien.
  • clinique patient âgé, dysphagie haute
    intermittente et régurgitations des aliments non
    digérés qui soulagent le patient, ces
    régurgitations peuvent être déclenchées par la
    rotation de la tête ou sur la pression sur une
    région particulière du cou

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  • ŒSOPHAGE Cancer
  • épidermoïde 80 des cancers de
    lœsophage,développé à partir de lépithélium
    malpighien,incidence 5000 cas/an en France,
    terrain alcool et tabac, sex. ratio 12, âge moyen
    65 ans
  • adénocarcinome 20 des cancers de lœsophage,
    terrain endobrachyœsophage œsophage de BARRET (
    remplacement sur une hauteur plus ou moins grande
    de lépithélium malpighien de lœsophage distal
    par un épithélium métaplasique cylindrique de
    type fundique, cardial ou intestinal ), sex.
    ratio 10

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  • ŒSOPHAGE Cancer Clinique
  • dysphagie symptôme dominant, en particulier
    pour les solides, dapparition récente et
    daggravation progressive avec dénutrition.
  • lésion évoluée ou complication douleur
    thoracique, infection broncho-pulmonaire ( fausse
    route, fistulisation dans larbre respiratoire)
  • dyspnée inspiratoire par compression trachéale
  • dysphonie par atteinte réccurentielle
  • syndrome de Claude Bernard Horner
  • compression cave
  • hémorragie par érosion de gros vaisseaux
  • anémie
  • ganglion de Troisier

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  • ŒSOPHAGE Cancer Diagnostic
  • Fibroscopie œsophagienne
  • lésion limitée détection par coloration au
    lugol, zone dépolie petit nodule, petite plage
    érodée
  • forme évoluée ulcération, lésion végétante,
    sténose infranchissable
  • biopsies multiples indispensables confirmation
    anatomo-pathologique, type histologique
  • frottis par brossage pour sténose infranchissable

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  • ŒSOPHAGE Cancer Diagnostic
  • Fibroscopie œsophagienne
  • lésion limitée détection par coloration au
    lugol, zone dépolie petit nodule, petite plage
    érodée
  • forme évoluée ulcération, lésion végétante,
    sténose infranchissable
  • biopsies multiples indispensables confirmation
    anatomo-pathologique, type histologique
  • frottis par brossage pour sténose infranchissable

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  • ŒSOPHAGE Cancer Diagnostic
  • Transit baryté œsophagien
  • sténose infranchissable
  • étendue et topographie de la lésion

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  • ŒSOPHAGE perforation
  • incidence en augmentation en raison de nombreux
    actes interventionels dilatations, sclérose,
    laser
  • exceptionnelle sur un œsophage sain
  • la perforation est provoquée par un traumatisme
    direct, les ruptures oesophagiennes sur corps
    étrangers associent les 2 rôles de l imagerie
    visualiser la perforation et ses conséquences

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  • ŒSOPHAGE perforation présentation
  • emphysème sous cutanée
  • épanchement pleural fréquent
  • collapsus, état syncopal
  • syndrome infectieux

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • ulcères gastro-duodénaux, complications des
    ulcères
  • sténose du pylore
  • perforation

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • Signes dappel vers une maladie gastro-duodénale.
  • épigastralgies crampes ou brûlure
  • dyspepsie post prandiale
  • anorexie
  • nausées
  • vomissements
  • dysphagie
  • hémorragie digestive hématémèse, méléna
  • adénopathie sus claviculaire gauche ( ganglion de
    trosier)
  • anémie
  • AEG

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • Syndromes douloureux ulcéreux.
  • épigastralgies quotidienne
  • À type de crampe
  • À distance des repas, à prédominance nocturne
  • Calmée par lalimentation ou un antiacide
  • Évoluant par périodes de durée et de fréquence
    variable dans lannée, entrecoupées de rémissions
    complètes

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • Brûlures épigastriques.
  • sensations de cuisson et dacidité
  • après le repas, surtout après la prise de
    boissons alcoolisées, daliments gras, épicés,
    acides ou sucrés

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • Syndrome dyspeptique.
  • Inconfort épigastrique lié à une pesanteur à un
    ballonnement
  • Impression de plénitude gastrique
  • Sensation de digestion prolongée
  • Habituellement post prandial

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • régurgitation, nausées, vomissements.
  • régurgitations remontées acides et/ou
    alimentaires survenant sans effort et sans nausée
  • vomissement phénomène actif, expulsion par la
    bouche du contenu gastrique accompagné de
    contractions musculaires abdominales et
    diaphragmatiques douloureuse
  • nausée équivalent subjectif à minima du
    vomissement quelle peut précéder
  • troubles neurovégétatifs accompagnant nausées et
    vomissements pâleur, sudation, salivation,
    hypotension artérielle,bradycardie

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • Explorations complémentaires.
  • endoscopie oeso-gastro-duodénale réalisations
    des biopsies, actes thérapeutiques ( ablation ou
    destruction des tumeurs)
  • transit baryté oeso-gastro-duodénal en cas de
    sténose infranchissable par lendoscope
  • tubage gastrique recueil de la sécrétion
    gastrique, mesure du débit acide gastrique à
    létat basal et lors des épreuves dynamiques
  • échoendoscopie exploration pariétale gastrique
    et des structures avoisinantes

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  • ESTOMAC ET DUODENUM
  • Explorations complémentaires.
  • Recherche dHelicobacter Pylori
  • méthodes directes par biopsies antrales et
    fundique
  • histologie
  • test rapide à lurée
  • méthodes indirectes
  • test respiratoire à lurée 13C

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  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Physiopathologie
  • déséquilibre entre des facteurs dagression (
    sécrétions acides et peptique) et des facteurs de
    défense de la muqueuse ( mucus, épithélium de
    surface)
  • Ulcère duodénal facteur dominant agression
    chlorhydropeptique
  • Ulcère gastrique facteur dominant altération de
    la muqueuse

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  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Physiopathologie
  • Facteurs favorisants
  • Hélicobacter Pylori
  • 30 de la population générale
  • 85 des ulcères gastriques
  • 95 des ulcères duodénaux
  • - Prise dAINS
  • - Tabac

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  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • épidémiologie
  • ulcère duodénal 4 fois plus fréquent que lulcère
    gastrique
  • sex. ratio 3
  • ulcère duodénal sujets plus jeunes que lulcère
    gastrique
  • incidence en nette diminution

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  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • circonstances de découverte
  • syndrome ulcéreux
  • brûlure épigastrique
  • syndrome dyspeptique
  • vomissements
  • hémorragie digestive
  • perforation
  • latence clinique

40
  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Diagnostic endoscopie oeso-gastro-duodénale
  • ulcère duodénal
  • Ulcère gastrique distinguer le caractère bénin
    ou malin
  • Biopsies multiples
  • Endoscopie de contrôle après 6 semaines de
    traitement avec des biopsie sur lulcère
    persistant ou sur sa cicatrice

41
  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Complications
  • Perforation dulcère
  • Sténose pylorique

42
  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Perforation dulcère
  • Complique 10 dulcère gastro duodénaux
  • Plus fréquente au niveau duodénal par rapport au
    niveau gastrique
  • Perforation révélatrice de la maladie ulcéreuse
    40
  • Physiopathologie péritonite chimique
  • Interrogatoire symptomatologie ulcéreuse, ATCD
    ulcéreux, prise dAINS

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  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Perforation dulcère
  • signes fonctionnels
  • douleurs de début brutal ( en coup de poignard)
    dans lépigastre avec extension.
  • nausées, vomissements
  • arrêt du transit
  • signes généraux
  • apyrexie ( au début et ensuite fièvre au stade de
    péritonite)
  • pas de choc, sauf au stade ultime
  • signes physiques
  • CONTRACTURE de l'épigastre avec extension
    généralisée
  • absences de bruits hydro-aérique
  • tr vive douleur au niveau du cul de sac du
    douglas

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  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Sténose pylorique
  • Complique 1à 2 des ulcères gastro duodénaux
  • disparition de la matité hépatique
  • Plus fréquente au niveau duodénal par rapport au
    niveau gastrique
  • Perforation révélatrice de la maladie ulcéreuse
    10
  • Interrogatoire
  • symptomatologie ulcéreuse depuis de nombreuses
    années ( 10-15 ans en moyenne)
  • ATCD de complication de lulcère ( perforation,
    hémorragie) chez ¼ des malades

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  • ULCERE GASTRIQUE OU DUODENAL
  • Sténose pylorique
  • signes fonctionnels
  • vomissements post-prandiaux tardifs ( parfois
    remplacés par une pesanteur épigastrique post
    prandiale, précoce,prolongée), ils ne contiennent
    pas ou très peu de bile
  • douleurs épigastre.
  • signes généraux
  • amaigrissement
  • Signes de déshydratation
  • signes physiques
  • Distension gastrique masse rénitente
    épigastrique, légèrement sensible ou indolore
    pouvant descendre jusquau pelvis
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