Chapitre 2 Lconomie dchange - PowerPoint PPT Presentation

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Chapitre 2 Lconomie dchange

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Apprentissage : l'int r t dynamique de la sp cialisation. Coop ration ... L' change multilat ral : au-del de l' change simple entre deux parties, quelles ... – PowerPoint PPT presentation

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Title: Chapitre 2 Lconomie dchange


1
Chapitre 2 Léconomie déchange
2
Pourquoi vivre en société ?
  • Plan du chapitre
  • Spécialisation quels sont les causes de la
    division du travail ?
  • Apprentissage lintérêt dynamique de la
    spécialisation
  • Coopération et échange corollaire de la
    spécialisation, comment léchange peut être
    efficient?
  • Les obstacles à la coopération quels sont les
    obstacles à lefficacité des échanges ?
  • Léchange multilatéral au-delà de léchange
    simple entre deux parties, quelles sont les
    sources defficacité de léchange multilatéral ?

3
Section 1 La spécialisation
4
Pourquoi coopérer lorsque les individus sont
identiques ?
  • Une observation
  • Pour construire un objet ou même vendre un
    produit, plusieurs personnes ont exactement les
    mêmes taches, et ces différents groupes de
    personnes se succèdent lors de la production.
  • Pourquoi ne pas faire suivre par louvrier
    lobjet du début à la fin de la chaîne de montage?

5
Lexistence dune phase de rendements croissants
  • Si une personne A produit seule 5 unités de bien
    et quune autre personne B produit seule 2 unités
    de bien, alors que si elles produisaient ensemble
    elles obtiendraient 8 unités de bien
  • avantage à la coopération
  • laccroissement de production, le rendement,
    obtenu par la coopération est supérieur à celui
    obtenu en labsence de coopération
  • Définition le rendement est laccroissement de
    production obtenu par laccroissement dune unité
    supplémentaire de travail (ou dun autre facteur
    de production).

6
Phase de rendements croissants
7
Rendements et choix de production
  • Dans notre exemple, le 2ème employé a un
    rendement supérieur au 1er il y a clairement
    intérêt à produire à deux, au moins.
  • Les rendements doivent-ils continuer à être
    croissants pour produire à 3 ?
  • non, le 3ème, même si son rendement est
    inférieur au 2ème, peut rapporter plus que le
    1er.
  • il y a donc intérêt à produire, coopérer, à
    trois

8
Pourquoi les rendements seraient-il croissants au
début du processus de production ?
  • Ex. le cowboy ne peut pas conduire seul son
    troupeau
  • lajout dun cowboy supplémentaire permet de
    mieux encercler le troupeau (rendements croissant
    du 2ème employé)
  • on peut ici prévoir que la phase des rendements
    croissants se prolongera jusquà ce que le
    troupeau soit complètement encerclé
  • la phase de décroissance des rendements peut
    corresponde à lajout demployés permettant que
    les équipes se relaient et conduisent plus de
    troupeaux

9
Les sources de rendements croissants
  • Economies internes
  • Le doublement de la production peut être obtenu
    par de simples modifications de lutilisation des
    ressources (ex laccroissement de la production
    ne nécessite pas laccroissement des routes)
  • Economies externes
  • Changer sa façon de produire peut induire des
    réduction de coût pour son voisin
  • Intérêt à la gestion mutuelle pour profiter des
    externalités.

10
Lien entre rendements et coûts de production
  • Lexistence de rendements croissants traduit le
    fait que produire à plus grande échelle permet de
    redéployer des facteurs de production ?
    production plus efficace.
  • Cette meilleure utilisation des facteurs se
    traduit par des coûts décroissants le coût
    total de production croît moins que
    proportionnellement au volume de la production ?
    il y a une économie sur les coûts

11
Rendements déchelle et coûts unitaires
Coût unitaire
Coût unitaire
Rendements déchelle croissants
Rendements déchelle décroissants
Rendements déchelle constants
Quantité produite
Quantité produite
12
Diversité des ressources et coopération
  • Si les individus ont des capacités de travail
    différentes, ils peuvent tirer parti de leurs
    différence en coopérant.
  • Deux travailleurs, lun travaillant deux fois
    plus vite que lautre doivent-ils travailler
    ensemble pour exploiter un champ?
  • oui, à condition que lun est la responsabilité
    de 2/3 du champ, lautre nen ayant quun 1/3.
  • Attention cas simple car on suppose que la
    production de lun est toujours de 2 fois
    supérieure à celle de lautre.
  • On ne dit rien pour linstant de la façon
    dont il faut se séparer le gâteau .

13
Cas général du partage des taches
14
Leçon à tirer de cet exemple
  • Le partage des taches doit être tel que
    laugmentation de la production du travailleur le
    plus rapide résultant de la mise à sa disposition
    dune unité supplémentaire de facteur de
    production compense exactement la diminution de
    la production du travailleur le plus lent.
  • Le produit marginal du premier est alors égal à
    celui du second
  • dans lallocation, le coût dopportunité (moins
    de terre pour le second) doit être couvert par le
    produit marginal.

15
Section 2 Coopération et échanges
16
Lavantage absolu
  • Un bien pour être produit a besoin de deux
    compétences lemployé A en possède une alors
    que lemployé B possède lautre.
  • Chacun deux à un avantage absolu.
  • La spécialisation sera alors complète.
  • Si lemployé A possède les deux compétences et
    est plus rapide dans lune des deux.
  • Chacun deux garde un avantage absolu.
  • La spécialisation ne sera pas complète, A pouvant
    exécuter les deux taches

17
Lavantage comparatif
  • Problème il existe des employés qui nont aucun
    avantage absolu, et pourtant ils ont leur place
    dans la production de la société.
  • Pourquoi ces employés remarquables se
    spécialisent?
  • La théorie de lavantage absolu nest pas
    suffisant e pour expliquer la division du
    travail observée.

18
Lavantage comparatif
  • A a un avantage absolu dans les deux activités
  • A a un avantage comparatif en musique. Il produit
    3 fois plus de partitions que de textes 9/3gt4/2
  • B a un avantage comparatif en paroles 2/4 gt 3/9

19
Lavantage comparatif un guide pour la
spécialisation
  • A arrête décrire des paroles pendant une
    semaine, et ne fait que des musiques.
  • B nécrit que des textes pendant deux semaines et
    ne compose plus.
  • Les gains de cette spécialisation compensent
    les pertes.

20
Degré optimal de spécialisation
21
Lapprentissage par la pratique
  • Ce qui renforce ou peut créer un avantage
    comparatif lapprentissage.
  • Il peut être intéressant pour un groupe
    demployés tous identiques que certains se
    spécialisent afin dacquérir un avantage
    comparatif.
  • Cette formidable augmentation de la quantité de
    travail quun même nombre de gens, du fait de la
    division du travail, est capable daccomplir, est
    dû à trois circonstances premièrement, à la
    dextérité accrue de chacun des travailleurs
    deuxièmement, à léconomie de temps que lon perd
    habituellement en passant dun type de travail à
    un autre et enfin, à lintervention dun grand
    nombre de machines qui facilitent et allègent
    leffort et permettent à un seul homme
    daccomplir le travail dun grand nombre
  • (A. Smith, La Richesse des Nations, 1776, L 1,
    Ch1, p.7)

22
La coopération dans la consommation
  • Se spécialiser dans la production
  • absence de diversité des biens produits par un
    agent
  • intérêt à se spécialiser que sil est possible
    déchanger le surplus de biens que lon a
    avantage à produire.
  • lavantage comparatif (ou absolu) concernant des
    biens différents, léchange est nécessaire pour
    quil y ait des gains

23
Gains mutuels à léchange
  • Hypothèse 1 A a un avantage comparatif dans la
    production de b2
  • Hypothèse 2 B a un avantage comparatif dans la
    production de b1
  • Signification si le producteur relativement
    meilleur dans la production de b1 réduit dune
    unité sa production de b2, le surplus de
    quantités produites en b1 est supérieur à ce que
    pourrait obtenir lautre producteur.
  • ? Il existe des avantages à léchange pour A,
    le coût de b1 en terme de b2 est élevé, et
    inversement pour B.

24
Mise en uvre le commerce
  • A paie très cher en terme de b2 sa production de
    b1
  • Il peut obtenir auprès de B des unités
    supplémentaires de b1, en les payant moins chères
    que sil les fabriquait lui-même.
  • Pour le même effort productif, tous deux peuvent
    donc obtenir plus à deux quen autarcie ?
    naissance du commerce.

25
Le cas simple avec production constante
b2
Conso A
b2
Conso B
1
Avant échanges
2
1
1
Après échanges
c
c
1
2
1
b1
1
b1
  • A en c renonce à 2 unités de b2 pour 1 de b1
  • Si on lui propose de commercer avec des termes
    déchange de 1 unités de b1 pour 1 de b2 gt
    Échange avec B du b2 contre plus de b1 choix
    élargi (possibilité de faire mieux que c).

26
Leçon à tirer de lexemple
  • Si A possède un avantage comparatif dans la
    production de b2 ? si il réduit dune unité sa
    production de b1, laccroissement de b2 obtenu
    est supérieur à celui obtenu par lagent B
  • A meilleur en b2 paie plus cher le b1 (2/1)
  • B meilleur en b1 paie plus cher le b2 (2/1)
  • coopération A (B) peut acheter à B (A) du b1
    (b2) au prix de 1/1.
  • ? échange choix élargi au-delà de c.

27
Généralisation léchange international
DRAP
  • Sans échanges inter., lAngleterre est au point
    c1 1 litre de vin vaut 2 coupons de draps

.
c1
Frontière avant louverture
GB
VIN
28
Généralisation léchange international
DRAP
  • Au Portugal, la situation est inversée en c1, 1
    litre de vin vaut ½ coupon de drap
  • Avantage comparatif du Portugal dans le vin

.
c1
Portugal
VIN
29
Généralisation léchange international
DRAP
  • Les 2 pays acceptent déchanger au prix 1/1
  • Angleterre peut aller en c2 ( de vin cher)

.
Frontière après louverture
.
c1
c2
Frontière avant louverture
GB
VIN
30
Généralisation léchange international
DRAP
  • Portugal en c2 obtention de plus de drap moins
    cher.
  • Les deux pays accèdent à des choix élargis.

.
c2
.
c1
Portugal
VIN
31
Généralisation léchange international
DRAP
  • Intérêt pour les deux pays à modifier leur
    allocation
  • de draps produits en GB car ils représentent
    plus de monnaie déchange.
  • d2 représente les nouvelles ressources,
  • c2 les nouvelles consommations après échanges.

Frontière lorsque la production sajuste
.
d2
ventes
. c2
.
Frontière après louverture
.
c1
c2
GB
VIN
Achats
32
Généralisation léchange international
  • Intérêt pour les deux pays à modifier leur
    allocation
  • de vin produit au Portugal.
  • d2 représente les nouvelles ressources,
  • c2 les nouvelles consommations après échanges.

DRAP
.
.
c2
.
c2
achats
c1
.
d2
Portugal
ventes
VIN
33
Conclusion de la section
  • La spécialisation permet dexploiter au mieux les
    compétences de chacun dans le processus productif
  • La spécialisation permet daccroître dans le
    temps les avantages de chacun grâce à
    lapprentissage par la pratique
  • La spécialisation nécessite léchange, qui permet
    un accroissement des possibilités de
    consommation.

34
Section 3 les obstacles à la coopération
35
Au-delà du monde idéal existence dun contrat
efficient
  • Si la coopération est praticable (faisabilité
    dune allocation), existe-il des incitations pour
    quelle soit applicable?
  • ? Les incitations de chacun permettent-elles
    dassurer que chaque partie exécutera sa part du
    contrat?
  • Quest-ce qui assure que lorganisation dune
    coopération bénéfique soit possible?

36
Laléa moral
  • La coopération nécessite un accord fiable sur les
    rémunérations de chacun car les intérêts
    personnels sont divergents.
  • Chaque partie va alors chercher des prétextes
    pour ne pas effectuer sa part de travail
  • comportement de passager clandestin (free
    rider)
  • ? Obtenir quelque chose pour rien, sans être
    démasqué .

37
Le cas simple de la collaboration tout ou rien
  • Le problème de laléa moral survient si et
    seulement si
  • gains issus de la production de son propre
    input
  • lt
  • coût de fourniture de linput
  • lt
  • gains issus de la combinaison des inputs

38
Exemple lassurance
  • Deux bergers craignent les pertes de cheptel
  • Institution dune assurance la moitié des
    pertes de lun est prise en charge par lautre.
  • Chaque berger est alors moins incité à
    surveiller, conduire ou protéger correctement son
    propre troupeau les coûts des pertes sont
    moindres.
  • ? triche par rapport aux comportements
    avant contrat

39
Lexistence de coûts externes
  • Si pour une de mes actions, un autre agent est
    prêt à me payer pour que je marrête, alors il y
    a des coûts externes.
  • bénéfice résultant du respect par elle-même des
    limites convenues de pollution
  • lt
  • coût pour elle, du respect de la limite
  • lt
  • bénéfice résultant du respect par tous des
    limites

40
Non-respect dun contrat le dilemme du
prisonnier
Contractant 1 Gains en colonne
Ne triche pas
Triche
Ne triche pas
(3,3)
(1,4)
Contractant 2 Gains en ligne
(4,1)
(2,2)
Triche
Solution contractant 1 préfère toujours tricher
? (2,2) est léquilibre même si (2,2)lt(dotations)
41
Respect dun contrat le jeu des convictions
Contractant 1 Gains en colonne
Ne triche pas
Triche
Ne triche pas
(4,4)
(1,3)
Contractant 2 Gains en ligne
(3,1)
(2,2)
Triche
Solution dépend des croyances (2,2)
équilibre si pessimisme , (4,4) sinon.
42
Leçon à tirer de ces jeux
  • Si lon pense que la nature humaine est
    mauvaise, alors les équilibres tels que celui
    décrits dans le dilemme du prisonnier seront
    les plus observés.
  • Si lon pense que chaque joueur retire une
    satisfaction supplémentaire à participer à un
    marché où les gains sans triche sont plus
    grand, alors le jeu des convictions est
    réaliste. Toutefois, des craintes, des soupçons
    font que léquilibre bas peut se réaliser.
  • La coopération efficiente, même en présence de
    gains mutuels, nest pas toujours assurées.

43
Les négociation quand plusieurs contrats sont
possibles
  • Nous venons dexaminer les cas où la naissance
    dune coopération était impossible pas de
    contrat
  • Que se passe-t-il si, à lopposé, plusieurs
    contrats sont possibles?
  • Si plusieurs partage de tâches ou de
    rémunérations sont possible suite à une action
    commune, la difficulté daboutir à un choix de
    contrat, parmi tous les possibles, peut empêcher
    laccord.

44
Rémunération en fonction de leffort
Rémunération de B
  • Séparément 4 pour A et 1 pour B (point a)
  • Ensemble 7
  • Tous les points situés en dessous du segment
    c1c4
  • inefficients
  • Attention c5 vérifie production 7, mais B na
    pas intérêt à participer

Courbe des contrats
.
.
c1
.
c2
.
.
c3
.
c4
a
c5
Rémunération de A
45
Négociations solution
  • Elle ne peut être que dans le cur efficiente
    garantie que tous les participants gagnent à
    léchange.
  • Cest la peur du risque de rupture dans le
    processus de négociation qui guide le partage
    si A a plus peur de la rupture que B alors son
    gain sera moindre (au pire 4 pour A et 3 pour B).

46
Conclusion de la section
  • Lexistence déchange tient du miracle,
    contrairement à ce que laisse entendre la théorie
    simple de léchange.
  • La triche, labsence de confiance, le non-respect
    mutuel des parties lors dune négociation,
    peuvent gripper le processus déchange.
  • La théorie moderne des échanges doit tenir compte
    de ces problèmes dincitation.

47
Section 4 léchange multilatéral
48
Comment échanger dans un monde complexe
  • La société est complexe car elle est composée de
    multiples agents faisant tous des choix
    individuels.
  • Comment coordonner les échanges entre une
    multitude dagents?
  • Nécessité de rencontrer les offreurs de ce que
    lon demande, ou les demandeurs de ce que lon
    offre. Mais ce que joffre nest pas
    nécessairement ce demande les agents que je
    rencontre
  • ? le problème de léconomie déchange

49
Le troc et ses limites une multitude
déchanges bilatéraux
B
B
pommes
bananes
bananes
pommes
pain
pain
pain
pain
pommes
C
A
A
C
bananes
A a des pommes puis du pain et des
bananes B a du pain puis des pommes et des
bananes C a des bananes puis du pain
et des pommes
A a des pommes puis du pain B a du pain puis des
pommes et des bananes C a des bananes puis du
pain
50
Lémergence dun commerçant dans un monde où
linformation économique coûte
  • Larbitrage si il existe deux groupes
    dacheteurs pour lesquels les prix sont
    différenciés, alors un tiers, le commerçant, peut
    acheter au bas prix pour revendre, à un prix
    intermédiaire, aux acheteurs payant le prix fort.
    Le bénéfice de larbitragiste, accroît les
    possibilités déchange.
  • Le courtage est lactivité dune personne se
    spécialisant dans lactivité de commerce mise
    en contact dagent et de biens à des prix plus
    avantageux.

51
Formation géographiquedes marchés et coûts
dinformation
  • Formation dun marché par agglomération
  • La concurrence crée la concentration les
    nouveaux viennent prendre des parts de marché aux
    anciens qui ont des coûts marginaux importants
  • Les nouveaux sont attirés par des centres
    déchange où les consommateurs sont informés.
  • Les coûts de transaction sont alors réduits

52
Le rôle du gouvernement
  • Linformation que doit récolter le
    consommateur sur les marché est importante et
    difficilement vérifiable.
  • Besoin dun tiers désintéressé pour garantir
    labsence de vices qualité et donc définition
    de normes, possibilité de demander réparation si
    tromperie
  • Lexistence de tels contrôles profitent
    également aux offreurs garantie la confiance du
    consommateur et donc lexistence de ventes.

53
Lexemple standard déchange multilatéral
léchange triangulaire
  • Faits historiques au XVII siècle les flux
    commerciaux entre lEurope, lAmérique et les
    Caraïbes sont caractérisés par des balances
    commerciales qui ne sont pas équilibrées.

B
A est en déficit vis-à-vis de B, en excédent
vis-à-vis de C
pommes
bananes
C
A
pain
54
Comment expliquer ce cas ?
  • Dotations A a du pain, B des pommes et C des
    bananes.
  • Préférences ordre des achats

55
Solution
  • A ne peux pas sentendre avec B il veut des
    pommes que B a, mais son pain nintéresse pas B
    etc
  • Comment léchange à trois peut-il devenir
    effectif ?
  • Émission de reconnaissances de dettes
  • ou création dune monnaie
  • ? nouveau rôle du gouvernement dans le
    fonctionnement des marchés

56
Conclusion de la section
  • Léchange multilatéral prend en considération la
    complexité de la coopération sur les marchés
    limite du troc, spécialisation dans le commerce,
    localisation des marchés.
  • La non-coïncidence des besoins souligne le
    rôle clé de la monnaie dans le fonctionnement des
    marchés.
  • Cette complexité nest gérable pour lagent
    privé que si lEtat se porte garant du respect
    des règles et des reconnaissances de dette (? la
    monnaie).

57
Conclusion du chapitre
  • La spécialisation ? léconomie sociale
  • Accroissement de lefficience du processus
    productif ? se libérer des contraintes posées par
    les ressources.
  • besoin déchange ? accroissement de lefficience
    la consommation.
  • la coopération nest pas, toutefois une
    évidence tricherie, absence de confiance ou
    complexité de la chaîne des échanges sont des
    obstacles.
  • LEtat peut dans certain cas faciliter les
    échanges sur les marchés.
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