De limpuissance au dynamisme - PowerPoint PPT Presentation

1 / 9
About This Presentation
Title:

De limpuissance au dynamisme

Description:

En 2000, sous l' gide de l'AFS Berne Francophone, plusieurs utilisateurs suisse se sont ... Les participants apprennent r duire l'impact d'une motion : ... – PowerPoint PPT presentation

Number of Views:106
Avg rating:3.0/5.0
Slides: 10
Provided by: similesw
Category:

less

Transcript and Presenter's Notes

Title: De limpuissance au dynamisme


1
De limpuissance au dynamisme 
  • Psychoéducation et capacité de
  • coping pour les membres de familles

2
1. Historique et contexte
  • En 1988, développé au Québec par le professeur
    Hugues Cormier et ses collaborateurs de lunité
    psychiatrique sociale et préventive, Université
    Laval Robert Giffard
  • En 1991, diffusé dans le monde francophone grâce
    au Réseau Francophone des programmes de
    réhabilitation psychiatrique.
  • En 2000, sous légide de lAFS Berne Francophone,
    plusieurs utilisateurs suisse se sont organisés
    en réseau.
  • En 2003, ouverture sur la francophonie avec la
    participation de léquipe du Docteur Yann Hoddé,
    du Centre Hospitalier de Rouffach (Alsace) et de
    lAssociation Schizo Espoir
  • En 2007, 5 nationalités francophones se sont
    réunies à Lausanne (Belgique, Cameroun, France,
    Maroc et la Suisse) et constituent le Réseau
    Profamille

3
2. Outils Profamille
  • Document Rejoindre le Réseau
  • Présentation du programme
  • Le guide lanimateur
  • Manuel des séances
  • Manuel des exercices
  • Manuel du participant
  • Programme de saisie des évaluations

4
3. Structure du programme Profamille
  • Séance 1 Accueil
  • Explication des objectifs, du contenu et du
    déroulement du programme.
  • Présentation de chacun et familiarisation des
    participants entre eux.
  • Recueil des attentes des participants.
  • Evaluations initiales (connaissances,
    savoir-faire, gestion émotionnelle, état du
    malade).

5
  • Séance 2 Connaître la maladie
  • Exposer les données épidémiologiques qui montrent
    aux familles qu'elles ne sont pas
  • seules et qui relativisent les attributions en
    termes de responsabilité.
  • Exposer les données génétiques qui relativisent
    la responsabilité de l'éducation.
  • Expliquer les symptômes. Le fait que certains
    signes soient rapportés par plusieurs
    participants
  • facilite l'acceptation par le groupe que ces
    signes sont vraiment une composante de la maladie
    et non des traits de caractère du malade.
    Expliquer le lien entre les symptômes et le
    fonctionnement cérébral. Cela permet de
    comprendre les symptômes et renforce
    l'acceptation de l'idée d'une maladie cérébrale
    dont ni les familles, ni les malades ne sont
    responsables.
  • Expliquer que la schizophrénie est souvent
    associée à d'autres troubles (anxiété,
    dépression,
  • alcoolisme, toxicomanie, TOC) qui peuvent
    apparaître au premier plan et conduire à un
    diagnostic erroné.
  • Expliquer que le diagnostic n'est qu'un mot qui
    signifie que le malade a eu un certain nombre
  • de symptômes sur une certaine durée. C'est le
    nom qu'on donne aux symptômes qui
  • ont été présents, pas au malade.
  • Expliquer l'évolution, en montrant à la fois la
    gravité de la maladie, le caractère peu
    prévisible
  • de son évolution et les espoirs qui persistent
    malgré tout.

6
  • Séance 3 Connaître son traitement
  • Exposer les différents traitements proposés, leur
    intérêt, la surveillance
  • nécessaire et les effets secondaires.
  • Exposer les difficultés de compliance et comment
    essayer d'améliorer celle-ci.
  • Exposer les principes de la prise en charge
    intégrée des malades.
  • Séance 4 Habiletés de communication
  • Montrer lintérêt spécifique de certaines règles
    de communication par rapport à certains
    dysfonctionnements cérébraux.
  • S'entraîner en séance à la pratique de ces
    règles.
  • Tester à la maison leur pertinence et leur
    efficacité.
  • Séance 5 Habiletés à poser des limites
  • Définir ce que sont des limites et montrer
    lintérêt de ces limites.
  • Analyser les blocages qui empêchent de les poser.
  • Apprendre comment mettre en place les limites.
  • Sentraîner.

7
  • Séance 7 Culpabilité et anxiété
  • Culpabilité
  • Il existe 2 types de culpabilité souvent
    rencontrés dans les familles culpabilité dêtre
    la cause de la maladie et culpabilité de ne pas
    bien aider le malade.
  • La réduction des jugements de culpabilité est
    renforcée par la relativisation de sa propre
    situation, facilitée par leffet groupe.
  • L'apprentissage de la différence entre une
    émotion et les croyances associées permet de
  • mieux gérer l'émotion et de clarifier des
    croyances liées à des connaissances et des
    jugements erronés.
  • Anxiété
  • Apprentissage de ce quest une émotion d'anxiété
    et ses manifestations physiologiques.
  • Apprentissage de règles comportementales pour
    gérer cette émotion.
  • Cela va faciliter lobservation de cognitions
    inadaptées dont lanalyse est gênée par un
    évitement émotionnel.
  • Séance 8 Habiletés à gérer ses émotions /
    réduire sa souffrance
  • Généralisation à lensemble des émotions de ce
    qui a été appris concernant lanxiété et la
    culpabilité. Les participants apprennent à
    réduire l'impact d'une émotion
  • Avec des techniques corporelles et sensorielles.
  • En utilisant des exercices d'imagerie mentale.
  • En cherchant à utiliser l'émotion d'une façon
    moins nuisible grâce à son repérage puis àla
    compréhension de la façon dont on peut
    l'utiliser.
  • En s'entraînant à développer une souplesse
    cognitive pour réduire l'effet des émotions sur
    le processus cognitif (analyse du pour/contre et
    avantages/inconvénients de certaines pensées
    générales).

8
  • Séance 9 Habiletés à gérer ses pensées
    parasites / réduire sa souffrance
  • Apprentissage des liens entre émotions et
    cognitions.
  • Repérage de cognitions inadaptées favorisant une
    souffrance et apprentissage des moyens de
    corriger ces cognitions.
  • Séance 10 Révision
  • Renforcement des acquis des 3 précédentes
    séances.
  • Séance 11 Apprendre à avoir des attentes
    réalistes
  • Correction de croyances inadaptées concernant
    lavenir et laide à apporter au malade,
    c'est-à-dire "apprendre à voir la réalité en
    face".
  • Séance 12 Savoir obtenir de laide
  • Savoir où trouver les grands types daide et
    avoir des connaissances de base sur lexistence
    et lutilité de certaines aides.
  • Savoir demander de laide de façon efficace
    (affirmation de soi).
  • Séance 13 Développer un réseau de soutien

9
4. Organisation du module
  • Condition
  • Etre proche dune personne pour qui le diagnostic
    de schizophrénie a été posé
  • Modalités pratiques
  • 4 heures en soirée, tous les 15 jours
  • Présence à chaque séance fortement encouragée
    (voir indispensable)
  • Matériels à disposition des participants
  • Présentation PowerPoint des séances
  • Farde
  • Notes de cours
  • Lieu Partout en Wallonie
Write a Comment
User Comments (0)
About PowerShow.com